ISRAËL
UNEDEMANDE
D'ASILE
BIENPARTICULIERE
Source : french.peopledeally.ch en ligne
le 31 décembre 2011
Aïcha Kadhafi chercherait asile
en Israël
Selon des médias israliens, la fille du colonel Kadhafi Aïcha Kadhafi qui craint d'être expulsée par l'Algérie, a officiellement demandé l'asile politique en Israël.
Selon des médias jordaniens, avant la chute du régime de Kadhafi, Aïcha s'est réfugiée en Algérie, où elle s'est adressée plusieurs fois aux Libyens pour les appeler à renverser la donmination du CNT, ce qui a mis le gouvernement algérien mal à l'aise. Elle craindrait que l'Algérie ne finisse par céder aux pressions du nouveau régime libyen et ne l'extrade. La demande d'asile politique en Israël formulée par la fille de Kadhafi a aussi été rapporté par la télévision israëlienne.
Toujours selon la chaîne israëlienne, "Selon un proche d'Aïcha, après mûre réflexion, Israël est considéré comme le pays le plus sûr. Elle a déjà transmis cette demande à Nick Kaufman, ancien procureur du district de Jérusalem et ancien procureur au Tribunal Pénal International pour l'ex-Yougoslavie (UNICTY). Bien que "ses chances soient très minces", Aïcha tient conserve tout de même de grandes espérances.
D'ailleurs, M. Kaufman a aussi accepté la procuration pour exiger de la Cour Pénale Internationale (CPI) de La Haye de mener une enquête sur les circonstances de la mort de son père.
Revue de presse, panorama du monde, blog de lutte contre l'antisémitisme et le racisme, ouvert au dialogue, l'autre image d'Israël, la culture juive à la rencontre de toutes les cultures, le monde juif tel qu'il est.
"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS
Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha
Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam
CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
samedi, décembre 31, 2011
ISRAËL
LAÏCSD'EXTRÊME-DROITE
ULTRAORTHODOXES
EXTRÊMISTES
SOPPOSENT
Source : lacroix.com avec l'AFP
en ligne le 31 décembre 2011
En Israël,
le ministre Avigdor Lieberman
critique les juifs ultraorthodoxes
En Israël, militants de la laïcité et ultraorthodoxes s’affrontent vivement
Dans une interview publiée vendredi 30 décembre par Yédiot Aharonot, le ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman a vivement critiqué les Juifs ultraorthodoxes, notamment à propos de leurs discriminations à l’égard des femmes. « Le phénomène d’exclusion des femmes dans les rues des ultraorthodoxes relève d’une barbarie intolérable », a-t-il affirmé. « Nous devons modifier nos priorités (…) Il est inconcevable que l’État continue de financer ceux qui le contestent et que les ultraorthodoxes bénéficient de ses largesses, notamment pour l’éducation gratuite de leurs enfants », a-t-il ajouté.
Avigdor Lieberman s’est en outre prononcé pour la suppression des conseils religieux des municipalités, « car la Halakha (tradition juridique juive) ne stipule pas qu’ils sont indispensables ». Présent dans toutes les communautés urbaines en Israël, le conseil religieux s’occupe des services du culte (bains rituels, mariages, certificats de conformité aux rites alimentaires de la cacherout) et la nomination de ses membres est obligatoirement approuvée par le ministère des cultes.
Selon la radio publique israélienne, le ministre des cultes, Yaacov Margi (du parti orthodoxe séfarade Shass) a aussitôt réagi en accusant Avigdor Lieberman d'« avoir vidé les caisses de l’État ».
C. LE
LAÏCSD'EXTRÊME-DROITE
ULTRAORTHODOXES
EXTRÊMISTES
SOPPOSENT
Source : lacroix.com avec l'AFP
en ligne le 31 décembre 2011
En Israël,
le ministre Avigdor Lieberman
critique les juifs ultraorthodoxes
En Israël, militants de la laïcité et ultraorthodoxes s’affrontent vivement
Dans une interview publiée vendredi 30 décembre par Yédiot Aharonot, le ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman a vivement critiqué les Juifs ultraorthodoxes, notamment à propos de leurs discriminations à l’égard des femmes. « Le phénomène d’exclusion des femmes dans les rues des ultraorthodoxes relève d’une barbarie intolérable », a-t-il affirmé. « Nous devons modifier nos priorités (…) Il est inconcevable que l’État continue de financer ceux qui le contestent et que les ultraorthodoxes bénéficient de ses largesses, notamment pour l’éducation gratuite de leurs enfants », a-t-il ajouté.
Avigdor Lieberman s’est en outre prononcé pour la suppression des conseils religieux des municipalités, « car la Halakha (tradition juridique juive) ne stipule pas qu’ils sont indispensables ». Présent dans toutes les communautés urbaines en Israël, le conseil religieux s’occupe des services du culte (bains rituels, mariages, certificats de conformité aux rites alimentaires de la cacherout) et la nomination de ses membres est obligatoirement approuvée par le ministère des cultes.
Selon la radio publique israélienne, le ministre des cultes, Yaacov Margi (du parti orthodoxe séfarade Shass) a aussitôt réagi en accusant Avigdor Lieberman d'« avoir vidé les caisses de l’État ».
C. LE
LUNDESASSASSINS
DELISRAELIENNE
LEEZEITOUNI
AETEREPERE
SURUNEROUTEDUVAR
ENFRANCE
Source : liberation.fr via l'AFP en ligne
le 31 décembre 2011
Accident mortel en Israël:
l'un des suspects flashé dans le Var
L'un des Français suspectés d'avoir tué une jeune Israélienne à Tel-Aviv en septembre dans un accident de la route a été contrôlé à 156 km/h vendredi sur l'A8 dans le Var, a-t-on appris samedi de sources concordantes.
Contrôlé par les gendarmes à hauteur de Saint-Maximin, Claude Khayat a payé une amende avant de reprendre la route à bord de son véhicule, loué à l'aéroport de Nice, a-t-on précisé.
Claude Khayat, 32 ans, et Eric Robic, 38 ans, sont soupçonnés d'être les deux occupants d'un 4x4 qui a heurté mortellement, fin septembre à Tel Aviv, une Israélienne de 25 ans, Lee Zeitouni. Tous deux avaient regagné la France dans les heures ayant suivi l'accident.
Cet excès de vitesse dans le Var intervient alors que les avocats des deux Français, face à l'émotion suscitée en Israël par leur fuite, ont exprimé cette semaine les "regrets" de leurs clients et leur souhait d'être jugés en France, tandis que l'entourage de la victime se bat pour un procès en Israël.
Les deux hommes ont "parfaitement conscience de la gravité" des faits, de leur "lâcheté" et sont "pétris de remords et de regrets", a affirmé Me Françoise Cotta, l'un des conseils de M. Robic, jeudi lors d'une conférence de presse.
M. Khayat a été présenté comme le chauffeur du véhicule dont M. Robic était le passager. Selon leurs avocats, les deux hommes sortaient de boîte de nuit au petit matin, roulaient "certainement" trop vite et ont renversé la jeune femme sur un passage protégé, sans lui porter secours.
DELISRAELIENNE
LEEZEITOUNI
AETEREPERE
SURUNEROUTEDUVAR
ENFRANCE
Source : liberation.fr via l'AFP en ligne
le 31 décembre 2011
Accident mortel en Israël:
l'un des suspects flashé dans le Var
L'un des Français suspectés d'avoir tué une jeune Israélienne à Tel-Aviv en septembre dans un accident de la route a été contrôlé à 156 km/h vendredi sur l'A8 dans le Var, a-t-on appris samedi de sources concordantes.
Contrôlé par les gendarmes à hauteur de Saint-Maximin, Claude Khayat a payé une amende avant de reprendre la route à bord de son véhicule, loué à l'aéroport de Nice, a-t-on précisé.
Claude Khayat, 32 ans, et Eric Robic, 38 ans, sont soupçonnés d'être les deux occupants d'un 4x4 qui a heurté mortellement, fin septembre à Tel Aviv, une Israélienne de 25 ans, Lee Zeitouni. Tous deux avaient regagné la France dans les heures ayant suivi l'accident.
Cet excès de vitesse dans le Var intervient alors que les avocats des deux Français, face à l'émotion suscitée en Israël par leur fuite, ont exprimé cette semaine les "regrets" de leurs clients et leur souhait d'être jugés en France, tandis que l'entourage de la victime se bat pour un procès en Israël.
Les deux hommes ont "parfaitement conscience de la gravité" des faits, de leur "lâcheté" et sont "pétris de remords et de regrets", a affirmé Me Françoise Cotta, l'un des conseils de M. Robic, jeudi lors d'une conférence de presse.
M. Khayat a été présenté comme le chauffeur du véhicule dont M. Robic était le passager. Selon leurs avocats, les deux hommes sortaient de boîte de nuit au petit matin, roulaient "certainement" trop vite et ont renversé la jeune femme sur un passage protégé, sans lui porter secours.
vendredi, décembre 30, 2011
jeudi, décembre 29, 2011
TROISMOIS
APRESLEURCRIME!....
MAISILSREFUSENT
TOUJOURSDËTREJUGE
PALAJUSTICEISRAELIENNE
L'ETATOUILSL'ONTCOMMIS
Source : europe1.fr via l'AFP en ligne
le 29 décembre 2011 à 23h 04
sur Diasporablog à 22h 43
Israël :
les "regrets" des chauffards
A l'origine d’un accident mortel, ils reconnaissent les faits mais veulent être jugés en France.
"Ils ont pleinement conscience de leur lâcheté" et sont aujourd’hui pétris de "remords et de regrets". Les avocats de deux Français soupçonnés d'un accident de la route mortel en Israël, ont tenté d’apaiser les tensions. Lors d’une conférence de presse jeudi, les avocats de Claude Khayat, 32 ans, et Eric Robic, 38 ans, ont assuré que leurs clients, pointés du doigt par la famille de la victime, souhaitaient répondre de leur responsabilités en France.
Ils fuient deux heures après l’accident
Le drame remonte au 16 septembre, à Tel Aviv, en Israël. Une Israélienne de 25 ans, Lee Zeitouni, est renversée par deux hommes qui viennent de griller un feu en rentrant de boîte de nuit à bord d’un 4X4. Sans prendre la peine de lui porter secours ou d'appeler les pompiers, ils fuient, laissant la jeune femme en train d’agoniser sur le bord de la route. Cette dernière a succombé à ses blessures quelques heures plus tard.
Les deux hommes, quant à eux, ont regagné la France dans les heures qui ont suivi l’accident. Ce départ précipité, qualifié par Me Françoise Cotta de "réaction parfaitement humaine", était motivé par le souhait de ces deux pères de famille d'être "auprès des leurs" pour assumer leurs responsabilités. Mais les deux hommes étaient également au courant de leurs droits : la France n'extrade pas ses ressortissants, même s'ils sont suspectés à l'étranger.
Vives émotions en Israël
Pour autant, iles deux Français ne sont pas tirés d’affaire. Dès le lendemain de leur retour, ils ont en effet contacté leurs avocats qui assurent avoir aussitôt écrit au parquet de Créteil. Car "les faits sont établis", a assuré Me Joseph Cohen-Sabban
"Ils (les deux conducteurs, ndlr) se permettent de dire aussi que c’est un homicide involontaire. Qu’ils n’ont pas choisi de donner la mort. Cela est parfois un peu oublié. Quand on voit des banderoles avec ‘rendez nous les assassins’, nous disons que l’émotion c’est une chose mais qu’il faut garder raison. C’est un accident involontaire de la circulation qui a causé la mort d’une jeune femme dans des conditions tragiques et qui laisse une famille effondrée de douleur", commente Me Cotta au micro d’Europe 1.
Le dossier transféré en France ?
Face à la pression populaire venue d’Israël, les avocats français des suspects demandent donc que le procès se déroule en France. Mais pour qu'un tel procès soit possible, il faudrait que les autorités israéliennes procèdent à "une dénonciation officielle aux fins de poursuite" signifiant qu'elles se dessaisissent au profit de la France. C'est le souhait qu'ont exprimé jeudi les avocats des deux hommes. Ils assurent que leurs clients se tiennent à la disposition de la justice française. En revanche, ils refusent "de la manière la plus absolue" d'être jugés en Israël où l’affaire a suscité de vives réactions.
"Nous demandons à ce que l’autorité israélienne cesse de considérer que la France n’est pas capable de rendre justice. Qu’ils dénoncent les faits et qu’enfin le dossier puisse avancer", commente Me Cotta au micro d’Europe 1.
Le soutien de Carla Bruni
Selon leurs avocats, les deux hommes encourent en France la même peine qu'en Israël pour ces faits : c’est-à-dire dix ans de prison.
De son côté, l'entourage de la victime se bat pour un procès en Israël. Le fiancé de la victime, Roi Peled a assuré jeudi que les proches de la jeune femme "ne cesseront pas (leur) action" tant qu'ils n'auront pas obtenu gain de cause.
L'épouse du président français, Carla Bruni-Sarkozy avait écrit en début de cette semaine à la famille de la victime pour assurer que la France faisait le "maximum" pour que justice soit faite.
APRESLEURCRIME!....
MAISILSREFUSENT
TOUJOURSDËTREJUGE
PALAJUSTICEISRAELIENNE
L'ETATOUILSL'ONTCOMMIS
Source : europe1.fr via l'AFP en ligne
le 29 décembre 2011 à 23h 04
sur Diasporablog à 22h 43
Israël :
les "regrets" des chauffards
A l'origine d’un accident mortel, ils reconnaissent les faits mais veulent être jugés en France.
"Ils ont pleinement conscience de leur lâcheté" et sont aujourd’hui pétris de "remords et de regrets". Les avocats de deux Français soupçonnés d'un accident de la route mortel en Israël, ont tenté d’apaiser les tensions. Lors d’une conférence de presse jeudi, les avocats de Claude Khayat, 32 ans, et Eric Robic, 38 ans, ont assuré que leurs clients, pointés du doigt par la famille de la victime, souhaitaient répondre de leur responsabilités en France.
Ils fuient deux heures après l’accident
Le drame remonte au 16 septembre, à Tel Aviv, en Israël. Une Israélienne de 25 ans, Lee Zeitouni, est renversée par deux hommes qui viennent de griller un feu en rentrant de boîte de nuit à bord d’un 4X4. Sans prendre la peine de lui porter secours ou d'appeler les pompiers, ils fuient, laissant la jeune femme en train d’agoniser sur le bord de la route. Cette dernière a succombé à ses blessures quelques heures plus tard.
Les deux hommes, quant à eux, ont regagné la France dans les heures qui ont suivi l’accident. Ce départ précipité, qualifié par Me Françoise Cotta de "réaction parfaitement humaine", était motivé par le souhait de ces deux pères de famille d'être "auprès des leurs" pour assumer leurs responsabilités. Mais les deux hommes étaient également au courant de leurs droits : la France n'extrade pas ses ressortissants, même s'ils sont suspectés à l'étranger.
Vives émotions en Israël
Pour autant, iles deux Français ne sont pas tirés d’affaire. Dès le lendemain de leur retour, ils ont en effet contacté leurs avocats qui assurent avoir aussitôt écrit au parquet de Créteil. Car "les faits sont établis", a assuré Me Joseph Cohen-Sabban
"Ils (les deux conducteurs, ndlr) se permettent de dire aussi que c’est un homicide involontaire. Qu’ils n’ont pas choisi de donner la mort. Cela est parfois un peu oublié. Quand on voit des banderoles avec ‘rendez nous les assassins’, nous disons que l’émotion c’est une chose mais qu’il faut garder raison. C’est un accident involontaire de la circulation qui a causé la mort d’une jeune femme dans des conditions tragiques et qui laisse une famille effondrée de douleur", commente Me Cotta au micro d’Europe 1.
Le dossier transféré en France ?
Face à la pression populaire venue d’Israël, les avocats français des suspects demandent donc que le procès se déroule en France. Mais pour qu'un tel procès soit possible, il faudrait que les autorités israéliennes procèdent à "une dénonciation officielle aux fins de poursuite" signifiant qu'elles se dessaisissent au profit de la France. C'est le souhait qu'ont exprimé jeudi les avocats des deux hommes. Ils assurent que leurs clients se tiennent à la disposition de la justice française. En revanche, ils refusent "de la manière la plus absolue" d'être jugés en Israël où l’affaire a suscité de vives réactions.
"Nous demandons à ce que l’autorité israélienne cesse de considérer que la France n’est pas capable de rendre justice. Qu’ils dénoncent les faits et qu’enfin le dossier puisse avancer", commente Me Cotta au micro d’Europe 1.
Le soutien de Carla Bruni
Selon leurs avocats, les deux hommes encourent en France la même peine qu'en Israël pour ces faits : c’est-à-dire dix ans de prison.
De son côté, l'entourage de la victime se bat pour un procès en Israël. Le fiancé de la victime, Roi Peled a assuré jeudi que les proches de la jeune femme "ne cesseront pas (leur) action" tant qu'ils n'auront pas obtenu gain de cause.
L'épouse du président français, Carla Bruni-Sarkozy avait écrit en début de cette semaine à la famille de la victime pour assurer que la France faisait le "maximum" pour que justice soit faite.
VIOLENTREVEILDUVOLCAN
DESJUIFSRELIGIEUX
EXTRÊMISTES
ENISRAËL
DIASPORABLOG
accueille...
JACQUES BENILLOUCHE
LES PARTIS RELIGIEUX PASSIFS
DANS LA TOURMENTE
Il ne s’agit pas d’une péripétie politique interne à un petit parti israélien mais d’un véritable tremblement de terre qui peut affecter le gouvernement de Benjamin Netanyahou et sa politique. Le conflit qui a éclaté à l’occasion d’un incident mineur est révélateur de lignes qui bougent dans la mouvance religieuse. Il y a quelques temps déjà, un membre éminent du parti Shass s’était rebiffé devant le comportement de son leader charismatique, trop vieux pour insuffler un élan nouveau et salvateur à une formation qui, installée dans un conservatisme stérile, risquait de s’étioler. Toute une idéologie était remise en cause devant le danger de débordement de la part de d’éléments interprétant.....
Lire la suite en cliquant sur le lien :
http://benillouche.blogspot.com/2011/12/les-partis-religieux-passifs-dans-la.html
Jacques BENILLOUCHE
http://www.benillouche.com/
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EXTRÊMISTES
ENISRAËL
DIASPORABLOG
accueille...
JACQUES BENILLOUCHE
LES PARTIS RELIGIEUX PASSIFS
DANS LA TOURMENTE
Il ne s’agit pas d’une péripétie politique interne à un petit parti israélien mais d’un véritable tremblement de terre qui peut affecter le gouvernement de Benjamin Netanyahou et sa politique. Le conflit qui a éclaté à l’occasion d’un incident mineur est révélateur de lignes qui bougent dans la mouvance religieuse. Il y a quelques temps déjà, un membre éminent du parti Shass s’était rebiffé devant le comportement de son leader charismatique, trop vieux pour insuffler un élan nouveau et salvateur à une formation qui, installée dans un conservatisme stérile, risquait de s’étioler. Toute une idéologie était remise en cause devant le danger de débordement de la part de d’éléments interprétant.....
Lire la suite en cliquant sur le lien :
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Jacques BENILLOUCHE
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ENSEIGNEMENT
ENFRANCE
39-45REDUIT
AUSTRICTMINIMUM
Source : la newsletter de marianne2.fr
diffusée le 29 décembre 2011
Réforme du programme d'Histoire :
le nazisme en trois heures ?
Yannick Le Gruiec
Tribune
Deux ou trois heures pour étudier la guerre de 14-18, trois heures et trente minutes, contrôle compris, pour étudier la Seconde guerre mondiale... C'est désormais le temps dont disposent les professeurs d'Histoire-Géo pour faire ingurgiter ces deux grandes parties de notre passé aux lycéens. Retour sur cette réforme qui a tout changé avec l'enseignant Yannick Le Gruiec.
La réforme du lycée a entraîné la disparition de l’histoire-géographie des enseignements obligatoires en terminale S. Les élèves de première S suivent un nouveau programme qui est commun aux autres séries générales de L et ES. Les classes de première et de terminale étudiaient le monde contemporain du milieu du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. La même période a donc été condensée pour être étudiée en un an.
Pour justifier le temps réduit consacré à l’étude d’événements aussi fondamentaux que les guerres mondiales, la colonisation ou bien les régimes totalitaires, l’histoire contemporaine a été divisée en grandes rubriques fourre-tout (la « guerre », la « République », le « totalitarisme ») qui regroupent des petits morceaux d’histoire. Concrètement, le thème intitulé « la guerre au XX è siècle » englobe comme supports d’étude les deux guerres mondiales, les organisations internationales nées à la suite de ces deux conflits (SDN et ONU), la guerre froide et différents conflits depuis 1990. Il est conseillé officiellement de consacrer au maximum 17 heures pour l’ensemble du thème. Certes, chaque « support d’étude » est problématisé, par exemple, la Première Guerre mondiale est abordée sous l’angle de l’expérience combattante dans une guerre totale mais, au final, les élèves ont bénéficié de deux-trois heures pour étudier 1914-1918. Avec un peu de bonne volonté de la part de leur professeur, un tout petit plus pour la Seconde Guerre mondiale : Trois heures et trente minutes ; contrôle compris.
« La genèse et l’affirmation des régimes totalitaires (soviétique, fasciste et nazi) » peuvent être abordées en deux-trois heures ! L’étude de la France pendant la Seconde Guerre mondiale (deux-trois heures, c’est en gros toujours le même tarif) est problématisée ainsi : « Les combats de la Résistance (contre l’occupant nazi et le régime de Vichy) et la refondation républicaine ». Les documents officiels pour guider les professeurs précisent qu’il « convient de rappeler les principes de ce régime [Vichy] et de sa politique ». En effet, cela se limitera à un rappel d’un quart d’heure. Vichy a donc disparu du lycée pour les élèves français. Quant à la Commune elle passe à la trappe. Mai 68 et mai 1981 aussi, car l’histoire de France s’achève… en 1962. Pour la majorité des élèves de la section S, elle n’ira pas plus loin.
La chronologie a été largement abandonnée car ces thèmes rassemblent des « questions » très distinctes (par exemple le 11 septembre 2001 est rangé dans le même thème que la Première Guerre mondiale). Le professeur qui suit les thèmes dans l’ordre proposé (et c’est difficile de faire autrement) abordera en premier le génocide des populations juives pendant la Seconde Guerre mondiale (thème : la guerre), un peu plus tard le régime nazi (thème : le totalitarisme), puis encore plus tard l’affaire Dreyfus (thème : la République). Le flashback comme outil méthodologique. Bonne chance à tous les élèves pour bien comprendre les causes de l’extermination des Juifs européens. Une dernière remarque en ce qui concerne la géographie. Les élèves en S n’aborderont pas dans leur cursus au lycée ni la mondialisation, ni l’Asie de l’Est. Par contre, ils auront étudié leur ville, leur région, et l’Union européenne.
Les élèves de S vont continuer à fournir le vivier des élites françaises ; grâce au nouveau programme, celles-ci seront pleinement éclairées sur les enjeux du monde contemporain. Mais, après tout, les élites actuelles avaient bénéficié d’un programme un peu plus cohérent, pour le résultat que nous connaissons.
ENFRANCE
39-45REDUIT
AUSTRICTMINIMUM
Source : la newsletter de marianne2.fr
diffusée le 29 décembre 2011
Réforme du programme d'Histoire :
le nazisme en trois heures ?
Yannick Le Gruiec
Tribune
Deux ou trois heures pour étudier la guerre de 14-18, trois heures et trente minutes, contrôle compris, pour étudier la Seconde guerre mondiale... C'est désormais le temps dont disposent les professeurs d'Histoire-Géo pour faire ingurgiter ces deux grandes parties de notre passé aux lycéens. Retour sur cette réforme qui a tout changé avec l'enseignant Yannick Le Gruiec.
La réforme du lycée a entraîné la disparition de l’histoire-géographie des enseignements obligatoires en terminale S. Les élèves de première S suivent un nouveau programme qui est commun aux autres séries générales de L et ES. Les classes de première et de terminale étudiaient le monde contemporain du milieu du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. La même période a donc été condensée pour être étudiée en un an.
Pour justifier le temps réduit consacré à l’étude d’événements aussi fondamentaux que les guerres mondiales, la colonisation ou bien les régimes totalitaires, l’histoire contemporaine a été divisée en grandes rubriques fourre-tout (la « guerre », la « République », le « totalitarisme ») qui regroupent des petits morceaux d’histoire. Concrètement, le thème intitulé « la guerre au XX è siècle » englobe comme supports d’étude les deux guerres mondiales, les organisations internationales nées à la suite de ces deux conflits (SDN et ONU), la guerre froide et différents conflits depuis 1990. Il est conseillé officiellement de consacrer au maximum 17 heures pour l’ensemble du thème. Certes, chaque « support d’étude » est problématisé, par exemple, la Première Guerre mondiale est abordée sous l’angle de l’expérience combattante dans une guerre totale mais, au final, les élèves ont bénéficié de deux-trois heures pour étudier 1914-1918. Avec un peu de bonne volonté de la part de leur professeur, un tout petit plus pour la Seconde Guerre mondiale : Trois heures et trente minutes ; contrôle compris.
« La genèse et l’affirmation des régimes totalitaires (soviétique, fasciste et nazi) » peuvent être abordées en deux-trois heures ! L’étude de la France pendant la Seconde Guerre mondiale (deux-trois heures, c’est en gros toujours le même tarif) est problématisée ainsi : « Les combats de la Résistance (contre l’occupant nazi et le régime de Vichy) et la refondation républicaine ». Les documents officiels pour guider les professeurs précisent qu’il « convient de rappeler les principes de ce régime [Vichy] et de sa politique ». En effet, cela se limitera à un rappel d’un quart d’heure. Vichy a donc disparu du lycée pour les élèves français. Quant à la Commune elle passe à la trappe. Mai 68 et mai 1981 aussi, car l’histoire de France s’achève… en 1962. Pour la majorité des élèves de la section S, elle n’ira pas plus loin.
La chronologie a été largement abandonnée car ces thèmes rassemblent des « questions » très distinctes (par exemple le 11 septembre 2001 est rangé dans le même thème que la Première Guerre mondiale). Le professeur qui suit les thèmes dans l’ordre proposé (et c’est difficile de faire autrement) abordera en premier le génocide des populations juives pendant la Seconde Guerre mondiale (thème : la guerre), un peu plus tard le régime nazi (thème : le totalitarisme), puis encore plus tard l’affaire Dreyfus (thème : la République). Le flashback comme outil méthodologique. Bonne chance à tous les élèves pour bien comprendre les causes de l’extermination des Juifs européens. Une dernière remarque en ce qui concerne la géographie. Les élèves en S n’aborderont pas dans leur cursus au lycée ni la mondialisation, ni l’Asie de l’Est. Par contre, ils auront étudié leur ville, leur région, et l’Union européenne.
Les élèves de S vont continuer à fournir le vivier des élites françaises ; grâce au nouveau programme, celles-ci seront pleinement éclairées sur les enjeux du monde contemporain. Mais, après tout, les élites actuelles avaient bénéficié d’un programme un peu plus cohérent, pour le résultat que nous connaissons.
"L'IRANNUCLEAIRE?"
PASEXISTENTIEL
POUR...ISRAËL.
Source : levif.be en ligne le 29 décembre 2011
L'Iran nucléaire
pas forcément
"une menace existentielle"
pour Israël, selon le Mossad
Le chef du Mossad, les services secrets israéliens, estime qu'un Iran doté de l'arme nucléaire ne représenterait pas nécessairement "une menace existentielle" pour Israël, selon des remarques rapportées jeudi par le quotidien Haaretz.
L'Iran nucléaire pas forcément "une menace existentielle" pour Israël, selon le Mossad
"Est-ce que l'Iran représente une menace pour Israël ? Absolument", a affirmé Tamir Pardo lors de la conférence annuelle des ambassadeurs israéliens mardi, d'après le journal. "Mais si quelqu'un dit qu'une bombe nucléaire entre les mains des Iraniens représente une menace existentielle (pour Israël), cela voudrait dire que nous n'avons plus qu'à fermer boutique et rentrer à la maison. Ce n'est pas le cas. Le terme +menace existentielle+ est utilisée trop facilement", a-t-il dit. Il y a deux mois, le Premier ministre Benjamin Netanyahu avait affirmé devant la Knesset (Parlement) qu'un "Iran nucléaire poserait une menace terrible pour le Moyen-Orient et le monde entier", ajoutant: "Et bien sûr, il représente une menace directe et sérieuse pour nous aussi".
Parlant devant les mêmes ambassadeurs mardi, le président Shimon Pérès avait déclaré qu'Israël avait des "réponses" à la menace nucléaire iranienne, tout en réaffirmant qu'elle représentait un "problème pour le monde entier" et pas seulement pour l'Etat hébreu. Le président Pérès, comme d'autres dirigeants israéliens, a laissé entendre récemment qu'Israël n'excluait pas l'option militaire contre l'Iran. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a étayé dans un récent rapport les soupçons des Occidentaux selon lesquels Téhéran, malgré ses démentis, a travaillé à la fabrication d'une arme nucléaire.
PASEXISTENTIEL
POUR...ISRAËL.
Source : levif.be en ligne le 29 décembre 2011
L'Iran nucléaire
pas forcément
"une menace existentielle"
pour Israël, selon le Mossad
Le chef du Mossad, les services secrets israéliens, estime qu'un Iran doté de l'arme nucléaire ne représenterait pas nécessairement "une menace existentielle" pour Israël, selon des remarques rapportées jeudi par le quotidien Haaretz.
L'Iran nucléaire pas forcément "une menace existentielle" pour Israël, selon le Mossad
"Est-ce que l'Iran représente une menace pour Israël ? Absolument", a affirmé Tamir Pardo lors de la conférence annuelle des ambassadeurs israéliens mardi, d'après le journal. "Mais si quelqu'un dit qu'une bombe nucléaire entre les mains des Iraniens représente une menace existentielle (pour Israël), cela voudrait dire que nous n'avons plus qu'à fermer boutique et rentrer à la maison. Ce n'est pas le cas. Le terme +menace existentielle+ est utilisée trop facilement", a-t-il dit. Il y a deux mois, le Premier ministre Benjamin Netanyahu avait affirmé devant la Knesset (Parlement) qu'un "Iran nucléaire poserait une menace terrible pour le Moyen-Orient et le monde entier", ajoutant: "Et bien sûr, il représente une menace directe et sérieuse pour nous aussi".
Parlant devant les mêmes ambassadeurs mardi, le président Shimon Pérès avait déclaré qu'Israël avait des "réponses" à la menace nucléaire iranienne, tout en réaffirmant qu'elle représentait un "problème pour le monde entier" et pas seulement pour l'Etat hébreu. Le président Pérès, comme d'autres dirigeants israéliens, a laissé entendre récemment qu'Israël n'excluait pas l'option militaire contre l'Iran. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a étayé dans un récent rapport les soupçons des Occidentaux selon lesquels Téhéran, malgré ses démentis, a travaillé à la fabrication d'une arme nucléaire.
ISRAËL
NOUVELINCIDENT
DUNJUIFRELIGIEUX
EXTRÊMISTE
Source : lefigaro.fr en ligne via l'AFP
le 29 décembre 2011
Israël:
jugé pour avoir insulté une soldate
Un tribunal de Jérusalem a inculpé aujourd'hui pour harcèlement sexuel un Juif orthodoxe soupçonné d'avoir insulté une jeune soldate. Le tribunal de police de Jérusalem a inculpé Schlomo Fuchs, un père de famille âgé de 44 ans, de harcèlement sexuel pour avoir insulté à plusieurs reprises la jeune soldate, la traitant notamment de "putain", parce qu'elle avait refusé de prendre place sur les banquettes arrières du véhicule comme il le lui enjoignait. "Le phénomène croissant de discrimination des femmes met en danger la société démocratique", a notamment souligné la juge du tribunal, Eilat Diskin.
Le suspect, appréhendé hier, risque une peine maximale de deux ans de prison ferme. Il a fait appel devant le tribunal de district de Jérusalem.
Le tribunal de police a autorisé sa remise en liberté provisoire jusqu'à son jugement, à condition qu'il dépose une caution de 20.000 shekels (4000 euros), qu'il n'a pas été en mesure de produire. En conséquence, il a été maintenu en détention.
Les discriminations à l'égard des femmes imposées par une frange radicale de Juifs ultra-orthodoxes ont suscité une vive émotion en Israël à la suite d'une série d'incidents, forçant les dirigeants politiques à réagir.
Ce soir, des centaines de juifs orthodoxes ont à nouveau manifesté dans la ville de Beit Shemesh, près de Jérusalem, théâtre ces derniers jours de heurts entre policiers et intégristes juifs réclamant une séparation stricte entre hommes et femmes. Des juifs orthodoxes ont incendié des poubelles et lancé des pierres sur les forces de l'ordre.
Le conseiller juridique du gouvernement Yéhouda Weinstein a constitué aujourd'hui une équipe qui doit présenter des recommandations pour juguler le phénomène. Ces recommandations concernent les domaines pénal, administratif et législatif, et devraient notamment prévoir des inculpations plus sévères contre les auteurs d'agressions verbales ou physiques visant des femmes.
NOUVELINCIDENT
DUNJUIFRELIGIEUX
EXTRÊMISTE
Source : lefigaro.fr en ligne via l'AFP
le 29 décembre 2011
Israël:
jugé pour avoir insulté une soldate
Un tribunal de Jérusalem a inculpé aujourd'hui pour harcèlement sexuel un Juif orthodoxe soupçonné d'avoir insulté une jeune soldate. Le tribunal de police de Jérusalem a inculpé Schlomo Fuchs, un père de famille âgé de 44 ans, de harcèlement sexuel pour avoir insulté à plusieurs reprises la jeune soldate, la traitant notamment de "putain", parce qu'elle avait refusé de prendre place sur les banquettes arrières du véhicule comme il le lui enjoignait. "Le phénomène croissant de discrimination des femmes met en danger la société démocratique", a notamment souligné la juge du tribunal, Eilat Diskin.
Le suspect, appréhendé hier, risque une peine maximale de deux ans de prison ferme. Il a fait appel devant le tribunal de district de Jérusalem.
Le tribunal de police a autorisé sa remise en liberté provisoire jusqu'à son jugement, à condition qu'il dépose une caution de 20.000 shekels (4000 euros), qu'il n'a pas été en mesure de produire. En conséquence, il a été maintenu en détention.
Les discriminations à l'égard des femmes imposées par une frange radicale de Juifs ultra-orthodoxes ont suscité une vive émotion en Israël à la suite d'une série d'incidents, forçant les dirigeants politiques à réagir.
Ce soir, des centaines de juifs orthodoxes ont à nouveau manifesté dans la ville de Beit Shemesh, près de Jérusalem, théâtre ces derniers jours de heurts entre policiers et intégristes juifs réclamant une séparation stricte entre hommes et femmes. Des juifs orthodoxes ont incendié des poubelles et lancé des pierres sur les forces de l'ordre.
Le conseiller juridique du gouvernement Yéhouda Weinstein a constitué aujourd'hui une équipe qui doit présenter des recommandations pour juguler le phénomène. Ces recommandations concernent les domaines pénal, administratif et législatif, et devraient notamment prévoir des inculpations plus sévères contre les auteurs d'agressions verbales ou physiques visant des femmes.
LESJUIFSFRANCAIS
SONTMECONTENTS
D'ISRAËL
Source : la newsletter d'israel-infos.net
diffusée le 29 décembre 2011
ISRAËL
Tourisme :
les visiteurs francais sont
les moins satisfaits des touristes
qui visitent Israël
par
Gerard Fredj
Alors qu'à certaines périodes, les touristes francais arrivent en nombre, le ministère israélien du tourisme s'est intéressé –enfin – à leur ressenti de leur séjour dans le pays où coule le lait et le miel.
Près de douze mille touristes français ont ainsi été interrogés dans le cadre de cette enquête dont les résultats ne sont pas flatteurs pour l'industrie touristique israélienne.
Il en ressort que les touristes français –juifs et non juifs – sont très moyennement satisfaits de leur séjour, lui attribuant une note de 3,5 sur une échelle de 5.
Ils sont en fait les plus mécontents, puisque toutes les nationalités interrogées accordent une meilleur note à leur voyage.
Les visiteurs les plus satisfaits sont ceux de la République tchéque avec une note de 4,8 (suivis par les australiens, les anglais et les touristes scandinaves).
En bas de classement, mais avant la France, on trouve les visiteurs suisses, mexicains ou hongrois.
Sans plus de commentaires l'étude révèle aussi 80% des touristes venant en Israël visitent Jérusalem, 60% -seulement – Tel Aviv, 55% la Mer morte, Tibériade et son lac 45%.
Les sites les plus visités sont le Kotel (Mur occidental), par 60% des touristes, le quartier juif de la vieille ville de Jérusalem 55%, la via Dolorosa (48%).
SONTMECONTENTS
D'ISRAËL
Source : la newsletter d'israel-infos.net
diffusée le 29 décembre 2011
ISRAËL
Tourisme :
les visiteurs francais sont
les moins satisfaits des touristes
qui visitent Israël
par
Gerard Fredj
Alors qu'à certaines périodes, les touristes francais arrivent en nombre, le ministère israélien du tourisme s'est intéressé –enfin – à leur ressenti de leur séjour dans le pays où coule le lait et le miel.
Près de douze mille touristes français ont ainsi été interrogés dans le cadre de cette enquête dont les résultats ne sont pas flatteurs pour l'industrie touristique israélienne.
Il en ressort que les touristes français –juifs et non juifs – sont très moyennement satisfaits de leur séjour, lui attribuant une note de 3,5 sur une échelle de 5.
Ils sont en fait les plus mécontents, puisque toutes les nationalités interrogées accordent une meilleur note à leur voyage.
Les visiteurs les plus satisfaits sont ceux de la République tchéque avec une note de 4,8 (suivis par les australiens, les anglais et les touristes scandinaves).
En bas de classement, mais avant la France, on trouve les visiteurs suisses, mexicains ou hongrois.
Sans plus de commentaires l'étude révèle aussi 80% des touristes venant en Israël visitent Jérusalem, 60% -seulement – Tel Aviv, 55% la Mer morte, Tibériade et son lac 45%.
Les sites les plus visités sont le Kotel (Mur occidental), par 60% des touristes, le quartier juif de la vieille ville de Jérusalem 55%, la via Dolorosa (48%).
DEMOGRAPHIE
ENISRAËL
ETCONFLIT
ISRAELO-PALESTINIEN
Source : la newsletter d'israel-infos.net
diffusée le 29 décembre 2011
Israël
Démographie :
en 2020, plus de palestiniens
que de juifs
par
Gerard Fredj
A la fin de 2020, le nombre de palestiniens vivant en Israël et dans les territoires palestiniens avoisinerait 7,2 millions de personnes, à comparer à…seulement 6,8 millions de juifs.
Ces données ont été publiées par le Bureau central de statistiques d'Israël.
Selon ce rapport, le nombre de juifs et de palestiniens dans les "frontières historiques" –du Jourdain à la méditerranée – serait équivalent, soit 6,3 millions en 2015.
Le nombre de palestiniens –y compris ceux vivant à l'étranger- est de 11 millions, dont 4,2 millions dans les territoires administrés par les palestiniens, 4,9 millions dans les pays arabes et environ 630 000 dans d'autres pays du monde.
A la fin de 2011, les palestiniens seront 2,6 millions dans les territoires de la Cisjordanie, et 1,6 million dans la bande de Gaza; le nombre d'arabes vivant en Israël s'élève lui à 1,3 million.
Même si il décroit depuis les années 2000, l'indice de fécondité palestinien (nombre de naissances/nombre de femmes en âge de procréer) reste élevé : 4,9 à Gaza et 3,6 en Cisjordanie.
Les chiffres publiés donnent une idée de ce que serait la solution d'un état unique que l'Autorité palestinienne remet parfois sur la table.
ENISRAËL
ETCONFLIT
ISRAELO-PALESTINIEN
Source : la newsletter d'israel-infos.net
diffusée le 29 décembre 2011
Israël
Démographie :
en 2020, plus de palestiniens
que de juifs
par
Gerard Fredj
A la fin de 2020, le nombre de palestiniens vivant en Israël et dans les territoires palestiniens avoisinerait 7,2 millions de personnes, à comparer à…seulement 6,8 millions de juifs.
Ces données ont été publiées par le Bureau central de statistiques d'Israël.
Selon ce rapport, le nombre de juifs et de palestiniens dans les "frontières historiques" –du Jourdain à la méditerranée – serait équivalent, soit 6,3 millions en 2015.
Le nombre de palestiniens –y compris ceux vivant à l'étranger- est de 11 millions, dont 4,2 millions dans les territoires administrés par les palestiniens, 4,9 millions dans les pays arabes et environ 630 000 dans d'autres pays du monde.
A la fin de 2011, les palestiniens seront 2,6 millions dans les territoires de la Cisjordanie, et 1,6 million dans la bande de Gaza; le nombre d'arabes vivant en Israël s'élève lui à 1,3 million.
Même si il décroit depuis les années 2000, l'indice de fécondité palestinien (nombre de naissances/nombre de femmes en âge de procréer) reste élevé : 4,9 à Gaza et 3,6 en Cisjordanie.
Les chiffres publiés donnent une idée de ce que serait la solution d'un état unique que l'Autorité palestinienne remet parfois sur la table.
LESHAREDIM
DEBEITHSHEMESH
SENPRENNENT
AUXMEDIAS
Source : la newsletter d'isrel-infos.net
diffusée le 29 décembre 2011
Les responsables Haredim
de Beit Shemesh
s'expliquent
par
David Koskas
Les responsables de la communauté haredi de la ville de Bet Shemesh, où ont eu lieu plusieurs cas de discrimination, de harcèlement et de violence envers les femmes, ont décidé de s'exprimer sur le sujet.
Dans un communiqué destiné aux médias généralistes, ces dirigeants communautaires condamnent les actes de violence, déplorent qu'ils soient utilisés pour représenter tous les haredim de Bet Shemesh, et accusent les médias de provocation.
Les journalistes porteraient ainsi une lourde responsabilité dans la détérioration de la situation.
Ils auraient même, d'après eux, fait venir des femmes habillées de "façon impudique" uniquement pour que les choses dégénèrent.
Les représentants haredi estimeent que dans certains cas, les femmes s'excluraient d'elles-mêmes s'il n'en tenait qu'à elles, notamment autour des synagogues où figuraient des pancartes imposant la ségrégation.
Ces pancartes ont été récemment retirées par la municipalité.
Les auteurs du communiqué ont d'ailleurs promis de les remettre à leurs places à chaque fois qu'on les enlèverait.
"Les habitants du quartier haredi de Bet Shemesh ont acheté leur maison dans l'intention de vivre dans une zone haredi homogène, où ils pourront éduquer la jeune génération selon la tradition de nos ancêtres, qui a été transmise de génération en génération.
Personne n'a le droit de les en empêcher", peut-on lire dans le communiqué.
DEBEITHSHEMESH
SENPRENNENT
AUXMEDIAS
Source : la newsletter d'isrel-infos.net
diffusée le 29 décembre 2011
Les responsables Haredim
de Beit Shemesh
s'expliquent
par
David Koskas
Les responsables de la communauté haredi de la ville de Bet Shemesh, où ont eu lieu plusieurs cas de discrimination, de harcèlement et de violence envers les femmes, ont décidé de s'exprimer sur le sujet.
Dans un communiqué destiné aux médias généralistes, ces dirigeants communautaires condamnent les actes de violence, déplorent qu'ils soient utilisés pour représenter tous les haredim de Bet Shemesh, et accusent les médias de provocation.
Les journalistes porteraient ainsi une lourde responsabilité dans la détérioration de la situation.
Ils auraient même, d'après eux, fait venir des femmes habillées de "façon impudique" uniquement pour que les choses dégénèrent.
Les représentants haredi estimeent que dans certains cas, les femmes s'excluraient d'elles-mêmes s'il n'en tenait qu'à elles, notamment autour des synagogues où figuraient des pancartes imposant la ségrégation.
Ces pancartes ont été récemment retirées par la municipalité.
Les auteurs du communiqué ont d'ailleurs promis de les remettre à leurs places à chaque fois qu'on les enlèverait.
"Les habitants du quartier haredi de Bet Shemesh ont acheté leur maison dans l'intention de vivre dans une zone haredi homogène, où ils pourront éduquer la jeune génération selon la tradition de nos ancêtres, qui a été transmise de génération en génération.
Personne n'a le droit de les en empêcher", peut-on lire dans le communiqué.
NOUVELLEATTAQUEDE
JUIFSULTRA-ORTHODOXES
CONTRE
L'ARMEEISRAELIENNE
Source : la newsletter d'israel-infos.net
diffsuée le 29 décembre 2011
ISRAËL
Défense :
Boycotter l'armée
par
Laurent COHEN
Le journal orthodoxe Yated Neeman vient de publier mardi une lettre du rabbin Shalom Eliashiv.
La lettre est publiée à la Une", et présentée comme "historique et d'une incroyable importance pour notre temps ainsi que pour les générations à venir".
L'auteur de la lettre, le rabbin Yossef Shalom Eliashiv, considéré comme le chef de file de la tendance ultra-orthodoxe dite "lituanienne", y appelle à un "boycott total de l'armée", de la part du public "observant".
Ce dernier, y estime encore le rabbin Eliashiv, "risque de rejeter la foi en Dieu et les commandements", s'il se laisse "séduire" par les "programmes destinés aux soldats religieux", que Tsahal a inaugurés à compter des années quatre vingt dix.
"Nous devons protester contre cette volonté de nuire à nos jeunes, car s'ils s'engageaient à l'armée, ils se retrouveraient sous le contrôle absolu d'individus étrangers à l'esprit comme à l'essence du judaïsme".
Le rabbin Elyashiv souligne que l'intention "véritable" des forces de sécurité israéliennes est "de faire changer les jeunes religieux, en vantant les valeurs du nationalisme, et en les confrontant à un mode de vie athée, fondé sur une culture qui est mauvaise en soi".
Appelant tous ses partisans à "exécuter la volonté de notre Père céleste", il considère enfin que la seule chose à faire est de "marcher dans la voie de nos traditions tracée par nos pieux ancêtres".
Les "Lituaniens" sont les descendants des Mitnagdim ("opposants" historiques aux Hassidim).
Ils ne sont pas antisionistes mais "a" sionistes, méfiants à l'égard de l'Etat d'Israël et de ses symboles.
JUIFSULTRA-ORTHODOXES
CONTRE
L'ARMEEISRAELIENNE
Source : la newsletter d'israel-infos.net
diffsuée le 29 décembre 2011
ISRAËL
Défense :
Boycotter l'armée
par
Laurent COHEN
Le journal orthodoxe Yated Neeman vient de publier mardi une lettre du rabbin Shalom Eliashiv.
La lettre est publiée à la Une", et présentée comme "historique et d'une incroyable importance pour notre temps ainsi que pour les générations à venir".
L'auteur de la lettre, le rabbin Yossef Shalom Eliashiv, considéré comme le chef de file de la tendance ultra-orthodoxe dite "lituanienne", y appelle à un "boycott total de l'armée", de la part du public "observant".
Ce dernier, y estime encore le rabbin Eliashiv, "risque de rejeter la foi en Dieu et les commandements", s'il se laisse "séduire" par les "programmes destinés aux soldats religieux", que Tsahal a inaugurés à compter des années quatre vingt dix.
"Nous devons protester contre cette volonté de nuire à nos jeunes, car s'ils s'engageaient à l'armée, ils se retrouveraient sous le contrôle absolu d'individus étrangers à l'esprit comme à l'essence du judaïsme".
Le rabbin Elyashiv souligne que l'intention "véritable" des forces de sécurité israéliennes est "de faire changer les jeunes religieux, en vantant les valeurs du nationalisme, et en les confrontant à un mode de vie athée, fondé sur une culture qui est mauvaise en soi".
Appelant tous ses partisans à "exécuter la volonté de notre Père céleste", il considère enfin que la seule chose à faire est de "marcher dans la voie de nos traditions tracée par nos pieux ancêtres".
Les "Lituaniens" sont les descendants des Mitnagdim ("opposants" historiques aux Hassidim).
Ils ne sont pas antisionistes mais "a" sionistes, méfiants à l'égard de l'Etat d'Israël et de ses symboles.
ISRAËL
NOUVELLES
VIOLENCES
DESJUIFSRELIGIEUX
EXTRÊMISTES
Source : la newsletter de Guysen
International News diffusée
le 29 décembre 2011
Jérusalem :
Un autobus d'Egged a été lapidé
à Mea Shearim
pas de blessés
Des résidents ulta-orthodoxe de Mea Shearim à Jérusalem ont jeté des pierres sur un autobus de la compagnie Egged, le bus numéro 1 passe dans ce quartier, pour accéder au Mur des Lamentations. Les résidents ont également crevé les pneus de l'autobus. Aucun blessé n'a été signalé, mais l'autobus a été endommagé. La police est à la recherche de suspects.
NOUVELLES
VIOLENCES
DESJUIFSRELIGIEUX
EXTRÊMISTES
Source : la newsletter de Guysen
International News diffusée
le 29 décembre 2011
Jérusalem :
Un autobus d'Egged a été lapidé
à Mea Shearim
pas de blessés
Des résidents ulta-orthodoxe de Mea Shearim à Jérusalem ont jeté des pierres sur un autobus de la compagnie Egged, le bus numéro 1 passe dans ce quartier, pour accéder au Mur des Lamentations. Les résidents ont également crevé les pneus de l'autobus. Aucun blessé n'a été signalé, mais l'autobus a été endommagé. La police est à la recherche de suspects.
MONTEEAGGRAVANTE
DELEXTRÊMISME
RELIGIEUXENISRAËL
DOUBLELANGAGE
DUPREMIERMINISTRE
D'ISRAËL
Source :la newsletter de Guysen
International News diffusée
le 29 décembre 2011
Netanyahou met en garde
contre la haine anti-haredi
Le public ne peut pas généraliser et assimiler des segments entiers de la société à des extrémistes, a affirmé le Premier ministre Binyamin Netanyahou devant la Knesset en référence aux récents évènements violents impliquent des ultra-orthodoxes.
DELEXTRÊMISME
RELIGIEUXENISRAËL
DOUBLELANGAGE
DUPREMIERMINISTRE
D'ISRAËL
Source :la newsletter de Guysen
International News diffusée
le 29 décembre 2011
Netanyahou met en garde
contre la haine anti-haredi
Le public ne peut pas généraliser et assimiler des segments entiers de la société à des extrémistes, a affirmé le Premier ministre Binyamin Netanyahou devant la Knesset en référence aux récents évènements violents impliquent des ultra-orthodoxes.
LATUNISIE
FIEREDE
SACOMMUNAUTEJUIVE
DIASPORABLOG
accueille...
JACQUES BENILLOUCHE
SlateAfrique :
Les Tunisiens tiennent à leurs juifs
LA PRÉSENCE DE LA PETITE MINORITÉ JUIVE DANS LA NOUVELLE TUNISIE EST UN SYMBOLE HISTORIQUE QUI CONTRIBUE À L'OUVERTURE DU PAYS SUR LE MONDE.
Des 110.000 juifs vivant à la veille de l’indépendance de la Tunisie, le 20 mars 1956, 1.500 restent encore dans le pays, la grande majorité sur l'île de Djerba. Ils sont complètement intégrés à la population depuis des millénaires et, s’ils parlent certes quelques bribes d’hébreu et étudient les textes sacrés, ils n’ont aucune volonté de s’expatrier malgré les appels du pied périodiques des dirigeants israéliens. Ils vivent d’un petit commerce d’artisanat et de quelques opérations de change avec les touristes qui se pressent dans leurs boutiques.....
Lire la suite en cliquant sur le lien :
http://benillouche.blogspot.com/2011/12/slateafrique-les-tunisiens-tiennent.html
Jacques BENILLOUCHE
http://www.benillouche.com/
FIEREDE
SACOMMUNAUTEJUIVE
DIASPORABLOG
accueille...
JACQUES BENILLOUCHE
SlateAfrique :
Les Tunisiens tiennent à leurs juifs
LA PRÉSENCE DE LA PETITE MINORITÉ JUIVE DANS LA NOUVELLE TUNISIE EST UN SYMBOLE HISTORIQUE QUI CONTRIBUE À L'OUVERTURE DU PAYS SUR LE MONDE.
Des 110.000 juifs vivant à la veille de l’indépendance de la Tunisie, le 20 mars 1956, 1.500 restent encore dans le pays, la grande majorité sur l'île de Djerba. Ils sont complètement intégrés à la population depuis des millénaires et, s’ils parlent certes quelques bribes d’hébreu et étudient les textes sacrés, ils n’ont aucune volonté de s’expatrier malgré les appels du pied périodiques des dirigeants israéliens. Ils vivent d’un petit commerce d’artisanat et de quelques opérations de change avec les touristes qui se pressent dans leurs boutiques.....
Lire la suite en cliquant sur le lien :
http://benillouche.blogspot.com/2011/12/slateafrique-les-tunisiens-tiennent.html
Jacques BENILLOUCHE
http://www.benillouche.com/
mercredi, décembre 28, 2011
DESJUIFS
EXTRÊMISTES
ARRÊTESENISRAËL
Source : lemonde.fr avec l'AFP en ligne
le 28 décembre 2011 à 14h 06
sur Diasporablog à 14h 26
Israël :
six juifs extrémistes arrêtés
pour l'attaque d'une base militaire
La police israélienne a arrêté six extrémistes de droite juifs soupçonnés d'avoir attaqué à la mi-décembre une base de l'armée en Cisjordanie, a indiqué mercredi 28 décembre une porte-parole.
"Nous avons arrêté six juifs pour avoir participé à une attaque contre la base d'Ephraïm" dans le nord de la Cisjordanie, a déclaré Louba Samri. "L'un d'eux, habitant (de la colonie) de Karnei Shomron, a été appréhendé lors des faits et inculpé" pour s'être infiltré dans cette base et l'avoir attaquée, a-t-elle ajouté en précisant qu'il attend son jugement. Les cinq autres suspects ont été appréhendés au cours des trois derniers jours.
L'un d'eux réside également à Karnei Shomron, et les quatre autres – dont un mineur – habitent à Jérusalem. Tous sont soupçonnés d'avoir participé dans la nuit du 12 au 13 décembre à l'attaque durant laquelle une cinquantaine d'extrémistes juifs s'étaient introduits dans la base d'Ephraïm, endommageant des véhicules et incendiant des pneus.
Selon la presse, la plupart de ces ultras appartiennent à une frange radicale de la mouvance nationale religieuse israélienne. Ils avaient revendiqué l'opération au nom de la politique dite du "prix à payer", qui consiste à se venger sur des villageois palestiniens, des lieux de culte musulmans ou des soldats des mesures gouvernementales qu'ils jugent hostiles à leurs intérêts.
Les dirigeants israéliens, à commencer par le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, se sont engagés à réprimer sévèrement ces agressions et exactions, qui ont jusqu'ici bénéficié d'une quasi-impunité.
EXTRÊMISTES
ARRÊTESENISRAËL
Source : lemonde.fr avec l'AFP en ligne
le 28 décembre 2011 à 14h 06
sur Diasporablog à 14h 26
Israël :
six juifs extrémistes arrêtés
pour l'attaque d'une base militaire
La police israélienne a arrêté six extrémistes de droite juifs soupçonnés d'avoir attaqué à la mi-décembre une base de l'armée en Cisjordanie, a indiqué mercredi 28 décembre une porte-parole.
"Nous avons arrêté six juifs pour avoir participé à une attaque contre la base d'Ephraïm" dans le nord de la Cisjordanie, a déclaré Louba Samri. "L'un d'eux, habitant (de la colonie) de Karnei Shomron, a été appréhendé lors des faits et inculpé" pour s'être infiltré dans cette base et l'avoir attaquée, a-t-elle ajouté en précisant qu'il attend son jugement. Les cinq autres suspects ont été appréhendés au cours des trois derniers jours.
L'un d'eux réside également à Karnei Shomron, et les quatre autres – dont un mineur – habitent à Jérusalem. Tous sont soupçonnés d'avoir participé dans la nuit du 12 au 13 décembre à l'attaque durant laquelle une cinquantaine d'extrémistes juifs s'étaient introduits dans la base d'Ephraïm, endommageant des véhicules et incendiant des pneus.
Selon la presse, la plupart de ces ultras appartiennent à une frange radicale de la mouvance nationale religieuse israélienne. Ils avaient revendiqué l'opération au nom de la politique dite du "prix à payer", qui consiste à se venger sur des villageois palestiniens, des lieux de culte musulmans ou des soldats des mesures gouvernementales qu'ils jugent hostiles à leurs intérêts.
Les dirigeants israéliens, à commencer par le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, se sont engagés à réprimer sévèrement ces agressions et exactions, qui ont jusqu'ici bénéficié d'une quasi-impunité.
ILSSONTJUIFSTUNISIENS
CITOYENSDETUNISIE
REFUSENTLALYAH
Source : lepoint.fr en ligne
le 28 décembre 2011 à 11h 56
sur Diasporablog à 13h 05
Les Juifs tunisiens, dragués par Israël
Le vice-président israélien a appelé les Juifs tunisiens à rejoindre Israël, provoquant un certain malaise parmi la communauté en Tunisie.
La synagogue de la Ghriba à Djerba, construite en 586 après J.-C., est la plus ancienne d'Afrique. Elle a été visée par un attentat en 2002.
Par
Anne Jeanblanc
Khelifa Attoun est vice-président de la communauté juive en Tunisie. Le 7 décembre, c'est un autre vice-président, celui d'Israël, qui a lancé un message à la communauté juive tunisienne. Il s'agissait d'une invitation à venir s'installer en Israël. Réponse de Khelifa Attoun : "Je ne suis pas d'accord avec les propos de Silvan Shalom. Nous sommes tunisiens et comme tous les Tunisiens nous aimons notre pays. Shalom fait de la politique. Le Juif qui veut partir, il est libre de le faire. Personne n'attend sa demande !"
Silvan Shalom, né à Gabès dans le sud de la Tunisie, s'est dit inquiet à la suite des élections du 23 octobre. Il a alors appelé "les Juifs vivant en Tunisie à venir s'installer en Israël le plus rapidement possible". Des propos jugés "irresponsables et irrationnels" par Ennahda, le mouvement islamiste qui a raflé 89 des 217 sièges de l'Assemblée constituante.
Mal à l'aise
"C'est de la propagande israélienne pour remplir le pays, ils le font tout le temps. Mais venant d'une personne originaire de Tunisie, il aurait pu penser que cela pouvait nous nuire. Cet appel nous a mis mal à l'aise. Même mes amis musulmans m'ont demandé si j'allais m'installer là-bas", relate Albert Chiche, directeur de la maison de retraite de la communauté juive de Tunisie, située à La Goulette, au nord de la capitale.
"Silvan Shalom est en Israël, pourquoi il demande aux Juifs de Tunisie d'y aller ? On n'est pas en danger ici !" lance encore Khelifa Attoun, avant de préciser : "Ennahda nous a rassurés." "La Tunisie est un pays musulman, ce n'est pas nouveau. Cela a toujours été écrit dans la Constitution. Mais il s'agissait d'un islamisme modéré", rappelle Albert Chiche. Peu avant les élections, son établissement a reçu la visite d'une délégation du mouvement islamiste. Lui n'a pas voté pour eux, mais il garantit que "pas mal de Juifs pourraient voter pour Ennahda si les responsables respectaient leurs promesses et réussissaient leur pari sur les droits, les libertés et le respect des religions".
Avant et après le 23 octobre, Roger Bismuth, le président de la communauté juive tunisienne qui ne compte plus que 2 000 âmes, contre 100 000 il y a 60 ans, a rencontré successivement Rached Ghannouchi et Hamadi Jebali, nouveau chef du gouvernement tunisien.
Gage médiatique
Le 19 décembre, c'était au tour de Moncef Marzouki de rassurer. Le nouveau président de la Tunisie a reçu au palais de Carthage le grand rabbin de Tunisie, Haïm Bittan, mais aussi Cheikh Othmane Bettikh et l'archevêque de Tunis, Maroun Lahham. Lors de cette entrevue, il a notamment invité les Juifs ayant résidé en Tunisie, à y revenir. Une déclaration bien accueillie par les Juifs de Tunisie, même s'ils ne s'attendent pas à un retour massif.
"J'espère que cet appel sera entendu par la communauté juive des affaires", souhaite Albert Chiche. Selon ce responsable de la communauté juive de Nabeul, ville côtière située près de Hammamet, "ce serait positif pour le pays. Nous nous sentirions d'une certaine manière soutenus, mais surtout leurs investissements permettront de relancer un peu la machine, analyse-t-il. Ce serait un gage médiatique et touristique, et les autres investisseurs pourraient se sentir rassurés."
Seul hic : "Il n'y a plus personne, avoue-t-il. Seule une dizaine de personnes de confession juive sont présentes en hiver et une trentaine en été. Nous étions 6 000 il y a 60 ans, ce qui correspondait à la moitié de la population locale." Un exode qui a eu lieu, essentiellement, après la création de l'État d'Israël en 1948 et l'indépendance du pays en 1956.
Protection rapprochée
"La Tunisie est l'un des seuls pays à ne pas avoir chassé les Juifs", note Albert Chiche, pourtant "beaucoup de Tunisiens confondent Juifs et Israéliens. Je suis juif et tunisien et ne me sens pas israélien", affirme-t-il avec force, tout en admettant "se faire discret s'il entend parler de bombardements et si des Palestiniens sont morts". Car être juif en terre d'islam suppose, comme dans de nombreux autres pays, de vivre au rythme du conflit israélo-palestinien. Et lorsque la situation s'envenime, "des Tunisiens nous voient d'un mauvais oeil", soutient Khelifa Attoun, installé dans son bureau situé face à la Grande Synagogue de Tunis. La communauté bénéficie depuis plus de vingt ans d'une protection rapprochée voulue par le gouvernement.
Peu après le départ de Ben Ali, le 14 janvier, des barbelés ont été dressés sur le trottoir devant l'entrée de ce lieu de culte surplombée par une immense étoile de David. Aux quatre coins de la synagogue située avenue de la Liberté, des policiers sont postés. En février, un groupe d'extrémistes religieux avaient protesté sur les marches de la synagogue de Tunis demandant le départ des Juifs du pays.
Dans le quartier Lafayette de Tunis, la présence juive est historique. Une enseigne en hébreu indique une petite boucherie casher située avenue de la Liberté. Rue de Palestine, parallèle à l'avenue de la Liberté, l'école juive est gardée par deux policiers. Un peu plus haut, avenue de la Liberté, un immeuble délabré appartient à cette communauté, dont les dépenses mensuelles s'élèvent à 60 000 dollars, somme récoltée grâce aux dons (la communauté juive américaine participe à hauteur de 20 000 dollars) et aux loyers. Dans cet immeuble inondé à la suite des pluies diluviennes qui s'abattent sur Tunis, sur quelques portes d'entrée, les noms sont indiqués en hébreu. Mais difficile de rencontrer ces familles. "Toutes les autres sont musulmanes", s'excuse Mohammed, se frottant les mains pour se réchauffer, avant d'ajouter comme une évidence : "Mais cela ne change rien qu'on soit juif ou musulman, on est tunisien."
CITOYENSDETUNISIE
REFUSENTLALYAH
Source : lepoint.fr en ligne
le 28 décembre 2011 à 11h 56
sur Diasporablog à 13h 05
Les Juifs tunisiens, dragués par Israël
Le vice-président israélien a appelé les Juifs tunisiens à rejoindre Israël, provoquant un certain malaise parmi la communauté en Tunisie.
La synagogue de la Ghriba à Djerba, construite en 586 après J.-C., est la plus ancienne d'Afrique. Elle a été visée par un attentat en 2002.
Par
Anne Jeanblanc
Khelifa Attoun est vice-président de la communauté juive en Tunisie. Le 7 décembre, c'est un autre vice-président, celui d'Israël, qui a lancé un message à la communauté juive tunisienne. Il s'agissait d'une invitation à venir s'installer en Israël. Réponse de Khelifa Attoun : "Je ne suis pas d'accord avec les propos de Silvan Shalom. Nous sommes tunisiens et comme tous les Tunisiens nous aimons notre pays. Shalom fait de la politique. Le Juif qui veut partir, il est libre de le faire. Personne n'attend sa demande !"
Silvan Shalom, né à Gabès dans le sud de la Tunisie, s'est dit inquiet à la suite des élections du 23 octobre. Il a alors appelé "les Juifs vivant en Tunisie à venir s'installer en Israël le plus rapidement possible". Des propos jugés "irresponsables et irrationnels" par Ennahda, le mouvement islamiste qui a raflé 89 des 217 sièges de l'Assemblée constituante.
Mal à l'aise
"C'est de la propagande israélienne pour remplir le pays, ils le font tout le temps. Mais venant d'une personne originaire de Tunisie, il aurait pu penser que cela pouvait nous nuire. Cet appel nous a mis mal à l'aise. Même mes amis musulmans m'ont demandé si j'allais m'installer là-bas", relate Albert Chiche, directeur de la maison de retraite de la communauté juive de Tunisie, située à La Goulette, au nord de la capitale.
"Silvan Shalom est en Israël, pourquoi il demande aux Juifs de Tunisie d'y aller ? On n'est pas en danger ici !" lance encore Khelifa Attoun, avant de préciser : "Ennahda nous a rassurés." "La Tunisie est un pays musulman, ce n'est pas nouveau. Cela a toujours été écrit dans la Constitution. Mais il s'agissait d'un islamisme modéré", rappelle Albert Chiche. Peu avant les élections, son établissement a reçu la visite d'une délégation du mouvement islamiste. Lui n'a pas voté pour eux, mais il garantit que "pas mal de Juifs pourraient voter pour Ennahda si les responsables respectaient leurs promesses et réussissaient leur pari sur les droits, les libertés et le respect des religions".
Avant et après le 23 octobre, Roger Bismuth, le président de la communauté juive tunisienne qui ne compte plus que 2 000 âmes, contre 100 000 il y a 60 ans, a rencontré successivement Rached Ghannouchi et Hamadi Jebali, nouveau chef du gouvernement tunisien.
Gage médiatique
Le 19 décembre, c'était au tour de Moncef Marzouki de rassurer. Le nouveau président de la Tunisie a reçu au palais de Carthage le grand rabbin de Tunisie, Haïm Bittan, mais aussi Cheikh Othmane Bettikh et l'archevêque de Tunis, Maroun Lahham. Lors de cette entrevue, il a notamment invité les Juifs ayant résidé en Tunisie, à y revenir. Une déclaration bien accueillie par les Juifs de Tunisie, même s'ils ne s'attendent pas à un retour massif.
"J'espère que cet appel sera entendu par la communauté juive des affaires", souhaite Albert Chiche. Selon ce responsable de la communauté juive de Nabeul, ville côtière située près de Hammamet, "ce serait positif pour le pays. Nous nous sentirions d'une certaine manière soutenus, mais surtout leurs investissements permettront de relancer un peu la machine, analyse-t-il. Ce serait un gage médiatique et touristique, et les autres investisseurs pourraient se sentir rassurés."
Seul hic : "Il n'y a plus personne, avoue-t-il. Seule une dizaine de personnes de confession juive sont présentes en hiver et une trentaine en été. Nous étions 6 000 il y a 60 ans, ce qui correspondait à la moitié de la population locale." Un exode qui a eu lieu, essentiellement, après la création de l'État d'Israël en 1948 et l'indépendance du pays en 1956.
Protection rapprochée
"La Tunisie est l'un des seuls pays à ne pas avoir chassé les Juifs", note Albert Chiche, pourtant "beaucoup de Tunisiens confondent Juifs et Israéliens. Je suis juif et tunisien et ne me sens pas israélien", affirme-t-il avec force, tout en admettant "se faire discret s'il entend parler de bombardements et si des Palestiniens sont morts". Car être juif en terre d'islam suppose, comme dans de nombreux autres pays, de vivre au rythme du conflit israélo-palestinien. Et lorsque la situation s'envenime, "des Tunisiens nous voient d'un mauvais oeil", soutient Khelifa Attoun, installé dans son bureau situé face à la Grande Synagogue de Tunis. La communauté bénéficie depuis plus de vingt ans d'une protection rapprochée voulue par le gouvernement.
Peu après le départ de Ben Ali, le 14 janvier, des barbelés ont été dressés sur le trottoir devant l'entrée de ce lieu de culte surplombée par une immense étoile de David. Aux quatre coins de la synagogue située avenue de la Liberté, des policiers sont postés. En février, un groupe d'extrémistes religieux avaient protesté sur les marches de la synagogue de Tunis demandant le départ des Juifs du pays.
Dans le quartier Lafayette de Tunis, la présence juive est historique. Une enseigne en hébreu indique une petite boucherie casher située avenue de la Liberté. Rue de Palestine, parallèle à l'avenue de la Liberté, l'école juive est gardée par deux policiers. Un peu plus haut, avenue de la Liberté, un immeuble délabré appartient à cette communauté, dont les dépenses mensuelles s'élèvent à 60 000 dollars, somme récoltée grâce aux dons (la communauté juive américaine participe à hauteur de 20 000 dollars) et aux loyers. Dans cet immeuble inondé à la suite des pluies diluviennes qui s'abattent sur Tunis, sur quelques portes d'entrée, les noms sont indiqués en hébreu. Mais difficile de rencontrer ces familles. "Toutes les autres sont musulmanes", s'excuse Mohammed, se frottant les mains pour se réchauffer, avant d'ajouter comme une évidence : "Mais cela ne change rien qu'on soit juif ou musulman, on est tunisien."
TRIOMPHE
ETYOUYOUS
POURPATRICKBRUEL
ENISRAËL
Source : israelvalley.com en ligne
le 28 décembre 2011
PATRICK BRUEL ENCHANTE
TEL AVIV.
UN PREMIER CONCERT RÉUSSI
ET PLEIN DE SURPRISES.
RENDEZ-VOUS CE MERCREDI SOIR
POUR L’ACTE II.
Par
Maxime Perez
Rubrique: Musique
Publié le 28 décembre 2011
Patrick Bruel De l’émotion, beaucoup, quelques séquences nostalgie, de l’humour aussi et une énergie sur scène qu’on ne lui soupçonnait pas. Pour son retour à Tel Aviv, trois ans après son dernier passage, Patrick Bruel a offert à son public une prestation remarquable. Son concert acoustique, très attendu ici, s’est voulu être bien plus qu’un simple récital de chansons interprétées à la guitare et au piano.
Pendant près d’une heure trente, Bruel s’est livré à une véritable confession intime, fidèle au thème de sa tournée « Seul… ou presque ». L’éclairage est sobre, sans artifices, idéal pour créer une atmosphère de huis clos musical. Homme de scène accompli, le chanteur séduit d’entrée de jeu en prononçant quelques mots en hébreu. L’auditorium Smolarz de l’université, plein à craquer, répond par une immense acclamation.
Il est un peu plus de 21 heures quand Patrick Bruel entame son show. Détendu, l’artiste enchaine les chansons comme d’autres raconteraient une histoire. La sienne ressurgit par bribes, et au détour de chaque refrain, le public donne de la voix, se lève, comme pour l’encourager à poursuivre.
Patrick Bruel comprend alors qu’il est un peu chez lui. Le moment est opportun pour évoquer le Printemps arabe, « ses murs qui se cachent derrière d’autres qui tombent » ; Israël bien évidemment, avec prudence, et le monde actuel. Des messages d’espoir et des doutes, mais pas de politique.
L’ambiance monte en intensité au rythme de « Yalil », et Patrick ne bronche pas quand des femmes en délire se ruent sur les abords de la scène. Au contraire, le chanteur invite le public à se lâcher et même à danser la valse. Le concert prend des airs de grand bal populaire.
Car pour le plus grand plaisir de ses fans, le conformisme n’était pas de mise. En témoigne ce jeune homme qui s’empare quelques minutes de la scène pour déclarer sa flamme à sa bien-aimée. Moment improbable que Patrick Bruel observe avec amusement. Les youyous résonnent dans la salle.
Après un duo particulièrement sensuel avec la chanteuse Rita, l’artiste retrouve un peu d’intimité sur scène. Vient le temps des « au revoir » et des remerciements. Son concert en Israël a été organisé en quelques semaines par la talentueuse équipe de Lollyprod, sous la houlette de David Stern. Un producteur à l’évidence hors-norme, à l’image du clip de bienvenue qu’il a réalisé dans les rues de Tel Aviv.
Après une chanson tirée de son dernier album, Patrick Bruel quitte la scène… pour quelques heures. Ce soir, Tel Aviv accueillera une deuxième prestation de l’artiste. Emotion garantie…
M.P
ETYOUYOUS
POURPATRICKBRUEL
ENISRAËL
Source : israelvalley.com en ligne
le 28 décembre 2011
PATRICK BRUEL ENCHANTE
TEL AVIV.
UN PREMIER CONCERT RÉUSSI
ET PLEIN DE SURPRISES.
RENDEZ-VOUS CE MERCREDI SOIR
POUR L’ACTE II.
Par
Maxime Perez
Rubrique: Musique
Publié le 28 décembre 2011
Patrick Bruel De l’émotion, beaucoup, quelques séquences nostalgie, de l’humour aussi et une énergie sur scène qu’on ne lui soupçonnait pas. Pour son retour à Tel Aviv, trois ans après son dernier passage, Patrick Bruel a offert à son public une prestation remarquable. Son concert acoustique, très attendu ici, s’est voulu être bien plus qu’un simple récital de chansons interprétées à la guitare et au piano.
Pendant près d’une heure trente, Bruel s’est livré à une véritable confession intime, fidèle au thème de sa tournée « Seul… ou presque ». L’éclairage est sobre, sans artifices, idéal pour créer une atmosphère de huis clos musical. Homme de scène accompli, le chanteur séduit d’entrée de jeu en prononçant quelques mots en hébreu. L’auditorium Smolarz de l’université, plein à craquer, répond par une immense acclamation.
Il est un peu plus de 21 heures quand Patrick Bruel entame son show. Détendu, l’artiste enchaine les chansons comme d’autres raconteraient une histoire. La sienne ressurgit par bribes, et au détour de chaque refrain, le public donne de la voix, se lève, comme pour l’encourager à poursuivre.
Patrick Bruel comprend alors qu’il est un peu chez lui. Le moment est opportun pour évoquer le Printemps arabe, « ses murs qui se cachent derrière d’autres qui tombent » ; Israël bien évidemment, avec prudence, et le monde actuel. Des messages d’espoir et des doutes, mais pas de politique.
L’ambiance monte en intensité au rythme de « Yalil », et Patrick ne bronche pas quand des femmes en délire se ruent sur les abords de la scène. Au contraire, le chanteur invite le public à se lâcher et même à danser la valse. Le concert prend des airs de grand bal populaire.
Car pour le plus grand plaisir de ses fans, le conformisme n’était pas de mise. En témoigne ce jeune homme qui s’empare quelques minutes de la scène pour déclarer sa flamme à sa bien-aimée. Moment improbable que Patrick Bruel observe avec amusement. Les youyous résonnent dans la salle.
Après un duo particulièrement sensuel avec la chanteuse Rita, l’artiste retrouve un peu d’intimité sur scène. Vient le temps des « au revoir » et des remerciements. Son concert en Israël a été organisé en quelques semaines par la talentueuse équipe de Lollyprod, sous la houlette de David Stern. Un producteur à l’évidence hors-norme, à l’image du clip de bienvenue qu’il a réalisé dans les rues de Tel Aviv.
Après une chanson tirée de son dernier album, Patrick Bruel quitte la scène… pour quelques heures. Ce soir, Tel Aviv accueillera une deuxième prestation de l’artiste. Emotion garantie…
M.P
ISRAËLFACE
ALAMONTEEENPUISSANCE
DELINTEGRISMEJUIF
RELIGIEUX
Source :la newsletter de Guysen International
News diffusée le 28 décembre 2011
Netanyahou :
"l'exclusion des femmes est opposée
à l'esprit de la Torah et du judaïsme"
A l'occasion du quizz annuel sur la Bible, le Premier ministre Binyamin Netanyahou a évoqué la discrimination dont sont victimes les femmes dans le secteur ultra-orthodoxe. "Nous sommes actuellement les témoins d'une situation inacceptable de ségrégation à l'égard des femmes dans le domaine public. Ce phénomène est opposé à l'esprit de la Torah et du judaïsme dont le message essentiel est: aime ton prochain comme toi-même", a déclaré Netanyahou.
ALAMONTEEENPUISSANCE
DELINTEGRISMEJUIF
RELIGIEUX
Source :la newsletter de Guysen International
News diffusée le 28 décembre 2011
Netanyahou :
"l'exclusion des femmes est opposée
à l'esprit de la Torah et du judaïsme"
A l'occasion du quizz annuel sur la Bible, le Premier ministre Binyamin Netanyahou a évoqué la discrimination dont sont victimes les femmes dans le secteur ultra-orthodoxe. "Nous sommes actuellement les témoins d'une situation inacceptable de ségrégation à l'égard des femmes dans le domaine public. Ce phénomène est opposé à l'esprit de la Torah et du judaïsme dont le message essentiel est: aime ton prochain comme toi-même", a déclaré Netanyahou.
mardi, décembre 27, 2011
ISRAËLFACE
ALAMONTEEENPUISSANCE
DELINTEGRISMEDESJUIFS
RELIGIEUX
Source : rfi.fr en ligne le 27 décembre 2011
Une grande manifestation en Israël
contre la ségrégation des femmes
imposée par
les ultra-orthodoxes
Par
Véronique Gaymard
La discrimination à l'égard des femmes a dégénéré dans un quartier de la ville de Beit Shemesh, à une trentaine de kilomètres à l'ouest de Jérusalem. L’étincelle a été l’histoire d’une petite fille de huit ans, Na'ama Margolese, d'origine américaine, filmée par une chaîne de télévision se faisant insulter et cracher dessus par des extrémistes Haredi (« craignant Dieu ») alors qu'elle se rendait à son école religieuse. Le motif : sa tenue vestimentaire, jugée pas suffisamment « modeste ». La petite fille dit craindre maintenant de se rendre à l'école. Le sujet diffusé vendredi 23 décembre par Channel 2 News a ému les Israéliens de tous bords, et a suscité une grande manifestation, ce mardi 27 décembre 2011, à Beit Shemesh, où 10 000 personnes étaient attendues pour dénoncer ces dérapages et l'inaction des autorités politiques qui ont laissé au fil des ans ces ségrégations se dérouler en toute impunité.
Quelques semaines avant les attaques contre Na'ama Margolese, mi-décembre 2011, Tanya Rosenblit, jeune étudiante de 28 ans, pourtant habillée « modestement », manches et jupe longues et tête couverte d'un foulard, monte dans un bus d'une ligne appartenant à une compagnie ultra-orthodoxe. Contrairement à l'usage qui veut que les femmes s'installent à l'arrière, elle décide de s'asseoir devant, avec les hommes, plus près du chauffeur pour se faire expliquer à quel arrêt elle devait descendre. Les passagers ne l'acceptent pas, lui intiment l'ordre de s'asseoir derrière, elle refuse. Tanya Rosenblit poste des photos et ses commentaires sur un réseau social, estimant qu'en 2011 il est « inconcevable que de telles situations d'intolérance perdurent ».
Pas de séparation entre l'Eglise
et l'Etat
Le statut personnel est contrôlé par les religieux en Israël, rappelle Rachel Liel, directrice du NIF en Israël (New Israel Fund, association qui promeut l'égalité, la démocratie et la justice). Ce sont en effet des « tribunaux religieux » qui jugent les affaires de statut personnel tels que le mariage, le divorce ou encore la garde d'enfant, et ceci selon la « loi religieuse ».
Car en Israël, il n'y a pas de séparation entre l'Eglise et l'Etat. « Il y a parfois des difficultés pour certaines femmes à obtenir le divorce, car le mari doit donner son accord au préalable, explique Rachel Liel. Nous avons bien sûr les mêmes problèmes que dans d’autres pays, comme les différences de salaire entre les hommes et les femmes... Mais en Israël, les problèmes se sont aiguisés au cours des dernières années, et certaines ségrégations qu'on observait sur de petites échelles se produisent maintenant de façon bien plus large ».
Par exemple, la séparation entre hommes et femmes dans les bus a commencé de façon très localisée, seulement dans certains quartiers ultra-orthodoxes « mais la Cour suprême a déclaré que ce n'était pas si grave », s'écrie Rachel Liel. Nous savons maintenant que cela a essaimé un peu partout, et nous sentons une atmosphère antidémocratique qui permet que ce type de situation se produise, non seulement dans des quartiers ultra-orthodoxes, et pas simplement dans les bus, mais également sur les affiches publicitaires, dans l'armée, au travail... C'est la raison pour laquelle tout le monde est si effrayé, et c'est pourquoi nous avons organisé une grande manifestation pour focaliser notre attention sur ce grave problème ».
L’usage devient la règle, malgré les nombreuses législations anti-discrimination
Selon Rachel Liel, les responsables politiques ont « laissé la situation s'envenimer, sans intervenir. Pendant ce temps, les extrémistes orthodoxes ont occupé l'espace et imposé leurs règles qui, pour beaucoup, sont devenues l'usage » : des entrées différentes pour les femmes que pour les hommes à certains supermarchés, à des cabinets médicaux, des bureaux de poste, des files d'attente différentes pour les hommes et pour les femmes aux caisses de certains supermarchés, des femmes parfois interdites d'assister à des obsèques… Et dans l'armée, les commandants ont depuis quelques temps refusé aux femmes soldats le droit de chanter avec les hommes.
Dans certains quartiers, des panneaux intiment l’ordre aux femmes de changer de trottoir devant les synagogues, ou encore de se vêtir « modestement », c’est-à-dire avec manches et jupe longues et la tête couverte d’un foulard. A Jérusalem, des groupes extrémistes interdisent et arrachent des panneaux publicitaires représentant des femmes. Pourtant, Israël a ratifié un grand nombre de textes internationaux sur l’égalité des sexes, et son arsenal législatif est en pointe, notamment sur le harcèlement sexuel ou encore le droit du travail, les congés maternité, souligne Rachel Liel. Mais souvent ces lois ne sont pas appliquées ».
Des partis religieux puissants
Lors de la manifestation organisée ce mardi à Beit Shemesh, de nombreuses formations politiques étaient présentes, des députés et des maires de tous bord s’offusquant des violences orchestrées par les ultra-orthodoxes. Le Premier ministre Benyamin Netanyahu s’est même engagé « à faire cesser les actes de ségrégation et la violence des ultra-orthodoxes à l'encontre des femmes ». Rachel Liel regrette que ces réactions arrivent aussi tardivement : « Ils auraient dû se réveiller bien plus tôt sur ces questions, et montrer bien plus de fermeté à l’encontre de ces actes de discrimination. Cette manifestation n’est qu’un début, nous continuerons nos actions, car cela ne va pas se régler en un jour ».
Le nombre de juifs extrémistes orthodoxes n'est pas très important, quoique croissant (nombre important d’enfants par femme), mais c'est surtout leur poids qui fait leur force. Le religieux est intimement lié à l'Etat, et les partis politiques, aussi larges et démocratiques qu'ils se déclarent, n'hésitent pas à l'heure de former des coalitions, à aller chercher ces petites formations extrémistes pour leur permettre d'acquérir une majorité, notamment au Parlement.
ALAMONTEEENPUISSANCE
DELINTEGRISMEDESJUIFS
RELIGIEUX
Source : rfi.fr en ligne le 27 décembre 2011
Une grande manifestation en Israël
contre la ségrégation des femmes
imposée par
les ultra-orthodoxes
Par
Véronique Gaymard
La discrimination à l'égard des femmes a dégénéré dans un quartier de la ville de Beit Shemesh, à une trentaine de kilomètres à l'ouest de Jérusalem. L’étincelle a été l’histoire d’une petite fille de huit ans, Na'ama Margolese, d'origine américaine, filmée par une chaîne de télévision se faisant insulter et cracher dessus par des extrémistes Haredi (« craignant Dieu ») alors qu'elle se rendait à son école religieuse. Le motif : sa tenue vestimentaire, jugée pas suffisamment « modeste ». La petite fille dit craindre maintenant de se rendre à l'école. Le sujet diffusé vendredi 23 décembre par Channel 2 News a ému les Israéliens de tous bords, et a suscité une grande manifestation, ce mardi 27 décembre 2011, à Beit Shemesh, où 10 000 personnes étaient attendues pour dénoncer ces dérapages et l'inaction des autorités politiques qui ont laissé au fil des ans ces ségrégations se dérouler en toute impunité.
Quelques semaines avant les attaques contre Na'ama Margolese, mi-décembre 2011, Tanya Rosenblit, jeune étudiante de 28 ans, pourtant habillée « modestement », manches et jupe longues et tête couverte d'un foulard, monte dans un bus d'une ligne appartenant à une compagnie ultra-orthodoxe. Contrairement à l'usage qui veut que les femmes s'installent à l'arrière, elle décide de s'asseoir devant, avec les hommes, plus près du chauffeur pour se faire expliquer à quel arrêt elle devait descendre. Les passagers ne l'acceptent pas, lui intiment l'ordre de s'asseoir derrière, elle refuse. Tanya Rosenblit poste des photos et ses commentaires sur un réseau social, estimant qu'en 2011 il est « inconcevable que de telles situations d'intolérance perdurent ».
Pas de séparation entre l'Eglise
et l'Etat
Le statut personnel est contrôlé par les religieux en Israël, rappelle Rachel Liel, directrice du NIF en Israël (New Israel Fund, association qui promeut l'égalité, la démocratie et la justice). Ce sont en effet des « tribunaux religieux » qui jugent les affaires de statut personnel tels que le mariage, le divorce ou encore la garde d'enfant, et ceci selon la « loi religieuse ».
Car en Israël, il n'y a pas de séparation entre l'Eglise et l'Etat. « Il y a parfois des difficultés pour certaines femmes à obtenir le divorce, car le mari doit donner son accord au préalable, explique Rachel Liel. Nous avons bien sûr les mêmes problèmes que dans d’autres pays, comme les différences de salaire entre les hommes et les femmes... Mais en Israël, les problèmes se sont aiguisés au cours des dernières années, et certaines ségrégations qu'on observait sur de petites échelles se produisent maintenant de façon bien plus large ».
Par exemple, la séparation entre hommes et femmes dans les bus a commencé de façon très localisée, seulement dans certains quartiers ultra-orthodoxes « mais la Cour suprême a déclaré que ce n'était pas si grave », s'écrie Rachel Liel. Nous savons maintenant que cela a essaimé un peu partout, et nous sentons une atmosphère antidémocratique qui permet que ce type de situation se produise, non seulement dans des quartiers ultra-orthodoxes, et pas simplement dans les bus, mais également sur les affiches publicitaires, dans l'armée, au travail... C'est la raison pour laquelle tout le monde est si effrayé, et c'est pourquoi nous avons organisé une grande manifestation pour focaliser notre attention sur ce grave problème ».
L’usage devient la règle, malgré les nombreuses législations anti-discrimination
Selon Rachel Liel, les responsables politiques ont « laissé la situation s'envenimer, sans intervenir. Pendant ce temps, les extrémistes orthodoxes ont occupé l'espace et imposé leurs règles qui, pour beaucoup, sont devenues l'usage » : des entrées différentes pour les femmes que pour les hommes à certains supermarchés, à des cabinets médicaux, des bureaux de poste, des files d'attente différentes pour les hommes et pour les femmes aux caisses de certains supermarchés, des femmes parfois interdites d'assister à des obsèques… Et dans l'armée, les commandants ont depuis quelques temps refusé aux femmes soldats le droit de chanter avec les hommes.
Dans certains quartiers, des panneaux intiment l’ordre aux femmes de changer de trottoir devant les synagogues, ou encore de se vêtir « modestement », c’est-à-dire avec manches et jupe longues et la tête couverte d’un foulard. A Jérusalem, des groupes extrémistes interdisent et arrachent des panneaux publicitaires représentant des femmes. Pourtant, Israël a ratifié un grand nombre de textes internationaux sur l’égalité des sexes, et son arsenal législatif est en pointe, notamment sur le harcèlement sexuel ou encore le droit du travail, les congés maternité, souligne Rachel Liel. Mais souvent ces lois ne sont pas appliquées ».
Des partis religieux puissants
Lors de la manifestation organisée ce mardi à Beit Shemesh, de nombreuses formations politiques étaient présentes, des députés et des maires de tous bord s’offusquant des violences orchestrées par les ultra-orthodoxes. Le Premier ministre Benyamin Netanyahu s’est même engagé « à faire cesser les actes de ségrégation et la violence des ultra-orthodoxes à l'encontre des femmes ». Rachel Liel regrette que ces réactions arrivent aussi tardivement : « Ils auraient dû se réveiller bien plus tôt sur ces questions, et montrer bien plus de fermeté à l’encontre de ces actes de discrimination. Cette manifestation n’est qu’un début, nous continuerons nos actions, car cela ne va pas se régler en un jour ».
Le nombre de juifs extrémistes orthodoxes n'est pas très important, quoique croissant (nombre important d’enfants par femme), mais c'est surtout leur poids qui fait leur force. Le religieux est intimement lié à l'Etat, et les partis politiques, aussi larges et démocratiques qu'ils se déclarent, n'hésitent pas à l'heure de former des coalitions, à aller chercher ces petites formations extrémistes pour leur permettre d'acquérir une majorité, notamment au Parlement.
ISRAËLFACE
ALADANGEREUSEMONTEE
DELINTEGRISMEJUIF
Source : lexpress.fr via l'AFP
en ligne le 27 décembre 2011
Israël:
manifestation contre la discrimination
des femmes par des religieux
BEIT SHEMESH (Israël)
Quelques milliers de manifestants se sont rassemblés mardi soir à Beit Shemesh, près de Jérusalem, pour protester contre les discriminations à l'égard des femmes imposées par une frange radicale d'habitants ultra-orthodoxes, a constaté l'AFP.
Cette manifestation, qui s'est déroulée dans le calme, était organisée à l'appel d'organisations laïques et religieuses de défense des droits des femmes.
Elle a toutefois réuni moins de monde que prévu: 3.000 personnes selon la police, alors que certains médias avaient annoncé plus de 10.000 participants.
Parmi les manifestants, figuraient des Juifs laïques mais aussi des ultra-orthodoxes fustigeant les "talibans" de leur communauté. "Exclure les femmes, c'est la ligne rouge. Il faut stopper cela maintenant", pouvait-on lire sur des banderoles.
Plusieurs centaines de policiers avaient été déployés en renfort et la circulation avait été interdite dans le périmètre de la manifestation afin d'éviter tout débordement, selon une porte-parole de la police, Louba Samri.
Beit Shemesh, une ville nouvelle de 80.000 habitants, en majorité des juifs orthodoxes, a été le théâtre ces derniers jours de violences entre les forces de l'ordre et une fraction de religieux radicaux, qui réclament une séparation stricte entre hommes et femmes.
Certains habitants s'en sont aussi pris à des équipes de télévision.
Une chaîne israélienne avait diffusé la semaine dernière des images dans lesquelles on voyait un zélote de Beit Shemesh cracher sur une femme. L'agresseur a été interpellé par la police à la suite du reportage, qui montrait aussi une fillette de huit ans, elle-même d'une famille religieuse, se faire insulter parce qu'elle n'était pas vêtue assez "modestement".
Ces derniers jours, la police a tenté à plusieurs reprises d'enlever des pancartes exhortant à séparer les hommes des femmes dans l'artère principale de Beit Shemesh. Elle s'est heurtée à la résistance violente de plusieurs dizaines de "harédim" (juifs ultra-orthodoxes, littéralement "craignant Dieu").
Ces incidents ont provoqué une émotion considérable en Israël, forçant les dirigeants politiques à réagir.
Dans un discours devant la conférence annuelle des ambassadeurs, le président Shimon Pérès a estimé mardi que "nous tous --religieux, laïques et traditionalistes-- devons défendre l'image de l'Etat d'Israël contre une minorité qui bafoue la solidarité nationale et s'exprime de façon odieuse".
Le maire de Beit Shemesh, Moshé Aboutboul, cité par des médias, a estimé que "les hommes violents doivent être mis en prison". "J'ai demandé à la police israélienne d'agir avec fermeté contre tous les fauteurs de troubles", a-t-il affirmé en dénonçant "la violence perpétrée par quelques extrémistes qui font honte à la ville et à l'ensemble de la société israélienne".
Les médias ont rapporté de nombreux incidents ces dernières semaines, en particulier des attaques verbales et physiques contre des femmes ultra-orthodoxes et des tensions provoquées par le refus de certaines de s'assoir à l'arrière des autobus.
La ségrégation est pratiquée sur les lignes de bus fréquentées par les religieux depuis la fin des années 1980, mais les prises de position de femmes ultra-orthodoxes contre cette pratique, relayées par la presse, ont particulièrement ému l'opinion publique.
Des organisations féministes se sont par ailleurs opposées, avec succès, à la pratique tacite de certains publicitaires qui consistait à faire disparaître les images de femmes des affiches dans les villes fortement religieuses, notamment à Jérusalem, sous la pression de la communauté ultra-orthodoxe.
ALADANGEREUSEMONTEE
DELINTEGRISMEJUIF
Source : lexpress.fr via l'AFP
en ligne le 27 décembre 2011
Israël:
manifestation contre la discrimination
des femmes par des religieux
BEIT SHEMESH (Israël)
Quelques milliers de manifestants se sont rassemblés mardi soir à Beit Shemesh, près de Jérusalem, pour protester contre les discriminations à l'égard des femmes imposées par une frange radicale d'habitants ultra-orthodoxes, a constaté l'AFP.
Cette manifestation, qui s'est déroulée dans le calme, était organisée à l'appel d'organisations laïques et religieuses de défense des droits des femmes.
Elle a toutefois réuni moins de monde que prévu: 3.000 personnes selon la police, alors que certains médias avaient annoncé plus de 10.000 participants.
Parmi les manifestants, figuraient des Juifs laïques mais aussi des ultra-orthodoxes fustigeant les "talibans" de leur communauté. "Exclure les femmes, c'est la ligne rouge. Il faut stopper cela maintenant", pouvait-on lire sur des banderoles.
Plusieurs centaines de policiers avaient été déployés en renfort et la circulation avait été interdite dans le périmètre de la manifestation afin d'éviter tout débordement, selon une porte-parole de la police, Louba Samri.
Beit Shemesh, une ville nouvelle de 80.000 habitants, en majorité des juifs orthodoxes, a été le théâtre ces derniers jours de violences entre les forces de l'ordre et une fraction de religieux radicaux, qui réclament une séparation stricte entre hommes et femmes.
Certains habitants s'en sont aussi pris à des équipes de télévision.
Une chaîne israélienne avait diffusé la semaine dernière des images dans lesquelles on voyait un zélote de Beit Shemesh cracher sur une femme. L'agresseur a été interpellé par la police à la suite du reportage, qui montrait aussi une fillette de huit ans, elle-même d'une famille religieuse, se faire insulter parce qu'elle n'était pas vêtue assez "modestement".
Ces derniers jours, la police a tenté à plusieurs reprises d'enlever des pancartes exhortant à séparer les hommes des femmes dans l'artère principale de Beit Shemesh. Elle s'est heurtée à la résistance violente de plusieurs dizaines de "harédim" (juifs ultra-orthodoxes, littéralement "craignant Dieu").
Ces incidents ont provoqué une émotion considérable en Israël, forçant les dirigeants politiques à réagir.
Dans un discours devant la conférence annuelle des ambassadeurs, le président Shimon Pérès a estimé mardi que "nous tous --religieux, laïques et traditionalistes-- devons défendre l'image de l'Etat d'Israël contre une minorité qui bafoue la solidarité nationale et s'exprime de façon odieuse".
Le maire de Beit Shemesh, Moshé Aboutboul, cité par des médias, a estimé que "les hommes violents doivent être mis en prison". "J'ai demandé à la police israélienne d'agir avec fermeté contre tous les fauteurs de troubles", a-t-il affirmé en dénonçant "la violence perpétrée par quelques extrémistes qui font honte à la ville et à l'ensemble de la société israélienne".
Les médias ont rapporté de nombreux incidents ces dernières semaines, en particulier des attaques verbales et physiques contre des femmes ultra-orthodoxes et des tensions provoquées par le refus de certaines de s'assoir à l'arrière des autobus.
La ségrégation est pratiquée sur les lignes de bus fréquentées par les religieux depuis la fin des années 1980, mais les prises de position de femmes ultra-orthodoxes contre cette pratique, relayées par la presse, ont particulièrement ému l'opinion publique.
Des organisations féministes se sont par ailleurs opposées, avec succès, à la pratique tacite de certains publicitaires qui consistait à faire disparaître les images de femmes des affiches dans les villes fortement religieuses, notamment à Jérusalem, sous la pression de la communauté ultra-orthodoxe.
UNCANDIDAT
AUXPRIMAIRES
DUPARTIREPUBLICAIN
DERAPESURISRAËL
Source : rtl.be en ligne le 27 décembre 2011
USA:
un candidat républicain accusé
de vouloir la disparition d'Israël
Belga
Ron Paul, l'un des sept candidats à l'investiture républicaine pour la Maison Blanche, est accusé par l'un de ses anciens conseillers de vouloir la disparition d'Israël, des propos démentis par l'intéressé.
Ron Paul, en troisième position dans les sondages auprès des électeurs républicains derrière les favoris Mitt Romney et Newt Gingrich, "préférerait que l'Etat d'Israël n'existe pas. Il me l'a dit plusieurs fois lors de nos conversations privées", écrit l'ancien conseiller,
M. Dondero, qui a été l'un des principaux conseillers du représentant du Texas entre 1997 et 2003, ajoute que Ron Paul "est du côté des Palestiniens et soutient leurs appels à l'abolition de l'Etat d'Israël ainsi qu'à la restitution d'Israël, dans sa totalité, aux Arabes".
Dans un communiqué adressé à la chaîne de télévision CBS, l'équipe de campagne de M. Paul a qualifié M. Dondero "d'ancien employé mécontent qui a été renvoyé du fait de ses performances". Il n'a "aucune crédibilité et ne doit pas être pris au sérieux", a déclaré le porte-parole de Ron Paul. Ron Paul, qui, à 76 ans, est le doyen de la course à la Maison Blanche, est favorable à une réduction de l'aide civile et militaire au reste du monde, y compris à Israël, ce qui lui vaut d'être ignoré par la composante juive et les évangélistes du parti républicain.
AUXPRIMAIRES
DUPARTIREPUBLICAIN
DERAPESURISRAËL
Source : rtl.be en ligne le 27 décembre 2011
USA:
un candidat républicain accusé
de vouloir la disparition d'Israël
Belga
Ron Paul, l'un des sept candidats à l'investiture républicaine pour la Maison Blanche, est accusé par l'un de ses anciens conseillers de vouloir la disparition d'Israël, des propos démentis par l'intéressé.
Ron Paul, en troisième position dans les sondages auprès des électeurs républicains derrière les favoris Mitt Romney et Newt Gingrich, "préférerait que l'Etat d'Israël n'existe pas. Il me l'a dit plusieurs fois lors de nos conversations privées", écrit l'ancien conseiller,
M. Dondero, qui a été l'un des principaux conseillers du représentant du Texas entre 1997 et 2003, ajoute que Ron Paul "est du côté des Palestiniens et soutient leurs appels à l'abolition de l'Etat d'Israël ainsi qu'à la restitution d'Israël, dans sa totalité, aux Arabes".
Dans un communiqué adressé à la chaîne de télévision CBS, l'équipe de campagne de M. Paul a qualifié M. Dondero "d'ancien employé mécontent qui a été renvoyé du fait de ses performances". Il n'a "aucune crédibilité et ne doit pas être pris au sérieux", a déclaré le porte-parole de Ron Paul. Ron Paul, qui, à 76 ans, est le doyen de la course à la Maison Blanche, est favorable à une réduction de l'aide civile et militaire au reste du monde, y compris à Israël, ce qui lui vaut d'être ignoré par la composante juive et les évangélistes du parti républicain.
VERSUNESCISSIONDE
LAPOPULATIONJUIVE
ENISRAËL
Source :lesxpress.fr via l'Agence Reuters
en ligne le 28 décembre 2011
Manifestation en Israël
contre les juifs ultra-orthodoxes
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté mardi à Beit Shemesh pour dénoncer les juifs ultra-orthodoxes qui cherchent à imposer leurs codes religieux dans cette ville située à une trentaine de kilomètres de Jérusalem.
Des échauffourées ont éclaté lundi à Beit Shemesh, après le tollé provoqué par des images de télévision montrant une fillette de huit ans se plaignant d'avoir été insultée sur le chemin de l'école par des juifs ultra-orthodoxes.
Ces derniers, qui lui reprochaient une tenue "indécente", lui ont craché dessus, a-t-elle déclaré. Ces images ont alimenté la crainte d'une poussée de l'extrémisme religieux dans le pays.
La dirigeante de l'opposition parlementaire, Tzipi Livni, a participé mardi au rassemblement de Beit Shemesh et a dénoncé "les extrémistes qui veulent imposer leurs vues à tous".
Des manifestants brandissaient des pancartes où on pouvait lire: "nous ne deviendrons pas un autre Téhéran", allusion aux règles strictes imposées aux Iraniens par les dirigeants de la République islamique.
Auparavant, le président israélien Shimon Peres avait appelé la population à se rassembler pour protester contre les pressions des juifs ultra-traditionalistes.
"Nous combattons pour préserver l'âme de la nation et la nature de l'Etat", a-t-il déclaré dans une allocution retransmise à la télévision.
"C'est une journée test. Toute la nation devra se mobiliser pour sauver la majorité des griffes d'une petite minorité, qui met à mal nos valeurs les plus sacrées", a dit Shimon Peres. "Personne n'a le droit de menacer une petite fille, une femme ou qui que ce soit, en aucune manière", a t-il ajouté. "Ils ne sont pas les seigneurs de cette terre."
"Nazis! Nazis!", avaient crié des manifestants ultra-religieux à l'adresse des policiers qui les évacuaient des lieux après les incidents de lundi.
Les autorités ont alimenté la colère des fondamentalistes hostiles à la mixité en enlevant une pancarte qui appelait les femmes à éviter certaines rues où résident les ultra-orthodoxes.
Hommes et femmes sont d'ores et déjà séparés sur certaines lignes de bus de quartiers religieux de Jérusalem.
Allyn Fischer-Ilan
et Jeffrey Heller;
Hélène Duvigneau
et Guy Kerivel
pour le service français
LAPOPULATIONJUIVE
ENISRAËL
Source :lesxpress.fr via l'Agence Reuters
en ligne le 28 décembre 2011
Manifestation en Israël
contre les juifs ultra-orthodoxes
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté mardi à Beit Shemesh pour dénoncer les juifs ultra-orthodoxes qui cherchent à imposer leurs codes religieux dans cette ville située à une trentaine de kilomètres de Jérusalem.
Des échauffourées ont éclaté lundi à Beit Shemesh, après le tollé provoqué par des images de télévision montrant une fillette de huit ans se plaignant d'avoir été insultée sur le chemin de l'école par des juifs ultra-orthodoxes.
Ces derniers, qui lui reprochaient une tenue "indécente", lui ont craché dessus, a-t-elle déclaré. Ces images ont alimenté la crainte d'une poussée de l'extrémisme religieux dans le pays.
La dirigeante de l'opposition parlementaire, Tzipi Livni, a participé mardi au rassemblement de Beit Shemesh et a dénoncé "les extrémistes qui veulent imposer leurs vues à tous".
Des manifestants brandissaient des pancartes où on pouvait lire: "nous ne deviendrons pas un autre Téhéran", allusion aux règles strictes imposées aux Iraniens par les dirigeants de la République islamique.
Auparavant, le président israélien Shimon Peres avait appelé la population à se rassembler pour protester contre les pressions des juifs ultra-traditionalistes.
"Nous combattons pour préserver l'âme de la nation et la nature de l'Etat", a-t-il déclaré dans une allocution retransmise à la télévision.
"C'est une journée test. Toute la nation devra se mobiliser pour sauver la majorité des griffes d'une petite minorité, qui met à mal nos valeurs les plus sacrées", a dit Shimon Peres. "Personne n'a le droit de menacer une petite fille, une femme ou qui que ce soit, en aucune manière", a t-il ajouté. "Ils ne sont pas les seigneurs de cette terre."
"Nazis! Nazis!", avaient crié des manifestants ultra-religieux à l'adresse des policiers qui les évacuaient des lieux après les incidents de lundi.
Les autorités ont alimenté la colère des fondamentalistes hostiles à la mixité en enlevant une pancarte qui appelait les femmes à éviter certaines rues où résident les ultra-orthodoxes.
Hommes et femmes sont d'ores et déjà séparés sur certaines lignes de bus de quartiers religieux de Jérusalem.
Allyn Fischer-Ilan
et Jeffrey Heller;
Hélène Duvigneau
et Guy Kerivel
pour le service français
ISRAËL
IMAGES
DESMANIFESTATIONS
DESJUIFSULTRA-RELIGIEUX
EXTRÊMISTES
ABETH-SHEMESH
Source : BFMtv via youtube en ligne
le 27 décembre 2011
Tension vive dans un quartier juif... par BFMTV
IMAGES
DESMANIFESTATIONS
DESJUIFSULTRA-RELIGIEUX
EXTRÊMISTES
ABETH-SHEMESH
Source : BFMtv via youtube en ligne
le 27 décembre 2011
Tension vive dans un quartier juif... par BFMTV
POURQUOI
ISRAËL
DOITRECONNAÎTRE
LEGENOCIDEARMENIEN
Source : le site de Courrier International
via Haaretz en ligne le 27 décembre 2011
Israël doit reconnaître
"l'autre holocauste"
Après la France, ce sont des députés israéliens qui discutent de la reconnaissance éventuelle du génocide arménien. Pour Ha'Aretz, l'Etat hébreu aurait dû depuis longtemps statuer au sujet de cette question, sans chercher à l'utiliser comme moyen de pression sur Ankara.
Il y a des années qu'Israël hésite quant à la question de la reconnaissance du génocide arménien, d'une part au nom de l'intérêt de l'Etat hébreu dans ses relations avec la Turquie, d'autre part par crainte de voir se diluer le concept de l'Holocauste en tant que "propriété" exclusivement juive. La nécessité morale ou l'identification avec l'holocauste arménien ont été traitées de manière accessoire, ne trouvant que rarement leur place dans le débat public.
Aujourd'hui encore, le cabinet du Premier ministre est intervenu à ce sujet dans les travaux de la commission sur l'Enseignement, la Culture et les Sports de la Knesset [le Parlement], sous prétexte du risque du résultat des délibérations de saborder les relations israélo-turques. Dans ce contexte, il est utile de rappeler qu'à l'issue de l'incident de la "flottille de la liberté" pour Gaza [neuf Turcs avaient été tués lors du raid israélien], plusieurs députés de la Knesset et membres du gouvernement avaient menacé – pour répliquer aux invectives du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan contre Israël – d'inscrire le génocide arménien à l'ordre du jour.
En fait, les députés qui ont emboîté le pas à la nouvelle législation française qui fait de la négation du génocide arménien un délit semblent davantage motivés par un désir de vengeance politique que par le souhait sincère de réparer un tort historique. Israël a eu maintes fois l'occasion de démontrer sa solidarité avec le peuple arménien quand les relations étaient au beau fixe entre Jérusalem et Ankara. Mais, à l'époque, l'Etat hébreu avait choisi de garder le silence, et avait même utilisé ses amis au Congrès américain pour l'empêcher de reconnaître le génocide arménien.
Israël, l'un des derniers pays au monde à occuper une autre nation et à nier la Nakba [catastrophe, terme arabe évoquant la création de l'Etat d'Israël en 1948 et qui véhicule l'idée de son illégitimité], ne peut plus s'envelopper dans le drapeau de la morale, alors qu'au-dessous couvent les braises d'un règlement de compte politique. Il n'y a pas besoin de délibérations particulières à la Knesset pour pouvoir parler du génocide arménien – ou de la Nakba – dans les écoles israéliennes. Le ministre de l'Education dispose de l'autorité nécessaire pour prendre ces décisions sans déclencher une mascarade vide de sens.
Les un million et demi d'Arméniens qui ont été arrachés à leurs foyers, assassinés et tués sur les routes en 1915 méritent que l'holocauste dont ils ont été victimes soit reconnu par la communauté internationale. Par-dessus tout, ils méritent que la Turquie reconnaisse ce chapitre terrible de l'Histoire. En revanche, le fait qu'Israël le reconnaisse à un moment qui lui convient sur le plan politique, en guise de représailles et pour provoquer la Turquie, est à des années-lumière de ce que le peuple arménien est en droit d'attendre.
ISRAËL
DOITRECONNAÎTRE
LEGENOCIDEARMENIEN
Source : le site de Courrier International
via Haaretz en ligne le 27 décembre 2011
Israël doit reconnaître
"l'autre holocauste"
Après la France, ce sont des députés israéliens qui discutent de la reconnaissance éventuelle du génocide arménien. Pour Ha'Aretz, l'Etat hébreu aurait dû depuis longtemps statuer au sujet de cette question, sans chercher à l'utiliser comme moyen de pression sur Ankara.
Il y a des années qu'Israël hésite quant à la question de la reconnaissance du génocide arménien, d'une part au nom de l'intérêt de l'Etat hébreu dans ses relations avec la Turquie, d'autre part par crainte de voir se diluer le concept de l'Holocauste en tant que "propriété" exclusivement juive. La nécessité morale ou l'identification avec l'holocauste arménien ont été traitées de manière accessoire, ne trouvant que rarement leur place dans le débat public.
Aujourd'hui encore, le cabinet du Premier ministre est intervenu à ce sujet dans les travaux de la commission sur l'Enseignement, la Culture et les Sports de la Knesset [le Parlement], sous prétexte du risque du résultat des délibérations de saborder les relations israélo-turques. Dans ce contexte, il est utile de rappeler qu'à l'issue de l'incident de la "flottille de la liberté" pour Gaza [neuf Turcs avaient été tués lors du raid israélien], plusieurs députés de la Knesset et membres du gouvernement avaient menacé – pour répliquer aux invectives du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan contre Israël – d'inscrire le génocide arménien à l'ordre du jour.
En fait, les députés qui ont emboîté le pas à la nouvelle législation française qui fait de la négation du génocide arménien un délit semblent davantage motivés par un désir de vengeance politique que par le souhait sincère de réparer un tort historique. Israël a eu maintes fois l'occasion de démontrer sa solidarité avec le peuple arménien quand les relations étaient au beau fixe entre Jérusalem et Ankara. Mais, à l'époque, l'Etat hébreu avait choisi de garder le silence, et avait même utilisé ses amis au Congrès américain pour l'empêcher de reconnaître le génocide arménien.
Israël, l'un des derniers pays au monde à occuper une autre nation et à nier la Nakba [catastrophe, terme arabe évoquant la création de l'Etat d'Israël en 1948 et qui véhicule l'idée de son illégitimité], ne peut plus s'envelopper dans le drapeau de la morale, alors qu'au-dessous couvent les braises d'un règlement de compte politique. Il n'y a pas besoin de délibérations particulières à la Knesset pour pouvoir parler du génocide arménien – ou de la Nakba – dans les écoles israéliennes. Le ministre de l'Education dispose de l'autorité nécessaire pour prendre ces décisions sans déclencher une mascarade vide de sens.
Les un million et demi d'Arméniens qui ont été arrachés à leurs foyers, assassinés et tués sur les routes en 1915 méritent que l'holocauste dont ils ont été victimes soit reconnu par la communauté internationale. Par-dessus tout, ils méritent que la Turquie reconnaisse ce chapitre terrible de l'Histoire. En revanche, le fait qu'Israël le reconnaisse à un moment qui lui convient sur le plan politique, en guise de représailles et pour provoquer la Turquie, est à des années-lumière de ce que le peuple arménien est en droit d'attendre.
ISRAËL
DISPARITES
ENTRELESFAMILLES
JUIVESIMMIGREESDANS
LEDUCATIONNATIONALE
Source : la newsletter d'israel-info.net
diffusée le 27 décembre 2011
Alyah :
réussites et échecs
de l'intégration des enfants
par
Benjamin Fredj
Une récente étude montre que les enfants des immigrants de l'ancienne Union soviétique, nés en Israël, se sont autant intégrés à la société israélienne que peuvent l'etre ceux issus de familles établies depuis plusieurs générations.
L'enquête, réalisée par le Myers-JDC-Brookdale Institute montre notamment qu'ils sont bien mieux intégrés que les enfants des immigrants éthiopiens.
Environ 2000 adolescents de 12 à 17 ans ont été interrogés et leurs réponses comparées aux données disponibles sur les immigrants éthiopiens et les familles israéliennes.
Sur le plan scolaire, le pourcentage d'enfants d'origine russe qui font une scolarité sans redoublement est même légèrement supérieur aux élèves issus de familles israéliennes "de souche"(60%), alors que les enfants éthiopiens ne sont que 28% dans ce cas.
Seuls 10% des enfants d'immigrants de l'ex Urss redoublent 3 classes ou plus (contre 8% pour les enfants de familles israéliennes depuis plusieurs générations et 31% pour les adolescents éthiopiens).
Au regard du sentiment d'appartenance nationale, le résultat est, là encore, préoccupant s'agissant des adolescents éthiopiens: ils ne sont que 10% à déclarer se sentir "totalement israéliens", contre 68% chez les adolescents d'origine russe.
Pour le ministère de l'immigration, les résultats démontrent les effets d'une "intégration de masse" des enfants des immigrants d'ex Union soviétique, qui devrait permettre désormais de redéployer les budgets alloués à l'intégration majoritairement sur la communauté éthiopienne.
DISPARITES
ENTRELESFAMILLES
JUIVESIMMIGREESDANS
LEDUCATIONNATIONALE
Source : la newsletter d'israel-info.net
diffusée le 27 décembre 2011
Alyah :
réussites et échecs
de l'intégration des enfants
par
Benjamin Fredj
Une récente étude montre que les enfants des immigrants de l'ancienne Union soviétique, nés en Israël, se sont autant intégrés à la société israélienne que peuvent l'etre ceux issus de familles établies depuis plusieurs générations.
L'enquête, réalisée par le Myers-JDC-Brookdale Institute montre notamment qu'ils sont bien mieux intégrés que les enfants des immigrants éthiopiens.
Environ 2000 adolescents de 12 à 17 ans ont été interrogés et leurs réponses comparées aux données disponibles sur les immigrants éthiopiens et les familles israéliennes.
Sur le plan scolaire, le pourcentage d'enfants d'origine russe qui font une scolarité sans redoublement est même légèrement supérieur aux élèves issus de familles israéliennes "de souche"(60%), alors que les enfants éthiopiens ne sont que 28% dans ce cas.
Seuls 10% des enfants d'immigrants de l'ex Urss redoublent 3 classes ou plus (contre 8% pour les enfants de familles israéliennes depuis plusieurs générations et 31% pour les adolescents éthiopiens).
Au regard du sentiment d'appartenance nationale, le résultat est, là encore, préoccupant s'agissant des adolescents éthiopiens: ils ne sont que 10% à déclarer se sentir "totalement israéliens", contre 68% chez les adolescents d'origine russe.
Pour le ministère de l'immigration, les résultats démontrent les effets d'une "intégration de masse" des enfants des immigrants d'ex Union soviétique, qui devrait permettre désormais de redéployer les budgets alloués à l'intégration majoritairement sur la communauté éthiopienne.
NOUVELLES
PROVOCATIONS
DEJUIFSRELIGIEUX
EXTREMISTES
ENISRAËL
Source : israelinfo.net en ligne
le 27 décembre 2011
ISRAËL
Ariel Sharon puni...
par
Laurent COHEN
Le petit parti religieux d'extrême droite Eretz Israël Shelanu, vient d'annoncer son intention de promouvoir, dès le 31 décembre prochain, une campagne médiatique portant sur l'accident vasculaire cérébral de l'ancien Premier ministre Ariel Sharon.
Selon les responsables du parti, il s'agit de présenter l'accident cérébral d'Ariel Sharon comme "une malédiction l'ayant frappé après la mise en application du plan désengagement d'Israël de la bande de Gaza dont il a été l'architecte".
Plongé dans le coma depuis janvier 2006, Sharon est présenté par les responsables de cette initiative comme "un exemple à ne pas suivre pour ses successeurs, lesquels doivent savoir ce que serait le prix à payer, s'ils devaient décréter de nouveaux compromis territoriaux".
Egalement parrainée par l'organisme ultra-nationaliste Hamateh Lehatzalat Haam Hayehudi, la campagne comportera affichages, publication de brochures de propagande, où selon les premiers éléments divulgués aux médias, figureront des paroles de rabbins "maudissant" l'ancien Premier ministre israélien pour le rôle qu'il a joué dans le démantèlement des implantations juives du Goush Katif.
Ainsi, le leader spirituel du parti Shass, Ovadia Yossef, dont le langage cru suscite régulièrement la polémique en Israël, y apparaîtra à travers diverses citations, comme par exemple : "Sharon est un individu cruel. Dieu le frappera pour qu'il ne se relève jamais".
Shaï Gefen, un des promoteurs de la campagne, assure pour sa part que celle-ci n'est pas "dirigée contre Ariel Sharon, dont nous souhaitons le rétablissement, mais concerne les leçons qu'il faut tirer de son attitude passée.
Par là, nous nous adressons à tous les dirigeants d'Israël, pour qu'ils saisissent ce que leur vaudrait de nuire à l'intégrité de la terre d'Israël. A ce jour, tous ceux qui s'en sont rendus coupables ont été maudits".
Interrogé sur le risque de voir cette initiative "blesser les sentiments de la famille Sharon", Gefen a répondu que "Sharon, lui, a heurté les sentiments de milliers de familles, aujourd'hui démunies, livrées à elles-mêmes, alors que les habitants du Sud du pays vivent désormais sous les attaques de roquettes, tirées depuis la bande de Gaza, d'où Sharon a personnellement ordonné le retrait
PROVOCATIONS
DEJUIFSRELIGIEUX
EXTREMISTES
ENISRAËL
Source : israelinfo.net en ligne
le 27 décembre 2011
ISRAËL
Ariel Sharon puni...
par
Laurent COHEN
Le petit parti religieux d'extrême droite Eretz Israël Shelanu, vient d'annoncer son intention de promouvoir, dès le 31 décembre prochain, une campagne médiatique portant sur l'accident vasculaire cérébral de l'ancien Premier ministre Ariel Sharon.
Selon les responsables du parti, il s'agit de présenter l'accident cérébral d'Ariel Sharon comme "une malédiction l'ayant frappé après la mise en application du plan désengagement d'Israël de la bande de Gaza dont il a été l'architecte".
Plongé dans le coma depuis janvier 2006, Sharon est présenté par les responsables de cette initiative comme "un exemple à ne pas suivre pour ses successeurs, lesquels doivent savoir ce que serait le prix à payer, s'ils devaient décréter de nouveaux compromis territoriaux".
Egalement parrainée par l'organisme ultra-nationaliste Hamateh Lehatzalat Haam Hayehudi, la campagne comportera affichages, publication de brochures de propagande, où selon les premiers éléments divulgués aux médias, figureront des paroles de rabbins "maudissant" l'ancien Premier ministre israélien pour le rôle qu'il a joué dans le démantèlement des implantations juives du Goush Katif.
Ainsi, le leader spirituel du parti Shass, Ovadia Yossef, dont le langage cru suscite régulièrement la polémique en Israël, y apparaîtra à travers diverses citations, comme par exemple : "Sharon est un individu cruel. Dieu le frappera pour qu'il ne se relève jamais".
Shaï Gefen, un des promoteurs de la campagne, assure pour sa part que celle-ci n'est pas "dirigée contre Ariel Sharon, dont nous souhaitons le rétablissement, mais concerne les leçons qu'il faut tirer de son attitude passée.
Par là, nous nous adressons à tous les dirigeants d'Israël, pour qu'ils saisissent ce que leur vaudrait de nuire à l'intégrité de la terre d'Israël. A ce jour, tous ceux qui s'en sont rendus coupables ont été maudits".
Interrogé sur le risque de voir cette initiative "blesser les sentiments de la famille Sharon", Gefen a répondu que "Sharon, lui, a heurté les sentiments de milliers de familles, aujourd'hui démunies, livrées à elles-mêmes, alors que les habitants du Sud du pays vivent désormais sous les attaques de roquettes, tirées depuis la bande de Gaza, d'où Sharon a personnellement ordonné le retrait
lundi, décembre 26, 2011
COUPDE
CHAPEAU
AUGENIEDUJUDAÏSME
DUNJOURNALISTE
IVOIRIEN
Source : abidjan.net en ligne
le 23 décembre 2011
Inventions et créativité :
Comment les juifs ont transformé
le monde
Depuis toujours, les juifs ont été des chercheurs et des curieux. De tout temps, les peuples d’Israël (la terre sainte) ont été des pionniers, des précurseurs, et des initiateurs. Au fil des ans, et en particulier depuis l’origine de la révolution industrielle de ces deux derniers siècles, les juifs ont puisé dans la sagesse qui les a toujours caractérisés pour se distinguer, en particulier dans le domaine scientifique. Ainsi en début de ce mois, le professeur israélien Dan Schechtman a reçu des mains du roi Gustave de Suède, le prestigieux Prix Nobel de chimie 2011 pour son impressionnante découverte des quasi-cristaux.
Ce que l’on a moins remarqué, c’est que pas moins de cinq autres lauréats des différents Prix Nobel décernés cette année étaient également juifs. Ainsi le Canadien Ralph Steinmann, le Français Jules Hoffman et l’Américain Bruce Beutler, tous trois, Prix Nobel de médecine, sont juifs ou d’origine juive. Idem pour les professeurs Saul Pelmuter et Adam G. Ross, lauréats américains du Prix Nobel de physique 2011. Lorsque l’on parcourt les annales du Prix Nobel, on découvre que 21% des lauréats sont juifs.
Ainsi, les chercheurs juifs se sont vu décernés au moins 49 Prix Nobel de médecine, 45 Prix Nobel de Physique, 29 Prix Nobel de Chimie, 24 Prix Nobel d’économie, 12 Prix Nobel de littérature et 8 Prix Nobel de la paix.
« Bien évidemment, il m’est impossible ici de vous citer toutes les inventions et découvertes juives», nous confie Dan Ylan, notre source d’information.
Des inventions juives qui ont changé le visage du monde
Toutefois, il nous cite les grands noms qui vont de pair avec des découvertes cruciales pour l’histoire des hommes. Comme Albert Einstein, auteur de la théorie de relativité. Karl Landsteiner, un médecin juif qui a découvert les groupes sanguins. C’est un autre juif, Gustave Bucky, qui a inventé en 1913 la radiologie, tandis que son concitoyen Robert Rines est le père de l’échographie. Willem Einthoven est l’inventeur de l’électrocardiogramme et Charles Kelman, le pionnier de la chirurgie de la cataracte. Ceux qui ont constamment mal à la tête seront heureux de savoir que ce sont deux chercheurs juifs, Charles Gerhard et Arthur Eichengrun qui ont découvert l’aspirine.
Alors que qu’Ernst Chain isolait la pénicilline et Taddeuz Reichstein, la cortisone. Carl Koller a inventé l’anesthésie locale et Jules Hess a mis en place l’incubateur pour bébés prématurés. Irving Millman a trouvé le vaccin contre l’hépatite B et Sidney Farber est le père de la chimiothérapie anticancéreuse… Mais, la sagesse juive va au-delà du secteur médical. Plusieurs autres découvertes sont à l’actif des juifs dans le domaine des mathématiques, de la physique, de l’économie et de physiologie, sans parler des nouvelles technologies.
En 1975, Lee Felsenstein imagine le premier ordinateur portable. En 1987, les juifs Joël Engel et Richard Frenkiel inventent les téléphones cellulaires. En 1990, un autre juif, Philippe Kahn, leur ajoute la caméra. Paul Baran est le pionnier de l’Internet. Ce sont deux Juifs, Sergey Brin et Larry Page, qui sont les fondateurs du célèbre moteur de recherche Google. Il y a des centaines voire des milliers d’objets que l’on utilise au quotidien aux quatre coins du monde et qui sont le fruit de l’imagination et du travail de Juifs ingénieux.
Ainsi, l’on doit l’agrafeuse de bureau au Juif Morris Abrams, la télécommande à Robert Adler, le stylo à bille à Laslo Biro. Le chariot du supermarché est une invention du Juif Sylvan Goldman. Quand Aron Herman, Juif polonais a inventé le compteur électrique en 1884. C’est un autre Juif, Casimir Funk, qui a découvert en 1912 les vitamines. Et Abel Wolman est l’auteur de l’eau potable. Le ‘’Hanouka’’, fête des lumières juive, existe à juste titre en Israël depuis des lustres, pour rendre hommage à tous ceux qui ont contribué à faire spirituellement et matériellement de notre monde, un monde meilleur.
Sam-Wakouboué,
envoyé spécial en Israël
CHAPEAU
AUGENIEDUJUDAÏSME
DUNJOURNALISTE
IVOIRIEN
Source : abidjan.net en ligne
le 23 décembre 2011
Inventions et créativité :
Comment les juifs ont transformé
le monde
Depuis toujours, les juifs ont été des chercheurs et des curieux. De tout temps, les peuples d’Israël (la terre sainte) ont été des pionniers, des précurseurs, et des initiateurs. Au fil des ans, et en particulier depuis l’origine de la révolution industrielle de ces deux derniers siècles, les juifs ont puisé dans la sagesse qui les a toujours caractérisés pour se distinguer, en particulier dans le domaine scientifique. Ainsi en début de ce mois, le professeur israélien Dan Schechtman a reçu des mains du roi Gustave de Suède, le prestigieux Prix Nobel de chimie 2011 pour son impressionnante découverte des quasi-cristaux.
Ce que l’on a moins remarqué, c’est que pas moins de cinq autres lauréats des différents Prix Nobel décernés cette année étaient également juifs. Ainsi le Canadien Ralph Steinmann, le Français Jules Hoffman et l’Américain Bruce Beutler, tous trois, Prix Nobel de médecine, sont juifs ou d’origine juive. Idem pour les professeurs Saul Pelmuter et Adam G. Ross, lauréats américains du Prix Nobel de physique 2011. Lorsque l’on parcourt les annales du Prix Nobel, on découvre que 21% des lauréats sont juifs.
Ainsi, les chercheurs juifs se sont vu décernés au moins 49 Prix Nobel de médecine, 45 Prix Nobel de Physique, 29 Prix Nobel de Chimie, 24 Prix Nobel d’économie, 12 Prix Nobel de littérature et 8 Prix Nobel de la paix.
« Bien évidemment, il m’est impossible ici de vous citer toutes les inventions et découvertes juives», nous confie Dan Ylan, notre source d’information.
Des inventions juives qui ont changé le visage du monde
Toutefois, il nous cite les grands noms qui vont de pair avec des découvertes cruciales pour l’histoire des hommes. Comme Albert Einstein, auteur de la théorie de relativité. Karl Landsteiner, un médecin juif qui a découvert les groupes sanguins. C’est un autre juif, Gustave Bucky, qui a inventé en 1913 la radiologie, tandis que son concitoyen Robert Rines est le père de l’échographie. Willem Einthoven est l’inventeur de l’électrocardiogramme et Charles Kelman, le pionnier de la chirurgie de la cataracte. Ceux qui ont constamment mal à la tête seront heureux de savoir que ce sont deux chercheurs juifs, Charles Gerhard et Arthur Eichengrun qui ont découvert l’aspirine.
Alors que qu’Ernst Chain isolait la pénicilline et Taddeuz Reichstein, la cortisone. Carl Koller a inventé l’anesthésie locale et Jules Hess a mis en place l’incubateur pour bébés prématurés. Irving Millman a trouvé le vaccin contre l’hépatite B et Sidney Farber est le père de la chimiothérapie anticancéreuse… Mais, la sagesse juive va au-delà du secteur médical. Plusieurs autres découvertes sont à l’actif des juifs dans le domaine des mathématiques, de la physique, de l’économie et de physiologie, sans parler des nouvelles technologies.
En 1975, Lee Felsenstein imagine le premier ordinateur portable. En 1987, les juifs Joël Engel et Richard Frenkiel inventent les téléphones cellulaires. En 1990, un autre juif, Philippe Kahn, leur ajoute la caméra. Paul Baran est le pionnier de l’Internet. Ce sont deux Juifs, Sergey Brin et Larry Page, qui sont les fondateurs du célèbre moteur de recherche Google. Il y a des centaines voire des milliers d’objets que l’on utilise au quotidien aux quatre coins du monde et qui sont le fruit de l’imagination et du travail de Juifs ingénieux.
Ainsi, l’on doit l’agrafeuse de bureau au Juif Morris Abrams, la télécommande à Robert Adler, le stylo à bille à Laslo Biro. Le chariot du supermarché est une invention du Juif Sylvan Goldman. Quand Aron Herman, Juif polonais a inventé le compteur électrique en 1884. C’est un autre Juif, Casimir Funk, qui a découvert en 1912 les vitamines. Et Abel Wolman est l’auteur de l’eau potable. Le ‘’Hanouka’’, fête des lumières juive, existe à juste titre en Israël depuis des lustres, pour rendre hommage à tous ceux qui ont contribué à faire spirituellement et matériellement de notre monde, un monde meilleur.
Sam-Wakouboué,
envoyé spécial en Israël
VICTIMEENISRAËL
DUNACCIDENTDELAROUTE
COMMISPAR
DEUXJEUNESJUIFSFRANCAIS
LAFAMILLERECOITLESOUTIEN
DEMADAMESARKOZY
Source : lessentiel.lu en ligne
le 26 décembre 2011
Carla Bruni écrit à la mère
de la victime
L'épouse du président français a assuré à la famille de la jeune Israélienne tuée à Tel-Aviv par deux Français dans un accident de la route que la France faisait le «maximum» pour que justice soit faite.
«Les autorités judiciaires françaises font le maximum pour que les investigations demandées soient effectuées sans délai, en liaison constante avec les autorités israéliennes», écrit la première dame de France dans une lettre adressée à Kate Zeitouni, mère de la victime. Dans cette lettre, remise lundi soir à la famille de Lee Zeitouni par un diplomate de l'ambassade de France à Tel-Aviv, Mme Bruni-Sarkozy écrit en outre s'associer à «la douleur intolérable» que représente la disparition de Lee.
Fin septembre, Lee Zeitouni, une Israélienne de 25 ans, était morte à Tel Aviv après avoir été heurtée par un 4X4 dont les deux occupants avaient précipitamment regagné la France le jour même, suscitant une vive émotion en Israël. «Les autorités françaises et israéliennes coopèrent activement pour que les procédures en cours se déroulent rapidement et efficacement afin de permettre que justice soit rendue à la mémoire de Lee et de votre famille, si durement éprouvée», assure Mme Bruni-Sarkozy dans sa lettre.
Ils ne veulent pas
«croupir 20 ans en prison"
«Sachant la très grande et très légitime émotion que ce drame suscite, le Président de la République avait déjà donné les instructions les plus claires pour que les procédures d'entraide judiciaire en France soient mises en œuvre de façon prioritaire et que toute requête israélienne soit traitée avec la plus grande célérité», souligne par ailleurs un communiqué de l'ambassade publié à la suite de la rencontre du diplomate français avec la famille Zeitouni.
Saisie par la justice israélienne, une juge d'instruction du parquet de Créteil a renvoyé le compte rendu de ses investigations à l'État hébreu au début du mois de décembre. Mais les deux suspects refusent de comparaître, excipant du fait que la France n'est pas compétente pour juger des faits commis à l'étranger. Peu après l'incident, un des suspects interrogé par téléphone par une chaîne de télévision israélienne avait affirmé «regretter» son acte mais avait ajouté qu'il n'avait pas l'intention de revenir en Israël pour «croupir 20 ans en prison».
DUNACCIDENTDELAROUTE
COMMISPAR
DEUXJEUNESJUIFSFRANCAIS
LAFAMILLERECOITLESOUTIEN
DEMADAMESARKOZY
Source : lessentiel.lu en ligne
le 26 décembre 2011
Carla Bruni écrit à la mère
de la victime
L'épouse du président français a assuré à la famille de la jeune Israélienne tuée à Tel-Aviv par deux Français dans un accident de la route que la France faisait le «maximum» pour que justice soit faite.
«Les autorités judiciaires françaises font le maximum pour que les investigations demandées soient effectuées sans délai, en liaison constante avec les autorités israéliennes», écrit la première dame de France dans une lettre adressée à Kate Zeitouni, mère de la victime. Dans cette lettre, remise lundi soir à la famille de Lee Zeitouni par un diplomate de l'ambassade de France à Tel-Aviv, Mme Bruni-Sarkozy écrit en outre s'associer à «la douleur intolérable» que représente la disparition de Lee.
Fin septembre, Lee Zeitouni, une Israélienne de 25 ans, était morte à Tel Aviv après avoir été heurtée par un 4X4 dont les deux occupants avaient précipitamment regagné la France le jour même, suscitant une vive émotion en Israël. «Les autorités françaises et israéliennes coopèrent activement pour que les procédures en cours se déroulent rapidement et efficacement afin de permettre que justice soit rendue à la mémoire de Lee et de votre famille, si durement éprouvée», assure Mme Bruni-Sarkozy dans sa lettre.
Ils ne veulent pas
«croupir 20 ans en prison"
«Sachant la très grande et très légitime émotion que ce drame suscite, le Président de la République avait déjà donné les instructions les plus claires pour que les procédures d'entraide judiciaire en France soient mises en œuvre de façon prioritaire et que toute requête israélienne soit traitée avec la plus grande célérité», souligne par ailleurs un communiqué de l'ambassade publié à la suite de la rencontre du diplomate français avec la famille Zeitouni.
Saisie par la justice israélienne, une juge d'instruction du parquet de Créteil a renvoyé le compte rendu de ses investigations à l'État hébreu au début du mois de décembre. Mais les deux suspects refusent de comparaître, excipant du fait que la France n'est pas compétente pour juger des faits commis à l'étranger. Peu après l'incident, un des suspects interrogé par téléphone par une chaîne de télévision israélienne avait affirmé «regretter» son acte mais avait ajouté qu'il n'avait pas l'intention de revenir en Israël pour «croupir 20 ans en prison».
ISRAËL
POLEMIQUERELIGIEUSE
LAPRESSEISRAELIENNE
AGRESSEEPARLESHABITANTS
DUNQUARTIERULTRA-ORTHODOXE
Source : la newsletter d'israel-infos.net
diffusée le 26 décembre 2011
Beit Shemesh :
affrontements autour
de la ségrégation des femmes
par
Laurent COHEN
Une équipe de journalistes, travaillant pour la deuxième chaîne de la télévision israélienne, a été violemment prise à partie, et lapidée, par un groupe de manifestants juifs, dimanche, dans la ville de Beit Shemesh, où des groupuscules intégristes tentent d'imposer des "règles de pureté" ou la ségrégation aux femmes de leur quartier.
Présents sur les lieux pour y filmer notamment les rues où la circulation est interdite aux femmes, les membres de l'équipe ont assuré que sans "l'intervention de la police, il n'est pas possible de savoir comment cette agression aurait fini".
Selon le témoignage d'un journaliste, les assaillants ont "brisé les vitres des véhicules de la télévision et endommagé une partie du matériel qui s'y trouvait".
"Personne n'a tenté de nous porter secours", a-t-il ajouté, "en revanche, j'ai vu des dizaines de personnes autour de nous, qui étaient pleines de haine".
De leur côté, les agresseurs ont affirmé avoir voulu "réagir" aux propos qu'avait tenu, un peu plus tôt dans la journée, le Premier ministre Benjamin Netanyahou, selon lequel "toutes les manifestations de discrimination envers les femmes devaient être réprimées".
Vendredi dernier, la deuxième chaîne a diffusé un reportage tourné à Beit Shemesh, où un "intégriste juif" estimait qu'il était "permis de cracher sur une fille si elle n'est pas correctement vêtue", ce qui a suscité de nombreuses réactions indignées dans le pays.
La municipalité de Beit Shemsh a décidé d'installer 400 caméras de surveillance pour limiter ce genre d'incidents et mettre fin à la présence de panneaux ou banderoles incitant à la ségrégation des femmes.
Un responsable de la "Eda Haredit" de Beit Shemesh a rappelé que ces agissements étaient interdits mais déclaré que la grande majorité des Haredims traitaient leurs femmes "comme des reines", obéissant ainsi au "commandement halachique d'honorer sa femme".
POLEMIQUERELIGIEUSE
LAPRESSEISRAELIENNE
AGRESSEEPARLESHABITANTS
DUNQUARTIERULTRA-ORTHODOXE
Source : la newsletter d'israel-infos.net
diffusée le 26 décembre 2011
Beit Shemesh :
affrontements autour
de la ségrégation des femmes
par
Laurent COHEN
Une équipe de journalistes, travaillant pour la deuxième chaîne de la télévision israélienne, a été violemment prise à partie, et lapidée, par un groupe de manifestants juifs, dimanche, dans la ville de Beit Shemesh, où des groupuscules intégristes tentent d'imposer des "règles de pureté" ou la ségrégation aux femmes de leur quartier.
Présents sur les lieux pour y filmer notamment les rues où la circulation est interdite aux femmes, les membres de l'équipe ont assuré que sans "l'intervention de la police, il n'est pas possible de savoir comment cette agression aurait fini".
Selon le témoignage d'un journaliste, les assaillants ont "brisé les vitres des véhicules de la télévision et endommagé une partie du matériel qui s'y trouvait".
"Personne n'a tenté de nous porter secours", a-t-il ajouté, "en revanche, j'ai vu des dizaines de personnes autour de nous, qui étaient pleines de haine".
De leur côté, les agresseurs ont affirmé avoir voulu "réagir" aux propos qu'avait tenu, un peu plus tôt dans la journée, le Premier ministre Benjamin Netanyahou, selon lequel "toutes les manifestations de discrimination envers les femmes devaient être réprimées".
Vendredi dernier, la deuxième chaîne a diffusé un reportage tourné à Beit Shemesh, où un "intégriste juif" estimait qu'il était "permis de cracher sur une fille si elle n'est pas correctement vêtue", ce qui a suscité de nombreuses réactions indignées dans le pays.
La municipalité de Beit Shemsh a décidé d'installer 400 caméras de surveillance pour limiter ce genre d'incidents et mettre fin à la présence de panneaux ou banderoles incitant à la ségrégation des femmes.
Un responsable de la "Eda Haredit" de Beit Shemesh a rappelé que ces agissements étaient interdits mais déclaré que la grande majorité des Haredims traitaient leurs femmes "comme des reines", obéissant ainsi au "commandement halachique d'honorer sa femme".
ISRAËL
LEMONDERELIGIEUX
SEDECHIRE
AUTOURDELAPOLEMIQUE
SURLASEGREGATION
DESFEMMES
Source : la newsletter d'israel-infos.net
diffusée le 26 décembre 2011
Le Grand Rabbin Avraham Yossef,
fils d'Ovadia Yossef, condamne
la ségrégation dans les autobus
par
David Koskas
Avraham Yossef, le fils du leader du parti Shas Ovadia Yossef et lui-même Grand rabbin de la ville de Holon, a condamné la ségrégation des femmes dans les bus.
De nombreux membres de la communauté ultra-orthodoxe considèrent que dans les bus, les femmes doivent s'asseoir à l'arrière.
Pour le rav Avraham Yossef, "il n'est pas question d'exclure les femmes" dans les bus.
"Mis à part toucher, regarder ou sentir un agréable parfum qu'une femme étrangère pourrait avoir mis, le reste n'est pas notre affaire", a-t-il dit lors d'une interview sur la radio Kol Barama.
Il n'a pas caché son irritation au sujet d'un incident cité par le journaliste qui l'interrogeait: un homme haredi a sermonné une dame aveugle assise à l'avant d'un bus. "C'est un homme stupide, et malheureusement il y a beaucoup d'hommes stupides", a lancé Yossef, ajoutant "si cela ne lui plaisait pas, il n'avait qu'à se lever et partir", "c'est insolent, c'est un manque élémentaire de compréhension, c'est bête et cela n'a rien à voir avec la crainte de Dieu".
Il a rappelé que cette règle, pourtant très répandue dans une partie du public, n'était pas inscrite dans la halakha, la loi juive, et a déploré que les médias accordent une telle couverture à cette affaire.
Il a également précisé qu'il ne tentait pas de devenir populaire dans le secteur non-religieux de la société en condamnant ces pratiques, pas plus qu'il ne s'inquiétait d'être populaire du coté haredi.
Les Grands rabbins d'Israël, ashkénaze et sépharade, ont aussi condamné la ségrégation sexuelle, tandis que le rav Ovadia Yossef ne s'est pas encore prononcé.
LEMONDERELIGIEUX
SEDECHIRE
AUTOURDELAPOLEMIQUE
SURLASEGREGATION
DESFEMMES
Source : la newsletter d'israel-infos.net
diffusée le 26 décembre 2011
Le Grand Rabbin Avraham Yossef,
fils d'Ovadia Yossef, condamne
la ségrégation dans les autobus
par
David Koskas
Avraham Yossef, le fils du leader du parti Shas Ovadia Yossef et lui-même Grand rabbin de la ville de Holon, a condamné la ségrégation des femmes dans les bus.
De nombreux membres de la communauté ultra-orthodoxe considèrent que dans les bus, les femmes doivent s'asseoir à l'arrière.
Pour le rav Avraham Yossef, "il n'est pas question d'exclure les femmes" dans les bus.
"Mis à part toucher, regarder ou sentir un agréable parfum qu'une femme étrangère pourrait avoir mis, le reste n'est pas notre affaire", a-t-il dit lors d'une interview sur la radio Kol Barama.
Il n'a pas caché son irritation au sujet d'un incident cité par le journaliste qui l'interrogeait: un homme haredi a sermonné une dame aveugle assise à l'avant d'un bus. "C'est un homme stupide, et malheureusement il y a beaucoup d'hommes stupides", a lancé Yossef, ajoutant "si cela ne lui plaisait pas, il n'avait qu'à se lever et partir", "c'est insolent, c'est un manque élémentaire de compréhension, c'est bête et cela n'a rien à voir avec la crainte de Dieu".
Il a rappelé que cette règle, pourtant très répandue dans une partie du public, n'était pas inscrite dans la halakha, la loi juive, et a déploré que les médias accordent une telle couverture à cette affaire.
Il a également précisé qu'il ne tentait pas de devenir populaire dans le secteur non-religieux de la société en condamnant ces pratiques, pas plus qu'il ne s'inquiétait d'être populaire du coté haredi.
Les Grands rabbins d'Israël, ashkénaze et sépharade, ont aussi condamné la ségrégation sexuelle, tandis que le rav Ovadia Yossef ne s'est pas encore prononcé.
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