"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma  Ed Universlam


CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

vendredi, juin 29, 2007

PASSERELLE
Source : la newsletter de categorynet.com
diffusée le 29 juin



RSF appelle le Hamas à privilégier
la négociation pour libérer Alan Johnston


Écrit par Rédaction
28-06-2007

Reporters sans frontières est profondément choquée par le sort réservé à Alan Johnston par ses ravisseurs, l’Armée de l’islam, qui ont diffusé une nouvelle vidéo du journaliste dans laquelle il apparaît, cette fois, sanglé par une ceinture d’explosifs.
“Au cours de ces trois mois de détention, les ravisseurs d’Alan Johnston ont intensifié leurs menaces sur la vie du journaliste. Aujourd’hui, la mise en scène ignoble à laquelle nous venons d’assister est un avertissement supplémentaire. Dans ces moments tragiques, nous avons une pensée particulière pour sa famille qui a dû être confrontée à des images terribles”, a affirmé l’organisation.
“Alan Johnston semble aujourd’hui servir de bouclier humain à ses ravisseurs, rendus nerveux par les menaces d’intervention militaire du Hamas. L’usage de la force ne peut être une option. Par ailleurs, les accusations mutuelles entre le Fatah et le Hamas font le jeu des kidnappeurs. Le journaliste a, plus que jamais, besoin que les autorités palestiniennes négocient“, a ajouté Reporters sans frontières.

Dans une vidéo diffusée le 24 juin 2007 sur Internet, Alan Johnston est apparu portant une ceinture d’explosifs autour du ventre. Vêtu du même pull-over rouge qu’il portait dans le premier enregistrement vidéo diffusé au début du mois, le journaliste met en garde des risques pour sa vie que ferait courir une tentative de libération par la force.
“Comme vous le voyez, j’ai été habillé avec une ceinture d’explosifs, qui sera activée s’il y a la moindre tentative d’investir cet endroit. (...) Mes ravisseurs me disent que des négociations très prometteuses ont été ruinées quand le Hamas et le gouvernement britannique ont décidé de faire pression pour une solution militaire à cet enlèvement. La situation est maintenant très sérieuse. (...) Il semble que la solution soit un retour aux négociations qui, m’a-t-on dit, sont très proches de se conclure par un accord”, explique Alan Johnston dans cette vidéo réalisée par les ravisseurs.

Le 18 juin 2007, le Hamas avait lancé un ultimatum aux ravisseurs pour qu’ils libèrent le journaliste avant la fin de la journée. Mais l’Armée de l’islam avait réagi en publiant un communiqué virulent, réitérant leurs menaces de mort à l’encontre de leur otage. Le groupe continue d’exiger la libération de l’islamiste radical Abou Qatada, détenu en Grande-Bretagne depuis 2005. Par ailleurs, le 24 juin, le parti islamiste, qui contrôle aujourd’hui Gaza, a accusé le Fatah de bloquer leur tentative de libérer le correspondant de la BBC. Le parti de Mahmoud Abbas a immédiatement réfuté ces accusations et demandé au Hamas de fournir des preuves.
PASSERELLE
Source : la newsletter
de l'Ambassade d'Israël en France
diffusée le 28 juin


ISRAEI,
AUTREMENT

Biodiesel


Israel21C, 24 juin

La société israélienne Ormat a mis au point une formule de biodiesel qui triomphe de toutes les limites actuelles de l’essence, et espère que ce biodiesel sera dans les stations essence d’ici deux ans. Ce nouveau carburant propre peut être utilisé à 100 pour cent sans rien modifier aux véhicules. Il est généralement fabriqué à partir d’huile de soja ou de canola et est moins toxique que le sel de table ! Son effet sera notable sur la réduction de l’effet de serre.

La PDG d’Ormat, Dita Bronicki, a créé sa société avec son mari en 1965. « Nous avons commencé à travailler dans les technologies propres il y a longtemps, en 1965, bien avant que les gens en aient entendu parler. Mais nous n’étions pas des hippies ! » dit-elle en riant, « nous voulions simplement développer un domaine d’excellence pour Israël. » Pari réussi. Ormat est une des sociétés les plus importantes en matière d’énergies renouvelables et alternatives, particulièrement dans le domaine de la géothermie.
PASSERELLE
Source : la newsletter du CRIF
diffusée le 28 juin



Amos Oz reçoit le prix Prince des Asturies


L'écrivain israélien Amos Oz s'est vu décerner l'édition 2007 du prix espagnol « Prince des Asturies », pour ses oeuvres, dédiées au pacifisme et à la condamnation de tous les fanatismes. Agé de 68 ans, Amos Oz, connu pour son engagement en faveur de la paix au Proche-Orient, est l'un des écrivains les plus populaires d'Israël.
Le Prix Prince des Asturies des Lettres est attribué chaque année depuis 1981 à "une personne, un groupe de personnes ou une institution dont le travail de création ou de recherche représente une contribution importante à la culture universelle dans les domaines de la littérature ou de la linguistique". Ce prix, doté de 50.000 euros, sera officiellement remis en octobre au lauréat, par l'héritier de la couronne espagnole, le Prince Felipe.

jeudi, juin 28, 2007

MILLESFEUILLES


Albert Soued est connu des internautes. Chaque semaine, depuis plusieurs années, il envoie à des milliers d'exemplaires à travers le monde sa newsletter. On y trouve une sélection des meilleures signatures de la presse anglophone traduite en français. Un vrai travail de fourmi et une traduction au plus près de la version originale comme vous pourrez le constater dans la page qui suit celle-ci.

Dans quelques semaines, Albert Soued publie un ouvrage de réflexion sur le Proche-Orient compliqué et ses retombées sur la région.Sans concession, mais sans polémique. En observateur fort avisé et réfléchi!

Il nous a fait l'honneur de nous prêter en avant-première, la 4è de couverture.





Albert Soued
Quand le Moyen-Orient
verra-t-il la lumière ?

26,00 Euro


Diffusion : http://www.publibook.com





Organisés autour de dix chapitres – sur la terreur, la désinformation, l’arabité, les erreurs et les désillusions, l’ONU et l’Irak, notamment – Albert Soued recueille aujourd’hui des articles qu’il a écrits parfois pendant la première Guerre du Golfe et jusqu’en 2006. Quelquefois livrés tels quels, souvent réactualisés, ils prouvent que le Moyen Orient connaît les mêmes problèmes depuis vingt ans et que l’Occident est loin d’apporter des solutions convaincantes et efficaces. Loin de l’hypocrisie ambiante, quitte à donner un coup de pied dans la fourmilière onusienne, il nous dévoile ses pensées, ses opinions, toujours argumentés, toujours justifiés. Lui ne fera naître aucune polémique, mais sera sûrement à l’origine de nombreux débats.

Fin connaisseur de la Bible, Albert Soued est aussi un analyste avéré et un témoin intransigeant de la situation au Moyen-Orient depuis 1990. Dans son nouveau livre, il décrypte des problèmes que beaucoup seraient prêts à oublier et révèle au grand public des faits avérés que quelques-uns préfèreraient garder secrets. Subtil et sans langue de bois, précis et argumenté, peut-être polémique mais
jamais offensant, un livre qui alterne articles de fond et enquêtes d’investigation. Pour enfin mieux comprendre une crise qui trouve ses racines avant les années 1990 et menace toujours plus de s’amplifier.
VERSION
DOUBLE
Source : la newsletter d'Albert Soued


QUI A TUÉ LA PALESTINE?
Un échec qui a mille pères

Par Bret Stephens,
membre du conseil éditorial du The Wall Street Journal.
Sa chronique sort le mardi.
Opinion Journal du 26 juin 2007 –
Traduit par Albert Soued,
www.chez.com/soued/conf.htm pour www.nuitdorient.com



Bill Clinton l'a fait. Yasser Arafat l'a fait. De même que George Bush, Yitshak Rabin, Hosni Moubarak, Ariel Sharon, Al Jazeera et la BBC. La liste des coupables dans le polar intitulé "Qui a tué la Palestine ?" n'est ni courte, ni mutuellement exclusive. Mais comme les futurs historiens seront obligés de se poser la question, commençons par suggérer quelques réponses.
Ne vous trompez pas, quelle que soit la quantité d'oxygène diplomatique, militaire ou financier que vous injecterez dans l'Autorité Palestinienne de Mahmoud Abbas, le cadavre ne ressuscitera pas.
La Palestine a toujours été une "notion", un champ de rêves appartenant à ceux qui savaient le cultiver. Si Israël est un Etat, c'est parce que son peuple a été capable de créer les institutions nécessaires à un état pour survivre sur le plan politique, économique et militaire, en commençant par le monopole de l'usage de la force légitime. Cela fait maintenant 14 ans que l'Autorité Palestinienne existe et elle n'a réussi aucune de ces institutions, malgré l'inimaginable soutien, la bonne volonté et les largesses de la communauté internationale.
La saisie de la bande de Gaza par le Hamas ce mois-ci, et la division en 2 autorités hostiles et géographiquement distinctes qui s'ensuivit sont seulement les derniers soubresauts d'une chaîne d'événements qui s'est mise en branle, quand en septembre 1993, Israël a accepté Arafat comme seul représentant légitime du peuple palestinien.

Un indice précurseur de cette situation a été l'entrée triomphale d'Arafat à Gaza, le 1er juillet 1994, avec 4 de ses partisans les plus violents, dans le coffre de sa Mercedes. Si on doit trouver une image synthétique de ce qui est advenu par la suite du pouvoir d'Arafat, c'est bien l'image de cette scène là.
Arafat était déterminé à utiliser Gaza et la Cisjordanie comme tremplin pour attaquer et détruire Israël, comme il l'a dit et répété en public "O Haifa, ô Jérusalem, vous allez nous revenir!" (1995), "Par la guerre psychologique et par la démographie, on fera en sorte que la vie soit intenable pour les Juifs, " (1996), "Par le sang et l'esprit, nous te récupèrerons ô Palestine!" (1997).
Avec la même détermination, l'administration Clinton et les gouvernements de MM Rabin, Peres et Barak ont pris les déclarations d'Arafat pour des fanfaronnades rhétoriques. Mr Clinton voulait désespérément obtenir le prix Nobel de la Paix. Les Israéliens ne voulaient plus être considérés comme des "occupants", à aucun prix. Tous ces objectifs étaient respectables, mais aucun d'entre eux ne concernait la création d'un état palestinien respectable.
Plus tard, après que la 2ème intifada ait explosé avec tout son délire suicidaire, l'ex-négociateur américain Dennis Ross aurait admis que l'administration Clinton était devenue obsédée par un processus, au lieu de s'atteler à la substance du sujet. Mais toute la faute ne lui incombe pas. La décision de rendre Arafat légitime venait d'Israël, pas des Etats-Unis. Une fois qu'il fut introduit dans la "tente sacrée", il ne pouvait qu'y mettre le feu! Et pourtant, dans les années 90, cette administration Clinton a élevé Arafat à un niveau jamais accordé à un autre chef d'état ! Si Arafat s'est glorifié d'être un second Saladin, la flatterie et la magnificence des réceptions de la Maison Blanche a certainement joué un rôle.

Mais les médias internationaux ont contribué aussi à la glorification d'Arafat. Les responsables des médias étrangers à Jérusalem n'ont jamais cessé de considérer Arafat comme un homme "modéré" et Ariel Sharon comme un "extrémiste". Quand ce dernier a décidé de se promener sur le Mont du Temple en septembre 2000, il leur était aisé de le faire passer pour le méchant et les émeutiers, devenus plus tard les hommes-suicide, comme de justes victimes lésées. Les médias arabes et les gouvernements à qui ils appartiennent en ont profité pour dévier le mécontentement populaire local vers la haine d'Israël et vers les images des "pauvres Palestiniens" brimés.
D'une manière générale, comme les individus, les nations tirent profit des critiques qui leur sont faites et parfois même de leur propre autocritique. Comme aucun autre peuple, le peuple palestinien a toujours été protégé de la critique. En 1999, Abdel Sattar Kassem, un professeur de science politique de Naplouse a ajouté son nom à "la pétition des 20", signée par ceux qui s'élevaient contre la tyrannie et la corruption d'Arafat. Cet homme a été jeté en prison par Arafat. Personne ne s'en inquiéta. Rappelons que la popularité d'Arafat avait atteint des sommets au printemps 2002, au plus fort des attentats-suicide contre la population civile israélienne.
Ce qui était utile aux intérêts d'Arafat, ne l'était certainement pas à sa population. De son expérience avec Bill Clinton, Arafat a appris qu'on pouvait embobiner le président des Etats-Unis et ne pas en payer le prix. G W Bush a agi différemment, écartant les Palestiniens de son agenda. De son expérience internationale, Arafat savait aussi que personne n'irait regarder où était parti l'argent donné par l'aide étrangère. Néanmoins, la fin du Fatah a commencé par sa réputation de voleur.
Arafat a pensé qu'il pouvait tirer avantage de la force religieuse qu'on pouvait dégager des martyrs par bombe-suicide. Mais dans chaque martyr d'une bombe humaine, il y avait aussi un acte d'autodestruction. Et une nation qui célèbre ce type de martyr sombre elle-même dans l'autodestruction.

Avant tout, Arafat confondait territoire et pouvoir. Mais l'exemple de la bande de Gaza dépouillée de ses Israéliens a montré que les Palestiniens n'étaient pas capables d'installer une souveraineté politique dans un quelconque territoire. Il n'y a plus de Juifs à blâmer, plus de soldats qu'on peut filmer en train de détruire des maisons palestiniennes. La droite israélienne qui reprochait à Sharon ce retrait unilatéral de Gaza devrait reconsidérer sa position à l'égard de cet homme et de ce qu'il a fait. Grâce à ce retrait, il a montré à la communauté internationale l'incapacité des Palestiniens à construire un état.
Qu'est ce cela signifie, pour l'avenir? Au sommet d'hier à Sharm el Sheikh, Olmert, Moubarak et le roi Abdallah ont jeté des pétales de rose aux pieds de Mahmoud Abbas. Mais les potentats du Moyen Orient ne mettront jamais au monde un état dont le chef politique se réclame à la fois de la démocratie et de l'islamisme. Ni les Etats-Unis, ni Israël n'accepteront un Hamastan, même agréé par l'Europe ou les Nations Unies. Ils accepteront de bénir l'irresponsable M Abbas. Néanmoins, comme nous le voyons déjà, la "Palestine" reviendra à ce qu'elle était auparavant, une ombre entre Israël et ses voisins et les Palestiniens redeviendront ce qu'ils n'ont jamais cessé d'être, des Arabes.
Aurait-il pu y avoir un sort meilleur? Personne ne le sait. Mais rêver de la Palestine, c'est fini!


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WHO KILLED PALESTINE?
A failure with a thousand fathers
BY BRET STEPHENS,
member of The Wall Street Journal's editorial board.
His column appears in the Journal Tuesdays.
June 26, 2007 – Opinion Journal

Bill Clinton did it. Yasser Arafat did it. So did George W. Bush, Yitzhak Rabin, Hosni Mubarak, Ariel Sharon, Al-Jazeera and the BBC. The list of culprits in the whodunit called "Who Killed Palestine?" is neither short nor mutually exclusive. But since future historians are bound to ask the question, let's get a head start by suggesting some answers.
And make no mistake: No matter how much diplomatic, military and financial oxygen is pumped into Mahmoud Abbas's Palestinian Authority, it's oxygen flowing to a corpse. Palestine has always been a "notional" place, a field of dreams belonging only to those who know how to keep it. Israelis have held on to their state because they were able to develop the political, military and economic institutions that a state requires to survive, beginning with its monopoly on the use of legitimate force. In its nearly 14 years as an autonomous entity, the PA has succeeded in none of that, despite being on the receiving end of unprecedented international goodwill and largesse.
Hamas's seizure of the Gaza Strip this month--and the consequent division of the PA into two hostile, geographically distinct camps--is only the latest in a chain of events set in motion when Israel agreed, in September 1993, to accept Arafat and the PLO as the sole legitimate representative of the Palestinian people. An early indicator of what lay ahead took place on July 1, 1994, when Arafat made his triumphal entry into Gaza while carrying, in the trunk of his Mercedes, four of the Palestinian cause's most violent partisans. Among them were the organizers of the 1972 Munich Olympics massacre and the 1974 Ma'alot school massacre. If ever there was an apt metaphor for what Arafat's rule would bring, this was it.
Arafat was determined to use Gaza and the West Bank as a staging ground for attacks against Israel, and he said so publicly and repeatedly: "O Haifa, O Jerusalem, you are returning, you are returning" (1995); "We will make life unbearable for Jews by psychological warfare and population explosion" (1996); "With blood and spirit we will redeem you, Palestine" (1997). With equal determination, the Clinton administration and the Israeli governments of Rabin, Shimon Peres and Ehud Barak treated Arafat's remarks as only so much rhetorical bluster. Mr. Clinton desperately wanted a Nobel Peace Prize; Israelis wanted out of the occupation business at almost any cost. These were respectable goals, but neither had as its primary aim, the creation of a respectable Palestinian state.
Later, after the second intifada had erupted in all its suicidal frenzy, former U.S. negotiator Dennis Ross would admit the Clinton administration became too obsessed with process at the expense of substance. He should give himself more credit. The decision to legitimize Arafat was Israel's, not America's; once he was brought inside the proverbial tent he was bound to put a match to it. Still, the Clinton administration elevated Arafat like no other leader of the 1990s. If the rais came to flatter himself as a second Saladin, the flattery of White House banquets surely played a role.
The global media also did their bit in Arafat's elevation. Successive generations of Jerusalem bureau chiefs developed a conveniently even-handed narrative pitting moderates on both sides against extremists on both sides--a narrative in which Arafat was a "moderate" and Ariel Sharon was an "extremist." When Mr. Sharon took his famous walk on the Temple Mount in September 2000, it was easy to cast him as the villain and Palestinian rioters--and, later, suicide bombers--as the justifiably aggrieved. Cheering Palestinians on from the sidelines were the Arab media and the governments that own them, happy to channel domestic discontent toward a foreign drama.
As with individuals, nations generally benefit from self-criticism, and sometimes from the criticism of others. No people in modern history have been so immune from both as the Palestinians. In 1999, Abdel Sattar Kassem, a professor of political science in the Palestinian city of Nablus, put his name to the "petition of the 20," written to "stand against [Arafat's] tyranny and corruption." Arafat imprisoned him; the rest of the world barely took notice. Arafat's global popularity reached its apogee in the spring of 2002, exactly at the same time the civilian Israeli death toll from terrorism reached its height.
Yet what served Arafat's interests well served Palestinian interests poorly. Arafat learned from his experience with Mr. Clinton that one could bamboozle an American president and not pay a price. George W. Bush took a different view and effectively shut the Palestinians out of his agenda. Arafat learned from the "international community" that no one would look too closely at where its foreign aid was spent. But a reputation for theft has been the undoing of Fatah. Arafat thought he could harness the religious power of "martyrdom" to his political ends. But at the core of every suicide bombing is an act of self-destruction, and a nation that celebrates the former inevitably courts the latter.
Above all, Arafat equated territory with power. But what the experience of an unoccupied Gaza Strip has shown is the Palestinians' unfitness for political sovereignty. There are no Jewish settlers to blame for Gaza's plight anymore, no Israeli soldiers to be filmed demolishing Palestinian homes. The Israeli right, which came to detest Mr. Sharon for pulling out of the Strip, might reconsider its view of the man and the deed. Nothing has so completely soured the world on the idea of a Palestinian state as the experience of it.
What does this mean for the future? At yesterday's summit in Egypt, Israeli Prime Minister Ehud Olmert, Egyptian President Hosni Mubarak and Jordanian King Abdullah threw rose petals at Mr. Abbas's feet. But the potentates of the Middle East will not midwife into existence a state the chief political movement of which has claims to both democratic and Islamist legitimacy. The U.S. and Israel will never bless Hamastan (even if the EU and the U.N. come around to it) and they can only do so much for the feckless Mr. Abbas. "Palestine," as we know it today, will revert to what it was--shadowland between Israel and its neighbors--and Palestinians, as we know them today, will revert to who they were: Arabs.
Whether there might have been a better outcome is anyone's guess. But the dream that was Palestine is finally dead.
PASSERELLE
Source : lemonde.fr
en ligne le 28 juin


Difficultés de construction des mosquées :
le pasteur de Clermont
évoque "une discrimination"

La veille de son départ de la présidence de la Fédération protestante de France (FPF), qu'il a dirigée durant huit ans, le pasteur Jean-Arnold de Clermont, réputé pour ses prises de position publiques, devait rencontrer le président de la République, Nicolas Sarkozy, vendredi 29 juin. Il devait notamment évoquer avec lui le financement des lieux de prière, et plaider pour une application de certaines conclusions du rapport Machelon sur les relations entre cultes et pouvoirs publics.

Ce rapport, remis en septembre 2006 à M. Sarkozy, alors ministre de l'intérieur, n'a pas été suivi d'effets. "Nous sommes opposés à un financement direct pour la construction des édifices religieux, tel que le propose le rapport, rappelle le pasteur. Nous n'en avons pas besoin car, parallèlement aux facilités de financement existantes, les fidèles financent leurs lieux de culte. En revanche, il faut reprendre à bras le corps les questions d'ordre fiscal et administratif contenues dans le rapport et qui permettront une amélioration des dispositifs actuels."
Evoquant les décisions judiciaires récentes, qui ont remis en cause la construction de mosquées à Montreuil et à Marseille, au motif que les baux emphytéotiques concédés par la mairie aux associations musulmanes constituaient une subvention déguisée, M. de Clermont appelle à la plus grande fermeté. "Ces décisions, que je ne comprends pas, contraignent le gouvernement à agir. Si elles ont été prises uniquement parce qu'il s'agit de musulmans, alors même que les financements qui leur sont accordés, baux emphytéotiques, garanties bancaires, sont du même ordre que ceux qui sont autorisés pour les catholiques depuis les années 1920, alors on est face à de la discrimination."

Sur un plan plus politique, M. de Clermont quitte ses fonctions en posant quelques jalons, qui risquent de ne pas faire l'unanimité. "Les partis politiques ont à mener un travail de refondation et de réflexion sur l'avenir et le sens de la société, juge-t-il. L'UMP l'a fait, le Parti socialiste doit le faire. Les uns et les autres ont besoin du religieux pour mener à bien cette réflexion. Si nous ne leur donnons pas de valeurs spirituelles, nous allons assécher la réflexion politique."

Stéphanie Le Bars
SUR
LABOBINE


THE BUBBLE
réalisé par EYTAN FOX


sortie nationale le 4 juillet 2007

Trois jeunes israéliens, Noam, disquaire, Yali, gérant de café, et Lulu, vendeuse dans une boutique de produits de beauté, partagent un appartement dans un quartier branché de Tel-Aviv, symbole de cette « bulle », surnom donné à la ville.
Dans ce cocon quasi déconnecté de la réalité des territoires et des conflits politiques qui agitent le pays, ils mènent une existence tout à fait ordinaire, préférant se concentrer sur leur vie amoureuse.
Leur quotidien va pourtant être bouleversé par l'arrivée d'Ashraf, un Palestinien dont Noam tombe amoureux lors d’un incident au Check Point de Naplouse.
PASSERELLE
Source : la newsletter du CRIF
diffusée le 28 juin



Nouvelle condamnation requise
pour Dieudonné


Le procureur de la République, Laurent Zuchowicz, a réclamé, devant la 11e chambre correctionnelle de Paris, 10000 euros d’amende contre Dieudonné qui, à propos de la Shoah, avait parlé de « pornographie mémorielle », nous apprend Actualité juive. Dans une conférence de presse à Alger en 2005, Dieudonné avait notamment dénoncé le « lobby sioniste, qui cultive l’unicité de la souffrance et les autorités sionistes qui, avec l’argent public, confisquent la création culturelle et ont dénoncé la guerre au monde noir ». Il avait également qualifié les cérémonies en mémoire de la Shoah de « pornographie mémorielle ».
Le tribunal rendra son jugement le 11 septembre.
PASSERELLE
Source : lemonde.fr avec l'A. F. P.
en ligne le 28 juin



Moshé Katzav, ancien président israélien,
évite l'inculpation pour viol


L'ancien président israélien Moshé Katzav, au centre d'un scandale sexuel, va échapper à la prison ferme au terme d'un compromis annoncé, jeudi 28 juin, par le procureur général de l'Etat d'Israël, Menahem Mazouz. "Selon ce compromis, le président Katzav a reconnu sa responsabilité dans une longue série de délits sexuels", a annoncé à la presse M. Mazouz. Ces délits, où ne figure pas l'accusation de viol, ne valent donc à M. Katzav qu'une peine de prison avec sursis.

Menahem Mazouz, qui est aussi conseiller juridique du gouvernement, ne retient que les accusations de harcèlement sexuel et comportement indécent. "M. Katzav devra verser des indemnités", a fait savoir M. Mazouz, qui a précisé qu'une femme, celle par qui le scandale avait éclaté il y a un an, avait été déboutée de sa plainte pour viol. Les négociations en vue de ce compromis se sont déroulées ces deux dernières semaines, a souligné le procureur général. L'accord prévoit aussi la démission de M. Katzav, déjà suspendu de ses fonctions.
M. Katzav, qui a toujours nié les accusations de viol, risquait une peine de prison de seize ans s'il avait été reconnu coupable pour cette charge. Expliquant sa décision de plaider coupable, il a déclaré à la radio publique israélienne, s'être fait violence "en acceptant de reconnaître sa responsabilité pour des actes qu'il n'a pas commis, afin d'épargner de nouvelles souffrances à sa famille".

M. Katzav a été suspendu de ses fonctions, à sa demande, fin janvier à la suite de l'annonce par M. Mazouz de son intention de l'inculper de viol, harcèlement sexuel, entrave à la justice et subornation de témoins. L'ancien premier ministre et Prix Nobel de la paix Shimon Pérès, âgé de 83 ans, a été élu le 13 juin pour lui succéder.
INFO
COM

Joël Mergui
Président du Consistoire de Paris
Ile de France

Françoise de Panafieu
Député de Paris
Maire du XVIIè arrondissement

Murielle Schor
Daniel Vaniche
Administrateurs du Consistoire de Paris

Sous l’égide de David Messas
Grand Rabbin de Paris

Ont le plaisir de vous convier à une réunion d’information sur le
Nouveau Centre Culturel Juif du 17° arrondissement
qui aura lieu le

Mercredi 4 juillet 2007 à 19h (précises)
à la Mairie du 17° arrondissement
16/20 rue des Batignolles
75017 Paris

A l’issue de cette présentation,
M. Michel Gurfinkiel, journaliste, et écrivain,
interviendra sur le thème
de "la migration de la population juive au sein de l’Ile de France".

RSVP au 01 40 82 26 29 ou par email au : sga@consistoire.org
PASSERELLE
Source : la newsletter de ramdam.com
distribuée le 28 juin


Un concert pour la paix en septembre


Les grandes causes et la musique font souvent bon ménage. Alors que le Live Earth se tiendra le 7 juillet prochain sur 7 continents pour mettre en avant le problème du réchauffement climatique, on apprend qu'un concert pour la paix aura lieu le 21 septembre prochain au Royal Albert Hall de Londres.
Le projet "Peace One Day" est le bébé du réalisateur Jeremy Gilley. Le but: instaurer une journée annuelle internationale de cessez-le-feu et de non-violence, dans le cadre de la Journée Internationale de la Paix de l'ONU, ou Journée de la Paix, fixée dans la planète entière au jour du 21 septembre.
Le concert du 21 septembre accueillera les artistes suivants: Annie Lenox, Corinne Bailey Rae, James Morrison, Beth Orton et Marc Almond. D'autres noms devraient suivre. Comme disait John Lennon: Give Peace a Chance.

mercredi, juin 27, 2007

SUR
LABOBINE


L'AVIS DE DIASPORABLOGJ




















DIASPORABLOGJ
VOUS RECOMMANDE


ROMAN DE GARE
Film de Claude Lelouch

avec
Fanny Ardant
Audrey Dana
Dominique Pinon
Zineddine Soualem
Michèle Bernier


C'est du Lelouch, marque déposée! Qu'on le veuille ou non! C'est comme ça! On y peut rien! Mais cette fois-ci, dans ce "ROMAN DE GARE", le Lelouch cru 2007 est bien décidé à donner un grand coup de boulon dans la mouture du scénario, à resserrer les vices. Fini, les histoires qui se baladent à l'air libre et les comédiens abandonnés à leur improvisation!
Dans ce nouveau Lelouch, rien n' a été laissé au hasard, tant la mécanique du film est parfaitement huilée, soignée comme une rivière de diamants et fonctionne, au bout du compte, à merveille! Jusque dans la mécanique de précision de l'interprétation. De Fanny Ardant à Michèle Bernier en passant par les nouveaux venus dans la bande à Lelouch, Audray Dana et Dominique Pinon. Du top régal!

C'est un Lelouch 100% pur sucre, car tous les ingrédiants des films passés, les êtres et les objets, se retrouvent dans ce film puzzle. Il y a toujours au centre, un homme et une femme,-en l'occurrence des hommes et des femmes-, une voiture qui file à l'anglaise, des personnages qui se perdent dans le maquis des sentiments,...
Et comme Lelouch est habité depuis son enfance par le 7è art, il montre, avec plus de punch et de vitalité encore, qu'il a toujours su rester cet... enfant gâté. Émerveillé d'avoir ce jouet extraordinaire entre les mains et de nous le faire partager.
Filmer pour ce monstre sacré du cinéma hexagonal est un véritable jeu d'enfant, donc. Et s'en sert jusqu'à nous en étourdir. A ce jeu, il en ajoute un autre, plus tourbillonnant, plus échevelé, où chaque scène de "ROMAN DE GARE" se transforme en partie de cache-cache et de chat et de la souris. Chaque seconde compte et rend le suspens plus haletant, le labyrinthe du récit plus étriqué.

D'ailleurs, bien malin qui pourrait remonter le mécano, dénouer les fils de ce vrai-faux thriller. Tout est fait dans ce film pour que vous ne puissiez jamais raconter le film à votre voisin en sortant de la projection. Tout est fermement cadenassé jusqu'à la dernière image du film. "ROMAN DE GARE" est sans aucun doute, et Claude Lelouch a raison de le reconnaître, le plus abouti, le plus solide, le plus mature de tous les films "lelouchiens".

On ne le dira jamais assez, un grand Lelouch. Celui du Lelouch retrouvé après quelques films de galère.

Bernard Koch




INFO
DERNIERE

DE JEUNES JUIFS
VIOLEMMENT AGRESSES
PAR UNE BANDE
DANS UN BUS EN REGION PARIENNE


DIASPORABLOGJ
ACCUEILLE....

BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE
CONTRE L’ ANTISEMITISME

BNVCA
8 Boulevard Saint Simon
93700 DRANCY

Le Président
Sammy GHOZLAN
06 09 67 70 05


Drancy le 27 juin 2007-


Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme dénonce et condamne l’agression antisémite dont nous déclarent avoir été victimes deux jeune juifs de 15 ans ,le 26 juin 2007 vers 19H30.
Alors qu’ils se trouvaient dans le Bus 147 qu’ils empruntaient pour se rendre des Lilas au cinéma de Rosny 2,Alan et Raphael ont été pris à partie dans le bus même , par une dizaine de jeunes gens qu’ils nous décrivent comme d’origine maghrébine,qui les auraient insultés,traités de sales juifs,puis tabassés.Raphaél se plaint d’avoir une épaule démise.Nous avons recommandé au père de la victime de déposer plainte.
Le BNVCA a décidé de saisir la direction de la RATP afin de comprendre pourquoi le conducteur du Bus n’est pas intervenu.
Le BNVCA qui rappelle que le 25/6/2007 c’est un rabbin qui a été agressé à la station Gare du Nord, déplore qu’un juif aujourd’hui, se trouve en danger dans le bus ou dans un métro. Le BNVCA recommande de signaler tous les faits soit en téléphonant au 0145088855,soit au moyen du site SOSANTISEMITISME.ORG sur lequel toute déclaration (qui sera vérifiée et suivie)peut être formulée .


Le President
Sammy GHOZLAN
L'ENTENTE
CORDIAL E


DU 2 AU 4 JUILLET


RENCONTRE SCIENTIFIQUE

FRANCO-ISRAELIENNE

A BORDEAUX

Neuromodulation

et Fonctions Cérébrales Supérieures


Salle de Conférence du Haut-Carré,
Agora des Sciences,
Talence, Bordeaux, France
Organizing Committee:


Thomas Boraud, CNRS, France
Israel Nelken, HUJI, Israel
Aline Desmedt, Université Bordeaux 1, France
David Hansel, CNRS, France
Bernard Bioulac, Université Bordeaux 2-CNRS, France


Ce congrès interdisciplinaire réunira une centaine de scientifiques français et israéliens, biologistes, médecins, psychologues, physiciens et mathématiciens travaillant sur le fonctionnement et les pathologies du cerveau. Il comportera vingt-cinq communications concernant le rôle de la neuromodulation dans l'apprentissage, la mémoire, le contrôle de la motricité et le traitement des informations sensorielles par le système nerveux central. Les participants débattront des progrès les plus récents de la recherche fondamentale sur ces questions ainsi que de leurs conséquences cliniques en neurologie (maladie de Parkinson, maladie d'Alzheimer, handicap moteur) et en psychiatrie (schizophrénie, stress post-traumatique, prise en charge de la toxicomanie).

Ce congrès fait suite au colloque binational "High Brain Functions:
Multidisciplinary Approach for Distributed Neural Systems" qui s'était tenu en 2004 à Ma'alé Hachamisha, près de Jérusalem
(http://www.neurophys.biomedicale.univ-paris5.fr/maalehahamisha/program.html). Il est organisé en partenariat avec le Centre National de la Recherche Scientifique, l'Université Hébraïque de Jérusalem, l'Université de Haïfa, l'Institut Weizmann des Sciences, l’Université de Beer'sheva et les Universités de Bordeaux 1, Victor Ségalen - Bordeaux 2, Paris Descartes - Paris 5 et le Conseil Régional d'Aquitaine. Il permettra de dégager de nouvelles thématiques autour desquelles la coopération entre chercheurs français et israéliens dans le domaine des neurosciences pourrait se développer pour les quatre prochaines années.


Contacts:
France: Aline Desmedt: Tel: +33 (0)5 40 00 38 93 e-mail: a.desmedt@cnic.u-bordeaux1.fr
INFO
DERNIERE

NOUVELLE AGRESSION
D'UN RABBIN A PARIS

DIASPORABLOGJ
ACCUEILLE...

LE BUREAU NATIONAL
DE VIGILANCE CONTRE L’ ANTISEMITISME


BNVCA
8 Boulevard Saint Simon
93700 DRANCY

Le Président
Sammy GHOZLAN
0609677005

Drancy le 27 juin 2007

Le Bureau National de Vigilance contre l’Antisémitisme dénonce et condamne l’agression antisémite dont a été victime un rabbin, Monsieur Salomon L… le 25 juin 2007 à 12H30 à Paris.
Selon la victime qui a sollicité l’assistance de nos services,un homme d’environ 25 ans,d’origine nord africaine l’a provoqué d’abord dans le métro ligne 4 en direction de la Gare du Nord,en grommelant des menaces et des insultes.Pour éviter une confrontation Salomon L… descend à la station Gare du Nord , avise un membre de la sécurité .Il est suivi par l’agresseur qui profère des injures,des menaces antisémites , fait le salut nazi et lui donne un violent coup de pied au bas ventre.

M. Salomon L … a déposé plainte au commissariat de police. Les témoignages des membres du service de sécurité ont permis à la police d’identifier l’agresseur antisémite prénommé Tarik A…qui a été gardé à vue.
Les Urgences Médicales Judiciaires ont ordonné au rabbin,une première ITT de 10 jours pour les blessures subies.
Le BNVCA qui dénombre un nombre constant d’actes antisémites constate que la parole antijuive s’est libérée.le fléau persiste en dépit des mesures prises par l’Etat.Aujourd’hui les faits signalés se déroulent encore entre élèves,dans des établissements scolaires,dans la rue ,auprès du vosinage,et quelquefois même au sein d’entreprises.
Le BNVCA qui répond au 01 45 08 88 55 a décidé de mettre en ligne son site

SOSANTISEMITISME.ORG sur lequel les requérants, peuvent télécharger le formulaire de déclaration et relater les faits antisémites dont ils sont victimes ou témoins.Considérant que rien n’est anodin le BNVCA qui suit assidument toutes les affaires et les vérifie,recommande aux victimes et témoins de signaler tous les évènements antisémites.Cette procédure permet de mieux mesurer le phénomène pour mieux le combattre.

Sammy GHOZLAN
DERNIERE
MINUTE
Source : lemonde.fr via l'Agence Reuters
diffusé le 27 juin à 7h 57


Un membre du Djihad islamique tué
par l'armée israélienne à Gaza


GAZA (Reuters) - L'armée israélienne a tué un combattant du Djihad islamique lors d'une opération menée près de la ville de Khan Younès, dans la bande de Gaza, apprend-on de sources médicales palestiniennes.
L'armée israélienne vérifie l'information.
Selon des médecins palestiniens, deux autres combattants du groupe armé palestinien ont été blessés lors de cet accrochage avec des soldats israéliens.

mardi, juin 26, 2007

PASSERELLE
Source : lemonde.fr via l'Agence Reuters
en ligne le 25 juin



Ehud Olmert promet de libérer 250 Palestiniens
par Dan Willimas et Ola Galal


CHARM EL CHEIKH, Egypte (Reuters) - Le Premier ministre israélien, Ehud Olmert, a annoncé lundi son intention de libérer 250 prisonniers palestiniens détenus en Israël, dans un geste de bonne volonté vis-à-vis du président palestinien, Mahmoud Abbas.
Les deux hommes, qui se retrouvaient pour la première fois depuis la partition de fait de la bande de Gaza, aux mains du Hamas depuis le 14 juin, se sont entretenus à Charm el Cheikh en présence du président Egyptien Hosni Moubarak et du roi Abdallah II de Jordanie.

Au cours d'une conférence de presse en compagnie des trois autres dirigeants, le chef du gouvernement israélien a salué une occasion nouvelle pour promouvoir la paix au Proche-Orient et a assuré qu'il n'entendait pas la laisser passer.
Abbas a limogé le gouvernement d'union dirigé par le Hamas et créé un cabinet d'urgence en Cisjordanie après la prise de la bande de Gaza par le Mouvement de la résistance islamique, voué à la destruction de l'Etat d'Israël.
"Le nouveau gouvernement de l'Autorité palestinienne reconnaît le droit d'Israël à exister et est opposé au recours au terrorisme et à la violence comme moyen d'atteindre ses objectifs", a noté Olmert. "Nous travaillerons ensemble", a-t-il promis.
"En signe de notre bonne volonté à l'égard des Palestiniens, j'annonce aujourd'hui mon intention de libérer approximativement 250 prisonniers membres du Fatah qui n'ont pas de sang sur les mains et qui s'engageront à ne plus être impliqués dans des activités terroristes.
"Je suis optimiste, particulièrement en cette période troublée, je crois qu'il y a une occasion de faire progresser sérieusement le processus de paix régional. Je ne compte pas laisser passer cette opportunité", a insisté Olmert.



"MA MAIN EST TENDUE VERS LE PEUPLE ISRAÉLIEN"


Pressé par les dirigeants arabes d'améliorer le quotidien des Palestiniens, le Premier ministre s'est en outre engagé à débloquer plusieurs centaines de millions de dollars de recettes fiscales perçues au nom de l'Autorité autonome et gelés lorsque le Hamas est arrivé aux affaires, à alléger les restrictions de circulation imposées en Cisjordanie et à se conformer au programme américain qui prévoit une rencontre tous les quinze jours avec Abbas.
Ce dernier a quant à lui à nouveau fustigé le mouvement islamiste, l'accusant d'un "coup d'Etat sanglant" qui a profondément blessé le peuple palestinien.
"J'attends (...) du Premier ministre qu'il entame des négociations politiques sérieuses, conformément au calendrier accepté, avec pour objectif la création d'un Etat palestinien indépendant", a poursuivi Abbas, ajoutant: "Ma main est tendue vers le peuple israélien".
Le président de l'Autorité palestinienne réclame à court terme la fin des travaux d'extension des colonies juives et de la "barrière de sécurité" qui court en Cisjordanie, le dégel des recettes fiscales, l'élargissement de prisonniers et la levée des points de contrôle.
Le sommet "n'a rien apporté de neuf à notre peuple, en dehors de certaines discussions sur certaines sommes d'argent, qui nous ont été volées", a réagi Sami Abou Zouhri, porte-parole du Hamas.
"Le seul bénéficiaires de ces sommets est l'ennemi sioniste", a renchéri Mouchir al Masri, qui siégeait sur les bancs de la majorité islamiste dans un Conseil législatif palestinien désormais moribond.
"Il est étonnant qu'au moment où Abbas ferme la porte des discussions avec le Hamas, il court au devant d'Olmert et implore une rencontre", a-t-il ajouté.

lundi, juin 25, 2007

PASSERELLE
Source : la newsletter d'Infolive.TV
diffusée en fin d'après-midi le 25 juin



Dernière minute :
Gilad Shalit est vivant

Un an jour pour jour après son enlèvement, la branche armée du Hamas a diffusé lundi sur son site internet un enregistrement audio de Guilad Shalit. On y entend le soldat israélien affirmer d'une voix affaiblie mais clairement identifiable, que sa santé ne cesse de se dégrader. "Depuis un an que je suis en prison, ma santé s'est détériorée et j'ai besoin d'une hospitalisation prolongée", affirme ainsi en hébreu et d'une voix empreinte de lassitude le jeune soldat dans son message. Et il poursuit, apparemment en lisant un texte: "Moi le soldat Guilad, fils de Noam Shalit, détenu depuis déjà un an par les Brigades du martyr Ezzedine Al-Qassam, je vous transmets, papa, maman, mon frère, ma soeur, mes amis de l'armée, le bonjour depuis ma prison et vous me manquez tous". "Je regrette le manque d'intérêt pour mon sort du gouvernement israélien et de Tsahal, ainsi que leur refus de répondre aux exigences des Brigades Al-Qassam", ajoute Guilad Shalit. "Il est évident qu'ils doivent répondre à ces exigences pour que je puisse être libéré, en particulier du fait que j'étais en mission dans le cadre d'une opération militaire et sous les ordres de l'armée. Je n'étais pas un trafiquant de drogue", dit-il. "J'espère que mon gouvernement montrera plus d'intérêt pour mon sort et réponde aux exigences des moujahidine. Caporal Guilad Shalit". Il s'agit du premier signe de vie du soldat Shalit depuis neuf mois quand il avait écrit de sa main une lettre remise à son père. Guilad Shalit avait été enlevé le 25 juin 2006 par trois groupes terroristes palestiniens, dont celui du Hamas, à la lisière de la bande de Gaza. Ils exigent la libération de prisonniers palestiniens en Israël. 25/06/07
PASSERELLE
Source : lemonde.fr via l'Agence Reuters
en ligne le 25 juin


TITRE DE LA REDACTION
DE DIASPORABLOGJ :
"Il y a un an le soldat franco-israélien fut enlevé
par un groupe armé du Hamas"



Le soldat israélien Gilad Shalit
serait détenu près de Rafah

JERUSALEM (Reuters) - Le soldat israélien Gilad Shalit, enlevé par des activistes palestiniens le 25 juin 2006, est détenu dans deux pièces souterraines d'un immeuble du sud de la bande de Gaza, selon une chaîne de télévision israélienne.
Selon la Chaîne 2, qui précisait dimanche tenir ses informations de source proche du mouvement Hamas, Shalit est détenu près du camp de réfugiés de Chaboura, non loin de la ville de Rafah.

Les autorités israéliennes ont refusé de commenter ces informations et un proche d'un des trois groupes palestiniens qui ont revendiqué l'enlèvement du militaire franco-israélien a parlé de "pure spéculation".
La chaîne de télévision israélienne affirme que Shalit est traité correctement et qu'il est surveillé par deux gardiens avec lesquels il a établi une relation "cordiale".
Lui et ses gardiens passent le plus clair de leur temps à jouer aux cartes, ajoute-t-elle. Shalit apprend l'arabe auprès de ses gardes, à qui il enseigne en retour l'hébreu.
Les deux pièces enterrées dans lesquelles il est détenu, accessibles seulement par une échelle de 15 mètres, contiennent suffisamment de vivres pour tenir deux semaines, poursuit la chaîne, selon laquelle le chemin d'accès est piégé avec des explosifs.
Le jeune militaire a été capturé il y a un an sur le sol israélien par des activistes venus de la bande de Gaza, un coup de main revendiqué par trois mouvements, dont la branche militaire du Hamas.

dimanche, juin 24, 2007

BREVE
DECULTURE
Source : la newsletter
de commeaucinema.com via l'AFP
distribuée le 24 juin



Tom Cruise pour incarner von Stauffenberg:
polémique en Allemagne

De nombreuses voix s'élevaient vendredi en Allemagne pour protester contre le projet de Tom Cruise, membre éminent de l'Eglise de Scientologie, d'incarner Claus von Stauffenberg, artisan de l'attentat manqué contre Adolf Hitler en 1944."Il m'est désagréable que quelqu'un qui se reconnaît dans l'Eglise de Scientologie interprète mon père", a affirmé Berthold Schenk von Stauffenberg, le fils du héros de la résistance allemande, reconnaissant toutefois ne pas pouvoir empêcher le tournage de ce film cet été par Bryan Singer."Il ne doit pas toucher à mon père", a-t-il dit au quotidien Süddeutsche Zeitung paru vendredi. "Il peut aller escalader une montagne ou surfer dans les Caraïbes. Cela m'est égal tant qu'il se tient à l'écart" de ce film de guerre qui doit être tourné à Berlin et en Europe centrale, a-t-il ajoouté."J'ai espéré pendant un moment que tout cela était une farce publicitaire de M. Cruise mais apparemment ce n'est pas le cas", a-t-il dit, déplorant que personne ne lui ait proposé de lire le scénario écrit par Chris McQuarrie.Le film porte pour l'instant le nom de "Valkyrie" du nom de l'opération qui a failli tuer le dictateur nazi le 20 juillet 1944. Claus von Stauffenberg fut exécuté le soir même de l'attentat raté, au "Benderblock", un bâtiment qui fait désormais partie du ministère allemand de la Défense.Or l'équipe pourrait ne pas recevoir la permission de tourner sur ce lieu, selon Antje Blumenthal, experte des sectes au sein de la fraction parlementaire conservatrice au Bundestag (chambre des députés), car selon elle, ouvrir la porte à un "scientologue de haut rang dans un bâtiment fédéral reviendrait à lui apporter une reconnaissance de la part de la classe politique fédérale".Elle a ainsi relaté au quotidien populaire berlinois "B.Z." à paraître samedi comment le ministre de la Défense Franz Josef Jung lui avait assuré que "(son) ministère ne donnerait pas d'autorisation de tournage pour ce film dans le Benderblock".Un porte-parole du ministère a toutefois indiqué qu'aucune demande n'avait encore été déposée.Aristocrate, catholique conservateur et colonel de l'armée allemande, le comte Claus Schenk von Stauffenberg (1907-1944) a été fasciné par les succès d'Adolf Hitler avant de se rallier à la résistance allemande contre le nazisme pour devenir l'artisan de l'attentat manqué après la débâcle de la Wehrmacht sur le front russe en 1942.
DIASPORABLOGJ
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LE CCJ 93

UNION DES CONSEILS DES COMMUNAUTES JUIVES D’ ILE DE France
CONSEIL DES COMMUNAUTES JUIVES DE SEINE SAINT DENIS
8 Boulevard Saint Simon 93700 DRANCY


Le Président
Alain Sammy GHOZLAN
0609677005

Le Conseil des Communautes Juives de Seine Saint Denis alerté par des administrés de la Ville de Pierrrefitte avait dénoncé la décision scandaleuse du Conseil Municipal de cette commune d’élever le palestinien Marwan BARGHOUTI au rang de citoyen d’honneur de la ville, alors qu’il est détenu en Israel pour actes de terrorisme.
Le Préfet du Département Mr. Jean -François CORDET a été saisi par Mr GHOZLAN
Président du CCJ 93.

Dans sa lettre du 15 juin 2007 à Mr GHOZLAN,le Préfet informe le président du CCJ 93, qu’il a adressé à Madame HENRIOT Maire de Pierrefitte,un courrier circonstancié dans lequel il lui demande « de procéder au retrait de la délibération du 24 mai 2007 … qui ne bénéficie pas d’une reconnaissance unanime de la collectivité, crée un trouble à l’ordre public,donne lieu a des controverses …»
Le vendredi 22 juin 2007 à 16 H,une délégation du CCJ 93 conduite par M. GHOZLAN et composée de M.LUGASSY,Mr LUMBROSO dirigeants de la Communauté Juive de Pierrefitte et M. Chemouni du CCJ 93, a été reçue à sa demande par la Maire de Pierrefitte.
Au cours de l’entretien Madame HENRIOT Maire de Pierrefitte ,en présence de Patrick LAPLACE chef de Mission,nous a exprimé sa surprise de voir les effets provoqués par cette décision qu’elle déclare avoir prise de bonne foi,à partir d’un rapport établi par Maitre Simon FOREMAN avocat et expert mandaté par le « Comité des Droits de l’Homme des parlementaires en application de la résolution adoptée par le Conseil de l’Union Interparlementaire »
Il convient de préciser qu’en dépit de son titre pompeux, cette organisation, ne bénéficie à notre connaissance d’aucune légitimité de l’UE ou de l’ONU. Ce rapport daté du 3/10/2003 ne fait aucune mention du rôle joué par BARGHOUTI dans le terrorisme, mais s ’appesantit sur les conditions de son arrestation,du procès et de sa détention par les autorités israeliennes.
Notre délégation expose à Madame HENRIOT les accusations de terrorisme,portées contre Marwan BARGHOUTI ,chef des Tanzim ,fondateur de l’organisation terroriste Brigades des Martyrs Al Aqsa,confondu pour 12 des 33 attentats pour lesquels ils est suspecté,dont l’assassinat d’un moine grec orthodoxe etc…

Madame HENRIOT a assuré les représentants du CCJ 93, qu’abusée par le rapport de M°FOREMAN, elle ignorait les faits de terrorisme reprochés à Marwan BARGHOUTI. Elle nous affirme qu’elle réunira son Conseil Municipal pour se conformer aux recommandations du Préfet du Département ,annuler le vote émis le 24 mai 2007 par ce Conseil, (auquel les élus Verts n’ont pas participé ,que le groupe UMP de PIERREFITTE a dénoncé ) et ce, afin de mettre fin à la polémique et aux désagréments qu’elle engendre inutilement.
Madame HENRIOT a tenu à nous rassurer sur ses intentions d’équité. Elle a exprimé le souhait de faire jumeler sa ville avec une ville israélienne.
Le CCJ 93 en coordination avec Monsieur le PREFET de BOBIGNY, veillera attentivement à l’application de ces promesses.
PASSERELLE
Source : la newsletter d'Infolive.TV
distribuée le 24 juin


Israël vient en aide à l'Autorité palestinienne

Le cabinet doit approuver une série de mesures visant à améliorer la qualité de vie des Palestiniens en Judée-Samarie. Parmi ces mesures, le gouvernement doit lever certaines interdictions afin de permettre une plus grande liberté de mouvement dans le territoire palestinien. La décision phare de cette série de mesures consistera en la reprise du versement de droits de douane et de taxes au profit du nouveau gouvernement dirigé par Salam Fayad. En tout, près de 400 millions de dollars devraient être versés dans les caisses du trésor palestinien. Cette somme était bloquée par Israël depuis l’arrivée du Hamas aux affaires palestiniennes en janvier 2006. Ces mesures, qui répondent pour la plupart à une exigence américaine, ont été formulées dans une proposition adoptée conjointement par le Premier ministre Ehoud Olmert, la ministre des Affaires étrangères Tsipi Livni, le ministre de la Défense Ehoud Barak et les services du ministère des Finances. Ce dernier sera responsable de l’échelonnage des versements. La décision qui devra être officiellement adoptée en cabinet ce dimanche prévoit de reconduire la politique israélienne d’isolement du Hamas tout en préconisant la poursuite de l’aide humanitaire aux habitants de Gaza, par la fourniture d’eau, d’électricité, de carburants, d’aliments et de matériel médical.

Jérémy Devray-Bénichou
jeremy@infolive.tv
PASSERELLE
Source : lejdd.fr en ligne le 24 juin



Rama Yade comme une "évidence"
Par Grégory BLACHIER

Rama Yade, 30 ans, a été nommée mardi secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères et aux droits de l'Homme. Noire, jeune et musulmane, elle se défend d'être une caution au sein du gouvernement. Brillante fonctionnaire, fille de diplomate, elle entend promouvoir la diversité et conserver sa liberté de ton, auprès d'un Nicolas Sarkozy qu'elle a rejoint comme "une évidence".
A seulement 30 ans, Rama Yade est la benjamine du gouvernement.

Elle le dit sans détours, sans se cacher: "Je suis du système". A 30 ans, Rama Yade vient d'entrer au gouvernement, nommée mardi secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères et aux droits de l'Homme. Sa nomination n'est qu'une demi-surprise, puisqu'elle est du sérail, et que depuis quelques semaines, si on ne parle pas que d'elle, elle est sur toutes les lèvres. Rien d'étonnant pour une jeune femme qui n'a pas sa langue dans sa poche, issue de ce qu'elle nomme les "cultures de la parole", comme elle l'a rappelé au président Nicolas Sarkozy, lorsqu'il n'était que candidat.Sa présence au sein de l'équipe Fillon II résulte aussi d'une logique froide: Rama Yade, de son nom complet Ramatoulaye Yade-Zimet, est une femme, jeune, noire et musulmane. Quatre raisons de se voir offrir une place au sein du gouvernement "d'ouverture" que le président et son Premier ministre n'ont cessé de mettre en avant.

Elle est favorable à la discrimination positive "à la française", même si elle dit ne pas aimer ce mot, et lui préférer "l'affirmation active", traduction littérale de l'expression anglo-saxonne. Elle concède incarner "tout ce que les hommes politiques ne sont pas", mais refuse fermement l'idée d'alibi, et martèle: "Je n'ai pris la place de personne. (...) La politique ça ne pardonne pas. Ce système je le connais bien". Avant de livrer cette réflexion que ne renierait pas Nicolas Sarkozy: "Si n'il y a pas de noirs ou d'arabes dans les partis politiques, ils sont racistes ; s'il y en a, c'est un alibi. Alors, on travaille quand ?



"Elle connaît "par coeur
les discours du général, de Pompidou"

Le système, lui aussi, connaît bien cette fille d'une professeure d'histoire et d'un diplomate sénégalais, proche de Léopold Sedar-Senghor. Elevée dans les Hauts-de-Seine, Rama Yade est un exemple de réussite: boursière, elle fait des études brillantes, réussit Sciences Po, et devient administratrice au Sénat. La grande et belle jeune femme avoue s'intéresser à la politique depuis l'adolescence. Ses parents penchent plutôt pour le socialisme, elle connaît "par coeur les discours du général, de Pompidou et de tant d'autres". En 1993, elle n'a que 15 ans et remarque un homme politique qui a du "culot", lorsqu'il pénètre dans une école maternelle de Neuilly pour aller chercher les enfants pris en otages par un forcené. Déjà, Nicolas Sarkozy la séduit.Etudiante, elle fait pourtant partie de ces "gens majoritaires qui ont longtemps pensé que les hommes politiques n'étaient plus très intéressants parce que le débat manquait". Puis en 2002, elle voit entrer au gouvernement un homme qui a "du panache", un "parcours de grognard", qui dit "je vais me battre" et partage avec elle "ce refus de la fatalité". Rama Yade a fait son choix, comme "une évidence", son engagement en politique, ce sera aux côtés de Nicolas Sarkozy. En bonne enfant du système, elle le rencontre par "plusieurs canaux", et le convainc vite. Elle demande à Sarkozy de l'humanismeEncartée à l'UMP depuis deux ans et demi, elle est secrétaire nationale à la Francophonie du parti depuis à peine un an, lorsque le candidat lui demande de s'exprimer au cours du Congrès d'investiture, le 14 janvier. Elle est intimidée et lui dit qu'elle n'est pas sûre de pouvoir parler devant 50 000 personnes. Elle raconte la réponse du futur président: "Il tire sur son cigare et me dit ‘peut-être 80 000'". Lors de son discours, elle fait forte impression. Cette épouse d'un militant socialiste, partisan de la ligne strauss-kahnienne, attaque durement la gauche, qu'elle accuse de "cécité républicaine", et de préférer "la pitié plutôt que le respect" à l'égard des enfants issus de l'immigration. Mais elle se fend aussi de quelques piques à l'égard des militants UMP, loue les propositions de Nicolas Sarkozy qui a aboli la double peine ou envisagé de faire voter les étrangers aux élections locales "au risque de vous heurter chers amis". Au passage, elle a appelé le candidat à faire "preuve d'humanisme" dans ses actions, et à y mettre les formes, pour éviter d'entendre parler de "Kärcher", "polygamie" et autres "moutons égorgés".

Fatalement, la question de ses origines, de cette "caution" qu'elle se défend d'être et dont elle dit qu'on lui parle davantage à Paris que lors de ses déplacements en province, redevient centrale. "Je ne me réveille pas le matin en me disant que je suis noire", lance-t-elle, mais le fait est que son engagement est marqué par ses origines. Membre du Club XXIe siècle, qui promeut la diversité, et du Club Averroès, pour la promotion des "minorités actives" dans les médias, elle veut apporter son éclairage sur les Noirs de France. Elle s'y est déjà attelée, dans un livre dont l'idée lui a été soufflée par le président des Editions Calmann-Lévy. "Noirs de France, Les nouveaux Neg'Marrons" raconte "le rendez-vous manqué entre la République et les Afro-antillais". En revendiquant, toujours, la liberté de parole qui en a fait une "bonne cliente" des plateaux télévisés, elle s'amuse des "passages de ce livre qui en feraient hurler certains à l'UMP". Un système dont elle a gravi les échelons à la vitesse grand V.

samedi, juin 23, 2007

PASSERELLE

Source : lejdd.fr en ligne le 23 juin


Rama Yade,
les Français l'adorent

Par Ivan PORSPODER
leJDD.fr














Femme, jeune, noire, Rama Yade incarne à elle seule toutes les ouvertures souhaitées par Nicolas Sarkozy. Cinq mois après avoir surgi sur la scène politique, elle vient d'être nommée secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères et aux Droits de l'Homme dans le gouvernement Fillon II et séduit les Français selon le sondage


"Il y aura deux femmes noires sur la scène internationale : Condi Rice et Rama Yade". Nicolas Sarkozy n'y va pas par quatre chemins pour dire tout le bien qu'il pense de Rama Yade. La formule choc, lâchée mardi au détour d'une conversation informelle avec quelques journalistes et rapportée par Le Parisien fait mouche même si elle est largement exagérée. Elle a en tout cas le mérite d'en dire long sur la volonté du chef de l'Etat d'exploiter médiatiquement la montée en puissance de cette jeune femme de 30 ans, née en politique le 14 janvier dernier, le jour où Nicolas Sarkozy était investi par l'UMP. Le président de la République, sous le charme, a été bluffé par l'assurance de Rama Yade et son culot de néophyte face aux ténors de la gauche, au point d'en faire la benjamine du gouvernement Fillon II. Sous le charme, c'est exactement ce qui ressort du sondage OpinionWay réalisé pour Lejdd.fr. Les Français viennent tout juste de découvrir cette jeune femme et l'ont déjà adoptée puisqu'elle est la personnalité préférée des sondés parmi les nouveaux arrivants dans le gouvernement. Pour 24% d'entre eux (19% chez les électeurs de gauche, 29% chez ceux de droite), elle est la grande réussite du nouveau casting gouvernemental.
PASSERELLE
Source : lemonde.fr
en ligne le 23 juin



Consensus politique en Israël
pour soutenir
le Président palestinien Mahmoud Abbas
face à la menace du Hamas

Une semaine après l'effondrement brutal du Fatah dans la bande de Gaza et la prise du pouvoir des islamistes radicaux du Hamas, le soutien apporté ostensiblement par le premier ministre israélien, Ehoud Olmert, au président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, très affaibli par ce revers, fait l'objet d'un consensus en Israël.
Hostiles à la coalition gouvernementale rassemblant les deux principaux mouvements palestiniens, difficilement mise sur pied après l'accord de La Mecque obtenu par la diplomatie saoudienne, les autorités israéliennes n'ont pu que se féliciter de la création, par M. Abbas, d'un gouvernement d'urgence excluant les membres du Mouvement de la résistance islamique (Hamas).
Si le Likoud a profité du coup de force du Hamas à Gaza pour rappeler ses critiques et son opposition au retrait unilatéral de l'étroite bande de terre opéré par Israël en 2005, en revanche, la droite israélienne n'a rien trouvé à redire, pour l'instant, au sommet de Charm El-Cheikh, lundi 25 juin, dont l'objectif est de renforcer le président palestinien.
La capacité de M. Abbas à renverser une situation compromise fait l'objet d'interrogations. Dans un sondage publié jeudi, 47 % des Israéliens interrogés estiment que leur pays doit l'aider, contre 38 % qui pensent le contraire, mais il n'en apparaît pas moins comme le seul rempart palestinien possible face au Hamas.
Les modalités du "nouveau départ", évoqué par le premier ministre, avec M. Abbas restent cependant floues. La décision de M. Olmert, qui devait être avalisée par le gouvernement, dimanche, de débloquer les millions de dollars provenant de taxes collectées au profit des Palestiniens (dont les importations transitent obligatoirement par le territoire israélien) n'a pas fait l'objet de critiques.



DÉBAT SUR LA LEVÉE DES BARRAGES


Selon la presse israélienne, ce déblocage devrait être progressif alors que les sommes dues dépassent 600 millions de dollars. Yoval Steinitz, député du Likoud et ancien président de la commission des affaires étrangères et de la défense de la Knesset, a cependant estimé que les Israéliens devraient exiger en retour que l'Autorité palestinienne lutte contre les groupuscules armés en Cisjordanie, qui proviennent en majorité du Fatah.

Les levées de barrages et de points de contrôle en Cisjordanie réclamées par les Palestiniens devraient, en revanche, susciter un débat. En mai, les autorités israéliennes elles-mêmes avaient ainsi accueilli fraîchement le plan d'un général américain, Keith Dayton, pour faciliter la circulation des biens et des personnes en Cisjordanie mais également entre la Cisjordanie et Gaza. Cette hostilité avait entraîné le report d'une visite de la secrétaire d'Etat américaine, Condoleezza Rice, en Israël et dans les territoires palestiniens. La liaison entre la Cisjordanie et Gaza n'est cependant plus d'actualité depuis l'effondrement du Fatah dans ce territoire.
De même, l'hypothèse de la libération de Marouane Barghouti, un responsable du Fatah très populaire qui purge en Israël plusieurs condamnations à la prison à vie pour sa participation supposée à des attentats, ne fait pas l'unanimité. Cette libération a été évoquée par un proche de M. Olmert, le ministre de l'environnement Gideon Ezra, et, dans un éditorial, par le quotidien Haaretz, qui considèrent que M. Abbas en sortirait renforcé, mais la droite et l'extrême droite y restent totalement opposées.

Gilles Paris
PASSERELLE
Source : lemonde.fr via l'Agence Reuters
en ligne le 23 juin


Israël arrête un haut dirigeant du Hamas
en Cisjordanie


RAMALLAH, Cisjordanie (Reuters) - Les militaires israéliens ont arrêté dans un village au nord de Ramallah, en Cisjordanie, Saleh al Arouri, un haut dirigeant du Hamas, a-t-on appris de source militaire israélienne et de source proche de la sécurité palestinienne.
Des responsables ont présenté Arouri comme le fondateur des Brigades Ezzedine al Kassam, la branche armée du Hamas, en Cisjordanie.

Le Hamas a vu dans cette arrestation une preuve de la collusion entre Israël et le Fatah, faction du président palestinien Mahmoud Abbas, hostile au mouvement islamiste.
Sami Abou Zouhri, porte-parole du Hamas, a parlé d'une "double conspiration" contre les activistes de sa faction en Cisjordanie: la première israélienne et la seconde orchestrée par les services de sécurité fidèles à Abbas.
Arouri avait été libéré par Israël en mars dernier après avoir passé 15 ans dans une prison israélienne pour avoir fondé les Brigades.
Il aurait été arrêté à nouveau samedi pour avoir "continué d'agir ouvertement au sein de l'organisation terroriste Hamas", a-t-on indiqué de source militaire israélienne.

BREVES
DECULTURE

ROMAIN GARY

La Ville de Vilnius, capitale de la Lituanie, élevera une statut en souvenir de l'enfant du pays, Romain Gary alias Emile Ajar, auteur d'un best-seller, "La Vie devant de soi" porté à l'écran en 78 par Moshé Miszahi et interprété, dans le rôle principal, Mme Rosa, par Simone Signoret, césar de la meilleure comédienne.


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BARBRA STREISAND

Dans un compte-rendu, publié dans le Monde daté du 22 juin, consacré à la première tournée européenne de la diva de la variété américaine, Barbra Streisand, Véronique Mortaigne nous apprend que l'interprète de "Woman's on love" que nombre de ces concerts à travers les Etats-Unis "servent à trouver de l'argent pour ses amis démocrates ou pour sa Fondation" qui traite, parmi les combats qu'elle mène, des relations entre Juifs et Noirs américains, des relations entre Juifs et Musulmans.


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WOODY ALLEN

Premier tour de manivelle du prochain film de Woody Allen, le 9 juillet à Barcelone. Il aura à l'affiche, Scarlett Johnson, Penelope Cruz, Javier Bardem.
Puis il enchaînera en septembre, sur la direction d'oeuvres d'Opéra, signé Puccini, sous les ors de l'Opéra de Los Angélès dirigé par Placido Domingo.
PASSERELLE
Source : lefigaro.fr en ligne le 23 juin
révélation Georges Malbrunot


Le pouvoir syrien tente de renouer avec Paris


Damas, qui cherche à sortir de l'ostracisme dont l'avait frappé Jacques Chirac, multiplie les manoeuvres d'approche, y compris auprès de Cécilia Sarkozy.

BOUSHRA Shawkat, la soeur du président Bachar el-Assad, a rencontré au printemps Cécilia Sarkozy, l'épouse de celui qui était alors le candidat UMP. L'entretien, révélé de sources diplomatiques, a eu lieu grâce à l'entremise de Nahed Ojjeh, figure mondaine parisienne et fille de l'ex-ministre syrien de la Défense, Moustapha Tlass. Mariée à Assef Shawkat, le tout-puissant patron des services de renseignements militaires syriens, Boushra jouit d'une influence certaine au sein de la famille Assad, qui gouverne la Syrie d'une main de fer. L'aînée des Assad vient régulièrement à Paris. À l'Élysée, dans l'entourage de la première dame de France, on se refuse à tout commentaire sur cette rencontre : « Je ne confirme ni ne démens », dit un proche de Cécilia Sarkozy.

À couteaux tirés avec Jacques Chirac, Damas souhaite reprendre le dialogue avec Paris, après avoir fait de même, en mai, avec Washington. Jadis principale alliée du régime syrien en Occident, la France a coupé les ponts avec Damas après l'assassinat, en février 2005 à Beyrouth, de Rafic Hariri, l'ancien premier ministre libanais. La France soupçonne les services de renseignements syriens d'avoir fomenté l'attentat contre l'ami personnel de Jacques Chirac.


Capacité de nuisance

« Les Syriens envoient des signaux, mais ce ne sont pas les bons », observe un connaisseur des relations franco-syriennes, qui confirme le lobbying de Damas auprès du nouveau pouvoir français. Le régime baasiste doit prochainement nommer un nouvel ambassadeur à Paris, le poste étant vacant depuis l'an dernier. Mais « il est encore un peu tôt pour parler aux Syriens », indique-t-on au Quai d'Orsay. Juste après l'élection de Nicolas Sarkozy, Paris n'excluait pas un dégel des relations franco-syriennes, délestées du caractère passionnel de la présidence Chirac.
« Puisque nous sommes prêts à parler à l'Iran, je vous recommande d'en faire de même avec la Syrie et l'opposition libanaise », aurait même conseillé Condoleezza Rice, la secrétaire d'État américaine, à son homologue Bernard Kouchner, en marge du sommet du G8 début juin en Allemagne. Quelques jours auparavant, le nouveau chef de la diplomatie française avait pris les devants en rencontrant à trois reprises à Paris le général libanais Michel Aoun, membre de l'opposition prosyrienne, qui était boudé sous la présidence Chirac.
Il y a quinze jours encore, « la porte (avec Damas) n'était pas complètement fermée », reconnaît-on au Quai d'Orsay. Ainsi, Jean-Claude Cousseran, le diplomate chargé de la préparation de la conférence sur le Liban prévue à la mi-juillet à Paris, n'excluait pas de se rendre en Syrie. Mais, depuis l'attentat qui, le 13 juin, a coûté la vie à Beyrouth au député sunnite Walid Eido, membre du courant Hariri, Damas n'est plus sur l'itinéraire de l'émissaire français. Comme si la capacité de nuisance syrienne hors de ses frontières avait une nouvelle fois dissuadé Paris.

La France souhaite que Damas affiche sa bonne volonté sur les nombreux différends qui empoisonnent les relations bilatérales, qu'il s'agisse du tribunal international mis en place pour juger les assassins d'Hariri - Damas refuse d'y coopérer -, des trafics d'armes en provenance de Syrie vers le Liban - constatés et dénoncés par les Nations unies -, sans parler de la déstabilisation de la vie politique libanaise à travers les assassinats répétés de dirigeants antisyriens, souvent d'ailleurs liés d'une manière ou d'une autre à la France, ou encore de l'appui, plus ou moins direct, aux rebelles islamistes du camp de Nahr el-Bared.
A NOS CHERS
ET FIDELES VISITEURS

DIASPORABLOGJ SE REJOUIT, MALGRE L'ABSENCE DE MOYENS QUI NE PERMET PAS, ENTRE AUTRES, D'ETTOFER L'EQUIPE, D'AVOIR ETE LE PREMIER BLOG A THEMATIQUE JUIVE A DIFFUSE, DEPUIS PLUSIEURS SEMAINES, DES INFORMATIONS DE TOUTE PREMIERE MAIN CONFIRMEES QUELQUES JOURS PLUS TARD. CES RESULTATS MONTRENT, LORSQUE NOUS LES AVONS ET NOUS DECIDONS DE LES PUBLIER, LA FIABILITE ET DE NOS INFORMATIONS ET DE NOS INFORMATEURS. CETTE POSITION EXCEPTIONNELLE DANS UN MEDIA DE SENSIBILITE JUIVE EST AUSSI PREUVE DE SERIEUX SUR CE QUE NOUS AFFIRMONS.

NOUS NOUS ENGAGEONS BIEN EVIDEMMENT A POURSUIVRE DANS CETTE VOIE ET MÊME A GAGNER DES POINTS EN MULTIPLIANT LE NOMBRE DE CES INFORMATIONS INEDITES ET EN AMELIORANT ENCORE LEUR QUALITE.

NOUS ALLONS DANS LES SEMAINES A VENIR CONTINUER A LANCER DES PONTS VERS D'AUTRES MEDIAS COMME NOUS VENONS DE LE FAIRE AVEC RADIO J.

D'AUTRES SURPRISES POUR VOUS, CHERS ET FIDELES VISTEURS, SONT EN COURS DE PREPARATIONS. NOUS NE TARDERONS PAS A VOUS LES COMMUNIQUER.


CONTINUER A NOUS SUIVRE, DONNER VOTRE POINT DE VUE, AIDEZ-NOUS A ELARGIR DAVANTAGE LE CERCLE DES VISITEURS, EN PROGRESSION CONSTANTE (15 à 20% par mois depuis avril 2007).

MERCI DE VOTRE FIDELITE ET DE VOTRE CONFIANCE.


Bernard Koch
http://www.diasporablogj.blogspot.com/


Rappel des informations que nous vous avons données avant tout le monde et qui ont été confirmées par la suite :

-Mercredi 16 mai
Bernard Kouchner,
Ministre des Affaires Etrangères


-Mercredi 23 mai
la nomination de Rama Yade au gouvernement
de François Fillon 2

-Mardi 19 juin
1/2h avant l'annonce du nouveau gouvernement Fillon les nominations de Fadela Amara et de Rama Yade