"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

samedi, juillet 31, 2010

ISRAELIENS
PALESTINIENS
OBAMATANCE
MAHMOUDABBAS
Source : dépêche AFP diffusée

le 31 juillet



Obama met en garde Abbas
contre un refus de dialogue direct
avec Israël




RAMALLAH



Le président américain Barack Obama a averti le président palestinien Mahmoud Abbas que tout refus d'une reprise des négociations directes avec Israël pourrait nuire aux relations palestino-américaines, a indiqué samedi un responsable palestinien.

M. Obama a lancé cette mise en garde dans une lettre adressée à M. Abbas, a précisé ce responsable palestinien à l'AFP sous couvert de l'anonymat. Dans le même temps, le président américain y affirme qu'en cas de reprise du dialogue, il veillerait à une extension du moratoire sur la colonisation juive en Cisjordanie qui expire le 26 septembre.

"Dans la missive, Obama met en garde Abbas contre son refus de reprendre les négociations directes avec Israël le mois prochain, avertissant que cette position aurait des répercussions sur les relations américano-palestiniennes", a-t-il dit.

Les Etats-Unis souhaitent relancer les négociations directes avec Israël suspendues depuis décembre 2008. Des négociations indirectes sous l'égide des Etats-Unis ont été lancées en mai dernier mais sans résultat jusqu'à présent.

M. Abbas refuse de passer à des discussions directes sans avoir obtenu au préalable un gel de la colonisation israélienne et des garanties sur les frontières du futur Etat palestinien. Israël rejette ces exigences et se dit prêt à reprendre ces négociations sans conditions préalables.

M. Obama souligne dans la lettre qu'"il est grand temps de reprendre les négociations directes" et que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu "est prêt à les reprendre", ajoute le responsable, estimant que la missive en 16 points agite "la carotte et le bâton".

La lettre avertit qu'"Obama n'acceptera absolument pas le rejet de sa demande d'aller vers des négociations directes et qu'un tel rejet aurait des conséquences qui se traduiraient par un manque de confiance dans le président Abbas et la partie palestinienne", a poursuivi le responsable.

"Si vous reprenez les négociations directes, l'administration (américaine) veillera à l'extension du moratoire sur les colonies, mais en cas de refus elle limitera fortement son aide", avertit le président américain, selon la même source.

L'un des principaux négociateurs palestiniens Saëb Erakat a confirmé à l'AFP que M. Abbas avait reçu une lettre de M. Obama le 16 juillet.

"M. Obama y appelle les Palestiniens à entrer dans des négociations directes qui aboutiraient à la création d'un Etat palestinien indépendant", a-t-il dit. "Il a aussi assuré M. Abbas que l'administration américaine oeuvrerait pour mettre un terme à la colonisation en cas de leur reprise mais qu'elle jouerait un rôle moindre dans le cas contraire".

Selon le responsable qui a requis l'anonymat, M. Obama souhaiterait que les négociations reprennent vers le début du mois d'août et qu'elles traitent des questions épineuses tels les frontières et le sort de Jérusalem-est annexée par Israël.

"Nous faisons face actuellement à des choix difficiles car Netanyahu ne veut faire aucun compromis et entrer dans de telles négociations ne serait bénéfique que si l'administration américaine force le gouvernement Netanyahu à (respecter) des points de référence clairs", a-t-il ajouté.
ISRAELIENS
PALESTINIENS
DIRECTIONPOURPARLERS
DEPAIXDIRECTS

Source : israelvalley.com via
la revue de presse de l'Ambassade
de France en Israël en ligne le 31 juillet



POURPARLERS DIRECTS ?
Le comité de suivi de l’initiative de paix
de la Ligue arabe a approuvé hier
le passage à des pourparlers directs
entre Israël et l’Autorité palestinienne



Le comité de suivi de l’initiative de paix de la Ligue arabe a approuvé hier le passage à des pourparlers directs entre Israël et l’Autorité palestinienne, tout en laissant au président de l’Autorité, Mahmud Abbas (Abou Mazen), le pouvoir de décider quand ces pourparlers devront commencer. Cette décision est contraire au souhait de Mahmud Abbas qui avait demandé à la Ligue de s’opposer à la tenue de pourparlers directs et de soutenir la poursuite des « pourparlers de proximité ».

Le président du comité de suivi, le Premier ministre qatari Hamad bin Jaber al-Thani, a laissé hier planer une certaine ambigüité autour de ce qui avait été décidé. « Nous nous sommes mis d’accord, mais uniquement sur la mise en place de pourparlers et sur ce qui y sera discuté », a-t-il déclaré au terme de la réunion.

Une heure auparavant, Mahmud Abbas s’est exprimé devant les représentants des différents pays arabes, leur demandant d’approuver la poursuite des pourparlers indirects jusqu’au terme des quatre mois qui leur ont été alloués, c’est-à-dire jusqu’à début septembre, avant de prendre une décision. Mahmud Abbas a expliqué que les pressions qui sont exercées sur lui pour qu’il accepte des pourparlers directs sont les plus fortes qu’il n’ait jamais subies.

Peut-être Mahmud Abbas s’attendait-il à un soutien total de la part des pays arabes qui, ces derniers mois, avait adopté sa position. Mais les événements de cette semaine étaient un signe avant-coureur de ce qui l’attendait hier : la rencontre entre le roi Abdallah de Jordanie et le Premier ministre Netanyahu, celle attendue dimanche du président Pérès avec le président Moubarak et l’annonce égyptienne d’avant-hier selon laquelle les Américains ont fourni des garantie qui permettront la reprise des pourparlers directs. De tout cela on peut appendre que les principaux acteurs de la Ligue arabe ne souhaitent pas d’affrontement diplomatique avec Washington et qu’au contraire, ils veulent apparaître aux yeux du président Obama comme des soldats disciplinés pour tout ce qui a trait aux négociations israélo-palestiniennes.

La principale raison à ce changement de position de la part de la Ligue arabe se trouve semble-t-il dans la suite des propos du Premier ministre qatari. Selon lui, la Ligue arabe est convaincue qu’Israël ne souhaite pas sérieusement la paix et ne cherche qu’à gagner du temps. Mais, a-t-il déclaré, « nous sommes convaincus que le président américain souhaite véritablement parvenir à la paix ». En d’autres termes, le président Obama a fait pression sur les pays arabes afin qu’ils acceptent des pourparlers directs, ce qu’ils ont fait, même au prix d’une légère dispute avec les Palestiniens.

Le Premier ministre Binyamin Netanyahu s’est félicité hier de la décision de la Ligue arabe qui a donne son feu vert à la reprise de pourparlers directs entre l’Autorité palestinienne et Israël. « Je suis prêt à entamer des pourparlers directs et francs avec Abou Mazen dans les tout prochains jours. Dans le cadre de pourparlers directs ont pourra parvenir au plus tôt à un accord de paix entre les deux peuples », a déclaré M. Netanyahu.

En Israël on estime cependant que le président de l’Autorité palestinienne, Mahmud Abbas, essaiera de retarder autant que possible sa décision concernant le passage à des pourparlers directs. Selon un haut responsable israélien, M. Abbas se rapprochera le plus possible de la fin du gel de la construction dans les colonies pour pouvoir faire pression sur le Premier ministre Netanyahu et obtenir de lui la prolongation du gel ou des mesures équivalentes.

M. Netanyahu et ses conseillers ont eux l’intention de poursuivre leurs contacts avec le gouvernement américain et les autres membres du Quartette à qui ils demanderont de faire pression sur Abou Mazen afin qu’il déclare adopter la décision de la Ligue arabe et accepter l’ouverture de pourparlers directs avec Israël.

vendredi, juillet 30, 2010

RETOUR
AUPAYSNATAL

Source : lacroix.com via l'AFP en ligne
le 30 juillet



TRIPOLI,


Libye:
un leader juif revient
sur sa terre natale
après des années d'exil



Un responsable de la communauté juive en Libye est revenu vendredi après des années d'exil sur sa terre natale qu'il avait dû fuir en 1967, un retour qu'il décrit comme "un rêve".

Raphael Luzon, contraint à l'exil après la guerre israélo-arabe de 1967, a retrouvé sa ville natale de Benghazi, à quelque 1.000 km à l'est de Tripoli, en compagnie de sa soeur et sa mère de 83 ans.

"Nous avons retrouvé nos proches dans les larmes et avec énormément de nostalgie nos amis que nous n'avons jamais oubliés", a dit à l'AFP celui qui vit désormais à Londres. Pour lui, revenir en Libye, c'est avoir l'impression de vivre "un rêve".

M. Luzon a rencontré plusieurs responsables libyens pendant sa visite, mais a regretté ne pas avoir pu s'entretenir avec le leader libyen Mouammar Kadhafi.

La communauté juive en Libye, qui était forte de dizaines de milliers de personnes avant la création de l'Etat d'Israël en 1948, s'était réduite comme peau de chagrin après. La plupart des 7.000 membres de la communauté qui étaient restés en Libye avaient été évacués en 1967 suite à des émeutes anti-juives.

Le colonel Kadhafi a déjà évoqué une éventuelle compensation pour les juifs qui avaient dû abandonner leur propriété en Libye.

"Toute la communauté juive (qui vit à l'étranger) attend mon retour pour que je leur dise les résultats de cette visite", a dit M. Luzon, ajoutant qu'il envisageait de revenir à nouveau en Libye.

"Tous les Libyens juifs qui vivent en Palestine, en Europe et en Amérique, et ils sont 110.000, aspirent à retourner en Libye, pour s'y installer ou juste visiter", a-t-il assuré.
UNEGAYPRIDE
SOUSHAUTEPROTECTION
Source : le site d'euronews en ligne
le 30 juillet



http://www.dailymotion.com/video/xe753s_jerusalem-modeste-gay-pride-devant_news



Israël:
touche pas à ma Gay


A Jérusalem, la Gay Pride s’est déroulée sous le regard de quelques 1 500 policiers israéliens hier. Objectif : empêcher que les manifestants ne soient perturbés par des homophobes issus de la communauté ultra-orthodoxe.

“La communauté gay à Jérusalem est très respectueuse des gens religieux, a souligné un manifestant pris à partie par une jeune orthodoxe. Une partie du message est de révéler aux orthodoxes qu’il existe des gays parmi eux. La population orthodoxe a des gays en son sein et il est très important, pour eux, qu’ils le révèlent.


Plus loin, le discours est différent.

“Allez jouer en enfer et pas à Jérusalem”, “ la terre sainte n’est pas la terre des homos”, peut-on lire sur les banderoles d’ultra-orthodoxes venus exprimer leur opposition à la Gay Pride. “Les gens qui sont malades, qui font des choses contre la bible, contre Dieu, dans la ville sainte, profanent cette ville”, a estimé l’un d’eux.

En 2005, un juif ultra-orthodoxe avait poignardé trois participants de la Gay Pride de Jérusalem.
HANOKHLEVIN
FIGUREDEPROUE
DUTHEÂTREISRAELIEN

CONTEMPORAINE
Source : le site du jerusalem post
en français en ligne le 25 juillet



Hanokh Levin,
le théâtre et son homme


Par DAVID KANNER



Tout a commencé dans une auberge, perdue au milieu de la neige, quelques denrées seulement pour se sustenter, un feu, des amis, et un livre : Les Souffrances de Job, de Hanokh Levin, dramaturge israélien mort en 1999. Laurent Bréthome, et sa compagnie de théâtre Le Menteur Volontaire, sont restés bloqués là, quelque part en France, en transit. S'ensuit dans la nuit glacée une lecture en groupe, puis deux. L'homme de théâtre s'endort, le livre sur la poitrine, et rêve, un jour, de donner vie à cette pièce.


Quelques années plus tard, Les Souffrances de Job, dont la dernière mise en scène date de 1981, par l'auteur lui-même, au Théâtre Caméri à Tel-Aviv, voit le jour en France, à Paris, où, en juin 2010, la pièce remporte le Prix du Public au Festival Emergences du Théâtre de l'Odéon.
Il aura fallu trois ans "d'un combat acharné", dit Laurent Bréthome, pour venir à bout "des complexités, des peurs de la réaction du public face à une pièce si violente, des difficultés inhérentes à la pièce : 40 rôles, le personnage central - Job - empalé au milieu de la pièce, une strip-teaseuse, un nain, huit chapitres...
" Et trente ans d'absence, où pas un seul, depuis Hanokh Levin, ne s'était essayé.

Les Souffrances de Job sont inspirées du livre biblique de Job. Où il est question de l'existence de Dieu, de l'homme face à son destin, la perte, la cruauté, les questions existentielles ramenées à des petits riens, l'ordinaire, le sens de la vie, si ce n'est de vivre, c'est tout.


L'effet d'une gifle

"La pièce", assurent le metteur en scène Laurent Bréthome et Lionel Choukroun, attaché culturel du service culturel de l'ambassade de France en Israël, "doit prochainement être jouée en Israël, au Théâtre Caméri." Comme une preuve supplémentaire du lien entre la France et Israël, des passerelles d'une scène à l'autre, d'une culture à l'autre, d'une langue à l'autre.
Hanokh Levin incarne ce lien-là. L'homme de théâtre, par son talent, s'est imposé comme un des auteurs les plus représentés aujourd'hui en France où il est le 3e auteur contemporain le plus joué, et bien sûr, en Israël, où ses pièces font débat, parfois scandale, depuis l'une de ses premières œuvres, Toi, moi et la prochaine guerre, en août 1968, au lendemain de la guerre des Six-Jours.

Hanokh Levin, c'est l'homme de théâtre israélien par excellence. Celui qui montre, qui voit, qui fait entendre, tend le miroir à la société israélienne. "Il est israélien avant tout", affirme Nourit Yaari, qui fut son assistante, et aujourd'hui professeur au département théâtre de l'Université de Tel-Aviv. C'est elle qui prolonge l'œuvre, sa mémoire et qui grâce aux rencontres, avec Laurence Sendrowicz et Jacqueline Carnaud, les traductrices officielles de l'auteur et de l'éditeur Jean-Pierre Engelbach, à leur travail en commun, contribuent à la promotion de Levin en France avec des publications et un nombre croissant de pièces traduites.

Hanokh Levin parle aux Israéliens directement, parce qu'il réagit à l'actualité, mais d'une manière unique, qui n'est pas du théâtre de commentaire. "C'est comme recevoir une gifle violente", précise Nourit Yaari. Il sait utiliser les artifices du théâtre pour démonter les mythes d'une société engluée dans des guerres à répétition. "Car, en Israël", affirme-t-elle, "ce sont les guerres qui scandent le temps." Hanokh Levin se joue de toutes les guerres. Des vraies, celles qui ensanglantent les citoyens israéliens, et leurs voisins et ennemis, celles qui aliènent, parfois pour des temps indéterminés, les guerres de quartiers, celles qui étrillent hommes et femmes, voisins, bref la société israélienne dans son ensemble confinée à la rue, enfin,
les guerres existentielles, propres à l'homme, celles qu'il mène pour son combat avec la vie.


Théâtre juif et universel

Pour chacune, il décline un genre. Satire politique, comédies grinçantes et tragédies ou pièces mythologiques.

Il mêle, comme Sartre avec Les Troyennes, le contemporain au classique. "Chez lui, on trouve du Aristophane, du Brecht, du Ionesco et du Jarry", cite pêle-mêle Nourit Yaari. Quand il parle des guerres, c'est du théâtre grec antique, mais transposé à l'actualité israélienne. Avec les comédies, il transmet dans son texte l'humour yiddish de Shalom Aleichem, les petitesses des uns et des autres qui rejoignent le Tchekhov comique. "Alors, non, il n'est pas trop juif", taquine Nourit Yaari. "Il est humain, trop humain." C'est ça qui aujourd'hui fait son universalité.

Hanokh Levin puise sa source au croisement des cultures juives, chrétiennes et occidentales, il brasse les matériaux. Comme une obsession, tout au long de sa vie. Pour rappeler un point de départ, la destruction des Juifs d'Europe, pendant la Seconde Guerre mondiale, la Shoah. C'est ça qui fait matrice tout au long de son œuvre. Hanokh Levin invente une poésie, un langage scénique et artistique. A Tel-Aviv, il touche à tous les métiers du théâtre, travaille avec les mêmes acteurs, comme une famille.
Dans sa vie, il affronte les échecs avec courage, traverse les réussites, comme autant d'étapes nécessaires pour toujours écrire et révéler le pouvoir du théâtre sur l'imaginaire et la vie.
ALADECOUVERTE
DESJUIFSDETURQUIE
Source : azurever.com en ligne le 28 juillet



Visite privée :
le patrimoine juif d'Istanbul


Découvrez la culture juive d'Istanbul sur cette visite privée d'une demi-journée. Visitez la tour de Galata, l'un des endroits emblématiques de la ville. Vous pourrez également vous rendre dans les synagogues de Neve Shalom, Ashkenaz et Ortakôy.



Tour de Galata :

Construite par les Génois en 1368, est située au sud de Taksim sur la rive européenne. Elle offre une vue panoramique d’İstanbul et de la Corne d'Or. Appelée Tour du Christ par les Génois, elle faisait partie du système de protection de Galata, ancienne colonie génoise, dont les remparts furent entièrement démolis en 1453. L'entrée à l'intérieur de la tour n'est pas autorisée, vous pourrez juste admirer l'extérieur.


Synagogue Neve Shalom :

Neve Shalom est la synagogue centrale et la plus importante d'Istanbul . Elle a été achevé en 1951 en raison d'une augmentation rapide de la population juive dans les domaines Pera et Galata.


Synagogue ashkénaze :

Situé près de la Tour de Galata, la façade du bâtiment est particulièrement imposante, avec trois arcades orientales et des fenêtres rosette octogonales. A l'intérieur, les planchers sont de marbre, la haute coupole est peinte avec des étoiles, et l'arche richement travaillées, en bois sombre, des mélanges de styles de l'Est européen et Arabesque. Elle est la seule Synagogue ouverte aux visites et aux prières.


Synagogue Ortakôy :

La synagogue de Ortakôy ou Etz Ahayim est située sur la côte, près du pont du Bosphore. La synagogue a été reconstruite en 1941 après avoir été totalement détruite par le feu.

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jeudi, juillet 29, 2010

ISRAELIENS
PALESTINIENS
AUBORDDES
NEGOCIATIONSDIRECTES
Source : dépâche AFP diffusée le 29 juillet


Dialogue direct avec Israël: les Arabes d'accord, quand Abbas le voudra
De Samer AL-ATRUSH (AFP) – Il y a 5 heures

LE CAIRE — Les pays arabes sont d'accord sur le principe de pourparlers directs avec Israël, mais laissent au président palestinien Mahmoud Abbas le soin de juger quand les conditions seront réunies pour qu'ils débutent, a-t-on appris jeudi à l'issue d'une réunion de la Ligue arabe.

"Je serai clair. Il y a un accord mais en sachant ce qui sera discuté et comment les négociations directes seront menées", a déclaré Hamad Ben Jassem Ben Jabr Al-Thani, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères du Qatar, qui présidait au Caire la rencontre à laquelle participait M. Abbas.

"Nous laissons au président palestinien le soin d'évaluer quand les conditions permettront de débuter de telles négociations" pour lesquelles Washington exerce de fortes pressions, a-t-il ajouté, interrogé par la presse.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a rapidement réagi en se déclarant prêt à des négociations "directes et franches" avec l'Autorité palestinienne.

Le responsable qatari a ajouté qu'une lettre allait être envoyée au président américain Barack Obama exposant "comment nous voyons tout processus de paix ou négociation directe".

Les Etats-Unis et d'autres pays ont intensifié les pressions en faveur de négociation directes, au lieu des discussions indirectes conduites sans grand succès depuis début mai sous la houlette de Washington.

Le secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa a quant à lui insisté sur la nécessité d'obtenir des "garanties écrites" pour ces discussions directes, qui doivent selon lui "être sérieuses" et porter sur le "statut final" d'un futur Etat palestinien et d'un accord de paix.

Un haut diplomate arabe a déclaré à l'AFP qu'il s'agissait d'appuyer toute décision que les Palestinien prendront. "La décision revient aux Palestiniens et nous l'appuierons", a-t-il souligné sous couvert de l'anonymat.

Un autre participant a déclaré que la réunion n'avait "pas rejeté la reprise de discussions directes et a laissé la porte ouverte aux efforts américains".

La lettre à M. Obama "comprendra une confirmation des principes généraux du processus de paix", avec en particulier l'arrêt de la colonisation israélienne en Cisjordanie et Jérusalem, a-t-il ajouté également sous couvert d'anonymat.

M. Abbas a été entendu à huis-clos par le comité de la Ligue chargé du suivi de l'initiative arabe de paix, réuni en présence de plusieurs ministres des Affaires étrangères.

Lors d'une rencontre avec des responsables de la presse égyptienne mercredi, M. Abbas avait réaffirmé ses exigences pour un retour au dialogue direct, interrompu depuis l'offensive d'Israël à Gaza fin 2008.

Le responsable palestinien, cité par l'agence officielle égyptienne Mena, a déclaré qu'il "n'entamerait pas de négociations directes tant que l'on n'aurait pas de perspectives sérieuses sur les frontières de 1967 et la fin de la colonisation", des conditions jugées inacceptables par le gouvernement de M. Netanyahu.

"Quand je recevrai des garanties (sur ces sujets) alors j'engagerai immédiatement des négociations", a-t-il poursuivi.

M. Abbas a assuré qu'il faisait face à "des pressions comme je n'en ai jamais connues avant dans ma vie, de la part de l'administration américaine, de l'Union européenne et du secrétaire général de l'ONU".

Le président américain Barack Obama, avait dit le 6 juillet espérer que les négociations directes reprennent avant le 26 septembre. Les Etats-Unis "poussent sans relâche" à la reprise du dialogue de paix direct entre Israël et les Palestiniens, a également assuré mardi le porte-parole de la diplomatie américaine, Philip Crowley.
DELINUTILITE
DUBOYCOTTCULTUREL
DISRAËL
Source : slate.fr en ligne le 29 juillet



Honte sur ces artistes
qui boycottent Israël


En boycottant Israël, les artistes américains se trompent de combat. Bouder la culture israélienne en pensant atteindre le pouvoir en place est une grave erreur.


L'AUTEUR
Jacob Weisberg Jacob Weisberg est le président et le rédacteur en chef de Slate Group et est, entre autres, auteur du livre « The Bush Tragedy ».



Si vous suivez l’actualité de près, vous savez peut-être que Meg Ryan a récemment annulé sa participation au festival du film de Jérusalem pour protester contre la politique israélienne. C’est important, non pas parce qu’on devrait tous se préoccuper de ce que cette star de cinéma célèbre pour son plissement de nez pense du Moyen-Orient, mais précisément parce que tout le monde s’en fiche. Démocrate typique d’Hollywood, Meg Ryan est pourtant un bon baromètre des convictions politiques des stars. Moutonnière, l’opinion socio-libérale hollywoodienne soutenait jadis Israël. Elle joue maintenant sur cette idée abjecte de snober le pays tout entier.


Le boycott artistique, pas une solution

Ces derniers temps, l’idée d’un boycott culturel d’Israël a gagné du terrain là où l’on ne s’y attendait pas. Après l’affaire de la flottille le mois dernier, des groupes de rock, Pixies compris, ont annulé leur participation à un festival de musique de Tel-Aviv. Elvis Costello a annoncé en mai qu’il renonçait à deux concerts prévus, pour protester contre le traitement réservé aux Palestiniens. «Parfois, le simple fait d’avoir son nom inscrit sur un programme peut être interprété comme un acte politique plus fort qu’une chanson», peut-on lire sur son site Internet. «Si j’y allais, je donnerais l’impression de me ficher de la souffrance d’êtres innocents», a-t-il ajouté. Contrairement à Meg Ryan, Elvis Costello est une personne sensée, ses opinions méritent le respect. Alors pourquoi se trompe-t-il? Pourquoi l’embargo privé (y compris les boycotts universitaires et les campagnes pour le désinvestissement menées sur le modèle de qui avait été fait contre l’apartheid) n’est-il pas une solution acceptable pour les étrangers qui tiennent à manifester leur désaccord avec la manière dont les Israéliens traitent les Palestiniens dans les territoires occupés et qui militent pour un changement politique?

Argument avancé par les juristes Alan Dershowitz et Anthony Julius: les boycotts universitaires sont intrinsèquement inacceptables car ils vont à l’encontre des principes de liberté d’expression et d’universalité de la science et du savoir. Une objection du même style s’applique aux boycotts culturels, qui visent en réalité surtout les membres les plus ouverts et les plus avant-gardistes d’une société. Dans le cas d’Israël, boycotter des écrivains qui réveillent les consciences comme Amos Oz et David Grossman serait non seulement épouvantable mais surtout profondément contreproductif pour les opposants au gouvernement de Netanyahou. Mais d’un autre côté, un boycott excluant les secteurs culturels et universitaires serait difficile à justifier. Dans les régimes autoritaires, les institutions culturelles sont utilisées à des fins idéologiques –je pense par exemple au Ballet national de Cuba ou aux équipes de gymnastes d’Allemagne de l’Est. Si l’on accepte des exceptions, les sanctions sont vouées à l’échec. Il n’y a par exemple pas d’exception culturelle aux sanctions américaines en Iran. Israël demande d’ailleurs des sanctions internationales globales contre l’Iran, des sanctions qui concerneraient aussi les artistes et les intellectuels.


Une utilité limitée

Le pire avec le boycott culturel, c’est qu’il a peu de chances d’atteindre ses objectifs. Certes, les seules sanctions culturelles ne sont pas aussi efficaces que les armes, mais elles peuvent avoir un vrai impact. En Afrique du Sud par exemple, de nombreux spécialistes estiment que les sanctions sportives, généralement considérées comme une sorte de boycott culturel, ont été une forme efficace de pression extérieure. Exclure les équipes pratiquant la discrimination raciale des Jeux Olympiques et des compétitions internationales de cricket et de rugby, c’était priver les gens de quelque chose auquel ils tenaient vraiment. Pour Israël, difficile de prédire l’effet qu’une isolation culturelle et universitaire (ou des interdictions de participer à des évènements sportifs) pourrait avoir.

Dans le pays, certains prennent très au sérieux le rejet international et en concluent que, dans un océan d’hostilité, le pays n’a d’autres recours que de vivre en autarcie. D’un autre côté, Israël se préoccupe vraiment de l’opinion étrangère et les opposants au gouvernement de Netanyahou pourraient utiliser l’opprobre grandissant comme un argument en faveur d’une autre voie.

Lorsqu’il y a d’autres moyens pacifiques de protestation, les boycotts contre les sociétés démocratiques devraient peut-être être interdits. Mais là encore, impossible de prôner une règle générale. Lorsqu’un gouvernement élu agit de manière choquante, mais réversible, le recours immédiat aux sanctions semble extrême et disproportionné. Je pense ici au maire de San Francisco, Gavin Newsom, qui a interdit les voyages officiels en Arizona à cause de la loi anti-immigration draconienne adoptée dans cet Etat, ou encore au boycott de l’Autriche par l’Union européenne après que le néo-fasciste Jörg Haider a rejoint le gouvernement en 2000.


Le boycott culturel peut ébranler un pays

Mais un régime issu des urnes, comme celui de Slobodan Milosevic en Serbie, peut tout autant qu’un gouvernement non-démocratique opprimer des minorités ethniques, voire commettre un génocide. On pourrait aussi objecter qu’il n’y a que dans les démocraties que le peuple est pleinement responsable des actions de son gouvernement, ce qui justifie davantage les sanctions collectives.

Pour qui est cohérent, respectueux du principe de proportionnalité et attentif aux leçons de l’Histoire, impossible d’approuver un boycott culturel d’Israël. Les partisans d’un boycott de ce pays se préoccupent rarement de la Chine, de la Syrie, du Zimbabwe, et de ces autres régimes véritablement illégitimes qui violent les Droits de l’Homme non pas dans le cadre d’un écart de conduite mais systématiquement. Cela prouve leur mauvaise foi. Les boycotteurs ne tentent pas de faire passer un message spécifique comme «Nous refusons votre politique de colonisation en Cisjordanie» ou «Nous pensons que vous devriez faire davantage de concessions pour la paix.»

Leur message, c’est plutôt: «Nous considérons que votre pays est tellement criminel que nous allons traiter tous vos citoyens comme des parias». Au lieu d’attirer l’attention sur le fait qu’Israël pourrait devenir une société d’apartheid si elle n’arrive pas à imposer la paix, les boycotteurs ont conclu qu’Israël était déjà irrémédiablement une société d’apartheid. Comme les boycotts économiques imposés sur Israël par la Ligue Arabe à partir des années 1940, le boycott culturel est une arme qui sert non pas à apporter la paix, mais à ébranler le pays.


Vers d'autres moyens de pression?

Parce qu’Israël est un refuge pour les juifs persécutés, cette façon de défier son existence est difficilement dissociable de l’antisémitisme–même si des gens comme Meg Ryan et Elvis Costello ne peuvent être taxés d’antisémitisme. C’est pour cette raison que contrairement à l’Afrique du Sud, où l’opposition intérieure était favorable aux sanctions, personne en Israël -en dehors de quelques voix extrémistes- n’estime que le pays mérite d’être boycotté, d’être la cible de désinvestissement ou d’être puni par des sanctions. Quand certains essaient de vous tuer pour votre religion, difficile de penser que ceux qui veulent simplement vous boycotter pour votre nationalité ont de bonnes intentions.

Reste une question: que peuvent légitimement faire les opposants aux politiques israéliennes? Comme il est peu probable que le Congrès américain utilise un jour l’aide militaire pour faire pression sur ce pays –ou qu’il autorise le président Obama à le faire–, il faut chercher d’autres façons de défier les actions les plus choquantes d’Israël. La Haute Cour de l’Union européenne a par exemple décidé en début d’année que les biens fabriqués en Cisjordanie par des sociétés israéliennes ne pouvaient jouir du traitement préférentiel accordé par l’UE aux exportations israéliennes. Dans le même esprit, le New York Times a récemment expliqué comment des Américains qui soutenaient financièrement la colonisation bénéficiaient de centaines de millions de dollars de déductions d’impôts. Le jour où Elvis Costello s’attaquera à cette escroquerie, je serai derrière lui.


Jacob Weisberg

Traduit par Aurélie Blondel
LASEULE
GAYPRIDEAU
PROCHEORIENT
DEFILEAJERUSALEM

Source : israelvalley.com en ligne
le 29 juillet


MANIF DU JOUR :
GAY ATTITUDE ET LUTTE
CONTRE L'HOMOPHOBIE
JERUSALEM VA VIVRE
SA GAY PARADE. DES MILLIERS
DE POLICIERS VONT EUX AUSSI
PARADER.



Embouteillages monstres sont attendus ce soir vers 17 heures autour de la capitale. Plus de 5 000 personnes vont faire partie de la Gay Pride qui va se terminer devant la Knesset. Il y a cinq ans, un Juif orthodoxe avait poignardé trois participants de la Gay Pride de Jérusalem. Il avait par la suite été condamné à 12 ans de prison. La police va, comme d’habitude, se trouver en surnombre ce soir lors de la parade. Israël fait pourtant figure d’exception au Moyen-Orient car la plupart des pays environnants répriment sévèrement l’homosexualité.

Selon Guysen : “Les opposants à la tenue de la gay pride à Jérusalem pourront organiser une contre-manifestation mais l’utilisation d’ânes leur a été interdite sur instruction de la police. A la place, ils brandiront des poupées en carton mais les habitants orthodoxes de la ville n’ont pas dit leur dernier mot. Ils tenteront dans les prochains jours de se voir accorder l’autorisation d’utiliser l’animal comme signe de protestation à la tenue de cet évènement controversé qui divise.”

C’est un fait que les touristes homosexuels de passage en Israël n’ont aucun problème pour s’allonger ensemble main dans la main sur la plage gay à deux pas de l’hôtel Hilton (cette plage se trouve tout de même à côté de la seule plage réservée aux chiens!). Par contre ce qui est faux est de penser que les gays israéliens aient la vie facile et affichent sans problèmes leur homosexualité. Surtout pas a Jérusalem ! Tout le sud d’Israël en dehors de Eilat est assez homophobe.

Le nombre de lieux gays en Israël est faible si on le compare a celui de la France. Il est presque impossible pour un jeune de vivre son homosexualité normalement, car dés 18 ans il doit faire l’armée. Très souvent c’est à ce moment qu’une crise arrive. Et ses jeunes sont bien obligés d’avoir un soutien moral. C’est la raison pour laquelle la ville de Tel-Aviv a mis à disposition des locaux pour que les ados puissent se retrouver et avoir un soutien moral. A Jérusalem ce n’est pas le cas.



ISRAELVALLEY

LOS ANGELES TIMES :

‘The annual Jerusalem Pride march is taking to the streets of Jerusalem on Thursday and taking the community’s demand for rights downtown and up to the Knesset, Israel’s parliament. In past years, intense controversy surrounding the yearly event, counterdemonstrations by ultra-Orthodox Jews and fear of violence have led the police to steer the march from central locations and confine the big final rally to a stadium. In 2005, a young religious man stabbed three participants.

This year, the organizers requested permission for the march to begin at Gan Haatzmaut, or Independence Park, across from the American Consulate downtown, and conclude at the Rose Garden outside Israel’s parliament. The police ultimately approved the planned route.

Pride events were held in various locations throughout Israel in June. This year’s Jerusalem event was postponed by a few weeks to coincide with the first anniversary of the deadly attack on an open house for gay youth last summer in Tel Aviv. An unknown gunman walked into a low-key but well-known gay youth club and sprayed the place with bullets, moving from one room to the next in the ground-floor apartment that served as the venue. Two young people — a youth counselor and a teenage girl — were killed; many others injured. The assailant hasn’t been caught.
NOUVELLEARME
CONTRELANTISEMITISME
AUXPAYSBAS

Source : le danielJforum en ligne
le 28 juillet




A Amsterdam,
des policiers déguisés en Juifs
pour traquer l’antisémitisme



Afin de surveiller et empêcher les comportements antisémites, ces leurres arpenteront les rues de la capitale néerlandaise. Un méthode déjà éprouvée aux Pays-Bas pour contrer les discriminations.


Bientôt, quelques policiers portant la kippa marcheront dans les rues amstellodamoises afin de repérer les comportements discriminants. Un "testing" bien particulier pour réagir face aux signaux d’alarme lancés par la communauté juive néerlandaise. Celle-ci pointe la recrudescence des discriminations anti-juives.

Une vidéo a particulièrement choqué le pays : diffusée par Joodse Omroep, elle montrait un rabbin se promenant dans les rues, insulté par des jeunes faisant le salut nazi sur son passage. Selon des rapports locaux, au moins six quartiers de la capitale sont devenus impossibles à fréquenter pour les Juifs qui essuient insultes et parfois gestes de violence.

Envoyer des policiers en kippa dans les quartiers sensibles d’Amsterdam permettrait d’avoir une meilleure vue de la situation. Sur une proposition du député travailliste d’origine marocaine Ahmed Marcouch, le maire de la ville Lodewijk Asscher a validé l’idée.

Le même principe avait été utilisé pour cibler les discriminations contre les prostituées, les personnes âgées et les homosexuels.

mercredi, juillet 28, 2010

JERUSALEM
LONDRES
POINTSDEVUE
DISCORDANTS
Source : revue de presse de l'Ambassade

de France en Israël diffusée le 28 juillet



Le Premier ministre britannique : *
« Gaza est comme un camp
de prisonniers »


Boaz Bismuth
Israël Hayom



Le Premier ministre britannique, David Cameron, qui était en déplacement à Ankara, a décrit hier Gaza comme « un camp de prisonniers » et a appelé le gouvernement israélien à permettre la livraison d’aide humanitaire et un libre passage vers la bande de Gaza.

M. Cameron a rencontré hier son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan. Au terme de la rencontre, il a déclaré que l’assaut contre la flottille était « inacceptable » et a appelé à nouveau le Premier ministre Netanyahu à faire en sorte que soit mise en place une commission d’enquête transparente et sérieuse. Il a cependant appelé la Turquie à ne pas renoncer à ses relations avec Israël à cause des événements de la flottille.

Selon la presse britannique, le Premier ministre Cameron a déclaré : « La situation à Gaza doit changer. L’aide humanitaire doit pouvoir passer et la circulation des civils doit être libre dans les deux sens. Gaza ne peut pas et ne doit pas rester un camp de prisonniers. L’assaut contre la flottille était complètement inacceptable ».

L’ambassadeur d’Israël à Londres, Ron Prosor, a réagi dans la presse à ces critiques : « Les habitants de Gaza sont prisonniers d’une organisation terroriste appelée Hamas. La situation à Gaza est le résultat direct de ce que fait le Hamas. Nous savons que M. Cameron partage notre profonde inquiétude concernant Guilad Shalit qui est détenu en otage depuis plus de quatre ans sans avoir eu droit à la moindre visite de la Croix-Rouge », a-t-il déclaré
DESPALESTINIENS
PEUENCLINS
AUXNEGOCIATIONS"DIRECTES"
Source : dépêche AFP diffusée
le 28 juillet



Israël:
les conditions des Palestiniens
pour les négociations directes
"impossibles"



JERUSALEM



Les conditions posées par le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas pour relancer des négociations directes avec Israël sont "impossibles" à accepter, a affirmé mercredi le vice-Premier ministre israélien Sylvan Shalom.

"Les Palestiniens posent trois conditions impossibles: que les négociations reprennent au point où elles avaient abouti à la fin de 2008 alors qu'Ehud Olmert était Premier ministre, qu'elles soient basées sur un retrait total israélien (de Cisjordanie et Jérusalem-Est) et que le gel de la construction (dans les colonies) se poursuive", a affirmé M. Shalom à la radio publique.

Le président Abbas a assuré lundi qu'il était prêt à passer de la phase des pourparlers indirects avec Israël, relancés en mai sous l'égide des Etats-Unis, à celle des négociations directes, à partir du moment où plusieurs conditions étaient réunies, dont un retour aux frontières de 1967.

"Les Palestiniens ont pris l'habitude de refuser de s'assoir à la table des négociations et d'attendre que les Américains et la communauté internationale fassent pression pour obtenir des concessions d'Israël pour leur compte", a déploré M. Shalom.

Selon lui, les Palestiniens ont refusé de relancer les négociations directes, gelées depuis le lancement d'une vaste opération militaire israélienne dans la bande de Gaza fin 2008, "car ils ne veulent pas discuter et être, eux aussi, amenés à faire des concessions".

M. Shalom a fait ces déclarations à la veille d'une réunion des ministres des Affaires étrangères de la Ligue Arabe au Caire, qui doivent discuter d'une éventuelle reprise des négociations directes entre Palestiniens et Israéliens.

Les Etats-Unis "poussent sans relâche" à la reprise du dialogue de paix direct entre Israël et les Palestiniens, a affirmé mardi Philip Crowley, le porte-parole de la diplomatie américaine.

Le président américain, Barack Obama, avait dit le 6 juillet espérer que les négociations directes reprendraient avant la fin du gel partiel de la colonisation.

Le gel partiel de la construction dans les colonies de Cisjordanie décrété en novembre dernier sous la pression des Etats-Unis par le gouvernement de M. Benjamin Netanyahu doit s'achever le 26 septembre. M. Netanyahu a affirmé que les mises en chantier reprendrait à l'expiration de ce moratoire.

Le président français Nicolas Sarkozy, qui s'est entretenu ces deux derniers jours par téléphone avec Mahmoud Abbas et Benjamin Netanyahu, les a appelés "à une reprise rapide des négociations directes, à la prorogation du moratoire sur la colonisation et à l'arrêt des mesures affectant les équilibres à Jérusalem".
EFFERVESCENCES
AUTOURDES

NEGOCIATIONDIRECTES
ENTREISRAELIENS
ETPALESTINIENS
Source : nouvelobs.com en ligne
le 28 juillet à 10h
sur Diasporablog à 11h 15



Sarkozy s'est entretenu
avec Netanyahou et Abbas


Le chef de l'Etat a insisté auprès du Premier ministre israélien et du président de l'Autorité palestinienne sur "l'urgence de relancer le processus de paix".



Nicolas Sarkozy s'est entretenu par téléphone, lundi 26 juillet, avec le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Il a insisté auprès d'eux sur "l'urgence d'une relance du processus de paix et la nécessité pour les parties d'agir en conformité avec cet objectif", a annoncé l'Elysée.

"Le président de la République a appelé à une reprise rapide de négociations directes, à la prorogation du moratoire sur la colonisation et à l'arrêt des mesures affectant les équilibres à Jérusalem", a précisé l'Elysée dans un communiqué. "Pour être utiles, ces négociations devraient porter sur l'ensemble des éléments liés au statut final, y compris sur les questions de territoire, sur la base des frontières de 1967, sur la sécurité et sur Jérusalem."

Selon l'Elysée, le président français a assuré aux deux responsables politiques "du soutien et de l'engagement de la France pour mettre en oeuvre la solution des deux États, Israël et la Palestine, vivant côte à côte en paix et en sécurité".
RACISME
LESGENSDUVOYAGE
LESROMSAUCOEUR

DUNEPOLEMIQUE
Source : ouest-france.fr en ligne le 27 juillet



Qui sont les Tsiganes,
au-delà des préjugés ?
mardi 27 juillet 2010



Franck DUBRAY

Nicolas Sarkozy convoque, aujourd'hui, une réunion sur les « les problèmes que posent » les Romset les gens du voyage. Les associations tsiganes et les partis de gauche parlent de « stigmatisation ».


Repères
Pourquoi cette réunion, aujourd'hui, à l'Élysée ?

Le 18 juillet, la gendarmerie de Saint-Aignan (Loir-et-Cher) a été attaquée, après la mort d'un jeune Gitan, tué par un gendarme dans des circonstances qui restent à établir. Trois jours plus tard, Nicolas Sarkozy annonçait une rencontre consacrée aux « problèmes que posent les comportements de certains parmi les gens du voyage et les Roms ». En liant cette réunion à la lutte contre la délinquance.


Pourquoi déclenche-t-elle une polémique ?

Le Collectif des associations tsiganes dénonce « une politique de nature raciale » et évoque même « une déclaration de guerre ». Pour le PS, « la stigmatisation d'une population, en tant que telle, est scandaleuse ». « Si on remplace Roms et gens du voyage par Bretons ou Auvergnats, chers à Brice Hortefeux, ça choquera assez naturellement », ironise Benoît Hamon, porte-parole.


Combien y a-t-il de Tsiganesen France ?

Il n'y a pas de recensement précis car la loi interdit un comptage ethnique. Les Tsiganes de nationalité française sont estimés entre 350 000 et 500 000. Parmi eux, difficile de savoir combien sont sédentaires et combien sont « des gens du voyage ». Plus récemment sont arrivés entre 15 000 à 20 000 Roms, migrants originaires d'Europe de l'Est.


Y a-t-il des Roms en situation irrégulière ?

La quasi-totalité des Roms étrangers sont originaires de Roumanie et Bulgarie, pays membres de l'Union européenne. La liberté de circulation existant dans l'UE, on ne peut pas parler de personnes en situation irrégulière. Toutefois, la loi autorise leur expulsion au bout de trois mois, s'ils n'ont pas de ressources suffisantes. Un accord entre la France et la Roumanie prévoit une aide au retour. Selon le collectif d'associations Romeurope, l'objectif est de les dissuader de revenir. « On a le sentiment d'une citoyenneté européenne à deux vitesses, dénonce Stéphane Lévêque, son directeur. Sarkozy fait des Roms migrants des boucs émissaires, parce que la situation économique est difficile. »


Quelles sont les difficultésdes gens
du voyage ?

Elles sont multiples : accès difficile à l'éducation, habitat en caravane non reconnu comme logement, livret de circulation obligatoire, droit de vote après trois années de rattachement dans une commune... La loi Besson de juillet 2000 prévoit la création de 42 000 places d'accueil en France. Les communes de plus de 5 000 habitants doivent avoir une aire pour les caravanes. Mais beaucoup d'élus traînent les pieds. Moins de 20 000 places ont été réalisées.


Y a-t-il plus de délinquantschez les Tsiganes ?

C'est un préjugé répandu. Si aucune statistique ne le démontre, avoue la police, il est vrai que des riverains se plaignent d'actes de petite délinquance qu'ils attribuent au voisinage d'un camp de Tsiganes. Des élus aussi. « Mais on est dans l'amalgame en considérant que tous sont concernés par ces dérives, dénonce Bernard Pluchon, sociologue nantais. La délinquance touche toutes les catégories sociales et professionnelles... »



Jacques DUPLESSY.
MALGREUNENGOUEMENT
POURTSAHAL
UNNOMBRECROISSANT
DEJEUNESSONTEXEMPTS
DESERVICEMILITAIRE
ENISRAËL
Source : israelvalley.com en ligne
le 19 juillet



Plus d'un tiers
des jeunes Israéliens (36%) n'ont pas
accompli leur service militaire
en 2009, un taux qui augmente
d'année en année


Les unités combattantes de l’armée israélienne continuent à attirer la très grande majorité de conscrits, révèle un sondage de l’armée publié dimanche par la presse. Les nouvelles recrues, âgées de 18 ans pour la plupart, sont enrôlées dans le courant de l’été et effectuent un service militaire de 3 ans pour les hommes et 2 ans pour les femmes.

Par ailleurs, plus d’un tiers des jeunes Israéliens (36%) n’ont pas accompli leur service militaire en 2009, un taux qui augmente d’année en année en raison de la croissance démographique des juifs ultra-orthodoxes qui sont exemptés d’armée. Les Arabes israéliens, qui représentent 20% de la population, sont exemptés quant à eux du service militaire, sauf en ce qui concerne la petite minorité druze établie dans le nord d’Israël.




ISRAELVALLEY PLUS
(POUR SE DETENDRE…UN PEU)


Dans Liberation (Copyrights) : C’est dans ces prochaines semaines que les soldats de Tsahal devraient recevoir une paire de chaussettes un peu spéciale. Elle pourrait être portée durant deux semaines, sans dégager d’odeur.

C’est le quotidien Maariv, d’après le Nouvel Observateur, qui révèle cette nouvelle ce jeudi 28 janvier. Ainsi, les soldats de l’armée israélienne devraient recevoir des chaussettes qui ne sentiront pas, qui ne développeront pas de champignons sur les pieds, même durant un usage continu de deux semaines.

Ainsi, ces chaussettes contiendraient un certain composant métallique, seraient toujours sèches et donc n’absorberaient pas et ne développeraient pas la moisissure et les odeurs.

D’après le quotidien qui a révélé l’information, depuis les premiers tests effectués auprès de militaires, les dermatologues sur place ont constaté une réelle baisse du nombre de traitements pour des problèmes aux pieds.—

mardi, juillet 27, 2010

APRES
LECHEFDUMOSSAD
ENARABIESAOUDITE
LEPREMIERMINISTRE
ISRAËLIENENJORDANIE
Source : dépêche AFP diffusée le 27 juillet


Jordanie:
visite surprise du Premier ministre
israélien Benjamin Netanyahu


De Randa HABIB


AMMAN



Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a effectué une visite surprise mardi en Jordanie dans le cadre des tentatives de relance du processus de paix israélo-palestinien et alors que les relations entre le royaume hachémite et l'Etat hébreu sont au plus bas.

La visite, annoncée par le palais royal après le départ de M. Netanyahu, intervient alors que les milieux politiques en Jordanie qualifient de "tendues" les relations entre les deux pays voisins, qui ont signé un traité de paix en 1994.

La Jordanie avait ainsi fortement condamné l'intervention israélienne contre une flottille tentant de briser le blocus de la bande de Gaza qui avait fait neuf morts en mai.

Un haut responsable jordanien a affirmé à l'AFP que l'entretien entre M. Netanyahu et le roi Abdallah II avait duré "plus de deux heures" et que les deux hommes avaient "discuté de manière claire et franche des mesures qui peuvent être prises pour réaliser des progrès dans le processus de paix".

"Dans le jargon diplomatique, cela signifie que la rencontre a été tendue car lorsque les deux parties s'expriment franchement, leurs positions sont complètement divergentes", a estimé un analyste politique.

"Néanmoins, la visite est intéressante car elle signifie que, malgré les tensions qui marquent leurs relations, les deux pays sont prêts à faire un pas en avant dans la voie de la paix", a dit cet ancien ministre qui s'exprimait sous couvert d'anonymat.

Le haut responsable jordanien a pour sa part déclaré que la rencontre du roi avec M. Netanyahu, comme celle la veille avec le président palestinien Mahmoud Abbas, "entrent dans le cadre des efforts de la Jordanie avec toutes les parties concernées pour parvenir à une solution de paix basée sur deux Etats palestinien et israélien".

"Tout laisse penser que la Jordanie s'apprête à jouer un rôle plus grand dans les futures négociations de paix, un rôle de facilitateur comme celui de l'Egypte", a estimé Mohamad Masri, chercheur au Centre d'études stratégiques de l'université jordanienne.

"Pour Israël, la Jordanie représente des garanties que les Palestiniens ne peuvent pas lui fournir, notamment dans le domaine sécuritaire", a-t-il déclaré à l'AFP.

La Jordanie a entraîné, depuis 2008, des centaines de membres des services de sécurité palestiniens dans un programme financé par les Etats-Unis.

Selon M. Masri, Israël souhaite "une participation plus grande de la Jordanie dans les négociations de paix afin de crédibiliser ce dossier auprès de l'opinion publique israélienne qui a plus confiance dans la Jordanie que dans l'Autorité palestinienne".

Cet effort pour réactiver les négociations de paix se heurte toutefois à une opinion publique jordanienne majoritairement opposée à toute normalisation avec Israël.

Selon un sondage du Centre d'études stratégiques, 85% des Jordaniens estiment qu'Israël "constitue le plus grand danger pour la sécurité de la Jordanie" et que ce pays "n'est pas sérieux dans la recherche de la paix".

Selon le haut responsable jordanien, le roi a rencontré M. Netanyahu afin "de trouver les mécanismes qui garantissent des progrès dans les négociations" en raison "des dangers qu'encourt la région si le statu-quo persiste".

A Jérusalem, le bureau de M. Netanyahu a pour sa part indiqué dans un communiqué que les deux dirigeants "ont parlé de la nécessité de parvenir à des négociations directes, sérieuses et effectives entre Israël et les Palestiniens, qui devront porter sur toutes les questions du statut final et sur une solution de deux Etats pour deux peuples dans lesquels Israéliens et Palestiniens vivront durablement en paix et en sécurité".
ISRAËL
AUXCÔTES
DESSINISTRESHAÏTIENS

Source : haïtilibre.com en ligne
le 27 juillet



Haïti - Reconstruction :
Construction d’un village Israélien
en Haïti



Israël et la République Dominicaine travaillent en coopération pour la reconstruction d’Haïti. Ensemble, les deux Etats vont prendre les plans d’un village israélien pour le construire à l’identique près de Port-au-Prince. Le village comprendra une école, un hôpital, des centres communautaires et des installations sportives.

Ayalon, le ministre israélien a mentionné l’importance des aides israéliennes visant à la réhabilitation d’Haïti, « un processus dans lequel la République Dominicaine joue un rôle important » déclarant qu’« Israël a la capacité de fournir une aide humanitaire et professionnelle à ses amis du monde entier ».

MASHAV, (l’Agence d’Israël pour la coopération internationale au développement) est le bras ouvrier d’Israël. Sous l’égide de cette agence, plus de 5,000 étudiants de la République Dominicaine ont assisté à des cours de formation en Israël, dans les domaines du développement, de l’eau et l’agriculture, et des programmes de réinsertion des détenus. Le tout gracieusement. « Nous estimons qu’aider les populations en danger est notre devoir » a ajouté Le Ministre.
DEBUT
DEDIALOGUES
AVECLEHAMAS
Source : french.peopledeally.ch
en ligne le 27 juillet



Le Hamas appelle à un dialogue
direct avec l'Union européenne




Le mouvement islamiste Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, a appelé dimanche l'Union européenne à ouvrir un dialogue direct avec lui.

Yousef Rizka, un conseiller du Premier ministre du Hamas Ismail Haniyeh, a affirmé que l'UE devrait corriger l'erreru qu'elle avait commise en boycottant le Hamas et ouvrir un dialogue direct avec lui.

Selon M. Rizka, le Hamas ne voit aucun obstacle au dialogue direct entre les deux parties, notant que les rencontres entre le Hamas et les diplomates occidentaux avaient eu lieu de manière irrégulière.

Le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner a déclaré samedi que son pays serait prêt à engager des discusisons avec le Hamas, s'il recevait une demande officielle de l'Autorité palestinienne.

Les Etats-Unis et l'Union européenne boycottent le Hamas après sa victoire dans les élections législatives palestiniennes de 2006, en raison de son refus de reconnaître Israël, de renoncer à la violence et d'accepter les accords passés entre les Palestiniens et Israël.



Source: xinhua
ISRAËL
DERIVEDESRELIGIEUX
EFFERVESCENCES
DANSLESCOLONIES

Source : romandie.com via l'AFP
en ligne le 27 juillet




Descente de colons dans un village
palestinien de Cisjordanie: 7 blessés




BURIN (Territoires palestiniens)



Quatre colons israéliens et trois Palestiniens ont été blessés lundi lors d'affrontements au cours d'une attaque contre le village palestinien de Burin (nord de la Cisjordanie), a-t-on appris auprès de la police israélienne et de témoins.

Les heurts ont éclaté après la démolition par l'armée de deux caravanes installées illégalement par des colons dans l'implantation voisine d'Har Bracha.

Des colons ont alors manifesté leur colère en mettant le feu à des champs palestiniens, selon des témoins.

Ils ont aussi "crevé les pneus de deux jeeps de l'armée et agressé des habitants (palestiniens) dans le village de Burin", près de Naplouse, a indiqué à l'AFP un porte-parole militaire.

L'armée a dénoncé le comportement des colons et assuré, dans un communiqué, qu'elle ne "tolèrerait pas que de tels incidents se reproduisent".

"Quatre Israéliens ont été blessés, dont l'un sérieusement, ce matin lorsque des Palestiniens les ont attaqués à coups de pierres à Burin", avait auparavant déclaré le porte-parole de la police israélienne, Micky Rosenfeld.

"Une unité de gardes-frontières est intervenue pour rétablir le calme", a ajouté le porte-parole.

Par ailleurs, toujours de même source, la police a interpellé pendant plusieurs heures dimanche le rabbin Itzik Shapira, considéré comme le représentant le plus en vue de la mouvance juive extrémiste de la colonie voisine de Yitzhar, dans les environs de Naplouse.

Selon la radio militaire israélienne, le rabbin Shapira est l'auteur d'un livre très controversé, "L'Enseignement du Roi", publié il y a un an, dans lequel il explique notamment que selon d'antiques préceptes religieux juifs il est permis de tuer des non juifs.

Des colons extrémistes pratiquent depuis des mois une politique de représailles systématiques --dite du "prix à payer"-- qui consiste à attaquer des cibles palestiniennes chaque fois que les autorités israéliennes prennent des mesures qu'ils considèrent comme allant à l'encontre de la colonisation.
ISRAËL
EXPULSION
DEBEDOUINS
Source : lefigaro.fr via l'AFP en ligne
le 27 juillet



Israël:
un camp de bédouins démoli



Quelque 1.500 policiers israéliens ont évacué aujourd'hui les habitants d'un campement bédouin près de Beersheva, dans le désert du Néguev (sud), et démoli leurs habitations, a indiqué le porte-parole d'une ONG qui défend les droits des Bédouins en Israël.

"Quelque 1.500 policiers, dont des membres d'unités spéciales et de la police montée, sont intervenus à l'aube pour évacuer 300 habitants de Kfar al-Arakib", a affirmé à l'AFP Yaacov Manor, du "Forum pour la légitimation" des villages bédouins construits sans permis des autorités israéliennes. "Au moins cinq bulldozers ont ensuite démoli leurs maisons, pour la plupart en torchis, ainsi que leurs champs aux alentours", a-t-il ajouté. Il a précisé que la population du campement ainsi que 150 militants israéliens sympathisants de la cause bédouine ont tenté de s'opposer aux policiers, équipés de grenades lacrymogènes dont ils n'ont pas fait usage. Selon lui, il y a eu quelques blessés légers et plusieurs arrestations.

Interrogé par l'AFP, le porte-parole de la police Micky Rosenfeld a pour sa part indiqué que "30 personnes ont été évacuées ce matin de Kfar al-Arakib et ramenées vers la ville bédouine de Rahat (45.000 habitants)", dans le Néguev. "Leurs maisons, érigées illégalement, ont été détruites conformément à une décision de justice", a-t-il ajouté en précisant qu'il n'y a eu ni blessé ni arrestation.

La communauté bédouine en Israël, une des plus pauvres du pays, compte 160.000 personnes largement concentrées dans le Néguev. Ces bédouins ont connu d'importants changements dans leurs conditions de vie en abandonnant peu à peu leurs habitudes nomades, une évolution parfois imposée par un processus de sédentarisation souhaitée par les autorités israéliennes.

lundi, juillet 26, 2010

TSAHAH
ENDEUIL
Source : israelvalley.com en ligne

le 26 juillet



TSAHAL EST EN DEUIL CE SOIR :
UN ACCIDENT D'HELICOPTERE
A FAIT SIX MORTS EN ROUMANIE


Par D.R.



Ce soir, lors d"une soirée de mariage qui a eu lieu à Palmahim à 20 km au Sud de Tel-Aviv, de nombreuses tables étaient vides. Un drame a eu lieu en Roumanie et des jeunes soldats sont morts. Beaucoup de jeunes sont restés chez eux. (DR) Selon la presse internationale : "Six militaires israéliens et un militaire roumain sont morts lundi 26 juillet dans un accident d’hélicoptère. L’appareil s’est écrasé près de Brasov, au centre de la Roumanie, ont annoncé des sources militaire citées par des médias roumains. Les autorités ont officiellement confirmé la présence de six Israéliens et d’un Roumain à bord de l’appareil, se refusant toutefois à confirmer leur décès. “Un hélicoptère médical roumain et deux israéliens participent aux opérations de recherche et sauvetage”, a déclaré le porte-parole du ministère de la défense, Constantin Spanu.

Le 18 juillet, le ministère roumain avait annoncé qu’un hélicoptère israélien de type CH-53 participant à cet exercice avait effectué un atterrissage d’urgence après avoir constaté une “défaillance à bord”. “Le problème ayant été réglé, l’appareil est retourné en toute sécurité à la base aérienne de Boboc”, avait précisé le ministère. Selon la chaîne Antena 3, c’est ce même hélicoptère qui se serait abîmé lundi".
ISRAËL
ECONOMIE

Source : lesechos.com via l'AFP
en ligne le 26 juillet



Israël :
hausse du taux d'intérêt pour
freiner la flambée de l'immobilier


La Banque d'Israël a annoncé lundi une hausse d'un quart de point de son principal taux directeur, à 1,75%, afin de tenter de contenir la très forte augmentation des prix dans l'immobilier.
"Les prix de l'immobilier ont augmenté de 21% en un an et atteint un niveau qui n'est pas compatible avec les conditions économiques de base", a indiqué la banque centrale dans un communiqué.

La hausse du taux directeur va provoquer une augmentation des taux d'intérêt pour les prêts immobiliers accordés aux particuliers par les banques.
L'inflation durant le premier semestre s'est par ailleurs élevée à 2,4% en rythme annuel, soit dans la fourchette de 1 à 3% par an fixée par le budget pour 2010.
La dernière hausse des taux d'intérêt (+0,25%) remontait à la fin mars.
ISRAËL
DECOUVERTE
HISTORIQUE

Source : leparisien.fr via l'AFP
en ligne le 26 juillet



Découverte d'un fragment
d'un code de loi vieux de 3.700 ans



Des archéologues israéliens ont annoncé lundi la découverte, pour la première fois hors de la Mésopotamie, d'un fragment d'un code de loi, vieux de 3.700 ans, semblable au célèbre Code d'Hammourabi.
"C'est la première fois qu'un fragment d'un code de loi est découvert en Terre sainte et même hors de Mésopotamie", a expliqué à l'AFP le chef des fouilles, l'archéologue Amnon Ben-Tor, de l'Université Hébraïque de Jérusalem.
Ce texte remonte à dix siècles avant la rédaction supposée de la Bible (VIIe siècle avant JC).
M. Ben-Tor a précisé qu'il s'agit "d'un tout petit fragment d'argile
(2 centimètres sur 1,5) en écriture cunéiforme akkadienne, sur quatre lignes très serrées des deux côtés de la tablette".
Le fragment a été découvert il y a quelques jours sur le site de la ville cananéenne de Hazor dans le nord d'Israël.
"Le texte se réfère au règles régissant les rapports des maîtres et des esclaves", a précisé à l'AFP le professeur Wayne Horowitz, chargé du décryptage.
"Ces lignes qui ont d'évidence un contenu légal confirment le lien entre le royaume de Hazor et les royaumes de la Syrie du nord", a-t-il estimé.
Ville du nord de la Galilée, Hazor fut une des principales cités du Croissant Fertile à l'âge du bronze.
Situé sur la route menant de l'Egypte à l'Asie, Hazor fit le commerce de l?étain avec des villes de Babylonie et de Syrie pour alimenter son industrie du bronze.
Hazor entretenait des liens politiques et économiques étroits avec la Mésopotamie, entre le Tigre et l'Euphrate (Irak et nord-est de la Syrie aujourd'hui).
Hazor fleurit surtout durant le milieu de la période cananéenne (1750 avant
J.-C.) et fut le plus grand site fortifié d?Israël durant la période israélite (IXe siècle avant JC). La Bible se réfère à Hazor comme "la tête de tous ces royaumes" cananéens (Joshua 11:10).
Le Code d'Hammourabi (vers 1750 avant JC) est l'un des plus anciens textes de loi, le premier quasiment complet.
Texte babylonien non religieux mais d'inspiration divine, réalisé sous l'autorité du roi Hammourabi, il prolonge en matière juridique l'oeuvre militaire et politique du fondateur du royaume de Babylone.
Ce code est actuellement au Musée du Louvre à Paris, mais une copie est également exposée au musée archéologique de Téhéran.
DESTARISRAELIENNE
ASTARMONDIAL
Source : Guysen International News
en ligne le 25 juillet


Harel Skaat prépare
un album international


Le candidat israélien à l'eurovision 2010 prépare un album international. Cet album, chanté en anglais sera produit par un agent américain ayant travaillé avec des stars telles que Beyonce, Mariah Carey ou encore Whitney Houston.
BOYCOTT
DELESPACEAERIEN
ISRAELIEN?
Source : la newsletter de Guysen
International News diffusée le 26 juillet



L'Union Européenne menace
de stopper ses vols vers Tel-Aviv



L'Union Européenne refuse de généraliser l'emploi d'un système de reconnaissance aérien voulu par Israël et qui permet d'éviter l'intrusion de pirates de l'air au dessus d'Israël. Le système, appelé en anglais "Code Positive" prévoit l'insertion par le pilote d'une carte d'identité électrique permettant à l'aéroport d'accueil de correctement l'identifier. Mais la Commission européenne craint que "Positive Code" puisse parfois être défaillant et contraindre les pilotes à voir leurs appareils être interceptés par la force. Si le différend sécuritaire persiste entre les deux parties, l'UE a menacé Israël de stopper ses vols à destination de l'aéroport de Tel-Aviv.
INCENDIE
AJERUSALEM
UNJEUNEJUIFULTRA
ORTHODOXE
APPREHENDE

Source : Guysen International News
en ligne le 25 juillet




Incendie de Jérusalem :
arrestation d'un jeune
ultra-orthodoxe


Un jeune ultra-orthodoxe, âgé de 15 ans, a été arrêté, ce soir, suite au gigantesque incendie qui a ravagé plus de 1000 dounams de forêt, détruit 23 véhicules, et coupé la route menant à l'hôpital Hadassah Ein Kerem pendant l'après-midi. L'adolescent et ses camarades auraient allumé un feu et quitté les lieux sans éteindre les flammes.
LABANLIEUE
DEJERUSALEM/OUEST
ENFLAMME

Source : lalsace.fr via l'AFP en ligne
le 25 juillet




Israël :
important incendie près de Jérusalem,
des villages évacués



Plus de 2.000 personnes ont préventivement été évacuées dimanche à la suite d'un gigantesque incendie de forêt qui s'est déclaré dans l'après-midi près de Jérusalem-ouest, à proximité d'un hôpital, a indiqué le porte-parole de la police israélienne.

«Un incendie gigantesque ravage le secteur de Ora, Aminadav et Even Sapir, dont les habitants ont tous été préventivement évacués», a affirmé à l'AFP Micky Rosenfeld.

Ces villages coopératifs situés dans les collines du sud-ouest de Jérusalem comptent au total une population de plus de 2.000 habitants.

«Des dizaines de véhicules de pompiers, deux avions et un hélicoptère essaient d'éteindre» cet incendie qui s'est déclaré «aux abords immédiats de l'hôpital Hadassah Ein Kérem», a encore déclaré le porte-parole de la police.

«Il n'y a pas de blessé, mais des véhicules ont pris feu près de l'hôpital», a ajouté M. Rosenfeld.

Il a précisé que la police vérifiait au porte-à-porte que personne n'avait été oublié dans les maisons évacuées.

Le secteur, enveloppé par une fumée noire, a été bouclé et d'importants effectifs de police ont été dépêchés sur place. L'origine de l'incident reste inconnue, selon la police.

dimanche, juillet 25, 2010

LOTAGEFRANCAIS
ENMAURITANIE
SERAITEXECUTE
Source : tf1 news avec Agences
en ligne le 25 juillet à 21h 09
sur Diasporablog à 21h 40






Al-Qaïda annonce avoir exécuté
l'otage français Michel Germaneau



Par L.D.



La chaîne Al-Jazeera l'a annoncé dimanche soir : l'organisation Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) aurait exécuté l'otage français en réponse à l'opération militaire mauritanienne menée contre ses membres avec l'appui de l'armée française.
GOOGLEBOOKS
ARRIVEENISRAËL
Source : actualitte.com en ligne le 25 juillet


Google Books ouvre son service
aux éditeurs d'Israël


Avec déjà un gagnant...


Rédigé par Nicolas Gary,


Depuis quelques jours, les Israéliens profitent de Google Books, qui a ouvert l'accès à l'ensemble des oeuvres en hébreu numérisées par ses soins. Bien évidemment, seuls les ouvrages libres de droit sont en accès complet, pour les autres, il faut que la société ait signé un accord avec un éditeur local pour qu'il accepte la consultation.

Et justement, les éditions Keter ont signé un partenariat avec la maison pour la numérisation des fichiers, avec quelques limites sur le nombre d'oeuvres disponibles, et surtout l'impossibilité de les télécharger. Au contraire des oeuvres tombées dans le domaine public que l'on se procurera en format PDF.

Bon nombre de livres en hébreu se retrouvent sur la toile, et pour ceux que Google a déjà passé sous ses scanners, ils font souvent partie des fonds de catalogue de bibliothèques, notamment Oxford et Harvard.

La négociation d'accords avec les éditeurs israéliens constitue en revanche un petit plus dans la besace googlienne. Car elle préfigure l'arrivée de Google Editions, la fameuse librairie en ligne que l'on devrait voir ouvrir dans le courant du mois. Ou de celui d'après. Et comme Google est toujours sous le coup de procès pour violation de droits d'auteur, pour s'assurer d'un bon fonctionnement, autant prendre les devants dès maintenant...


Keter fait le premier pas

Keter Publishing House, créé en 1958, est le premier dans cette série de collaboration à signer, mais d'autres suivront très probablement. Et bien évidemment, la société mettra à disposition des surfeurs du Oueb les textes que les auteurs eux-mêmes souhaiteraient voir numérisés...

Keter Books qui sera la filiale dont les ouvrages seront en ligne, a été créée en septembre 2005, avec un catalogue varié de fictions et de non-fiction, traduites ou non, mais également d'albums, de guides ainsi que d'ouvrages jeunesse.
BONNENOUVELLE
AUPROCHEORIENT
RENAISSANCE
DUNESYNAGOGUE
AULIBAN

Source : le site jerusalem et religions
via la revue Hamodia en ligne le 25 juillet



Réouverture de la synagogue
de Beyrouth à l’automne



Selon Isaac Arazi, le président de la petite communauté juive de la capitale libanaise, les travaux de rénovation de la seule synagogue de Beyrouth devraient être achevés d’ici le mois d’octobre prochain.

La synagogue Maguen Abraham, située dans l’ancien quartier juif de Beyrouth, est en cours de restauration, avec des travaux dont le coût - principalement financé par des Juifs étrangers - s’élève jusqu’à présent à pas moins de 700 000 dollars et qui devrait atteindre la somme non négligeable de 1,2 million de dollars. Une fois entièrement rénovée, cette synagogue pourra accueillir 600 hommes et 300 femmes. Par ailleurs, d’après Isaac Arazi, un Séfer Torah et des livres de prières seront apportés de Turquie et de Syrie. Le président espère aussi qu’un rabbin sera nommé dans cette synagogue et qu’il connaîtra les traditions séfarades moyen-orientales et d’Afrique du Nord : peut-être quelqu’un originaire du Yémen, d’Égypte ou de Turquie. Arazi, qui est lui-même propriétaire d’une usine de distributeurs alimentaires et qui s’autoproclame
« leader » de la petite communauté juive du Liban, souhaite en effet que les offices puissent être célébrés dans la synagogue dès l’an prochain. Alors qu’elle avait officiellement ouvert ses portes en 1926 après avoir été construite sur un terrain offert à l’époque par Raphaël Levi Stambouli, cette synagogue, par la suite totalement désertée puis entrée en désuétude et à présent en voie de complète rénovation, devrait suffire à la centaine de Juifs restant encore au pays du Cèdre – 1 900 autres Juifs expatriés possédant encore des biens au Liban et s’y rendant régulièrement.

« Nous espérons qu’avec cette réouverture, nous pourrons reconstruire la petite communauté juive du Liban ! », a encore déclaré Arazi. Cette synagogue est en fait le plus ancien lieu de culte juif de toute la capitale libanaise et porte le nom du fils d’Abraham Sassoon, Moché Abraham Sassoon de Calcutta. Du XVIIe au XIXe siècle, la communauté juive du Liban comptait plusieurs dizaines de milliers de membres, après que le pays eut servi par le passé de refuge aux expulsés de l’Inquisition espagnole. Mais au cours du XXe siècle - et notamment après la renaissance de l’État d’Israël en 1948 -, les Juifs ont fui en masse le pays jusqu’à la fermeture de la synagogue Sassoon dans les années 70. Puis en 1976, un an après le début de la longue et terrible guerre civile libanaise, ses Sifré Torah ont été emportés à Genève où ils ont été remis au célèbre banquier juif libanais, Edmond Safra. Ils furent alors placés dans les coffres-forts de la banque avant d’être ensuite envoyés dans diverses synagogues séfarades d’Israël.

Durant l’incursion israélienne au Liban en 1982 (l’Opération Paix en Galilée), les Juifs libanais se sont vu offrir la nationalité israélienne, mais beaucoup l’ont alors refusée, bien qu’ils étaient dévenus la cible directe des groupes terroristes islamiques. Onze dirigeants communautaires juifs ont ainsi été alors enlevés et assassinés, si bien qu’en 1991 il ne restait que deux Juifs dans l’ancien quartier de Wadi Abou Jmil qui fut le fleuron de la communauté d’autrefois ! Le cimetière où sont enterrés environ 4 500 Juifs est lui aussi en cours de rénovation, avec des travaux d’un coût atteignant les 200 000 dollars. Arazi ajoute qu’il espère vivement que d’autres synagogues du Pays du Cèdre seront restaurées, dont celle de Bhamdoun, à 23 kilomètres de Beyrouth.



Par Richard Darmon,
Hamodia,

Version française, 21 juillet 2010.

samedi, juillet 24, 2010

BRUEL
SURSEINE
Source : elle.fr en ligne 13 mars 2010



PATRICK BRUEL
REVIENT SUR SCÈNE…
AU THÉÂTRE !


Avis aux fans du beau Patriiiiiick ! Le chanteur, acteur, et accessoirement grand amateur de poker, fera son retour au théâtre le 7 septembre prochain et on peut déjà réserver les places ! Sept ans après avoir joué dans la pièce « Le Limier », Patrick Bruel retrouvera en effet les planches dans « Le Prénom », une comédie écrite par deux scénaristes de cinéma Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière, rapporte aujourd’hui « Le Parisien ». Il y incarnera un père qui annonce le prénom de son enfant à son entourage. Il faudra donc attendre la rentrée 2010 pour le revoir en chair et en os mais en attendant, on pourra le retrouver sur grand écran dans « Comme les cinq doigts de la main », le nouveau long métrage d’Alexandre Arcady dont la sortie est prévue le 28 avril prochain.


A.S.
UNMUSIC'HALL
ENHOMMAGE
AMIKEBRANT

Source : musicalavenue.fr en ligne

le 8 février



"Mike - Laisse-nous t’aimer"
la prochaine production
du Théâtre Comedia


Guillaume Couture



Alors que le Roi Arthur et les chevaliers de la table ronde font leurs premiers pas sur la scène du Comedia dans Spamalot, le théâtre prépare déjà sa rentrée. Elle sera une fois de plus musicale, puisque le théâtre nous présentera la version française d'une nouvelle comédie musicale : Mike - Laisse-nous t’aimer.

Les biopics musicaux prennent de plus en plus de place sur les scènes de la capitale. Après Jacques Brel, Judy Garland ou encore Sarah Bernhardt, c’est cette fois-ci Mike Brant qui sera à l’honneur sur la scène d’un théâtre parisien.


Un succès venu d'Israël

Le spectacle, créé à Tel Aviv (terre d’origine du chanteur) en 2008, y à remporté un franc succès. Gadi Inbar, avec l’aide de Tzvika Brant (frère du chanteur), ont choisi de retracer sous la forme d’une "tragédie musicale" les difficultés du chanteur à atteindre le succès.
Plus qu’une biographie, le spectacle proposera une réflexion sur la course à la célébrité. D'Israël à Paris, au grès de ses rencontres et de ses chansons, les spectateurs pourront découvrir le destin tragique du chanteur. Nous retrouverons alors sur scène ses plus grands succès comme Laisse-moi t’aimer ou Qui saura ?


Nouvelle production,
nouvelle mise en scène

Thomas Le Douarec, à qui l’on doit notamment la comédie musicale Joséphine et la version flamenco du Cid de corneille, proposera au public français une nouvelle mise en scène de ce spectacle. Pour les fans, il faudra patienter encore un peu : la première est prévu le 16 septembre 2010 au théâtre Comedia à Paris.

On relèvera une fois de plus avec plaisir la volonté du théâtre de s’engager sur la scène musicale parisienne. Après les travaux récemment réalisés, le Comedia ne se contentera pas d'accueillir cette comédie musicale mais la coproduira au même titre que Fame ou Grease qui ont rythmé les précédentes saisons du théâtre.



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Mike, laisse nous t’aimer, de Gadi Inbar.

Au théâtre Comedia
à partir du jeudi 16 septembre 2010.


Du mardi au vendredi à 20H30,
le samedi à 17h et 21H
et le dimanche à 17h.

Réservations : 01 42 38 22 22
ISRAËL
LACOREEDUNORD
LECOUPDEFROID
Source : le site TF1 news en ligne
le 24 juillet



Missiles:
Israël dénonce
la Corée du Nord




Israël a accusé devant l'ONU la Corée du Nord de fournir des missiles balistiques à des pays du Moyen-Orient en estimant que ces armes mettaient "en danger la stabilité" de cette région, a indiqué samedi la radio militaire israélienne. En mai, le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman avait déjà accusé la Corée du nord de fournir des armes et des roquettes aux islamistes palestiniens du Hamas ainsi qu'au Hezbollah libanais tout en aidant aux programmes de développement de missiles de la Syrie et de l'Iran. Il avait évoqué la saisie en décembre 2009 à l'aéroport de Bangkok d'une cargaison illégale d'armes nord-coréennes, qui, selon les Etats-Unis, étaient destinées à un pays non identifié du Moyen-Orient.

vendredi, juillet 23, 2010

DIASPORABLOG
VOUS
RECOMMANDE
CELIEN.....



http://philosemitismeblog.blogspot.com/2010/07/les-juifs-britanniques-rompent-avec.html
MELGIBSON
ANTISEMITE
Source : gala.fr en ligne le 23 juillet



Raciste, violent, alcoolique:
tout le monde lui tourne le dos



Mel Gibson, ses déclarations fracassantes, ses menaces, ses enregistrements: l’acteur ne fait plus parler de lui que pour ses frasques privées. Chaque jour, un nouveau rebondissement vient déchaîner les passions. Alors qu’en est-il de la carrière du comédien?

«Je veux du sang juif dans mes mains». Voici la toute dernière déclaration de Mel Gibson révélée par son ex-compagne Oksana Grigorieva aujourd’hui dans la presse américaine. Une nouvelle déclaration antisémite qui vient s’ajouter à la liste bien trop longue des méfaits de l’acteur.
Séparés depuis peu, Mel Gibson et son mannequin russe se livrent une guerre sans merci où tous les coups bas sont permis, pour obtenir la garde de leur fille de 8 mois, Lucia. Si chacun a demandé une ordonnance restrictive contre l’autre, Oksana a tout de même une belle avance pour conserver la garde de son bébé. Chaque jour, la jolie brune présente de nouvelles preuves aux autorités de la violence dont Mel faisait preuve alors qu’ils étaient ensemble. Et vu le passé relativement mouvementé de l’acteur, Oksana sait qu’elle est crédible.


Agressif, nerveux, menaçant, violent, l’acteur (pourtant fervent catholique) aurait tenté d’étrangler Oksana alors qu’elle portait leur enfant dans les bras. En une année de relation, l’acteur l’aurait frappée à maintes reprises, lui aurait cassé des dents, et l’aurait insultée plus d’une fois, déclarant qu’elle le méritait bien, de toutes façons.
Mais ce n’est pas tout. Mel se serait acoquiné à de nombreuses reprises avec une actrice porno, alors qu’Oksana était enceinte. Star du X qui elle aussi, a témoigné contre l’acteur de Mad Max, expliquant qu’il était menaçant et qu’elle avait peur pour sa sécurité.
Mais à 54 ans, le comédien n’en est malheureusement pas à son coup d’essai.

Très croyant, Mel Gibson a plus d’une fois surpris le grand public. Par son divorce d’abord, mais aussi par ses excès liés à l’alcool et son racisme latent.
En 2006, le réalisateur de La Passion Du Christ a été arrêté pour conduite en état d’ivresse, et a tenu des propos antisémites qui lui ont valu une condamnation et une mise à l’épreuve sur trois ans. Seulement voilà, Mel a un père négationniste, qui pense que l’holocauste n’est qu’une fiction. Antisémite, anglophobe (ses racines irlandaises n’y sont pas étrangères), Mel Gibson n’hésite pas non plus à désigner les noirs de «négros». Alcoolique, violent, raciste: il ne manquait plus que l’homophobie au tableau mais là encore, l’acteur principal de Braveheart a frappé fort, avec des déclarations tonitruantes, intolérantes et vulgaires à souhait dans une interview donnée au journal El Pais en 1991. Des propos trop choquants pour être reproduits ici. Comme la plupart des menaces dont a été victime sa femme d’ailleurs, qui lui aurait conseillé (et comme on la comprend) «d’aller se faire soigner».

Seulement voilà, même si l’acteur tente de redorer son blason à travers quelques films où il campe un patriote ou encore un grand romantique, plusieurs agents ont émis de sérieux doutes quant à l'avenir de Mel Gibson sur grand écran.
«Quoi qu’il fasse, sa carrière va vraiment s’effondrer», expliquait à l’AFP Elyane Rapping, professeur de culture populaire. «Les gens de qualité comme Leo DiCaprio ne voudront plus être associés à son nom et plus personne de sérieux ne va vouloir l’approcher».
Et d’ailleurs, l’agence qui représentait l’acteur a fini par le lâcher, ne sachant plus comment gérer les nouveaux scandales qui apparaissent quotidiennement.
«Les gens qui lui donnaient du travail ou qui pouvaient lui décrocher des rôles ne le soutiennent plus. Le milieu hollywoodien ne le soutient plus, notamment les financiers qui auraient pu investir dans ses films», a confié un ancien agent d’une des plus grandes agences de comédiens à Los Angeles.


Bref, l’image de Mel Gibson s’érode à mesure que les jours passent et que le grand public découvre avec stupeur qui est vraiment la star qu’ils ont adulée. Infidèle, violent, antisémite, alcoolique: l’acteur n’est plus crédible. Il envisagerait même, selon le Daily Mail, de partir s’installer en Australie, pour fuir la pression médiatique.
Une attitude qui frôle la démence: une arme fatale pour sa carrière?
JUIFSULTRAORTHODOXES
ALOMBRE
DUMONDE
Source : lalibre.be en ligne le 23 juillet



Des Juifs contre les lumières
Avec la collaboration du magazine “L’Histoire”


Ultra-orthodoxes, certains Juifs religieux sont tentés par la rupture avec le monde et le strict respect de la Loi. Ce phénomène s’est cristallisé au XVIe et au XIXe siècle face aux défis que constituaient l’émergence de courants modernisateurs au sein même du judaïsme, d’une part, et la marche vers l’émancipation, d’autre part.

Lorsqu’il s’agit d’illustrer un discours sur le judaïsme, les médias, friands d’images simples, choisissent volontiers de montrer quelques Juifs à barbe, avec papillotes et costume noir traditionnel ou quelques Juives portant manches longues, perruque et foulard. Le judaïsme ainsi présenté prend alors facilement des allures de "passéisme" et d’"obscurantisme".

Le tableau est complet quand, à ces illustrations visuelles, se superpose une présentation insistant sur les pratiques alimentaires rituellement autorisées (la kashrout) ou sur le repos absolu du shabat (du vendredi au crépuscule au samedi à la nuit tombée) qui empêche les Juifs de travailler, mais aussi de rouler en voiture ou de répondre au téléphone

A l’inverse, pressentant à raison tout ce qui peut, même involontairement, encourager l’antisémitisme dans un tel discours, certains sont tentés d’y répondre en soutenant que le judaïsme "authentique" serait tout bonnement "immunisé" contre la tentation intégriste. Privé de toute hiérarchie ecclésiastique unifiée, il serait à l’abri du verrouillage institutionnel. Réticent au prosélytisme en direction des "gentils" (les non-Juifs), il renoncerait par principe à l’hégémonie universelle. Et fondé sur une pratique plutôt que sur des dogmes, il chercherait à façonner moins les consciences que les comportements.


De tels arguments portent évidemment à faux et aucun de ces deux stéréotypes ne saurait rendre compte d’une réalité beaucoup plus foisonnante. Le judaïsme contemporain est le produit d’une histoire plurimillénaire complexe, avec ses ressorts internes, mais également tributaire de ses contacts intimes avec le monde non juif dans la Diaspora. Il est naturellement divers, sujet à connaître des crises, et susceptible de développer, dans certains contextes, des réactions "fondamentalistes".

Au temps de l’occupation romaine de la Judée, le judaïsme antique illustre déjà cette diversité. Les Juifs se divisent alors sur des questions aussi essentielles que la fonction du culte sacrificiel au Temple de Jérusalem, le statut de la Loi orale face à la tradition écrite, la légitimité des autorités sacerdotales en place, la manière de gérer la situation politique, et en particulier les rapports avec la puissance occupante.

Après l’échec des grandes révoltes juives contre Rome, aux Ier et IIe siècles, c’est finalement une religion de la Loi, de son étude assidue et de sa pratique rigoureuse qui va modeler la vie des communautés juives pendant presque deux millénaires. Le judaïsme rabbinique, qui s’accommode de la sujétion des Juifs aux Nations et projette ses espoirs de restauration dans un avenir messianique indéfiniment repoussé, est cependant loin de parler d’une seule voix. Les conflits d’écoles, les tensions entre maîtres et centres d’érudition, la Palestine et la Babylonie notamment, en témoignent.

Détenteurs d’un savoir transmis oralement de génération en génération et consigné dans les grands corpus de la Mishna et du Talmud1, les rabbins voient leur autorité se heurter à la résistance de milieux tentés par un "fondamentalisme scripturaliste". Ainsi au VIIIe siècle, où ils sont confrontés à l’émergence d’un courant nouveau qui se caractérise principalement par le rejet de la tradition orale et par son attachement à la lettre des écrits sacrés : le karaïsme. Celui-ci devient alors la cible d’une "orthodoxie" rabbinique qui se construit largement contre lui.


Mais alors que le judaïsme médiéval semble pour certains miné de l’intérieur, il est aussi gravement menacé de l’extérieur. En Espagne, la montée de l’intolérance chrétienne, les grandes persécutions de 1391 et la vague de conversions forcées ou spontanées au christianisme qu’elles suscitent créent le problème marrane, de l’espagnol "marrano", terme lui-même dérivé de l’arabe (mahram), où il a plus largement le sens de "ce qui est interdit". Ce mot désigne les Juifs ou descendants de Juifs convertis au christianisme et qui continuent ou sont suspectés de continuer de judaïser. Pour les autorités ecclésiastiques locales, l’influence délétère de ces nouveaux chrétiens insincères semble redoutable.

Paradoxalement, il en sera un peu bientôt de même, aux XVIe et XVIIe siècles, pour les communautés juives de France, de Hollande, d’Allemagne, d’Angleterre et d’Orient appelées à intégrer une foule de marranes fuyant l’Inquisition et désireux de retourner au judaïsme. Ce retour ne se fera pas toujours sans mal. Les marranes, coupés longtemps du judaïsme réel, sont devenus les adeptes d’une "religion marrane" spécifique ou simplement des "esprits forts".

Les communautés d’accueil perçoivent le danger et au XVIIe siècle, les autorités rabbiniques d’Amsterdam lutteront, y compris à coups d’excommunications, contre les opinions "hérétiques" professées par certaines de leurs ouailles, tel le philosophe Spinoza.


L’effondrement du dernier grand bastion de la judaïcité occidentale médiévale, avec l’expulsion des Juifs d’Espagne en 1492, contribue de son côté à consacrer, parmi les élites juives orthodoxes, le règne presque sans partage de la kabbale, à savoir l’ensemble des enseignements ésotériques et mystiques du judaïsme.

D’abord accusés d’introduire des doctrines subversives à l’intérieur du judaïsme, les kabbalistes ont réussi à se présenter, face au camp philosophique, comme les tenants d’une authentique orthodoxie. L’essor du courant kabbaliste, à partir du XVIe siècle, ne cessera pas d’être marqué par cette ambiguïté. C’est un kabbaliste, Joseph Karo (1488-1575), qui donne au judaïsme le code de la Loi juive appelé à faire autorité jusqu’à nos jours : le Shoulhan Aroukh ("La Table dressée").

Mais des spéculations kabbalistiques nourrissent aussi le courant messianique le plus dévastateur de l’histoire juive : le sabbatéisme. Il se développe à l’initiative de Sabbetaï Tsevi (1626-1676), originaire de Smyrne en Turquie, qui se proclame le Rédempteur attendu. Son audience est immense à travers la Méditerranée et jusqu’en Europe et son échec, avec sa conversion à l’islam en 1666, laisse subsister au sein du judaïsme ou dans ses marges des tendances qui sont parfois fortement antinomiques et anxieusement traquées par l’orthodoxie rabbinique.

Ebranlées par le dénouement brutal de cette aventure messianique, les masses juives d’Europe orientale cherchent le salut dans un nouveau courant : le hassidisme (en hébreu hassidout, "piétisme"). Fondé en Podolie (une région d’Ukraine) par Israël ben Eliézer (1700-1760), également connu comme le "maître du bon nom [de Dieu]", le hassidisme se développe autour de personnalités charismatiques, les tsadikim, les "Justes", saints thaumaturges intercesseurs de leurs fidèles auprès de Dieu. Il promeut la ferveur, l’enthousiasme, la joie spontanée du simple croyant, capable, dans les plus humbles gestes quotidiens, de contribuer à l’œuvre générale de la Rédemption.


Cette religiosité populaire effraie l’establishment rabbinique, parce qu’elle paraît compromettre les valeurs de l’étude, et que les tsadikim, objets d’un culte "idolâtre", ébranlent son pouvoir. La réaction est vive. En 1772, la communauté juive de Vilna (Lituanie) déclare la guerre à ce qu’elle perçoit comme une secte déviante. L’un des géants de la culture juive de l’époque, Elie ben Salomon Zalman (1720-1797), plus connu sous le nom du "Gaon [éminence] de Vilna", s’engage sans réserve dans la bataille. Exégète méthodique, juriste rigoureux, le Gaon voit dans le hassidisme la menace d’une scission.

Dans la violente lutte qui met désormais aux prises les adeptes du hassidisme et les mitnagdim ("opposants", mitnaged au singulier), tous les moyens, ou presque, sont bons : excommunications, dénonciations aux autorités non juives et arrestations.

D’autres dangers pourtant se profilent qui aboutiront paradoxalement à la constitution d’un front commun de l’orthodoxie. Le mouvement des Lumières juif, la Haskala, naît en Allemagne à la fin du XVIIIe siècle sous l’impulsion du philosophe Moïse Mendelssohn (1729-1786), à un moment où hommes d’État et intellectuels non juifs s’interrogent sur les moyens d’améliorer la condition juive. Il se diffuse, se transformant et se radicalisant, dans toute l’Europe orientale, travaillant par le biais d’une nouvelle littérature hébraïque, à insuffler l’esprit des temps nouveaux dans les communautés juives.

Modernisation, éducation, sécularisation, dénonciation de la culture du ghetto : tels sont les principaux combats de la Haskala, dont le hassidisme, considéré comme un modèle d’"obscurantisme", est la bête noire.


L’ultra-orthodoxie, elle, refuse la modernité en bloc. L’un de ses hérauts est Moïse Sofer, né à Francfort et rabbin de Presbourg (l’actuelle Bratislava) de 1806 à sa mort, en 1839. Hostile aux réformes éducatives introduites par la Haskala dans ses écoles, redoutant le prix très lourd, sur le plan culturel et religieux, auquel les Juifs risquaient de payer leur émancipation, il érige le Shoulhan Aroukh de Joseph Karo en code définitif et indépassable de l’orthodoxie. Pour Moïse Sofer "toute innovation est interdite par la Torah" (la Loi révélée). A la tête d’une yeshiva (école talmudique) réputée, il devient le chef incontesté des rabbins orthodoxes européens qui s’organisent, entre 1817 et 1821, pour contrecarrer les premiers efforts des partisans de la réforme à Berlin, à Hambourg et à Vienne. Il contribue par son action à creuser le fossé, désormais infranchissable, entre milieux orthodoxes et milieux libéraux.

A la fin du XIXe siècle, l’émergence du nationalisme juif et du sionisme suscitera des oppositions tout aussi virulentes. Le laïcisme des pionniers, leur volonté de faire table rase du passé diasporique, le projet même de libérer les Juifs de la tutelle des gentils, hors de toute intervention divine, et de restaurer en Palestine un Etat juif alors que le Messie n’est pas encore venu, sont perçus comme sacrilèges. A ces ultra-orthodoxes, la naissance d’Israël, en 1948, ouvrira un nouvel horizon.