"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mercredi, mars 31, 2010

PÂQUEJUIVE
NOUVELLES
SOLIDARITESDANS
LACOMMUNAUTEJUIVE
DEFRANCE

Source : lacroix.com en ligne le 30 mars


Opération « Matzot de l’espoir »
pour les jeunes juifs d’Ile-de-France


Dimanche 28 mars, 400 jeunes juifs d’Île-de-France ont visité hôpitaux et maisons de retraite pour distribuer les galettes de pain azyme et le texte biblique indispensables pour fêter la Pâque juive, première opération de la toute nouvelle aumônerie israélite des hôpitaux

« Regardons… Qui pourrait être intéressé par vos services ? » Dans ce service de l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, l’infirmière consulte la liste de ses patients et indique un numéro de chambre au rabbin Gabriel Elfassi, l’aumônier israélite. Certains malades, lors de leur arrivée, ont demandé à recevoir des repas casher. Mais pour d’autres, le personnel soignant suppose juste une appartenance confessionnelle.

De fait, ce premier patient, qui ne peut s’exprimer, est juif. « Son père était très religieux », et « il sait que c’est Pessah (NDLR : la Pâque juive), sa femme lui a expliqué », assurent ses proches venus lui rendre visite. À la vue du rabbin, il parvient à articuler son nom hébreu – Yacov ben Tamara – qui servira d’intention de prière lors de l’office.

À lui, comme à cette vieille dame de 85 ans frappée par un accident vasculaire cérébral, Gabriel Elfassi remet un livret contenant la « haggada de Pessah », ce texte lu chaque année au début du traditionnel repas du seder et qui raconte la sortie des Hébreux d’Égypte – et une boîte de matzot – des galettes sans levain –, rappelant ce « pain de misère » qu’ils ont dû consommer en exil.


«Cela nous fait réfléchir sur nos vies»

« Ma tante venait justement de nous demander de lui en apporter », se réjouit son neveu, qui explique en aparté combien il est difficile pour elle de ne pouvoir préparer le seder en famille « pour la première fois depuis soixante-dix ans »...

Dans un autre service, Barbara, 22 ans, Simha, 23 ans, et Émilie, 28 ans, sont allées à la rencontre de deux patientes juives. L’une d’elles a fondu en larmes en comprenant la raison de leur visite. « Elle est assez seule, alors elle était contente de discuter avec nous. Elle nous a parlé de sa famille, nous a demandé nos noms », raconte Simha, qui fréquente la synagogue de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) dont Gabriel Elfassi est le rabbin.

« C’est émouvant de voir à quel point la religion est importante pour elle. Cela nous fait réfléchir sur nos vies : on se rend compte à quel point on peut être matérialiste, ou accaparé par des petits problèmes. » En revanche, Haïm et Nathan, 19 ans, n’ont trouvé aucun patient juif dans l’immense couloir des urgences et rentrent bredouilles, leur sac plein.


Former des aumôniers,
rabbins ou laïcs

Un peu plus tôt, en ce dimanche, tous se sont réunis à la synagogue de la place des Vosges, à Paris, à l’invitation de la toute nouvelle aumônerie israélite des hôpitaux et du consistoire de Paris pour cette opération inédite baptisée « Matsa de l’espoir ». Le grand rabbin René-Samuel Sirat est venu leur redire le sens de la mission qu’ils allaient accomplir, les « remercier au nom de la communauté » et les bénir « ainsi que leurs familles ».

Au total, près de 400 jeunes, lycéens ou étudiants, ont visité 53 hôpitaux d’Île-de-France, ainsi que quatre maisons de retraite juives de la capitale, « sans souci particulier », se réjouit Mikaël Journo. Ce rabbin de Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine) – pour l’heure aumônier d’hôpital bénévole comme de nombreux autres de ses confrères – vient d’être nommé aumônier général des hôpitaux de France par le grand rabbin de France, Gilles Bernheim.

Et bouillonnent déjà d’autres projets, notamment la formation des futurs aumôniers – il en souhaiterait un par hôpital, d’abord en Île-de-France, en province ensuite – : rabbin ou laïc, et dans ce cas « homme ou femme. Une petite révolution dans le monde du judaïsme orthodoxe », reconnaît-il.


Anne-Bénédicte HOFFNER
SARKOZY/OBAMA
PARTAGEDESPOINTS

DEVUESURLECONFLIT
ISRAELOPALESTINIEN
Source : le blog de René Blackmann
journaliste au NouvelObs en ligne
le 31 mars à 19h 33
sur Diasporablog à 20h 40


Sarkozy :
la colonisation n'amène rien
à la sécurité d'Israël


Après avoir rappelé son « engagement bien connu au service de la sécurité d'Israël », Nicolas Sarkozy s'est rallié mardi lors de sa conférence de presse avec Barack Obama, à la Maison Blanche, à la position du président américain en condamnant la poursuite de la colonisation israélienne à Jerusalem-Est, « qui n'amène rien à la sécurité d'Israël ».

Soulignant que « la paix est l'affaire des Israéliens et des palestiniens, mais que l'absence de paix est un problème pour nous tous », il s'est félicité de l'implication des Etats-Unis dans la région, en notant que « le moment est venu de prendre des initiatives en faveur de la paix ». Il n'a pas précisé, cependant, si passant des déclarations de principes aux propositions concrètes, il s'associait à la demande formulée la semaine dernière par Barack Obama, d'un gel total de quatre mois de toute activité de colonisation à Jerusalem-Est, y compris dans les colonies les plus peuplées.

En échange de ce gel, Washington se serait engagé, auprès du gouvernement israélien, à convaincre le président palestinien Mahmoud Abbas d'accepter des négociations directes avec Benjamin Netanyahou. En raison des célébrations de la Paque juive, qui prendront fin mardi prochain, les réunions du cabinet de sécurité israélien - connu comme le « forum des sept » car les six principaux ministres y siègent avec le premier ministre - se sont interrompues.



Barak et la « solution créative »



Mais les deux réunions qui s'étaient tenues à Jerusalem après le retour des Etats-Unis de Benjamin Netanyahou avaient débouché sur un rejet des demandes - une dizaine - formulées par Barack Obama. A la question du « gel » de la colonisation à Jerusalem-Est, Haaretz indique que quatre ministres - Avigdor Lieberman, Moshe Ya'alon, Benny Begin et Eli Yashaï - auraient opposé un refus catégorique alors que deux autres - Ehoud Barak et Dan Meridor auraient recommandé de chercher une « solution créative ». La solution créative en question pourrait être, par exemple, un « oui, mais », assorti d'une série de réserves. On se souvient qu'à la feuille de route du Quartette, Israël, déjà avait répondu par un « oui, mais » accompagné de 14 réserves.

Peut-être, en présentant cette proposition, le ministre de la Défense Ehoud Barak s'est-il souvenu d'une conversation qu'il avait eue avec Mahmoud Abbas, à la fin de l'année dernière. Au cours de cette conversation dont il avait révélé la teneur à la presse en décembre 2009, le président palestinien avait, affirmait-il, proposé à Ehoud Barak que le gouvernement israélien applique sur le terrain un gel de la colonisation de six mois, sans l'annoncer.

Cette proposition était restée sans suite. La question de la colonisation est si brûlante aujourd'hui et les différents protagonistes, si vigilants, face à l'activité sur le terrain qu'une telle ruse, destinée à apaiser l'opinion publique palestinienne sans embraser les organisations de colons est exclue.

Il reste moins d'une semaine à Benjamin Netanyahou pour préparer ses réponses à Obama et affronter l'alternative difficile qui occupe son horizon politique : camper sur ses positions et compter sur ses alliés aux Etats-Unis pour accroitre leur pression sur Barack Obama, c'est-à-dire laisser s'aggraver, voir pourrir, la crise avec Washington ou accepter un gel substantiel de la colonisation et entrer en conflit avec les colons et la droite nationaliste et religieuse, c'est-à-dire courir le risque de l'explosion de sa coalition.



Une initiative européenne ?



Un facteur relativement nouveau peut peser sur sa décision : l'évolution possible de la position européenne, qui pourrait se rapprocher de celle des Etats-Unis. Au cours de conversations téléphoniques, la semaine dernière, avec une dizaine de diplomates, pour la plupart en poste dans des capitales européennes, le directeur général du ministère des Affaires étrangères, Yossi Gal, aurait constaté que l'attitude de Benjamin Netanyahou est de moins en moins comprise et acceptée en Europe et que les initiatives diplomatiques européennes, gênantes pour Israël, ne seraient pas exclues.

La vérité oblige à dire que rien, pour l'instant, ne confirme ces craintes israéliennes. A l'exception de Londres qui a expulsé un diplomate israélien, accusé d'être un agent du Mossad, en représailles contre l'usage de faux passeports britanniques par les services secrets israéliens, lors de la liquidation, à Dubaï, d'un cadre du Hamas, aucun gouvernement européen n'a manifesté concrètement sa réprobation ou simplement ses réserves devant l'intransigeance israélienne.

Et même si elle a fait part de son indignation face aux conditions de vie très difficiles des habitants de la bande de Gaza, où elle venait de se rendre, Catherine Ashton, qui dirige désormais la diplomatie européenne n'a avancé pour l'heure aucune initiative nouvelle, tandis que les heurts entre soldats israéliens et manifestants palestiniens se poursuivent en Cisjordanie, soumise à un bouclage total en raison de la Paque juive.
LAPÂQUEJUIVE
DESULTRAORTHODOXES
ENISRAËL
DANSLARUE

Source : lacroix.com via l'AFP en ligne
le 31 mars


BAT AYIN (Cisjordanie),


L'extrême droite se mobilise
pour la Pâque juive


Des centaines d'Israéliens ont participé mercredi à la création d'une implantation sauvage près de la ville palestinienne de Bethléem, en Cisjordanie occupée.

Le Mouvement pour l'intégrité de la Terre d'Israël, un groupe d'extrême droite, avait appelé ses partisans, en majorité des adolescents, à se rendre au sud de Bethléem, pour créer "un nouveau point d'implantation juif".

Cette organisation milite pour la légalisation, par les autorités israéliennes, des "avant-postes" juifs en Cisjordanie, nom donné aux implantations sauvages créées près des colonies. Il y en a plus de 100, selon l'organisation anti-colonisation La Paix Maintenant.

Le nouveau site a reçu le nom d'"Arzé Shlomo", à la mémoire d'un adolescent israélien, Shlomo Nativ, tué par un Palestinien en 2009 dans la colonie voisine de Bat Ayin.

Dans la Vieille ville de Jérusalem, la police a autorisé des pélerins juifs à se rendre sur le Mont du Temple, le lieu le plus sacré du judaïsme, qui est situé sur l'esplanade des Mosquée, le troisième lieu saint de l'islam, selon des témoins.

Le Mouvement pour la construction du Temple, un groupuscule religieux nationaliste qui organise des visites sur le site malgré l'interdiction du rabbinat, a publié un communiqué se félicitant "de l'ouverture pour les juifs du lieu le plus saint du judaïsme pendant la fête de Pessah (Pâque)".

La police avait interdit dimanche l'accès au site pour les non-musulmans, à la veille de la Pâque juive, de crainte de désordres. Des militants d'extrême droite avait fait part de leur intention de sacrifier un agneau pascal sur le Mont du Temple.

Plus de 80 juifs religieux ont pu faire le tour de l'esplanade des Mosquées, mais sans avoir le droit de prier, sous la surveillance de policiers israéliens, a précisé un communiqué du Mouvement pour la construction du Temple.
LEFILMFRANCAIS
LEPLUSCESARISEEN2010
DANSLESSALLESENISRAËL





UN PROPHETE
Un film de Jacques Audiard

César 2010 du meilleur film


A partir du jeudi 1er avril
dans les cinémas
:

Tel Aviv: Lev Tel Aviv

Jérusalem: Lev Smadar

Ramat Gan: Lev Ramat Gan

Re'hovot: 'Hen

Raanana: Park Raanana
PENDANT LA FÊTE
DE PESSAH

L'INFORMATION
CONTINUE

SUR DIASPORABLOG

ET SUR
POURTOUTDIRE'S BLOG
LEJAPONACTEURDEPAIX
DANSLECONFLIT
ISRAELO-PALESTINIEN
Source : infos-eau.blogspot.com
via Axisoflogic en ligne le 31 mars


Le Japon se positionne
dans le conflit Israélo-palestinien
en favorisant l’accès à l’eau


Le Japon a décidé d'améliorer l'accès à l’eau pour les collectivités rurales de Cisjordanie, en faisant une donation de 193.960 dollars pour la réalisation de deux projets : un projet de citernes à Hébron et la réhabilitation de la canalisation principale allant d'Al-Badhan à Naplouse.
Cette aide permettra également la réhabilitation du gazoduc principal d’Al-Badhan ainsi que l'installation d'une pompe et l’agrandissement du réservoir, ce qui permettra d’assurer l'accès à l’eau du robinet à environ 3000 personnes vivant à Al-Badhan.

Les contrats ont été signés entre Naofumi Hashimoto, représentant du Japon auprès de l'Autorité palestinienne, les représentants du groupe palestinien d'hydrologie, et le conseil du village Al-Badhan.

Ces deux projets ont été approuvés dans le cadre de la Cool Earth Partnership lancé par le gouvernement du Japon, et contribueront à l'adaptation aux changements climatiques et à l'amélioration de la vie du peuple palestinien.
L’annonce de ces projets a été conclut par ces propos : "Ces projets indiquent clairement que le Japon est déterminé à apporter son soutien au gouvernement palestinien et aux efforts pour la création d’un Etat palestinien indépendant et viable aux côtés d’Israël dans la paix, la sécurité et la prospérité, en vertu de laquelle la sécurité humaine est assurée pour les Palestiniens".
LALIBERTEDEXPRESSION
ASESLIMITES
AUFRONTDEGAUCHE
DEJEANLUCMELANCHON

Source : lenouvelobs.com en ligne
le 31 mars


Quand Mélenchon insulte
un étudiant en journalisme


Le leader du Parti de Gauche s'en est pris gratuitement à un étudiant en journalisme en le traitant notamment de "refoulé politique de la petite bourgeoisie" et de "petite cervelle". Avant de se lancer dans une violente diatribe contre les médias.



Jean-Luc Mélenchon (AFP) Le leader du Parti de Gauche Jean-Luc Mélenchon s'en est pris gratuitement à un étudiant en journalisme de Sciences-Po venu l'interroger entre les deux tours des élections régionales en le traitant notamment de "refoulé politique de la petite bourgeoisie" et de "petite cervelle", peut-on voir sur la vidéo filmée par un jeune reporter et publiée sur le site de Libération mardi 30 mars.

Abordant de sa propre initiative le fait que le Parisien a fait sa Une sur une éventuelle réouverture des maisons closes deux jours après les élections régionales, et reprochant à cette "sale corporation voyeuriste et vendeuse de papier" de ne pas parler de "choses intelligentes", le chef du Parti de Gauche accuse ensuite le journaliste, de vouloir lui poser des questions sur ce même sujet. Jean-Luc Mélenchon, peut-être énervé par l'impassibilité et la persévérance du journaliste, l'a alors insulté tout en lui reprochant d'être agressif.

Refoulé politique de la petite bourgeoisie


"Le jour deux après qu'on ait tous jeté de grosses larmes sur l'abstention populaire, quel était le titre du journal Le Parisien ? "Faut-il rouvrir les maisons closes ? (...) Ce mélange de voyeurisme et de prostitution de l'esprit public va continuer jusqu'à la catastrophe", a lancé Jean-Luc Mélenchon. Le jeune journaliste et lui ont alors débattu calmement sur le fait que ce sujet était intéressant ou non. C'est lorsque l'étudiant a avancé que le sujet des maisons closes touchait la question de "l'hypocrisie" que le responsable politique s'en est pris personnellement au journaliste : "C'est vos problèmes à vous, le refoulé politique de la petite bourgeoisie. Votre hypocrisie...moi je m'excuse mais ce que vous racontez, ça ne concerne personne dans mon quartier. Personne ne se dit "tiens, je préfèrerais aller dans une maison close qu'aller chercher les putes au coin de la rue'. J'ai jamais entendu quelqu'un me parler de ça sinon vous et votre sale corporation voyeuriste et vendeuse de papiers".

"Votre tête est pourrie"


"Le problème c'est qu'elles sont dans les bois, les prostituées, à l'heure actuelle", a répondu le journaliste sans se laisser démonter. "J'en ai rien à faire", a lancé Jean-Luc Mélenchon, "si vous voulez me parler de ça vous allez parler à quelqu'un d'autre. Avec moi vous parlez de choses sérieuses, vous parlez de politique et vos sujets de merde vous allez les faire avec des gens qui veulent répondre à la merde. C'est fini, tu fermes ta petite bouche, tu me parles de politique. Moi je te parles de médias et de ton métier pourri. Si tout ce que tu trouves à faire c'est de me répondre ça, tu vas faire ton interview plus loin. Ok ?"

"Je ne comprends pas cette agressivité", se défend le journaliste. "C'est vous qui êtes agressif vous ne vous en rendez même compte tellement votre tête est pourrie. Vous trouvez digne de parler à un homme comme moi alors que je vous parle d'un titre pourri du Parisien, de commencer avec moi un débat sur la prostitution ? Mais vous me prenez pour qui bonhomme ?

Alors que le journaliste lui demande pourquoi dans ce cas il lui parle du titre du Parisien, Jean-Luc Mélenchon le coupe : "Si ! Je veux parler du titre du Parisien, petite cervelle, pas de la prostitution, du titre du Parisien !"

"C'est moi qui suis insultant ?", lui rétorque alors le journaliste. "Je crois que c'est une limite que vous avez atteint", lui répond Jean-Luc Mélenchon en partant.
SARKOZY/OBAMA
DACCORDSURISRAËL

Source : la newsletter de Guysen
International News diffusée le 31 mars


Sarkozy solidaire d'Obama
sur les implantations israéliennes
en Judée-Samarie


Le président français Nicolas Sarkozy a rencontré mardi dans la soirée le président américain Barack Obama à la Maison-Blanche. A l'issue de la réunion, les deux chefs d'Etat ont tenu conjointement une conférence de presse dans laquelle Nicolas Sarkozy garantissait notamment sa "solidarité avec le président Obama dans la condamnation du processus de colonisation". "Tout le monde sait combien je suis engagé au service de la sécurité d'Israël, mais la colonisation n'amène rien à la sécurité d'Israël" a t'il déclaré. Il affirmait dans la même allocution que "l'absence de paix au Moyen-Orient est un problème pour nous tous, car cela entretient le terrorisme partout dans le monde".

mardi, mars 30, 2010

ERICZEMMOUR
ASSIGNEENJUSTICE

Source : le site Télé2semaines en ligne
le 30 mars


SOS Racisme assigne Eric Zemmour
en justice le 29 juin


Le chroniqueur de Laurent Ruquier a reçu aujourd'hui une citation à comparaître devant le TGI de Paris le 29 juin prochain. L'association SOS Racisme le poursuit en justice pour "diffamation à caractère racial" et "incitation à la haine raciale."

Loin de calmer SOS Racisme, la lettre qu'a adressée Eric Zemmour à la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) la semaine dernière a plutôt mis de l'huile sur le feu.

"Les prétendues excuses de Monsieur Zemmour ne sauraient faire ici illusion. En effet, tout en prétendant s’"excuser", monsieur Zemmour réitérait ses propos et niait tout dérapage de sa part”, explique SOS Racisme sur son site.

Éric Zemmour est donc assigné en justice le 29 juin pour diffamation à caractère racial et incitation à la haine raciale pour ses propos tenus sur Canal+ et France O.

A-E.L.G
TOUS
ENSEMBLE
Source : le site vivre-ensemble en ligne
le 30 mars


"L'Islam a sa place en Europe
et en France"
selon le maire de Strasbourg


L'Islam est une religion qui a sa place en Europe et en France, en particulier, a affirmé, lundi à Strasbourg, le maire de cette ville alsacienne, M. Roland Ries.

L'Islam est une réalité en Europe, en France, en Alsace et à Strasbourg "avec les mêmes droits et les mêmes devoirs. Il s'agit d'une religion qui a sa place en Europe et en France", a souligné M. Ries, lors d'une réception en l'honneur des participants au Colloque international sur l'Islam en Europe, initié par le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).

M. Ries, qui s'est félicité de la qualité des travaux de la 1ère journée de cette rencontre internationale qui intervient dans un contexte "très particulier", a assuré que sa ville compte maintenir la politique engagée à l'adresse de la religion musulmane et que l'ensemble des Strasbourgeois seront "traités à égalité quelles que soient leurs religions".

"La ville de Strasbourg a entamé, il y a deux ans, une politique en direction de la religion musulmane et nous comptons bien maintenir et poursuivre encore ce que nous avons engagé", a-t-il précisé, dans une allocution lue en son nom.



En témoigne, a-t-il dit, la mise à disposition de locaux au profit du Conseil régional du culte musulman et la relance du chantier de la Grande Mosquée de Strasbourg, mettant ainsi fin à "des conditions discriminatoires" notamment l'interdiction de fonds étrangers et de la construction du minaret.

Il a, de même, rappelé la création d'un cimetière musulman qui permettra aux Strasbourgeois de confession musulmane d'être inhumés dans la ville.

Le maire de Strasbourg a également évoqué l'application du régime du barème des subventions municipales qui ont été étendues à la religion musulmane.

Le Colloque "Islam en Europe: formation des cadres, éducation religieuse et enseignement du fait religieux" de deux jours se déroule au siège du Conseil de l'Europe à Strasbourg. Il est initié en collaboration avec la Grande Mosquée de Strasbourg sous le patronage du secrétaire général du Conseil de l'Europe.

MAP
DECOUVREZ
LACHANSONISRAELIENNE
DELEUROVISION2010



ALEUROVISION
LACHANSONISRAELIENNE
ENTÊTEDESPRONOSTICS

Source : chartsinfrance.fr en ligne
le 30 m
ars



Eurovision :
découvrez les 3 pays
en tête selon les bookmakers


Chaque année, les bookmakers s'en donnent à cœur joie quant à d'éventuels pronostics. Et alors que les demi-finales n'ont pas encore été jouées, ils classent déjà l'Azerbaïdjan en tête, suivi d'Israël et de l'Allemagne. Souvenez-vous, l'an dernier, ils étaient unanimes : la Norvège serait vainqueur ! Ce qui s'est finalement réalisé... Et la France dans tout ça ?
Quel sera le trio gagnant ? Quels pays devrait-on retrouver sur le podium 2010 ? Dans le classement de ceux qui pourraient remporter ce Grand Prix Eurovision, c'est la chanson "Drip Drop" qui est donnée gagnante. L'Azerbaïdjan se classe donc est en tête chez les bookmakers grâce à Safura Əlizadə (encore faudrait-il qu'elle chante juste - ce qui n'est absolument pas le cas sur la vidéo ci-dessous), tandis qu'Israël serait second avec Harel Skaat, chantant en hébreux, suivi de l'Allemagne - créant la surprise grâce à l'efficace et tubesque chanson de Lena-Meyer Landru, "Satellite" (notre coup de cœur qui a tout d'un hit européen - déjà n°1 des charts allemands, et que nous voyons en tête contrairement à Safura Əlizadə).

Enfin, une nouvelle encourageante pour nos amis belges, les bookmakers parient sur la qualification de Tom Dice. Il est actuellement 3ème au classement de la première demi-finale, derrière la Grèce et la Slovaquie. La Macédoine et la Pologne sont les deux pays ayant le moins de chance de se voir sur la scène d'Oslo, le soir de la finale, le 29 mai prochain.

Israël serait le pays le plus à même de remporter la seconde demi-finale devant l'Azerbaïdjan et l'Arménie. On notera la mauvaise côte de la Géorgie et de la Suisse (respectivement 13ème et 14ème).

Concernant les résultats finaux, la Norvège - le pays qui accueille le concours cette année suite à la victoire d'Alexander Rybak l'an dernier, est bien positionnée (Top 5), tandis que la Belgique flirte avec le Top 10 (classée 11ème). Concernant les autres pays du “big-4” (ceux sélectionnés d'office chaque année car apportant des subventions), l'Espagne est en 13ème position, la France est 16ème (écoutez la chanson en fin d'article) et le Royaume-Uni se trouve dans les bas fonds du classement, seulement 29ème...
ENREPONSE
AUXBOYCOTT...
Source : ecolesentreprises.com en ligne

le 30 mars


Universités :
Israéliens, Palestiniens
et Français en accord


L’Université Ben Gourion du Néguev (Israël), l’Université palestinienne El-Quds (Jérusalem Est) et les universités Paris Diderot et Paris 13 créent ensemble des masters dans le domaine des Humanités. Lancé à l’initiative du Collège Doctoral Paris-Jérusalem, un premier accord de partenariat a été signé en présence de Valérie Pécresse.

A plus long terme, le projet « vise à réunir chercheurs francophones et doctorants en sciences humaines, Palestiniens, Israéliens et Français, désireux de travailler ensemble sur les pratiques de la médiation psychosociale, interculturelle et de la médiation de conflit sous le thème général : "le sujet et l’institution". » Cette initiative suscite un large intérêt et plusieurs universités envisagent de soutenir ce projet en s’inscrivant dans le réseau d’études et de recherches du Collège Doctoral Paris-Jérusalem.
UNAMIARABE
DISRAËLFLECHIT
SAPOSITION
Source : nouvelobs.com via
l'Associated Press en ligne le 29 mars


Tunis dénonce
les "pratiques agressives" d'Israël

Le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali a exhorté lundi "la communauté internationale et toutes les forces éprises de paix" à agir pour "amener Israël à respecter la légalité internationale et à se conformer aux référentiels du processus de paix".

Dans un message adressé au président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à l'occasion de la célébration de "la journée de la terre" proclamée par les Nations Unies, il a dénoncé les "pratiques agressives" d'Israël, notamment "le blocus injuste" imposé aux territoires palestiniens et les plans de colonisation annoncés par l'Etat hébreu en Cisjordanie et à Jérusalem-est.

Cet appel intervient au lendemain du sommet arabe qui vient de se tenir à Syrte (Libye) au cours duquel le chef de l'Etat tunisien a accusé le gouvernement de Benyamin Nétanyahou de "poser des conditions inadmissibles pour entraver le processus de paix" et d'"opter pour la voie de l'escalade".

Selon lui, les "agissements provocateurs" d'Israël dénotent une "action préméditée à faire avorter toute démarche sérieuse en faveur de la relance des négociations".

lundi, mars 29, 2010

HAG SAMEAH

A TOUS LES INTERNAUTES


DE CONFESSION JUIVE


A L'ENTREE
DE LA CELEBRATION
DE PESSAH

LIEBERMANUNMINISTRE
DESAFFAIRESETRABGERES
QUICONTINUEAFAIRE
BANDEAPART
Source : nouvelobs.com via
l'Agence Reuters en ligne
le 29 mars



JERUSALEM (Reuters)


Le chef de la diplomatie israélienne, Avigdor Lieberman, met gravement en cause l'attitude du président palestinien Mahmoud Abbas au moment de l'intervention de Tsahal contre le Hamas à Gaza, à l'hiver 2008-09.

Le leader d'extrême droite accuse le président de l'Autorité autonome palestinienne d'avoir incité Israël à renverser le pouvoir du Hamas avant de retourner sa veste en accusant l'Etat juif de crimes de guerre.

Une telle hypocrisie soulève des questions sur la capacité du dirigeant palestinien à être un véritable partenaire de paix pour Israël, affirme Lierberman dans une interview au quotidien Maariv.

Un conseiller d'Abbas a vivement démenti ces accusations mais un collaborateur d'Ehud Olmert, Premier ministre d'Israël à l'époque, en a confirmé l'exactitude et le Hamas a estimé qu'elles justifiaient ses préventions à l'encontre du président palestinien.

"Au cours de l'année écoulée, j'ai pu voir (Abbas) au sommet de son art. Lors de l'opération 'plomb durci', ils nous a appelé personnellement, faisant pression pour que nous renversions le Hamas", raconte Avigdor Lieberman.

"Un mois après la fin de l'opération, il a déposé plainte contre nous devant la Cour internationale de justice de La Haye pour crimes de guerre", poursuit-il, faisant apparemment référence à la Cour pénale internationale (CPI).

"Est-ce cela un partenaire?" s'interroge Lieberman, une des figures de proue du camp hostile à des négociations avec les Palestiniens sur une solution prévoyant la coexistence d'un Etat palestinien viable et indépendant aux côtés d'un Israël revenu à ses frontières d'avant le conflit de 1967.


DES ALLÉGATIONS
"ESSENTIELLEMENT EXACTES"?

Nabil Abou Rdaïnah, conseiller d'Abbas, a nié avec véhémence les accusations du ministre israélien des Affaires étrangères, un habitué des déclarations à l'emporte-pièce.

"Ce n'est pas vrai. C'est la poursuite d'une campagne de dénigrement visant à créer un climat qui détruirait toute chance de sauver le processus de paix", a-t-il assuré.

Lieberman ne faisait pas partie du gouvernement durant les trois semaines d'offensive dévastatrice d'Israël à Gaza, qui a fait 1.400 morts parmi les Palestiniens, en majorité des civils.

Un porte-parole du ministre israélien s'est refusé à dire sur quoi celui-ci se fondait pour formuler ses allégations. Mais un ancien responsable du gouvernement d'Olmert a assuré qu'elles étaient "essentiellement exactes".

Le Hamas, qui avait déjà accusé Mahmoud Abbas d'avoir applaudi à l'intervention israélienne, a dit voir dans les propos d'Avigdor Lieberman une justification des soupçons qu'il nourrit à l'égard du président de l'Autorité palestinienne.

"Cette grave déclaration confirme que Mahmoud Abbas, qui a conspiré contre son peuple pendant une guerre, n'est plus digne de représenter notre peuple", a déclaré Sami Abou Zouhri, porte-parole du mouvement islamiste au pouvoir à Gaza depuis juin 2007.

Mahmoud Abbas a condamné l'intervention israélienne contre ses rivaux du Hamas et interrompu ses négociations directes avec Olmert. Mais son hésitation à soutenir un rapport d'enquête indépendant accusant Israël de crime de guerre devant le Conseil des droits de l'homme de l'Onu avait fait tiquer, y compris au sein du Fatah, son propre mouvement.

Dans son interview au Maariv, Avigdor Lieberman ne fait aucun cas des perspectives de reprise des négociations de paix avec Abbas, qui se sont éloignées un peu plus ce mois-ci avec l'annonce d'un projet de construction de 1.600 nouveaux logements pour Juifs au nord de la vieille ville de Jérusalem.

Ce projet, qui concerne une partie de la Cisjordanie occupée qu'Israël a annexée à Jérusalem, a suscité des interrogations dans la communauté internationale, y compris aux Etats-Unis, quant à la volonté de paix du gouvernement israélien de Benjamin Netanyahu.

Avec Ali Saouafta à Ramallah et Nidal al Moughrabi à Gaza, Marc Delteil pour le service français, édité par Gilles Trequesser
GAZASOUS
LADOMINATION
DELACONTREBANDE
Source : contreinfo.info en ligne
le 29 mars



Gaza :
comment survivre
sans contrebande ?


L’achèvement imminent par l’Égypte de l’installation d’une barrière en acier souterraine et en surface le long de sa frontière avec la bande de Gaza met les Gazaouis sur les nerfs : comment vont-ils survivre sans l’important commerce qui passe par les tunnels ?


Un trafic de contrebande lucratif transite par les tunnels pour toute une gamme de produits depuis qu’Israël a imposé un embargo économique contre la bande de Gaza après la prise de pouvoir par le Hamas en juin 2007. La Banque mondiale et les économistes palestiniens estiment qu’au moins 80 pour cent des importations totales vers Gaza passent par les tunnels.

« Creuser des tunnels et y travailler est l’un des rares emplois disponibles pour les jeunes Gazaouis », a dit Omar Sha’ban, économiste à Gaza.

« Les personnes qui travaillent dans les tunnels gagneraient 25 dollars par jour, une somme énorme pour l’économie palestinienne actuelle. Mais ils sont exposés aux bombardements quotidiens ... par les forces aériennes israéliennes, à l’effondrement des tunnels et aux incendies ».

Ziad al-Zaza, ministre de l’Économie du gouvernement du Hamas, a dit qu’environ 20 000 personnes travaillaient dans les tunnels avant l’opération militaire israélienne à Gaza, début 2009, et qu’ils ne sont maintenant plus que la moitié. L’armée israélienne a dit qu’elle avait endommagé ou détruit 60 à 70 pour cent des tunnels lors de l’offensive.

Abu Antar*, propriétaire et gérant d’un tunnel, âgé de 45 ans, a dit que fermer les tunnels entre Gaza et Rafah, en Égypte, signifierait que lui et les centaines d’autres personnes qui travaillent grâce aux tunnels n’auraient plus de revenus.

« Nous avons réussi à traverser la clôture égyptienne, mais maintenant, ce que nous craignons c’est que les Égyptiens l’électrifient et ajoutent des capteurs sismiques pour détecter notre présence sous terre, ce qui rendrait notre mission impossible. Les tunnels sont notre unique source de revenus », a dit à IRIN ce père de sept enfants.

La barrière en acier posée par l’Égypte fera 10 à 11 kilomètres de long et descendra jusqu’à 18 mètres sous terre, ont dit les autorités égyptiennes. Le quotidien égyptien al-Shorouq a récemment annoncé que « le chantier du mur principal était dans sa quatrième et dernière phase », après quoi des caméras et des détecteurs seront installés.

Cette opération devrait durer quelques semaines et une période d’essai devrait ensuite avoir lieu avant que l’installation ne devienne complètement opérationnelle.


Un travail dangereux

Abu Antar a dit que 50 personnes travaillaient dans son tunnel.

« Chaque jour, nous travaillons dans les tunnels et nous nous demandons si nous allons sortir vivants. La terre s’est effondrée de nombreuses fois... La mort est inévitable dans ce genre de travail. Nous avons peur 24 heures sur 24. Beaucoup de gens sont morts. Chaque mois, il y a de nouvelles victimes des bombardements aériens [israéliens] dans les tunnels », a-t-il dit.

Les accidents sont fréquents dans les tunnels. Selon l’organisation palestinienne de défense des droits humains Al-Mezan, 120 trafiquants travaillant dans les tunnels ont été tués au cours des trois dernières années.

Les personnes travaillant dans les tunnels estiment qu’il existe plus de 1 000 tunnels entre Gaza et la ville de Rafah, du côté égyptien de la frontière. Ils font de 15 à 35 mètres de profondeur et jusqu’à un kilomètre de long.


« Une catastrophe humanitaire »

« [La construction] d’un tunnel coûte environ 200 000 dollars, alors lorsqu’ils seront détruits par les avions israéliens, ou qu’ils seront bloqués par le mur égyptien, la pauvreté et le chômage augmenteront de plus en plus », a-t-il dit. « Bloquer les tunnels entraînera une terrible catastrophe humanitaire. Tous les habitants de la bande de Gaza dépendront alors de l’aide alimentaire des Nations Unies », a dit le ministre du Hamas, M. al-Zaza.

« Nous appelons les gouvernements égyptien et israélien à désinvestir Gaza et à laisser les Palestiniens travailler sur terre et non sous terre et les Gazaouis vivre dans la dignité et la fierté », a dit M. al-Zaza.

Israël a imposé à la bande de Gaza de strictes restrictions à l’importation après la prise de pouvoir par le Hamas en 2007 et en guise de représailles après les tirs de rockets de Gaza sur Israël. L’interdiction d’importer touche tout ce qui pourrait aider le Hamas à fabriquer des armes, notamment le fer, l’acier et la plupart des matériaux de construction. Toutes les exportations sont interdites et les importations sont limitées à quelques biens humanitaires. Les articles tels que les cahiers scolaires, les bureaux, le matériel médical, les appareils ménagers et les abris montables accusent d’importants retards.

Israël a salué les efforts de l’Égypte pour combattre la contrebande. L’Égypte dit que sa sécurité était menacée par le flux croissant de biens illicites et de militants vers son territoire par les tunnels.

Israël accuse le Hamas d’utiliser les tunnels pour importer des armes, une allégation niée par le Hamas.

Lors d’une visite à Gaza, plus tôt ce mois-ci, le coordinateur des secours d’urgence des Nations Unies, John Holmes, a mis en garde contre de gros problèmes si les tunnels étaient bloqués.

« Si ces tunnels sont bloqués, si indésirables qu’ils puissent être, et aussi indésirables que puissent être leurs conséquences sur la société et l’économie de Gaza, la situation sans les tunnels serait complètement insoutenable », a dit M. Holmes. Il a renouvelé ses appels à Israël pour mettre fin au blocus du territoire palestinien.
PESSAH
ALAMAISONBLANCHE

Source : le blog de Liliane Millot sur
libertation.fr en ligne le 28 mars


Obama célèbre la Pâque juive

à la Maison Blanche


Son père était musulman, lui-même est protestant, et il célèbre la Pâque juive... Pour la deuxième année consécutive, Barack Obama a invité ses proches, famille et collaborateurs, à un dîner de Séder à la Maison Blanche, le repas rituel du premier soir de la Pâque juive, lors duquel on remémore l’exode d’Egypte et la libération des Hébreux. Il n’est pas rare aux Etats-Unis que des non-juifs prennent place à la table du Séder, mais Barack Obama est le premier président américain à introduire ce rituel à la Maison Blanche et y participer avec toute sa famille : Michelle Obama, Sasha et Malia, leurs deux filles, seront ce soir de la fête, comme l’an dernier, en compagnie d’une quinzaine d’amis et conseillers. Selon le New York Times, qui a enquêté sur le sujet, les fillettes Obama jouent le rôle traditionnellement dévolu aux enfants juifs : elles posent les quatre questions sur le sens de cette célébration et cherchent la matza… cachée dans la salle à manger de la Maison Blanche. En septembre dernier, Obama avait aussi organisé un repas de Ramadan à la Maison Blanche, mais c'était là un exercice beaucoup plus classique, qui n'avait rien d'intime: il y avait invité ministres, ambassadeurs et leaders de la communauté musulmane américaine.

Le Séder des Obama n’a rien de très orthodoxe, souligne le New York Times : « Ni les sages rabbiniques, ni les pères fondateurs ne reconnaîtraient le rituel » réinventé par le président. Les principaux éléments du Séder seront bien sur la table: pain azyme, herbes amères pour rappeler les souffrances endurées en Egypte, œuf dur en souvenir de la destruction du Temple de Jérusalem… et on lira la Haggada, le récit de l’Exode d’Egypte. Mais plutôt que d’inviter des sommités rabbiniques, Barack Obama apprécie semble-t-il le côté convivial et pédagogique de cette fête, qui lui permet de rassembler ses filles et quelques proches pour méditer sur les épreuves endurées l’an passé et leur propre chemin vers la libération. C’est ainsi du moins que la Maison Blanche le voit. Mais bien sûr, sur internet en particulier, les commentateurs ont d'autres interprétations. Selon eux, ce pourrait être:

-une façon pour Obama de cacher qu'il serait en fait musulman (de nombreux Américains continuent de croire, à tort, que leur président est musulman),

-une concession au « lobby juif »,

-une façon d’amadouer les Juifs pour ensuite les faire renoncer à Jérusalem,

-l'expression d'une inextinguible soif de spiritualité,

-la révélation que pour "changer le monde" comme il l'a promis, il lui faudra d'abord réconcilier les religions,

-un prétexte pour une fête familiale de plus,

ou quoi d’autre encore ?

Photo: le Séder de l'an dernier à la Maison Blanche

dimanche, mars 28, 2010

CRISEISRAËL/ETATSUNIS
LOPINIONPUBLIQUE
ENISRAËLPREND
SESDISTANCES

Source : la newsletter du site un échos
d'Israël diffusée le 28 mars



Sondage :
64% des Israéliens :
le gouvernement Netanyahu
ne nous représente pas


samedi 20 mars 2010,
par Rédaction



L’actuelle crise entre Washington et Jérusalem ne fait pas seulement des vagues dans la classe politique israélienne et à l’étranger. Le public israélien ne reste pas indifférent à en croire les sondages parus ce week-end dans la presse. Selon le quotidien Yediot Aharonot, si 51% des interrogés contre 46% pensent qu’il faut poursuivre la construction à Jérusalem-est, 64% déclarant que le gouvernement Netanyahu, dans ses décisions et son comportement, ne les représente pas. De plus, 68% des Israéliens pensent qu’Israël ne peut subsister sans le soutien militaire et sécuritaire des Etats-Unis conte 28% qui estiment le contraire.

Pour la première fois depuis les élections l’an dernier, un sondage donne le parti Kadima en tête face au Likoud. Selon Yediot, si le scrutin avait lieu aujourd’hui, Kadima dirigé par Tsipi Livni obtiendrait 32 mandats alors que le Likoud n’en aurait que 29. Le parti travailliste conduit par Ehud Barak n’arriverait qu’en 5ème position avec seulement 8 sièges. Par contre le parti de gauche Méretz est crédité de 6 mandats alors qu’il en a 3 actuellement.
ISRAËLAUREGARD
DUMONDE
Source : cyberpress.ca le blog
de Richard Hétu en ligne le 28 mars



Israël et son statut dans le monde


Le refus de Benjamin Netanyahu de céder aux exigences de Barack Obama pour relancer les négociations entre les Israéliens et Palestiniens entraînent des conséquences dont s’inquiète la presse israélienne. Je cite des commentaires tirés de deux quotidiens qui n’appartiennent pas à la gauche, à commencer par Yediot Ahronoth :

Netanyahu doit également se livrer à un examen de conscience. Depuis qu’il a accédé au pouvoir via de vraies élections démocratiques, et depuis qu’il a formé un gouvernement impossible, le statut de l’État d’Israël dans le monde s’est déterioré au point de représenter un danger réel. Nous approchons, à une très grande vitesse, la concrétisation de la chanson bien connue, Le monde entier est contre nous.

Et Maariv :

L’heure de la politique est arrivée. Même si des formules magiques se présentent qui permettront de régler la quadrature du cercle et continuer à cheminer cahin-caha, Benjamin Netanyahu sait qu’il se dirige vers une collision. Il parviendra à l’éviter une fois ou deux mais, à la fin, elle arrivera. La lumière que l’on voit à l’horizon est celle d’un train qui s’en vient.

Autrement dit, le premier ministre Netanyahu devra finir par se résoudre à dissoudre sa coalition actuelle, sous peine d’isoler encore davantage son pays face à ses alliés.
DESFISSURES
ENTRELECANADA
ETISRAËL
Source : cyberpress.ca en ligne
le 28 mars



Un diplomate canadien critique
fortement le Parti libéral


Le chef libéral Michael Ignatieff a remercié le diplomate canadien Robert Fowler pour avoir dit «quelque chose que ce parti avait besoin d'entendre».



Un homme qui a été captif de terroristes du réseau al-Qaïda a provoqué des vagues lors de la conférence des grands penseurs et décideurs du pays organisée par le Parti libéral du Canada (PLC) à Montréal, au cours de la fin de semaine, lorsqu'il a prévenu la formation politique qu'elle risquait de «perdre son âme» dans sa quête du pouvoir.

Lors d'un discours enflammé, dimanche matin, le diplomate canadien Robert Fowler a fortement critiqué la politique étrangère du PLC, qu'il a jugée redevable d'intérêts particuliers.


Si le chef libéral Michael Ignatieff n'a pas apprécié la franchise de M. Fowler, il ne l'a pas montré, du moins publiquement.


Remerciements d'Ignatieff

M. Ignatieff s'est approché du diplomate à la fin de son allocution, il lui a serré la main chaleureusement et l'a remercié d'avoir dit «quelque chose que ce parti avait besoin d'entendre».


M. Fowler, qui a été envoyé spécial des Nations unies au Niger, ne s'est cependant pas limité à critiquer les libéraux. Il a aussi montré du doigt le Parti conservateur, qui a selon lui laissé les gains politiques guider son implication sur la scène internationale.


Il a notamment affirmé que le soutien accordé par les conservateurs à Israël avait compromis la capacité du Canada a agir à titre de modérateur fiable au Moyen-Orient.
UNEAGGADAH
ETHIOPIENNEVIENT
DEPARAÎTRE
Source : le site un écho d'Israël diffusée
le 28 mars

« Nous aussi nous étions esclaves » :
La première aggadah éthiopienne


mercredi 24 mars 2010,
par Suzanne Millet



« J’ai écrit beaucoup de livres sur le judaïsme éthiopien » dit le rabbin Menahem Waldmann, historien des Juifs d’Ethiopie, « mais c’est la première fois que nous mettons l’histoire de la communauté juive éthiopienne sur la table du Seder de Pessah. » Cette nouvelle aggadah est très attrayante, c’est un livre d’histoires ; aggadah veut dire histoire.

On y raconte la sortie d’Egypte selon la aggadah traditionnelle du seder de Pessah. Souvent les aggadot sont illustrées ; ici ce sont des peintures éthiopiennes qui illustrent la sortie d’Egypte : peintures naïves, très colorées et parlantes, où les yeux grand ouverts des personnages fixent le lecteur.

Mais on y raconte aussi la sortie d’Ethiopie et du Soudan avec des témoignages de la marche dans le désert du Soudan où des milliers sont morts sans sépulture. Beaucoup de photos sur les camps au Soudan, dans le désert, sur les Ethiopiens faisant leur alyia (immigration vers Israël), transportés en camions, puis dans le « ventre » d’un bateau ou d’un avion.

Des lettres d’Ethiopie, l’une datée de 1862, demandant au « grand prêtre » de Jérusalem si le temps est venu de monter à Jérusalem, nous montrent cette attente passionnée du retour au « pays ».

On y trouve aussi les coutumes éthiopiennes traditionnelles et les prières, traduites de l’amharique en hébreu, liées à la fête de Pessah. Par exemple une longue prière « de Moïse contre Pharaon », des prières sous forme de litanies, une prière du sacrifice. En effet les Ethiopiens choisissaient un agneau ou un chevreau sans tache le premier du mois de Nissan, qu’ils fêtaient comme le premier de l’an selon la Bible. Ils le gardaient jusqu’au soir de Pessah, l’égorgeaient et le mangeaient grillé, debout, les hommes le bâton à la main, les femmes, le bébé dans le dos, comme prêts au départ. Des photos prises en Ethiopie en 1950 montrent le sacrifice de l’agneau ainsi que les préparations des matzot (pains azymes) par les femmes.

Cette aggadah, avec ses commentaires, ses peintures, ses photos, est vraiment un livre d’Histoire et d’histoires. Permettra-t-elle aux Israéliens de connaître la communauté juive éthiopienne et sa riche tradition, de l’intégrer ? Et permettra-t-elle aux Juifs éthiopiens et à leurs descendants de ne pas perdre leur héritage et de se rappeler le temps où leurs ancêtres en Ethiopie, voyant passer les cigognes qui, lors de leur migration, avaient survolé Jérusalem, leur disaient : « Cigognes, cigognes, comment va notre pays, Jérusalem ? »

vendredi, mars 26, 2010

LECRIFSEFÂCHECONTRE
LEPRESIDENTDELA
CHAMBREDECOMMERCE
FRANCOARABE
Source : lefigaro.fr en ligne le 26 mars


Hervé de Charette scandalise le Crif




Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) s'est dit "scandalisé" après une question orale du député Hervé de Charette au sujet du conflit israélo-palestinien dans laquelle il "stigmatisait le seul Israël", dans un communiqué.

Mercredi au cours des questions au gouvernement, le député NC du Maine-et-Loire avait parlé de la "politique réactionnaire" et de "l'intention délibérée" du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de "rendre impossible quelque négociation que ce soit avec les dirigeants palestiniens".

"Le député, par ailleurs président de la Chambre de commerce franco-arabe, écrit le Crif, a utilisé des mots d’une extrême dureté et peu diplomatiques pour stigmatiser le seul Israël, imputant au seul Israël toutes les fautes possibles et en absolvant au même moment les Palestiniens des choix tactiques qui sont les leurs et le Hamas, des crimes qui lui sont imputables".

Le Crif "estime que ce sujet doit être traité avec justesse et impartialité et ce type de débat demande de la tenue. Tout en réaffirmant son engagement pour la résolution pacifique de ce conflit et tout en soutenant que Jérusalem reste la capitale indivisible du peuple Juif depuis 3.000 ans, le CRIF regrette fermement que l’hémicycle de l’Assemblée nationale devienne le siège d’un tribunal, lorsqu'il est question d'Israël".



Diasporablog vous prie de bien l'excuser d'avoir commis une erreur sur l'une des activités de Mr Hervé de Charette. Mr de Charette est Pt de la Chambre Franco-Arabe et non bien évidemment le Pt de la Chambre de Commerce France-Israël comme nous l'avions publié précédemment.
UNENOUVELLE
VOIXDANS

LACOMMUNAUTE
JUIVEDEFRANCE




WLADIMIR SPIRO
SUR JUDAÏQUES FM (94.8 mgh) :
« L'IMAGE D'ISRAËL SE DEGRADE»


Judaïques FM continue à marquer sa différence par rapport à l'opinion majoritaire des Juifs de France, sur le conflit qui oppose Israël au monde arabo-musulman, par rapport aux Institutions représentatives de la communauté dont le silence, l'absence de réaction sur l'évolution politique sur le terrain, étonne, détonne, surprend et rend leur voix au final inaudible. Pour tout dire les fragilise, tant de l'extérieur que de l'intérieur

Dans son débat hebdomadaire avec son «associé» Gérard Akoun, Wladimir Spiro constate que l'image d'Israël se dégrade et le regrette. Wladimir Spiro et Gérard Akoun rêvent de voir la société israélienne se réveiller face à une politique, prisonnière des mouvements politiques religieux à l'influence grandissante,, sous-pression d'un gouvernement de coalition peu hétérogène, qui les mets à rude épreuve. Défendre l'existence d'Israël et sa spécificité juive, sans rester, pour autant, inconditionel de sa gouvernance, tel est le parti pris des animateurs de Juddaïques FM.
Les responsables de cette station placée plutôt au centre gauche de l'échiquier politique français poursuivent avec force ténacité, cette liberté de paroles qu'ils diffusent déjà depuis une quinzaine de jours.

Judaïques FM, bien qu'isolée dans sa démarche, pour l'instant, ouvre dans la communauté juive de France une voie nouvelle.

Une position qui ne devrait pas rester longtemps sans adeptes.


Bernard Koch
ISRAËL
WASHINGTON
METLEGOUVERNEMENT
ISRAËLIENENCRISE
Source : lexpress.fr via l'agence Reuters

en ligne le 26 mars



Israël cherche des moyens
de satisfaire Washington


JERUSALEM


Le cabinet restreint israélien s'est réuni vendredi pour étudier des propositions de Washington destinées à relancer un dialogue israélo-palestinien.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu est rentré jeudi soir d'une visite difficile dans la capitale fédérale américaine où il a refusé d'accéder à la demande des Etats-Unis d'un arrêt des constructions juives dans la partie arabe de Jérusalem.

Son porte-parole Nir Hefez a déclaré que les entretiens du Premier ministre avaient permis de définir une liste d'accords avec Washington, mais que des divergences demeuraient sur les conditions d'une reprise des pourparlers avec les Palestiniens.

Dans un communiqué, les services du Premier ministre ont indiqué que Benjamin Netanyahu présenterait aux sept ministres de son cabinet restreint "les progrès obtenus sur une série de questions lors de contacts diplomatiques qu'il a eus aux Etats-Unis dans le but de faire avancer le processus de paix".

On ignore si le cabinet rendra une décision avant la fin de la journée et le début du sabbat, jour de repos pour les Juifs, ou s'il se réunira à nouveau avant la semaine de congés de la Pâque juive, qui débute lundi soir. "Il n'y a aucune date fixée", a déclaré un porte-parole du cabinet à la radio.

Le président Barack Obama a demandé aux Israéliens de présenter des mesures permettant d'établir la confiance avec les Palestiniens afin que ceux-ci acceptent de reprendre des négociations de paix, gelées depuis le lancement de l'offensive israélienne sur la bande de Gaza en décembre 2008.

Ces derniers demandent un arrêt complet des activités de colonisation à Jérusalem-Est et en Cisjordanie occupée comme condition préalable à leur retour à la table des négociations.

Les responsables américains ont expliqué avoir fait pression sur Israël pour le contraindre à suspendre tout nouveau projet à Jérusalem-Est et discuter sur les questions essentielles telles que les frontières et le statut de la ville sainte.

Les Palestiniens ont déclaré ne pas avoir de précisions sur un quelconque accord conclu lors des discussions entre Obama et Netanyahu visant à une reprise des négociations.

"Il n'y a absolument rien de nouveau, pour le moment, concernant le processus de paix", a dit Nabil Abou Rdaïnah, conseiller du président palestinien Mahmoud Abbas, jeudi. Abbas informera la Ligue arabe de la situation lors du sommet prévu ce week-end en Libye, a ajouté Rdaïnah.



Jean-Stéphane Brosse
pour le service français
PEACE
SONG


jeudi, mars 25, 2010

LEMONDE
DUFOOT
ENISRAËL
Source : uefa.com en ligne le 25 mars



Israël accueille
chaleureusement l'UEFA



Le président israélien Shimon Peres, le président de l'IFA Avraham Luzon et le président de la FIFA Joseph S. Blatter ont ouvert le XXXIVe Congrès ordinaire de l'UEFA à Tel-Aviv.



par Michael Harroldde
Tel-Aviv


Israël accueille chaleureusement l'UEFALe président israélien Shimon Peres, le président de l'IFA Avraham Luzon et le président de la FIFA Joseph S. Blatter ont ouvert le XXXIVe Congrès ordinaire de l'UEFA à Tel-Aviv.

Le XXXIVe Congrès ordinaire de l'UEFA s'est ouvert jeudi à Tel-Aviv par une allocution du président d'Israël, Shimon Peres, lequel a remercié l'UEFA de "se réunir pour la première fois en Israël" avant de souligner l'importance du football dans le monde d'aujourd'hui, notamment pour véhiculer un message de paix.

"Tous les grands joueurs de football que j'ai rencontrés sont de véritables messagers de la paix", a-t-il déclaré. "À mes yeux, votre contribution à la paix est réellement significative." M. Peres a accueilli les représentants des 53 associations membres de l'UEFA en Israël et leur a expliqué dans quelle mesure il envisageait le sport comme une force du bien.

"Le football suppose un engagement considérable", a-t-il clamé. "Nous parlons des vedettes, de joueurs extrêmement talentueux. Mais je ne crois pas que le talent soit un don – c'est un processus. Pour devenir un bon joueur, il faut des heures et des heures d'entraînement. Le message à faire passer, c'est que pour réussir, il faut travailler très dur."

Il a ajouté : "Le football rassemble les peuples, il est au-dessus de la politique, des frontières, des couleurs de peau et des religions. C'est une rencontre entre personnes engagées." Il a reconnu que le football avait lancé "la première tentative de lutte contre le racisme", qu'il était "le premier endroit où la couleur, la religion ou l'origine ne jouait aucun rôle". Pour Peres, "c'est le phénomène le plus éducatif".

L'éducation a d'ailleurs été l'un des thèmes abordés par le président de l'Association israélienne de football (IFA), Avraham Luzon, qui s'est déclaré "fier et heureux de se trouver devant (le Congrès) en tant que président de l'IFA, et de (l')accueillir dans (son) pays".

"L'IFA estime que le football est un outil éducatif, un instrument qui lie la société", a-t-il poursuivi. "Nous discutons avec des entraîneurs, des enfants et des équipes de jeunes pour leur enseigner la tolérance. Le football est source de joie et de bonheur, mais il est menacé par la violence et le racisme. Il est de notre devoir d'éradiquer le racisme."

Le président de la FIFA, Joseph S. Blatter, a succédé à M. Luzon sur la scène. "L'éducation et les valeurs sociales du football – que nous essayons d'incluquer via le football - sont les mêmes que celles défendues par les politiques. Nous encourageons tout le monde à faire de même et à considérer le football non pas comme une jeu avec un ballon, mais beaucoup plus que cela."

M. Blatter s'est montré ravi qu'une clause portant sur la spécificité du sport ait été incluse dans le Traité de Lisbonne, qui a été ratifié par l'Union européenne l'année dernière. "L'Europe a pris une décision importante grâce au Traité de Lisbonne en reconnaissant enfin la spécificité du sport", a-t-il rappelé.

D'autre part, le Congrès a approuvé le bilan comptable annuel et les comptes des associations pour 2008/09, le compte rendu des auditeurs pour l'année fiscale 2008/09, les prévisions financières stratégiques de l'UEFA pour les années 2009/10 à 2014/15, ainsi que le budget de l'UEFA pour l'exercice 2010/11.

Les présentants ont également approuvé une série d'amendements portant sur les Statuts de l'UEFA. Ceux-ci comprennent de nouvelles dispositions renfrçant le fait que la participation des clubs aux compétitions de championnat nationales soit régie par le mérite sportif.

Un club doit être admis dans une division s'il reste dans ce championnat, ou bien en cas de promotion ou de relégation en fin de saison. Le système de promotion/relégation est l'un des piliers du modèle sportif européen.
RENCONTREOBAMA
NETANYAHOU
ALAMAISONBLANCHE
Source : la revue de presse de
l'Ambassade de France en Israël
diffusée le 25 mars


Le dos au mur


Shimon Shiffer
Yediot Aharonot

Après sa rencontre difficile avec Obama, Netanyahu a décidé de consulter Jérusalem à partir de la salle sécurisée de l’ambassade d’Israël à Washington et non à partir de sa suite à l’hôtel Mayflower. Ainsi, a estimé le Premier ministre, les Américains auront beaucoup plus de mal à entendre ce qui est dit. La dernière fois qu’une telle chose était arrivée était il y a douze ans. Le Premier ministre à l’époque s’appelait également Binyamin Netanyahu et le président des Etats-Unis était Bill Clinton.

Même le « politiquement correct » américain ne peut aujourd’hui travestir ce qui s’est passé au cours des dernières quarante-huit heures à Washington : entre Netanyahu et Obama règne une défiance profonde. Tout le monde a compris hier que cette fois-ci, Obama a placé Netanyahu au pied du mur. Il lui a demandé de prendre des décisions qui risquent de lui faire perdre sa coalition. S’il refuse, il se retrouvera seul face à la menace iranienne.

Selon des responsables qui ont eu vent des concertations qu’a tenues le Premier ministre, Obama a présenté à Netanyahu treize requêtes auxquelles il « attend » une réponse positive, son objectif étant d’obtenir des « gestes de confiance » vis-à-vis des Palestiniens, afin de les rasseoir à la table des négociations et de les convaincre que les Etats-Unis sont un intermédiaire « équitable ». Parmi ces « attentes », une promesse selon laquelle le gel de la construction se poursuivra au-delà des dix mois approuvés par le gouvernement israélien, soit après le 26 septembre. Obama souhaite aussi que les dispositifs mis en place par Netanyahu à Jérusalem fassent effectivement en sorte qu’il n’y ait pas de construction dans les quartiers palestiniens de l’est de la ville.

L’autre « attente » d’Obama est qu’Israël redonne à l’Autorité palestinienne le plein contrôle de tous les territoires qui étaient sous sa responsabilité en septembre 2000 et dont le contrôle a été repris par Israël durant la deuxième Intifada. Les autres attentes concernent une série de gestes vis-à-vis d’Abou Mazen, dont la libération de plusieurs centaines, voire d’un millier, de prisonniers. Ces gestes, bien entendu, seront unilatéraux et Israël devra les effectuer sans aucune contrepartie de la part des Palestiniens.

Vient ensuite ce qui est, du point de vue d’Obama, la cerise sur le gâteau : l’ouverture de pourparlers sur un accord permanent qui devront être complétés sous deux ans.

Ehud Barak, un invité apprécié à la Maison Blanche, a dit à ses interlocuteurs américains que, s’ils continuent à faire pression sur Netanyahu, son gouvernement se disloquera et Israël entrera dans une période de chaos politique. Pour Barak, les demandes de la Maison Blanche ne permettront pas de rasseoir Israël à la table des négociations. Pas avec la coalition dont dispose Netanyahu.

Tout ceci ne semble pas impressionner Obama : Selon des sources israéliennes, le président ne croit tout simplement pas à Netanyahu. Il estime qu’après avoir fait faire des allées et venues à son émissaire, George Mitchell, il est temps de mettre à l’épreuve le Premier ministre. S’il n’est pas capable de faire ce qu’on attend de lui aujourd’hui, estime le président, il n’en sera pas capable non plus à un stade avancé des pourparlers.
MICHELPLATINI
ENISRAËL
Source : sports.fr en ligne le 25 mars


Platini en redemande



En marge du congrès de l'UEFA qui se tient à Tel-Aviv, Michel Platini a officiellement annoncé qu'il briguera un nouveau mandat de quatre ans à la tête de l'instance européenne. Elu en 2007 pour succéder à Lennart Johansson, le Français devrait être plébiscité lors du prochain scrutin organisé en mai 2011. Son bilan plaide en sa faveur, notamment l'initiative sur le fair-play financier.

C'est désormais une certitude. Alors qu'il avait un temps laissé planer le doute, Michel Platini a officiellement pris position ce jeudi et a annoncé son intention de briguer un nouveau mandat de quatre ans à la tête de l'UEFA. L'ancien n°10 de l'équipe de France a profité du congrès de Tel-Aviv, qui a lieu en ce moment en Israël, pour faire part de sa décision. "Nous avons déjà fait beaucoup de choses ensemble et je sais qu'on va faire énormément de choses dans l'avenir, c'est pour ça que j'annonce ma candidature à la présidence de l'UEFA", a déclaré Platini devant les participants qui seront chargés de voter en mai 2011 à Paris, date du prochain congrès électif de l'association.
UNRABBIN
ANOTRE-DAME
Source : le site de KTOTV en ligne le 24 mars


http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/conference-de-careme/conference-de-careme-enracinement-et-ouverture/00048958
VASTEOPERATION
CONTREALQUAÏDA
ENARABIESAOUDITE

Source : la newsletter de Guysen

International News diffusée le 25 mars


Arabie saoudite:
arrestations
de 113 membres présumés
d'Al-Qaïda


L'Arabie saoudite a annoncé l'arrestation de 113 personnes suspectées d'êtres membres du réseau Al-Qaïda et accusées d'avoir planifié de s'en prendre à des installations pétrolières à l'intérieur du royaume, a expliqué mercredi le ministère de l'Intérieur. La plupart était arrivée dans le pays avec des visas pour visiter les lieux saints ou en franchissant illégalement les frontières, précise le communiqué du ministère. Parmi eux, 47 sont de nationalité saoudienne, 51 Yéménites, un Somalien, un Erythréen et un Bangladais. Les arrestations ont eu lieu sur une période de cinq mois.

mercredi, mars 24, 2010

LESPROPALESTINIENS
ENFRANCE
DEBIENTRISTESSIRES
Source : le site de la règle du jeu
en ligne le 24 mars



Les cinémas Utopia
contre Yann Moix.
De la polémique au tribunal



Laurent David Samama



Les Palestiniens souffrent d’une double peine ! Déjà embourbés dans un conflit interminable avec leur voisin israélien, ils sont en plus victimes de la balourdise et du machiavélisme de ceux qui croient prendre leur défense. C’est dit : la cause palestinienne a de biens piètres défenseurs !

Voilà ce que dénonçait Yann Moix dans le Figaro du 10 août 2009. Alors en déplacement en Avignon, l’auteur de Podium tombe sur un tract des cinémas Utopia indiquant la projection du film "Le Temps qu’il reste" d’Elia Suleiman, réalisateur arabe israélien plusieurs fois primé à Cannes et à Venise. D’aucuns disent de Suleiman qu’il est l’héritier de Jacques Tati et de Nanni Morretti. Il compte en tout cas parmi ces consciences proches orientales qui fixent les contours d’un débat constructif sur l’avenir de la Palestine. Seulement voilà, au lieu de profiter de la projection du film comme d’une opportunité de questionnement autour des solutions de paix à promouvoir entre Israéliens et Palestiniens, le texte du tract d’Utopia proposait une présentation du film nourrie de cet antisionisme propre à exciter les consciences et à importer le confit israélo-palestinien sur notre territoire. On y parle du sionisme comme du « rêve fou d’un Etat religieux juif », de « milices juives » perpétrant quelques massacres et d’Israël comme d’un « non-sens en guise d’Etat, qui reste aujourd’hui schizophrénique, capable d’envoyer un transsexuel à l’Eurovision tout en choisissant un ministre des Affaires Etrangères dont le racisme ferait passer notre borgne national pour l’abbé Pierre ». Voilà ! En quelques lignes tout y passe. Tous les mythes dont se nourrit l’antisémitisme depuis des siècles sont là et l’on voudrait nous faire croire qu’il ne s’agit que d’antisionisme. Lisons bien les phrases d’Utopia. Pour le rédacteur anonyme du tract, Israël serait un non-sens. On comprend qu’il ne pleurerait pas son éventuelle disparition. Ensuite, le peuple israélien, cette mosaïque d’ethnies, ce peuple monde est réduit au rang de dégénérescence ; se succèdent ainsi les références à la schizophrénie, au transsexualisme, au racisme. On ne disait pas pire dans les années 1930… Utopia, ce cinéma qui se félicite de proposer une programmation ouvrant les yeux de ses spectateurs parle avec les mots de ceux qui entretiennent la haine.

Il est des colères saines et celle de Yann Moix faisait partie de celles-là. Il faut en finir avec le combat contre l’antisionisme qui autorise la reprise des pires poncifs antisémites. S’opposer à la politique de l’Etat d’Israël ne doit en aucun cas permettre à des contradicteurs d’écrire de telles infamies.

Globalement, notre opinion publique arrive à débusquer l’antisémitisme lorsqu’il est d’extrême droite. On le voit venir. Il est souvent primitif. Et lorsqu’il se raffine, il a vite fait de se référer aux antisémites de plumes : Céline, Rebatet, Brasillach. Ceux qui les citent sont vite disqualifiés. Reste l’antisémitisme d’une partie de l’extrême gauche. On se méfie moins de l’extrême gauche, elle se donne des airs sympathiques, folkloriques. Celui-là est plus difficile à débusquer pour qui n’est pas rompu à cette dialectique. Et pourtant… Il se camoufle, caché tant bien que mal par le masque de l’antisionisme, cet antisionisme auquel l’extrême gauche est opposée, dès l’origine. Pour l’extrême gauche, la réponse à donner à l’antisémitisme n’est pas celle de la construction d’un sentiment national juif mais plutôt celle d’une lutte de classe. Pour la gauche de la gauche, le sionisme est néfaste car il divertit les masses juives du combat principal, le combat contre le capitalisme. En ce qu’il est trans-classiste, qu’il outrepasse les problématiques de classe pour fixer un destin commun à l’ouvrier comme au notable juif, le sionisme gène le communisme. Voilà ce qui fut la ligne communiste depuis Herzl jusqu’à la création de l’Etat d’Israël. Pourtant en 1948, lorsque des groupes juifs combattent l’impérialisme britannique, l’extrême-gauche voit l’évènement d’un bon œil. Si elle ne va pas jusqu’à l’exultation, elle s’en félicite discrètement. A cela rien de bien étonnant. Pour l’extrême gauche, finalement, ce qui compte n’est pas la justesse de la cause, c’est plutôt de soutenir David face à Goliath. Appliqué comme un théorème mathématique idiot, cela donne : L’Autre, le petit, le plus faible a toujours raison. Même si il se trompe, nous, communistes, trotskystes, maoïstes lui donnons raison. Quand le juif est petit, lorsqu’il est David plutôt que Goliath, lorsqu’il fuit les pogroms à la recherche d’une terre plus clémente, lorsqu’il est tondu et rachitique sortant des camps de concentration, on l’aime et le comprend. Mais dès lors qu’il se façonne un destin national, s’organise, grandit, s’enrichit, on le rejette. C’est ainsi qu’on entend ça et là que le palestinien serait devenu le nouveau juif. Il est le nouveau juif car il est va-nu pied. Que ses combats soient fondés ou non, l’extrême gauche prend le parti systématique de l’Autre.

Il y a ensuite la mystification des origines récentes d’Israël. Selon Jean Yves Camus, politologue spécialiste des extrémismes, on mystifie le sionisme en en faisant un idéal religieux. C’est bien ce que le tract d’Utopia disait en parlant du « rêve fou d’un Etat religieux juif ». Et c’est pourtant faux ! Herzl ne se referait pas à la Bible. Il n’était pas croyant. Son projet national était déconnecté de fondements théologiques. Il construisait un Etat-Nation comme c’était la mode en Allemagne et en Italie à la fin du XIXème siècle.

On peut se tromper de bonne foi, compter des juifs dans ses rangs et écrire des tracts dangereux. C’est ce que dénonçait Yann Moix en critiquant le tract d’Utopia.

On peut tout à fait se reconnaître dans le message porté par l’extrême gauche sans tomber dans le piège de l’antisionisme tendancieux. On peut être en désaccord avec les moyens employés par l’Etat hébreu pour arriver à la paix sans l’accuser de fonder un nouveau nazisme. On peut promouvoir d’autres solutions sans s’enfoncer dans un manichéisme qui confine à l’entêtement. Diffuser le film d’Elia Suleiman était une démarche positive. Le vendre en proposant de telles lignes revenait à nier le dessein poursuivi par le cinéaste. Donnons lui donc le dernier mot :

« la “cause palestinienne” dit-il dans un entretien au Figaro a surtout servi les intérêts de ceux qui s’en emparaient. Le problème est de savoir qui sont les Palestiniens. On en fait un peuple de marionnettes, caricatural, idéologique, plus palestinien que nature.»[1]



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[1] Elia Suleiman ou, la chronique du désastre palestinien
LERACISME
DERICZEMMOUR
APRESRUQUIER,
ARDISSONMENACE

Source : news-de-star.com en ligne
le 24 mars



Thierry Ardisson menace
de poursuivre Eric Zemmour en justice



Thierry Ardisson menace Eric Zemmour de l'attaquer pour diffamationHier, Eric Zemmour a envoyé une longue lettre d'excuses à la Ligue contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) qui a déposé plainte contre lui suite aux propos jugés racistes qu'il a tenu sur le plateau de Thierry Ardisson. Il en profite pour accuser ce dernier d'avoir provoqué et mis en scène ce dérapage. L'homme en noir n'a pas tardé à lui répondre.

Si Eric Zemmour a fait son mea culpa, il tient à dénoncer la manipulation dont il aurait été victime lors de l'enregistrement de Salut les Terriens. Il assure que Thierry Ardisson a savamment mis en scène ce dérapage qui a provoqué une grosse polémique et mis en sérieux danger sa carrière.
"La mise en scène tout de gouaille cynique d’un Ardisson sur Canal +, qui prévient d’avance (...) "Attention, Zemmour dérape", et qui mime un effarement scandalisé d’autant plus surjoué qu’il est enregistré et inséré a posteriori, tandis que pendant l’émission, il avait pris un air patelin, pour me glisser à l’oreille : "tu as un rôle très important dans la société de dire les vérités qui dérangent... Ne t’inquiète pas, je te protégerai au montage..." raconte le journaliste dans la lettre d'excuses qu'il a envoyée à la Licra. Et de souligner : "Car si mes propos étaient si infâmes à ses yeux, que ne les a-t-il coupés au montage ?"

Thierry Ardisson a immédiatement réagi à ces accusations, confiant au blog de Jean-Marc Morandini être prêt à attaquer Eric Zemmour pour diffamation. Regrettant que le journaliste tente de déplacer le débat sur lui, il dément avoir assuré au sniper de Laurent Ruquier qu'il couperait ses propos déplacés au montage. "Il profère des accusations graves en m'accusant de manipulation, affirmant que j'aurais ajouté ma réaction lors du montage et en l'ayant mimé a postériori. J'ai plus de 100 témoins qui étaient sur le plateau et qui peuvent affirmer que c'était ma réaction à ce moment là", poursuit l'animateur en noir avant de déclarer : "Je me réserve donc le droit de l'attaquer en diffamation."

Thierry Ardisson mettra-t-il ses menaces à exécution ?
DUBAÏGATE
ISRAËLACCUSEETJUGE

Source : lefigaro.fr en ligne via l'AFP
le 24 mars


Cadre du Hamas :
enquête australienne


L'Australie a indiqué aujourd'hui qu'elle attendait les résultats de son enquête avant de prendre d'éventuelles mesures, au lendemain de l'expulsion par Londres d'un diplomate israélien dans l'affaire des faux passeports utilisés lors de l'assassinat d'un cadre du Hamas à Dubaï.

"Nous prenons l'affaire très au sérieux. Mais notre approche sera sensée et méthodique", a assuré à la radio nationale le chef de la diplomatie australienne, Stephen Smith. "Nous prendrons évidemment en compte les mesures prises par les autres pays, et la Grande-Bretagne n'est pas le seul pays impliqué dans cette affaire, il y a malheureusement aussi la France, l'Irlande et l'Allemagne", a-t-il ajouté. "Mais nous procéderons par étapes, je vais prendre connaissance du rapport de la police australienne et nous prendrons alors des décisions que nous estimons relever de la sécurité nationale", a-t-il dit.

A ce jour, les autorités australiennes, qui ont dépêché une équipe d'enquêteurs en Israël, ont dénombré quatre passeports australiens frauduleusement utilisés.
LERACISME
DERICZEMMOUR
DOMMAGESCOLATERAUX

Source : lepost.fr en ligne le 23 mars


Zemmour éventuellement
licencié du Figaro



Par Sebastien Bardos
de La rédaction du Post


Sur Le Post, le journaliste dit n'avoir "aucun commentaire à faire" sur son licenciement éventuel du Figaro.



Eric Zemmour va-t-il bientôt quitter le quotidien qui a en partie fait sa renommée? Cela se pourrait bien, le journaliste a en effet reçu une convocation d'entretien en vue de son licenciement, a-t-on appris sur lepoint.fr. Le journaliste sera reçu lundi 29 mars par le directeur général du Figaro, Francis Morel, et par le directeur des rédactions, Etienne Mougeotte, pour un "entretien préalable au licenciement", peut-on lire sur lemonde.fr.

Le polémiste était depuis quelques semaines une nouvelle fois au centre de l'actualité suite au tollé provoqué par ces déclarations sur les "noirs et les arabes" dans l'émission Salut les Terriens. Ce sont ces propos qui semblent avoir entraîné la décision du Figaro. Etienne Mougeotte a en effet déclaré au Monde: "ce n'est pas la ligne du Figaro que de tenir des propos racistes". Avant d'ajouter: "Nous allons entendre Eric Zemmour lundi, nous prendrons une décision après!"

Contacté par Le Post à ce sujet, Eric Zemmour a été on ne peut plus bref: "Je ne fais aucun commentaire sur le sujet. Contactez le Figaro."
LERACISME
DERICZEMMOUR
LEMEACULPA
DUPOLEMISTE
Source : marianne2.fr en ligne le 23 mars



NOTE DE DIASPORABLOG
"Diasporablog n'accepte aucun propos ou acte à caractère raciste ou antisémite d'où qu'il vienne, sous quelque forme que ce soit. Diasporablog s'élèvera, combattra avec acharnement et sans relâche, cette forme d'indignité humaine et de mépris. A Diasporablog, racisme et antisémitisme ne passeront pas".




Monsieur le Président,

Je fais suite à notre rencontre à l’instigation de mon avocat, Olivier PARDO. Cette rencontre nous a permis de nous rendre compte qu’il y avait bien eu un malentendu et une confusion non seulement dans la reprise de mes propos par les médias, mais également dans l’analyse qui a pu ensuite en être faite et qui a conduit à ce déchainement médiatique à mon encontre.

En effet, je n’ai jamais dit contrairement à ce qui a pu être colporté dans les médias que «tous les délinquants sont Arabes et noirs», mais que «la plupart des délinquants sont Arabes et noirs.»

Ma volonté n’a jamais été de stigmatiser « les noirs ou les arabes » comme des délinquants, mais si cette phrase, sortie de tout contexte, a pu heurter, je le regrette.

La mise en scène tout de gouaille cynique d’un Ardisson sur Canal +, qui prévient d’avance par un panneau comme dans les dessins animés de Tex Avery : «Attention, Zemmour dérape», et qui mime un effarement scandalisé d’autant plus surjoué qu’il est enregistré et inséré a posteriori, tandis que pendant l’émission, il avait pris un air patelin, pour me glisser à l’oreille : «tu as un rôle très important dans la société de dire les vérités qui dérangent...Ne t’inquiète pas, je te protégerai au montage...» Car si mes propos étaient si infâmes à ses yeux, que ne les a-t-il coupés au montage ?

D’autres sont allés plus loin. J’aurais déclaré : «tous les Arabes et noirs sont délinquants.» C’est ainsi que l’a pris - ou a voulu le comprendre- un membre éminent du CSA, Rachid Arhab, qui a rétorqué à la cantonade : «on peut être Arabe et membre du CSA». Mais était-ce le sujet ? Des journalistes m’ont même demandé si j’avais voulu dire qu’ils «étaient délinquants parce qu’arabes et noirs». Et ils se sont étonnés que je refuse de leur répondre.

Je n’ai bien entendu pas voulu dire tout cela. Je connais trop la souffrance réelle de mes compatriotes «Arabes et noirs», honnêtes travailleurs, parents intègres, qui se sentent «salis» par les exactions des bandes de jeunes gens qui ont la même origine qu’eux. Je le sais d’autant mieux qu’avec mon patronyme, je me souviens du temps pas si lointain - les années 70- où une bande de truands célèbres - les frères Zemour - défrayaient la chronique criminelle, la honte dans les yeux de mon grand-père; et accessoirement, l’attente interminable dans les aéroports pour la vérification vétilleuse - et sans ordinateur- de mon identité. Mon grand-père souffrait en silence pour «son nom traîné dans la boue», mais il n’a jamais prétendu que nos homonymes n’étaient pas des brigands de grand chemin !

On a volontairement oublié que ma désormais fameuse phrase n’était qu’une réponse aux arguments développés par les autres intervenants selon laquelle «la police n’arrête que les Arabes et noirs». Cette double «stigmatisation» - et de la police républicaine - et des «Arabes et noirs» ne choque personne. Les «Arabes et noirs» peuvent être distingués du reste «de la communauté nationale» s’ils sont héros ( le livre de Thuram exaltant les héros noirs) ou victimes. Dans tous les autres cas, il est infâme de les distinguer. Cette injonction universaliste conviendrait assez bien à mon tempérament assimilationniste. J’ai tendance à ne voir dans tous les Français que des enfants de la patrie, sans distinction de race ni de religion, comme dit le préambule de notre Constitution.

Mais voilà que l’on me reproche aussi cette position, que l’on juge désuète, très IIIème République, exhalant un fumet néo-colonialiste. Au nom du droit à la différence, de la modernité, on doit pouvoir exalter ses racines et l’enrichissement d’une société multiculturelle. Mais quand vous avez l’outrecuidance de montrer l’envers de ce décor riant, on redevient furieusement universaliste !

J’ai eu le malheur d’ajouter : c’est un fait ! J’aurais sans doute dû ajouter «malheureusement». Je ne me réjouis ni pour eux ni pour la société française; mais l’autruche n’est pas mon modèle. On me rétorque un peu facilement qu’il n’y a pas de statistiques ethniques pour prouver mes dires. Pourtant, devant une commission parlementaire du Sénat, Christian Delorme, surnommé «le curé des Minguettes», ne déclarait il pas : « en France, nous ne parvenons pas à dire certaines choses parfois pour des raisons louables. Il en est ainsi de la surdélinquance des jeunes issus de l’immigration qui a longtemps été niée, sous prétexte de ne pas stigmatiser. On a attendu que la réalité des quartiers, des commissariats, des tribunaux, des prisons, impose l’évidence de cette surreprésentation pour la reconnaître publiquement. Et encore, les politiques ne savent pas encore en parler.»

Il y a quelques années, une enquête commandée par le ministère de la justice, pour évaluer le nombre d’imans nécessaires, évaluait le pourcentage de «musulmans dans les prisons» entre 70 et 80%. En 2004, l’islamologue Farhad Khosrokhavar, dans un livre «L’islam dans les prisons ( Balland) confirmait ce chiffre. En 2007, dans un article du Point, qui avait eu accès aux synthèses de la Direction Centrale de la Sécurité Publique ( DCSP) et de la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) on évaluait entre 60 et 70% des suspects répertoriés issus de l’immigration. Il y a près de dix ans, la commissaire Lucienne Bui Trong, chargée des violences urbaines à la direction centrale des RG relevait que 85% de leurs auteurs sont d’origine maghrébine. Dans un article du Monde, du 16 mars 2010, les rapports des RG sur les bandes violentes, établissaient que 87% étaient de nationalité française; 67% d’origine maghrébine et 17% d’origine africaine. La «plupart» est donc, au regard de ces chiffres, le mot qui convient.

Mes contempteurs pourraient d’ailleurs me rétorquer que ces chiffres prouvent bien que les personnes issues de l’immigration sont défavorisées, puisque depuis Victor Hugo, on sait bien que c’est la misère qui crée la délinquance. On pourrait aussi rappeler que dans tous les pays d’immigration, les derniers arrivés donnent souvent les gros effectifs à la délinquance - Irlandais dans l’Amérique du XIXème siècle, Marocains dans l’Israël des années 50, Russes aujourd’hui. Ces arguments ne sont d’ailleurs pas sans fondement, mais on ne me les présente nullement. On exige seulement que je me taise.

On me reproche aussi de contester le principe de «discrimination». Mais je continue de penser que le concept même de «discrimination» est dangereux, qu’il pousse à la délation et l’irresponsabilité. Depuis quand n’a-t-on plus le droit en France de contester le bien fondé d’une loi ? Cette question des discriminations est potentiellement explosive dans un pays égalitaire comme la France. Quand certains grands patrons déclarent qu’ils n’embaucheront plus désormais que «des gens issus de l’immigration, et en tout cas pas des mâles blancs», c’est aussi une discrimination, mais personne ne s’en soucie. C’est pour éviter ces querelles sans fin que j’explique que « la discrimination, c’est la vie », c’est à dire la liberté de choix. Il faut traiter les problèmes réels autrement. En tout cas, on peut en débattre dans un pays libre.

Il existe aujourd’hui une ambiance délétère dans le débat démocratique français. Le pays de Voltaire :« je ne suis pas d’accord avec vous mais je me battrai pour que vous puisiez le dire » devient le pays de Torquemada qui tue l’hérétique pour sauver son âme. Pourquoi les journalistes qui prétendent faire un portrait de moi, s’empressent ils de demander à mes employeurs s’ils me garderont leur confiance ? Il y a aujourd’hui en France une ambiance maccarthyste qui réclame «l’interdiction professionnelle» comme exutoire des dérapages. C’est ma mort sociale qui est réclamée.

Notre rencontre a eu le mérite d’ouvrir un dialogue qui je l’espère pourra se prolonger, hors de l’enceinte d’un tribunal.

Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l’assurance de mes sentiments distingués.



Eric ZEMMOUR