"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mardi, juillet 31, 2012

ISRAËL
LESULTRA-ORTHODOXES

FERONTLEURSERVICE
MILITAIREOBLIGATOIRE
Source : tempsreel.nouvelobs.com en ligne
à 18h 31
sur Diasporablog à 19h 45



Israël va supprimer l'exemption
de service militaire
pour les ultra-orthodoxes



Ehoud Barak, le ministre israélien de la Défense, a donné mardi des instructions aux militaires pour qu'ils commencent à incorporer les jeunes juifs ultra-orthodoxes censés désormais devoir faire leur service, ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent. Mais il pourrait falloir du temps pour appliquer cette mesure.

M. Barak a donné un mois à l'armée pour élaborer la mise en oeuvre de cette décision, rendue quelques heures seulement avant l'expiration de la loi instaurant l'exemption de service militaire pour des dizaines de milliers d'ultra-orthodoxes.

Certains ultra-orthodoxes ont déclaré mardi qu'ils iraient en prison plutôt que d'abandonner leurs études religieuses pour servir sous les drapeaux. Mais d'autres pensent qu'Ehoud Barak ne cherchera pas à faire respecter la loi. Des responsables de la défense israélienne reconnaissent en coulisses que Tsahal n'est pas prête à assimiler immédiatement plusieurs dizaines de milliers d'ultra-orthodoxes.

Le gouvernement conservateur du Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou peine à régler la question des exemptions. Le 17 juillet, le parti centriste Kadima avait annoncé son retrait de la coalition, dans laquelle il était entré à la condition que la coalition travaille à mettre fin aux exemptions de service militaire. Mais les pourparlers avaient échoué.
ISRAËL
EGYPTE
LENOUVEAU
PRESIDENTEGYPTIEN
PROMETDESENTENDRE
AVECISRAËL
Source : tempsreel.nouvelobs.com en ligne
le 31 juillet 2012 à 18h 15
sur Diasporablog à 18h 58



Morsi assure Israël que l'Egypte oeuvrera pour la paix



Lors de son premier contact officiel avec l'Etat hébreu, le nouveau président égyptien, l'islamiste Mohamed Morsi, a assuré Israël que son pays souhaitait oeuvrer pour la paix au Proche-Orient.

"Je me réjouis à l'idée de déployer nos meilleurs efforts pour remettre le processus de paix au Proche-Orient sur les bons rails afin de parvenir à la sécurité et à la stabilité pour l'ensemble des peuples de la région, y compris le peuple israélien", écrit le président égyptien dans une lettre adressée à son homologue israélien, Shimon Peres.

Le texte de cette missive, rédigée en anglais, a été publié par les services de la présidence israélienne. Aucun commentaire officiel n'a pu être obtenu pour l'instant au Caire.

La classe politique israélienne s'est émue en privé de la victoire électorale, en juin, des islamistes dans l'Egypte de l'après-Moubarak. Elle redoute notamment que le traité de paix historique signé en 1979 entre l'Etat hébreu et le pays le plus peuplé du monde arabe ne fasse, à terme, les frais du succès des Frères musulmans.

Un responsable israélien a précisé, sous le sceau de l'anonymat, que la lettre du président égyptien constituait "un message très général écrit dans un esprit positif, mais ne comportant aucune direction nouvelle".

Les Frères musulmans sont, tout au moins au plan idéologique, hostiles à Israël et sont liés aux radicaux palestiniens du Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza.

Au lendemain de sa victoire électorale, Mohamed Morsi avait reçu deux lettres de félicitations signées de Shimon Peres et du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.



Maayan Lubell,
Jean-Loup Fiévet
pour le service français
SYRIE
LATERREURSANGUINAIRE
DUBOUCHERDEDAMAS
Source : tempsreel.nouvleobs.com en ligne
le 31 juillet 2012 à 17h

sur Diasporablog à 17h 52


Syrie/Alep :
des milliers de civils cherchent refuge
dans les écoles et mosquées


Des milliers de civils ne pouvant quitter Alep, deuxième ville de Syrie en proie à de violents combats, cherchent refuge dans les écoles, universités et mosquées de la capitale économique du pays, a annoncé mardi le Haut commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR).

"Alors que la violence armée fait rage dans la ville la plus peuplée de Syrie, des milliers d'habitants effrayés cherchent refuge dans des écoles, des mosquées et des édifices publics", a expliqué le HCR dans un communiqué.

Le Croissant-Rouge arabe syrien et d'autres organisations enregistrent ainsi chaque jour environ 300 familles déplacées qui nécessitent une aide urgente, précise le HCR.

Dans les 32 écoles identifiées, entre 250 et 350 personnes ont été enregistrées, tandis que quelque 7.000 autres ont trouvé refuge dans des dortoirs universitaires, soit au total entre 15.000 et 18.200 personnes identifiées pour le moment dans ces bâtiments.

La porte-parole du HCR), Melissa Fleming, a dénoncé la poursuite des violences à Alep.

Elle a expliqué que certains civils préféraient ne pas quitter la ville et cherchaient à se réfugier dans les écoles et dortoirs universitaires, car ils jugent le voyage en dehors de la ville trop dangereux en raison notamment de la présence de tireurs embusqués et de barrages sur les routes.

A Alep, le HCR continue d'apporter son aide aux civils à travers le Croissant-Rouge arabe syrien et d'autres organisations. "A Damas, notre bureau est toujours opérationnel, mais seulement à 50%", en raison des restrictions liées à la sécurité, a expliqué Mme Fleming.

Depuis l'éclatement en mars 2011 d'une révolte populaire contre le régime syrien qui s'est transformée en conflit armé, plus de 20.000 personnes ont péri, selon une ONG syrienne.

Par ailleurs, l'exode des Syriens, fuyant les violences dans leur pays, se poursuit, avec plus de 276.000 Syriens -- dont 129.240 enregistrés auprès du HCR -- qui ont quitté leur pays depuis mars 2011, selon les chiffres publiés mardi par l'agence.

"Avec plus de 129.240 réfugiés syriens enregistrés à ce jour, la majorité d'entre eux dépendant entièrement de l'aide humanitaire, le HCR et ses partenaires avertissent que le manque continu de fonds aura un impact profond sur leur capacité à continuer à répondre aux besoins des réfugiés", indique le HCR.

Selon le HCR, qui fournit des données pays par pays, depuis le début de la révolte, plus de 70.000 personnes ont cherché une protection en Turquie, tandis que 150.000 Syriens se sont réfugiés en Jordanie. Au Liban, ils sont plus de 34.000 réfugiés syriens à recevoir de l'aide, mais le chiffre réel est vraisemblablement plus élevé, selon le HCR.

En Irak, la plupart des réfugiés sont des Kurdes et leur nombre ne cesse d'augmenter. Pour l'instant, le HCR en a comptabilisé 12.073. Enfin, le HCR estime qu'entre 10.000 et 25.000 réfugiés syriens ont cherché refuge en Algérie.

Pour sa part, l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a annoncé mardi que plus de 900 Syriens étaient arrivés dans le premier camp de réfugiés syriens en Jordanie, inauguré dimanche.

"Il était urgent de les déplacer" face à l'afflux continu de réfugiés syriens dans les centres de transit, a indiqué le porte-parole de l'OIM, Chris Lom.

Le camp de Zaatari à Mafraq, près de la frontière syrienne, peut accueillir jusqu'à 150.000 réfugiés, selon l'OIM.
JODELONDRES2012
FRANCE
PLUIEDEMEDAILLES
POURSESCHAMPIONS
Source : leparisien.fr en ligne le 31 juillet 2012
à 17h 09

sur Diasporablog à 17h 44



JO - Canoë :
Tony Estanguet champion olympique


Tony Estanguet a remporté sa troisième médaille olympique en canoë.


Tony Estanguet, 34 ans vient d'accrocher un troisième titre olympique en trois olympiades (2000, 2004 et désormais 2012) en canoë C1.

Dans l'ultime descente, le Français a devancé l'Allemand Sideris Tasiadis, meilleur temps de la demi-finale, et le Slovaque et grand rival historique Michal Martikan, sacré à Pékin. A eux deux, ils se sont partagés les quatre derniers titres olympiques. MON ACTIVITÉ
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Le porte-drapeau de la délégation à Pékin 2008 était reparti de Chine sans aucun titre ni même aucune médaille car éliminé en demi-finale. Ce perfectionniste a réparé cet impair qui faisait tâche dans un palmarès long comme une pagaie. « C'est un moment très fort, a confié le Palois au micro de France 2. J'ai dû batailler pendant quatre ans pour revenir à mon meilleur niveau. Ce n'était pas évident de se relancer après Pékin. »

Mardi il a su descendre de manière parfaite et améliorer l'excellent temps de son rival Slovaque parti avant lui. « J'ai essayé de me boucher les oreilles (NDLR : en attendant dans l'aire de départ alors que son principal rival, le Slovaque Martikan, s'est élancé). J'ai entendu qu'il avait pris la tête, mais je suis resté centré sur ma ligne en faisant abstraction de la concurrence. Cela chamboule pas mal au niveau de ce que je ressens, j'ai du mal à tout maîtriser, je suis tellement privilégié de vivre cela, mais cela ne joue pas à grand chose. »

Quatrième médaille d'or pour la France

Dès le premier temps intermédiaire, celui qui aspire à devenir à la fin de sa carrière un membre du Comité international olympique (CIO) a viré en tête et n'a commis aucune faute technique ni aucun accrochage de porte. Une impression que le champion olympique a confirmé. « Cette finale s'est passée comme dans un rêve. Le scénario était très bon avec une demi-finale pas exceptionnelle. Je savais que ce serait dur. Il fallait juste ne pas faire d'erreur. J'ai essayé de faire ce que j'avais à faire en faisant abstraction de la concurrence. »

Le triple champion du monde (2006, 2009, 2010) offre à la France sa quatrième médaille d'or au quatrième jour des compétitions.
QUANDL'ART
RASSEMBLE
Source : l'agence AMA en ligne le 31 juillet 2012





Du 14 au 25 novembre 2012, A&E Projects présentera « Lost in Paradise. Du spirituel dans l’art actuel », la sélection d’une vingtaine d’œuvres de cinq artistes contemporains au sein du Loft Sévigné dans le Marais.

Cinq artistes originaires d’Asie et du Moyen-Orient confronteront leur travail sur le thème de la spiritualité. Reza Aramesh (Iran), Shezad Dawood (Pakistan), Idris Khan (Pakistan), Ariandhitya Pramuhendra (Indonésie) et Michal Rovner (Israël) mettront en avant les problématiques et les paradoxes liés à cette question. Une partie des artistes s’approprie l’iconographie religieuse traditionnelle en répondant au vide engendré par les désillusions de la société actuelle. Les autres s’expriment à travers une imagerie abstraite et symbolique dans un contexte de guerre, de terrorisme ou d’inégalités sociales.

Né de la volonté d’Arianne Levene et d’Eglantine de Ganay, A&E Projects se spécialise en art contemporain avec une attention particulière portée à l’Asie et au Moyen-Orient. À travers cette nouvelle exposition, il souhaite mettre en avant un groupe d’artistes qui marque la scène artistique contemporaine internationale asiatique et moyen-orientale.
SYRIE
LABATAILLED'ALEP
QUITTEOUDOUBLE
POURLEBOURREAUDEDAMAS
Source : tempsreel.nouvelobs.com en ligne
le 30 juillet 2012



Pourquoi la bataille d'Alep est cruciale

Créé le 30-07-2012 à 16h23 - Mis à jour le 31-07-2012 à 09h48Par Sarah DiffalahPour les insurgés, la ville est la clé de voûte pour le renversement de la situation militaire. Pour le régime, il s'agit de ne pas perdre l'un de ses bastions.



Elle est considérée comme cruciale et décisive pour les rebelles, elle est la "mère de toutes les batailles" pour le régime de Bachar el-Assad : Alep, centre économique majeur au nord de la Syrie est, depuis plus d'une semaine, le coeur du conflit. Après avoir lancé la bataille de Damas avec plus ou moins de succès, les insurgés ont décidé de libérer la deuxième ville du pays.

Le 22 juillet, dans une vidéo postée sur Youtube, le colonel Abdel Jabbar al-Okaidi, commandant de l'Armée syrienne libre (ASL) proclamait "le lancement de l'opération visant à libérer Alep des mains tachées de sang de la clique d'Assad". Très vite, des quartiers entiers tombent aux mains des combattants. Mais hors de question pour le régime d'abandonner Alep. Samedi à 4h30 du matin, l'armée loyaliste lance la contre-offensive et place ses chars autour de la ville. Elle pilonne les quartiers conquis par les rebelles.

Les scènes de guérilla urbaine sont quotidiennes et l'issue des combats était incertaine lundi 30 juillet. Des journalistes rapportent que la ville se vide de ses habitants, que le pain vient à manquer. Le commandant de l'ASL redoute "un massacre". Que se joue vraiment à Alep ?

Un accès vers la Turquie pour les rebelles
Pour les combattants révolutionnaires, Alep est la clé de voûte pour un renversement de la situation militaire. Contrôler cette métropole située à une cinquantaine de kilomètres de la Turquie, c'est assurer l'approvisionnement en armes - achetées notamment au Qatar - et instaurer une zone de sécurité sur tout le nord du pays.

La création d'un couloir sécuritaire qui relierait Alep à la Turquie pourrait faciliter les relations avec le commandement de l'ASL, basé en Turquie. Selon un journaliste de l'AFP, l'ASL a pris, lundi 30 juillet, un important poste de contrôle à Anadan, permettant de relier cette ville à la frontière distante de 45 kilomètres.

Reuters révèle aussi, citant des sources des pays du Golfe, que les autorités turques chapeautées par les Saoudiens et les Qataris ont installé une base secrète à Adana, à près de 200 kilomètres d'Alep, pour fournir aux rebelles une assistance militaire et un appui logistique dans les communications. C'est aussi près d'Adana que se trouve le complexe militaire turco-américain d'Incirlik, rappelle l'agence de presse. Un ancien responsable de la sécurité américaine a affirmé à Reuters que de nombreux généraux syriens qui ont fait défection sont en Turquie, d'où ils aident l'opposition.

Le scénario d'une "Benghazi syrienne", où les insurgés pourraient installer sur ce territoire libéré un gouvernement provisoire, a été évoqué. Mais les Etats-Unis ont réfuté toute comparaison avec le cas libyen qui avait mené à une intervention de l'Otan.


Un des bastions de Bachar El Assad
Mais la réussite de l'opération de libération d'Alep, qui renverserait la situation militaire, passe nécessairement par le soutien de la population. Or, par peur ou par fidélité au régime, la ville de s'est pas encore totalement ralliée du côté des révolutionnaires. Avec ses activités industrielles (textiles notamment) la ville a toujours attiré une classe bourgeoise commerçante et conservatrice que Bachar al-Assad a su favoriser. Les hommes d'affaires ont donc été plus enclins à le soutenir. La ville est d'ailleurs restée longtemps éloignée de la révolte.

La ville comprend également de nombreuses minorités comme les chrétiens, les Kurdes, les Arméniens, les Assyriens, les chiites et les Alaouites (minorité à laquelle appartient Bachar al-Assad), qui ont peur de subir des représailles en cas de victoire des rebelles, malgré l'assurance de l'ASL de les protéger. L'arrivée des insurgés dans la ville séduit surtout les populations sunnites vivant dans les quartiers plus défavorisés.

Rallier les plus réticents est probablement le défi immédiat qui se pose aux rebelles pour gagner la "bataille d'Alep". Mais avec des forces réduites, des capacités militaires limitées, la bataille pourrait durer encore longtemps.
SYRIE
LABATAILLED'ALEP



CONFLIT
ISRAELO-PALESTINIEN
DELADIFFICULTED'EXISTER
DEVANTLEPRINTEMPSARABE
ETLEMASSACREDESSYRIEN
PARLEBOURREAUDEDAMAS
Source :le siteb temps et contretemps
en ligne le 31 juillet 2012



DIASPORABLOG
accueille...

JACQUES BENILLOUCHE



PALESTINE :
ENTRE ILLUSION
ET INTRANSIGEANCE

Les révolutions arabes et surtout la guerre civile en Syrie ont marginalisé le conflit israélo-palestinien. D’ailleurs le 28 juillet 2012, le premier ministre palestinien, Salam Fayyed a accusé la communauté internationale d'avoir mis de côté le dossier palestinien. Il s'est également dit préoccupé du fait que l'Autorité palestinienne risque de perdre la confiance de la population palestinienne car elle n'arrive pas à «mettre fin à l'occupation, qui s'affermit de jour en jour ».



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Jacques BENILLOUCHE
http://www.benillouche.com/

lundi, juillet 30, 2012

INDE
LATTENTATCONTRE
LAMBASSADED'ISRAËL
LAPOLICEINDIENNEACCUSE
L'IRAN

Source : france24.com en ligne le 30 juillet 2012




La police indienne
accuse des Iraniens d'être derrière
l'attentat anti-israélien de New Delhi



Les enquêteurs chargés de faire la lumière sur l'attentat à la voiture piégée perpétrée, le 13 février, près de l'ambassade d'Israël à New Delhi estime que l'attaque a été menée par des Iraniens appartenant aux Gardiens de la Révolution.


La police indienne accuse des Iraniens membres des Gardiens de la Révolution d'avoir organisé en février l'attentat à la voiture piégée près de l'ambassade d'Israël à New Delhi, qui avait grièvement blessé une diplomate israélienne, rapporte lundi The Times of India.

Selon le quotidien, qui cite les conclusions de l'enquête de police, cinq personnes appartenant au corps des Gardiens de la Révolution sont soupçonnées d'avoir organisé cette attaque avec un journaliste indien.

Interpol avait émis en mars des "notices rouges" visant quatre Iraniens soupçonnés d'avoir participé à l'attentat le 13 février dernier mais c'est la première fois que l'on cite leur appartenance présumée aux Gardiens de la Révolution, une force paramilitaire iranienne.

"Les détails sur les suspects ont été communiqués à l'Iran", indique le quotidien, qui cite Houshang Afshar Irani comme étant le cerveau présumé de l'attentat à New Delhi et à l'origine de complots visant à tuer, à la même période, des Israéliens en Thaïlande et en Géorgie.

Les suspects sont soupçonnés d'être entrés en Inde avec des visas de tourisme et d'avoir quitté le pays le lendemain de l'explosion.

En mars, un journaliste indien indépendant, Syed Mohammed Kazmi, qui travaillait à mi-temps pour l'agence de presse iranienne IRNA, a été arrêté en lien avec l'attentat, commis dans un quartier très sécurisé à faible distance de l'ambassade israélienne.

Israël avait aussitôt accusé l'Iran d'être derrière l'attentat.
BACHARELASSAD
LEBOURREAU
DUPROCHE-ORIENT
Source : lenouvelobs.com en ligne le 30 juillet 2012



SYRIE.
Fabius qualifie Assad de "bourreau"


La France, qui prend la présidence du Conseil de sécurité en août, va demander une réunion d'urgence de cette instance au niveau des ministres des Affaires étrangères, a annoncé lundi 30 juillet le chef de la diplomatie, Laurent Fabius. Invité de RTL, le ministre a précisé qu'il présiderait lui-même cette réunion, convoquée dans l'urgence pour faire arrêter les massacres perpétrés en Syrie par Bachar al-Assad, qu'il a qualifié de "bourreau".

La veille, le secrétaire américain de la Défense Leon Panetta jugeait que l'offensive des forces syriennes contre Alep et la "violence aveugle" contre la population ne contribuent qu'à "creuser la tombe" du régime de Bachar al-Assad. "Il est assez clair qu'Alep constitue un nouvel exemple tragique de la violence aveugle à laquelle a recours le régime d'Assad contre son propre peuple (...) Au bout du compte, il creuse sa propre tombe", a déclaré le patron du Pentagone à bord de l'avion militaire qui l'emmenait en Tunisie, première étape d'une tournée qui doit également le mener en Egypte, Israël et Jordanie.

Le président syrien a engagé des chars d'assaut et des hélicoptères de combat pour tenter de déloger les rebelles de la deuxième ville de Syrie. Pour le ministre américain, Bachar al-Assad "a perdu toute légitimité et plus il s'enfonce dans la violence, plus il s'assure que le régime touche à sa fin".

20.000 personnes tuées depuis le début de la révolte
La question n'est plus de savoir si le régime va tomber, "mais quand", a estimé Leon Panetta. Plus de 20.000 personnes ont été tuées, dont 14.000 civils, depuis le début de la révolte contre le régime Assad en mars 2011, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), proche de l'opposition.

Les Etats-Unis et la communauté internationale ont clairement dit que c'est intolérable, et ont appliqué des pressions diplomatiques et économiques sur la Syrie pour mettre fin à la violence, pour qu'Assad quitte le pouvoir et qu'une transition vers une forme démocratique de gouvernement s'opère", a détaillé le secrétaire à la Défense.
Les Etats-Unis prêtent une attention particulière à la sécurité des sites de stockage d'armes chimiques et biologiques syriens, a indiqué Leon Panetta, notamment en maintenant une "coopération étroite avec les pays de la région". Washington dit fournir également une assistance non létale à l'opposition, avec des moyens de communications notamment, et de l'aide humanitaire aux réfugiés syriens dans les pays voisins.
J.O.DELONDRES2012
LESJOIES

DUNEMEDAILLEEFRANCAISE
Source : france.tv.info en ligne le 29 juillet 2012



ISRAËL
ECONOMIE
COUPDEVIS
Source : liberation.fr en ligne le 30 juillet 2012

à 10h 33
sur Diasporablog à 11h 14



Israël:
le gouvernement se réunit
pour voter un plan d'austérité


Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu le 22 juillet 2012 à Jérusalem (AFP)
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Le gouvernement israélien était réuni lundi pour voter un plan d'austérité prévoyant notamment une augmentation du taux de TVA et des impôts sur le revenu, a indiqué le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu.

Parmi les mesures proposées pour limiter le déficit budgétaire figurent une augmentation immédiate d'un point du taux de TVA à 17%, ainsi qu'une hausse l'an prochain de 1% de l'impôt pour les particuliers dont le revenu mensuel est situé entre 8.881 et 41.830 shekels (2.220 et 10.457 dollars). Une taxe spéciale de 2% sera prélevée sur les revenus de plus 67.000 shekels (16.750 dollars).

Des coupes de 750 millions de Shekels (187 millions de dollars) dans les crédits des différents ministères à l'exception de la Défense, de l'Education, des Affaires sociales et de l'Intégration des nouveaux immigrants sont également prévues. L'an prochain une coupe supplémentaire de 3% va également intervenir.

"Ces mesures sont indispensables en raison de la baisse de la croissance qui a diminué de 5% par an à environ 3% actuellement si nous ne voulons pas nous retrouver dans une situation catastrophique comme celle que connaît la Grèce ou l'Espagne", a affirmé M. Stenitz.

Le ministre des Finances a également annoncé une "guerre contre la fraude fiscale" ainsi qu'une imposition sur les bénéfices accumulés en Israël depuis plusieurs années par les multinationales israéliennes ou étrangères.

"Si l'économie israélienne s'effondre, le gouvernement ne pourra pas compter sur une Banque Fédérale comme aux Etats-Unis ni sur une Banque Centrale Européenne pour venir nous venir nous aider", a ajouté M. Steinitz.

Le directeur général des Finances Doron Cohen a pour sa part expliqué que le gouvernement a doublé le 1er juillet à 3% du PIB le pourcentage du déficit budgétaire pour 2013 afin d'éviter une augmentation trop forte des impôts.

"Mais avec la baisse de rentrées fiscales due au ralentissement de la croissance, ce déficit aurait été bien supérieur si nous n'avions pas pris les mesures de rigueur qui sont soutenues à la fois par le Fonds Monétaire International et les agences de notations internationales", a ajouté M. Cohen.

Jeudi dernier, les taxes sur le tabac et la bière ont été également alourdies, ce qui devrait rapporter 1,04 milliard de Shekels (250 millions de dollars).

Selon les commentateurs, ces propositions devraient être entérinées par la majorité des ministres.
SYRIE
MASSACREDU21èSIECLE
LEMONDESOUSSILENCE
Source : liberation.fr en ligne le 30 juillet 2012



Dangers


Bachar al-Assad massacre son peuple et détruit son pays. Après Homs, le Président s’attaque à Alep, deuxième ville du pays, gagnée elle aussi par la rébellion qui, depuis dix-sept mois, balaie la Syrie. Comme son père, qui tua 20 000 opposants islamistes à Hama, le rejeton Al-Assad croit qu’une répression féroce donnera un nouveau bail à son régime aux abois. Mais, malgré des milliers de morts, d’emprisonnés et de torturés, l’opposition se renforce mois après mois. Et la Syrie, comme nation et pays, pourrait être victime de cette guerre. La dynastie Al-Assad, pour maintenir son règne brutal et corrompu, a joué des antagonismes ethniques et religieux de ce pays mosaïque. Les alaouites - la minorité à laquelle appartient le clan Al-Assad -, comme les chrétiens, druzes et Kurdes, craignent le pouvoir de la majorité sunnite etsoutiennent pour le moment largement le régime.
Au risque de déclencher une véritable guerre civile opposant toutes les composantes syriennes, à la manière de l’Irak post-Saddam. Si elle ambitionne de régner sur un pays uni, l’opposition largement sunnite doit rassurer et inclure ces minorités. Pour l’heure, pays voisins et parrains des différentes factions syriennes, de l’Iran à l’Arabie Saoudite, entretiennent le risque de fragmentation du pays. Une Syrie dépecée serait lourde de dangers pour l’ensemble de la région. Jusqu’à présent, la communauté internationale n’a rien fait pour les Syriens. Qu’elle plaide et agisse aujourd’hui auprès de la rébellion et de ses soutiens pour la pérennité du pays.

dimanche, juillet 29, 2012

J.O.DELONDRES
SECONDEMEDAILLE
D'ORPOURLAFRANCE

NATATION
Source ; agence Reuters en ligne le 29 juillet 2012


J.O.:
la Française Camille Muffat
s'adjuge l'or du 400m nage libre





La Française Camille Muffat est devenue dimanche championne olympique du 400 m nage libre, offrant à la délégation tricolore sa première médaille d'or des Jeux de Londres.
La nageuse de 22 ans, qui a résisté jusqu'au bout au retour de l'Américaine Allison Schmitt, médaille d'argent, succède à sa compatriote Laure Manaudou, sacrée sur la même distance en 2004 à Athènes.

La Britannique Rebecca Adlington, médaillée d'or à Pékin en 2008 et portée par le public londonien, s'est contentée du bronze.

L'autre Française présente dans cette finale, Coralie Balmy, a terminé à la sixième place.



Jean Décotte
pour le service français
PLANBPOURECRASER
LESOBJECTIFSNUCLEAIRES
DEL'IRAN
Source : tempsreel.lenouvelobs.com en ligne
le 29 juillet 2012




Washington a informé Israël
d'un plan B visant l'Iran nucléaire


Le conseiller américain à la sécurité nationale a informé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu d'un plan B des Etats-Unis sur des frappes préventives contre des installations nucléaires iraniennes, selon le quotidien israélien "Haaretz" dimanche 29 juillet.

Tom Donilon, conseiller du président Barack Obama, a rencontré à Washington Benjamin Netanyahu il y a deux semaines lors d'un dîner de trois heures, a rapporté le journal.

"Donilon a cherché à faire comprendre que les Etats-Unis se préparaient sérieusement à la possibilité que les négociations (avec Téhéran sur son programme nucléaire controversé) aboutissent à une impasse et qu'une option militaire serait alors nécessaire", a affirmé "Haaretz".

Interrogé par l'AFP, un responsable israélien a déclaré : "Nous ne commentons pas ce qui est discuté lors de réunions diplomatiques à huis clos. Mais l'article est plein d'erreurs factuelles".

Cette information est publiée alors que le candidat républicain à la présidentielle américaine Mitt Romney doit rencontrer dimanche plusieurs dirigeants israéliens à Jérusalem, dans le cadre d'une tournée visant à asseoir sa stature sur le plan international.

Mitt Romney a critiqué au cours de sa campagne la politique de son adversaire vis-à-vis de l'Iran, ennemi juré d'Israël, promettant des sanctions plus sévères s'il était élu.

Israël, considéré comme l'unique puissance nucléaire de la région, un statut sur lequel il maintient l'ambiguïté, présente le programme nucléaire iranien comme une menace pour son existence, se référant aux déclarations répétées des dirigeants de la République islamique prédisant ou souhaitant sa disparition.

Les principaux responsables israéliens, Benjamin Netanyahu en tête, agitent périodiquement la menace d'une opération militaire, exprimant leurs doutes sur l'efficacité des sanctions contre Téhéran, qui proteste du caractère purement civil de son programme nucléaire.
LESPALESTINIENS
"NOYES"DANS
LEBOUBOURBIER

SYRIEN


DIASPORABLOG
accueile...

JACQUES BENILLOUCHE
copyright © Temps et Contretemps



PALESTINIENS :

LES PERDANTS DU CONFLIT SYRIEN


Le chaos semble se préparer en Syrie sans qu’aucune solution ne soit visible à court terme, sinon le spectre d’une guerre civile. Le peuple, qui s’est soulevé pour une amélioration de son sort, semble le véritable perdant d’un soulèvement sanguinaire. Mais le sort d’une autre communauté n’est pas enviable, celle des réfugiés palestiniens qui, contrairement à leurs semblables dans les autres pays arabes, bénéficiaient pourtant en Syrie de droits alloués bien avant l’arrivée au pouvoir du régime d’Assad.



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Jacques BENILLOUCHE
http://www.benillouche.com/
J.O.
1MINUTE
DESILENCEPOUR
LESVICTIMESISRAELIENNES
DELATTENTATDEMUNICH
EN1972
LE5SEPTEMBRE2012AMUNICH


INEDIT

INFO
DIASPORABLOG



Sur RTL ce matin, l'ancien champion d'athlétisme (110m haies), ancien Ministre des Sports, Guy Drut a rendu officielle la minute de silence demandée par les familles de l'équipe sportive d'Israël aux Jeux Olympique de Munich en 1972 massacrée par des terroristes palestiniens. Elle aura lieu le 5 Septembre prochain à Munich. L'attentat s'était déroulé à la même date 40 ans plus tôt.

samedi, juillet 28, 2012

GUERRECIVILE
ENSYRIE
LESDRUZESDUGOLAN
ASSISENTREDEUXCHAISES
Source : mediarabe.com en ligne via l'Agence SIPA

le 28 juillete 2012



De l’autre côté de la ligne de cessez-le-feu, la Syrie est en train de basculer dans la guerre civile. Sur le plateau du Golan occupé par Israël, les druzes se retrouvent tiraillés, partagés entre la fidélité à Bachar Al-Assad, dont la famille a juré de reprendre le territoire, et le soutien au soulèvement contre son régime autoritaire.

L’an dernier, dans les premières semaines du mouvement de contestation contre le régime alaouite, seule une toute petite minorité de druzes du Golan apportait publiquement son soutien au soulèvement. Aujourd’hui, ces voix se font plus fortes. Les quatre principaux villages druzes du plateau, ravi par Israël à la Syrie lors de la Guerre des Six-Jours en 1967 puis annexé par l’Etat hébreu en 1981, se trouvent près de la ligne de cessez-le-feu entre les deux pays. Au cours de la semaine écoulée, explique Ali Abou Awad, la plupart des habitants de Boukata sont montés dans les collines voisines pour observer les combats qui se déroulaient non loin. « Ce n’est pas pareil quand on le voit de ses propres yeux. On se sent très inutile, très vide, lorsqu’on voit cette armée en train de détruire la population civile », confie-t-il. Mais dans le village voisin de Majdal Shams, les partisans de Bachar Al-Assad crient au « complot, fomenté par des Etats étrangers », comme Hassan Fakhr Dine. Ce boucher assure que le peuple syrien reste uni. Pour lui, ces bombardements dont l’écho et la fumée parviennent jusqu’au Golan constituent des attaques légitimes contre « des gens qui veulent changer le régime en Syrie ».

La citoyenneté israélienne a été proposée aux druzes du Golan, mais seuls quelques-uns d’entre eux l’ont accepté. La plupart se considèrent comme Syriens et beaucoup, pensant que la Syrie finirait un jour par récupérer le plateau, ne voulaient pas être ensuite traités comme des traîtres. Outre son importance stratégique militairement, le Golan est aussi une source majeure d’eau et de divertissements pour l’Etat hébreu. Les Israéliens y affluent pour arpenter ses sentiers de randonnée, son vignoble israélien et profiter de l’unique station de ski à leur disposition. Les druzes, qui sont environ 20.000 sur le Golan, font partie de ce décor et les touristes israéliens de passage, comme les militaires, fréquentent leurs restaurants. Mais les membres de la communauté gardent tout de même le contact avec leurs proches en Syrie, et sont parfois autorisés à entrer en Syrie pour assister à un mariage, faire des études ou accomplir un pèlerinage religieux. Un druze du Golan qui épouse un ressortissant syrien perd automatiquement son droit de vivre sur le plateau, séparant des familles.

Comme d’autres minorités religieuses de Syrie, les druzes, des arabes qui appartiennent à une secte ésotérique issue de l’ismaélisme, une branche du chiisme, craignent d’être marginalisés, voire pris pour cible, en cas de chute du régime de Bachar Al-Assad. Les sunnites, majoritaires en Syrie, constituent le cœur de l’opposition au président syrien, alors que le régime issu du courant alaouite a toujours défendu une idéologie plus laïque, perçue comme une protection pour les minorités. Pourtant, Mahmoud Amasha, un producteur de pommes et agent d’assurances de Boukata, se dit « convaincu que le nombre d’opposants au régime croît chaque jour ». Mais, reconnaît-il, les divergences à propos d’Assad « jettent ombre sur les gens de cette ville ». Selon les habitants, des manifestations, pour ou contre le régime du fils de Hafez Al-Assad, ont lieu régulièrement. Le conflit a monté des familles les unes contre les autres, divisé des amis.
ELECTIONSPRESIDENTIELLES
AMERICAINES
ISRAËLCOURTISE
PARLESCANDIDATS
Source : huffington.com en ligne le 28 juillet 2012



Obama, Romney Court Jewish Vote




By
PHILIP ELLIOTT
stumble



WASHINGTON



On a trip to Israel, Mitt Romney is trying to win over a tiny sliver of a small – but powerful – section of the American electorate. President Barack Obama is doing the same at home.

But while Romney's trip is unlikely to change the broader presidential campaign against Obama, he's hoping to close the gap among Jewish voters.

For all the wooing of American Jews in presidential campaigns, those who say Israel's fate drives their vote make up 6 percent of a reliably Democratic bloc. The tiny numbers are overlaid with an outsize influence. Campaign donations from Jews or Jewish and pro-Israel groups account for as much as 60 percent of Democratic money, and groups such as the American Israel Public Affairs Committee can bring strong pressure on candidates.

"This is going to be a close election. We are in a tight, tight race," said Democratic pollster Jim Gerstein. "But this race will not swing on the Jewish vote."

The notion of being an American Jew has changed over the years. Jews have married outside their faith and ethnic enclaves have given way to integrated cities. In the process, Israel has faded as a driving issue in their homes and seems to have faded as a flashpoint in politics.

"They're disconnected from their ancestral roots," Hank Sheinkopf, a New York-based consultant, said of Jewish voters. "People are becoming less observant so they're less tied to Israel, less tied to their faith, less tied to their history."

In turn, Jewish voters look at the election through secular lenses. Although the campaign rhetoric skews toward them when the candidates talk about Israel, assuming that Jews vote based on U.S. policy toward Israel is a losing proposition.

Romney also needs to show his commitment to Israel because the reliably Republican evangelical Christian vote also holds candidates to account on that topic.

"Jewish Americans, like most Americans, have come to assume that mainstream politicians and elected officials will stand strongly with Israel so there's oftentimes no urgency that is reflected in the polling," said Robert Wexler, a former Democratic congressman from Florida whose district was heavily Jewish.


"Even partisan people who cherish the American-Israeli relationship cringe when Israel is used as a political football," said Wexler, who was a co-chairman of Obama's 2008 campaign and now leads the S. Daniel Abraham Center for Middle East Peace.

That hasn't stopped Romney.

"I think, by and large, you can just look at the things the president has done and do the opposite," Romney said earlier this year when asked about Israel.

Obama has riled his critics, including Romney, by urging the Israelis and the Palestinians to make good on their promises to bring peace to the troubled Middle East. Specifically, Obama publicly has chastised Israel for continuing to build housing settlements in disputed areas and has pressured both sides to begin a new round of peace talks based on the land borders established after the 1967 Arab-Israeli conflict.

That has raised the ire of groups such as AIPAC, which feel he's been disloyal to Israel. Obama's strained relationship with Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu – a longtime Romney friend – hasn't helped that perception.

"The current administration has distanced itself from Israel and visibly warmed to the Palestinian cause," Romney told AIPAC's annual conference earlier this year, where Obama also spoke.

Previous presidents have sided with Israel on all points, at least in public.

"This is the most hostile president since the state of Israel was created," Romney supporter and former U.S. Ambassador to the United Nations John Bolton said recently. "He's demonstrated that hostility right from the beginning of his administration."

Such language is designed to whittle away at the Democrats' long-held advantages and nip away at the 78 percent support Obama enjoyed among Jews on Election Day 2008.

The Gallup polling organization reported Friday that Obama's standing stood at 68 percent among Jews, while 25 percent favored Romney.

"They elected him with historic numbers but they have to look at how President Obama has handled the whole situation," said Rich Beeson, Romney's political director. "Voters can say, `I've not made a mistake, but he has not lived up to what he promised and it's OK to (vote for someone else).' Every vote that we can peel off from Barack Obama helps."

That approach fuels the on-the-ground effort to continue Jewish voters' slide away from the Democratic fold. Romney allies at the Republican Jewish Coalition are planning a $6.5 million campaign to help GOP candidates, and Romney himself is looking to reach into Jewish communities in Florida, Pennsylvania, Michigan, Ohio, North Carolina and Nevada.

But the Jewish vote won't make a difference in this election. Exit polls show Jewish voters typically make up 2 percent to 4 percent of the electorate nationwide. In 2008, they were 2 percent of voters nationwide and Republican Sen. John McCain won just 21 percent of them.

In 2004, George W. Bush fared a bit better, winning 25 percent of the vote, the largest share of the Jewish vote any Republican has earned since 1988.

But that's not to say they don't have clout.

"Jews are less important as voters than they are as activists and contributors. Jews provide pretty close to half of the money available to Democratic candidates," said Benjamin Ginsburg, a political science professor at Johns Hopkins University.

And it's not as though Israel alone will even decide Jewish voters' preference. A survey earlier this year by the American Jewish Committee found only 6 percent of American Jews listed U.S.-Israel relations as their top priority. The economy was the top concern, at 29 percent, followed by health care, at 20 percent.

"When it comes to determining votes in the American Jewish community, it is not a safe assumption that Jews are single-issue constituency that cares only about Israel," said Jeremy Ben-Ami, president of J Street, a pro-Israeli group that promotes a two-state solution to resolve the Israeli-Palestinian conflict through diplomacy instead of military action.

"Jews are just like all other Americans. They're fully integrated in the United States. They are concerned about their jobs, their kids' education and just like all other voters, the voting patterns and approval ratings move in the context of the larger race," Ben-Ami said.


Associated Press Deputy Director of Polling Jennifer Agiesta contributed to this report





























vendredi, juillet 27, 2012




BOUALEMSANSAL
UNGRANDAUTEUR
DUMONDEARABE
AUSERVICEDELAPAIX
Source : liberation.fr en ligne le 18 juillet 2012



«Je ne suis pas
en guerre contre Israël»



Par
ALEXANDRA SCHWARTZBROD


Boualem Sansal sort par le haut de la polémique qui l’a privé du prix du Roman arabe, suite à sa présence, mi-mai, dans un festival à Jérusalem :

L’écrivain algérien Boualem Sansal, privé du prix du Roman arabe et des 15 000 euros qui devaient récompenser son livre Rue Darwin (Gallimard) pour s’être rendu en Israël, va remettre le don de 10 000 euros fait par un mécène suisse en compensation à une association soignant des enfants palestiniens (lire ci-contre). Joint hier par téléphone, il s’explique sur son geste.






Quelques extraits complémentaires :


Pourquoi céder ce don tombé du ciel à l’association Un cœur pour la paix ?




Un de mes amis m’a fait découvrir il y a quelques semaines cette association, qui rassemble des médecins français, israéliens et palestiniens. J'au vu qu'elle faisait des choses formidables. Du coup, j'ai eu l'idée de lui donner cette somme...












Votre n'imaginiez pas que votre voyage en Israël allait entraîner de telles réaction?




.....On me disait bien de bien réfléchir avant d'entreprendre ce voyage, que je risquai d'être récupéré, instrumentalisé, que j'allais recevoir des menaces de mort. MOI, JE NE SUIS PAS EN GUERRE CONTRE ISRAËL". Il faut qu'on travaille tous à la paix : politiques, intellectuels, étudiants... C'est pour ça que j'ai tenu à y aller. Pour montrer qu'il faut avant tout dialoguer, échanger.







Qu'avez-vous ressenti en apprenqant la décision du conseil des ambassadeurs arabes?




Cela m'a deçu, je me suis dit : voilà, ils représentent des Etats et ils sont à leur image. Cela jette une suspicion sur ce prix accordé depuis 2008. Ils me sanctionnent pour être allé en Israël? MAIS LES PAYS QU'IL REPRESENTE NE SONT PAS EN GUERRE AVEC ISRAËL...CERTAINS ONT MÊME DES RELATIONS PLUS OU MOINS ASSUMES AVEC ISRAËL







Suite sur le quotidien daté du 18 juillet 2012 page 28 - 29
OIUVERTURE
DESJ. O.DE LONDRES
UNEPREMIERE
SURUNERADIOJUIVE
ALJAZEERA
CEVENDREDI
SURRADIOJ(94.8mgh)




Intterview sur RADIO J. Le Directeur de la Rédaction de cette radio, Michel Zerbib interroge, en exclusivité LE PATRON DE AL JAZIRA SPORT BEIN SPORT CHARLES BIETRY AU SUJET DES ATHLÈTES ASSASSINES DE MUNICH EN 72


VENDREDI 27 JUILLET 2012

RADIO J
à 14h00
INFO
DIASPORABLOG


L'excellente revue trimestriel, RESPECT MAGAZINE, dirigé par Marc Chebsun, militant pour les causes de la diversité et du vivre-ensemble, annonce dans son numéro de juillet-août-septembre, qu'il publiera, le 11 octobre prochain, un numéro exclusivement consacré à la communauté juive : "JUIFS DE FRANCE, D'HIER, D'AUJOURD'HUI, DE DEMAIN".


Bernard Koch

jeudi, juillet 26, 2012

DESIVOIRIENS
HOSTILESALAPRESENCE
D'ALASSANEOUATTARA
APARISONTMANIFESTE

LEURMECONTENTEMENT


INEDIT
DIASPORABLOG
Y ETAIT



Le Président de la Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara, était ce matin à Paris, à l'Elysée, rendre visite à son homologue français, François Hollande.

"Ouattara est un génocidaire". "Honte à François Hollande, les Ivoiriens ont voté pour toi". "Arrêtez les massacres".

Vers 10h, ce matin, passant des ruelles des Champs-Elysées, ils étaient une petite centaine de français originaire de Côte d'Ivoire, hostiles au Président Ouattara et défenseurs fort engagés auprès de son prédécessuer, Laurent Gbagbo, en voie d'être jugé de la Haute Cour Internaitonale de Justice , se précipatant vers le quartier de l'Elysée. Très remontés, n'épargnant dans leur slogan, ni le Chef d'Etat de Côte d'Ivoire, ni le chef d'Etat français. Avec ici ou là quelques propos acerbes envers les forces de l'ordre chrgé de les repousser.

L'arrivée de ces manifestants a surpris les commerçants avoisinants et les quelques badauds de passage.

Le calme est revenu peu de temps plus tard. Les pro-Gbagbo ayant du rebrousser chemin, sous l'oeil vigilant des CRS.


Bernard Koch
SYRIE
AFFRONTEMENTS
DANSUNCAMPPALESTINIEN
DUNQUARTIERDEDAMAS
Source : levif.be via l'AFP en ligne le 26 juillet 2012



Syrie:
combats à Alep
et dans le camp palestinien de Yarmouk
à Damas



Les combats se poursuivaient à Alep, deuxième ville de Syrie où se déroule une bataille décisive entre le régime et les rebelles, et des affrontements ont éclaté jeudi matin dans le camp palestinien de Yarmouk à Damas, selon des militants et des témoins.


Les violences ont fait mercredi 143 morts à travers le pays -75 civils, 41 soldats et 27 rebelles- selon un nouveau bilan de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) qui effectue un décompte quotidien des victimes. A Alep, la grande ville du nord, poumon économique de la Syrie, des affrontements se sont déroulés dans le quartier de Mohafaza et des obus ont visé les quartiers de Machhad et Saleheddine, provoquant la mort d'une enfant et faisant sept blessés, selon l'OSDH. Un civil a en outre été tué dans sa maison par balles selon l'OSDH.


A Damas, où les forces régulières semblaient avoir rétabli leur contrôle sur la plupart des quartiers, des affrontements ont éclaté dans le camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk (sud), selon des habitants et les Comités de coordination populaire. Selon l'OSDH, les corps de 14 personnes ont été découverts dans le quartier de Qaboun, dont l'armée régulière a repris le contrôle au cours des derniers jours. Des violences ont également été signalées dans la province de Deir Ezzor (est) où deux personnes ont été tuées et dans la ville de Hama (centre) où deux civils ont été tués par des tirs sur leur voiture, selon l'OSDH. (MUA)

LAUTORITEPALESTINIENNE
LECONOMIE
ENPANNESECHE
Source : la newsletter de Guysen International News
diffusée le 26 juillet 2012



L'économie palestinienne pas prête
à porter un Etat indépendant



L'économie palestinienne n'est pas assez solide pour porter un Etat palestinien indépendant a estimé dans un rapport mercredi la Banque mondiale, appelant les autorités à diminuer les coûts et améliorer l'efficacité.
FORCESMILITAIRES
AFRICAINESAUMALI
POURDEGAGER
LESDJIHADISTES
Source : euronews.com via l'AFP en ligne
le 26 juillet 2012



Mali:
des chefs militaires ouest-africains préparent
l’envoi d’une force régionale.



Des chefs d‘état-major d’Afrique de l’Ouest se sont réunis mercredi à Abidjan pour préparer l’envoi d’une force régionale au Mali, afin d’aider l’armée malienne à reconquérir le Nord contrôlé par des islamistes armés, a constaté un journaliste de l’AFP.

Réunis autour du chef de l’armée ivoirienne, le général Soumaïla Bakayoko, des responsables militaires des pays de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) ont examiné les conclusions d’une “mission d‘évaluation technique” associant Cédéao, Union africaine (UA) et ONU, qui s’est rendue du 9 au 18 juillet à Bamako en vue d’arrêter les “modalités pratiques” du déploiement de cette force.

“La situation sécuritaire au Mali se dégrade chaque jour”, a averti lors de la cérémonie d’ouverture le général Bakayoko, dont le pays préside actuellement la Cédéao.

La Micema (Mission de la Cédéao au Mali) servirait à “aider et consolider” les institutions de transition à Bamako et à “soutenir et appuyer” l’armée malienne “en vue du rétablissement de l’intégrité du territoire malien”, a-t-il réaffirmé.

La réunion d’Abidjan, qui devait s’achever mercredi soir, se clôturera finalement jeudi, a-t-on appris de source militaire.

La Cédéao envisage d’envoyer une force régionale de quelque 3.300 hommes au Mali, mais attend un mandat de l’ONU et une demande formelle de Bamako et compte sur une aide extérieure, notamment logistique.

Tombé fin mars aux mains de groupes armés, le nord du Mali est désormais contrôlé par des mouvements islamistes armés alliés à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).

euronews propose à ses lecteurs un service de dépêches fourni par l' Agence France-Presse. euronews n'apporte aucun changement à ce contenu.

mercredi, juillet 25, 2012

LAFRIQUEDUSUD
CREE

LELABEL
MADEINPALESTINE
Source : afriqueexpansion.com via l'AFP en ligne
le 25 juillet 2012



Afrique du Sud:
le projet de label "Made in Palestine"
en préparation (ministre) .



Le ministre sud-africain du Commerce Rob Davies a indiqué mercredi qu'il "préparait une série d'options en vue d'une d'une décision gouvernementale" concernant le projet d'imposer un label sur les produits importés des Territoires palestiniens occupés.

"Le temps de la consultation publique est fini (depuis le 11 juillet, ndlr) et nous allons préparer une série d'options en vue d'une décision du conseil des ministres", a déclaré le ministre en réponse à une question de l'AFP, en marge d'un petit-déjeuner avec des industriels sud-africains. Il n'a pas été en mesure de préciser une date.

"Il est de notre responsabilité de garantir que cette question d'un label approprié soit traitée (...) quelle terminologie sera adoptée, je ne sais pas. Mais c'est une question débattue dans le monde dans plusieurs pays", a-t-il ajouté, citant la Suisse.

Le 14 juillet, son collègue, ministre délégué aux Affaires étrangères, Marius Fransman, a prononcé un long discours sur ce sujet au Cap.

"La diplomatie économique peut être l'une des armes les plus efficaces pour changer la situation palestinienne. Les Palestiniens et leurs soutiens, inspirés par le boycott économique de l'Afrique du Sud du temps de l'apartheid cherchent depuis des années à imiter notre succès dans ce domaine", a-t-il dit.

"Jusqu'à présent, la campagne de boycott a eu un effet économique négligeable mais la voix d'un gouvernement comme le nôtre pourrait donner un coup de pouce symbolique", a-t-il ajouté.

Les premières mesures de boycott économique contre le régime raciste de l'apartheid ont démarré dans les années 1960, doublées à partir de 1968 d'un boycott sportif, culturel et éducatif à l'appel de l'ONU, puis d'un embargo sur les armes en 1977 et d'un blocus économique de 1985 à 1990.

"Notre position politique sur la situation en Palestine est indubitablement marquée par notre propre histoire d'oppression et d'abus des droits de l'homme", a ajouté M. Fransman, citant dans son discours le poète palestinien Mahmoud Darwish, Albert Luthuli --ancien président de l'ANC et prix de Nobel de la paix 1960--, Nelson Mandela et Che Guevara.

Pretoria se propose d'imposer un étiquetage spécifique des produits venant des colonies juives, l'Afrique du Sud ne reconnaissant pas les frontières de 1967 comme celles d'Israël.

L'Afrique du Sud n'appelle pour autant pas au boycott des produits d'Israël, pays avec lequel le pays entretient traditionnellement de bonnes relations.
LELIBANAGRESSE
PARLARMEEASSASSINE
DEBACHARELASSAD
Source : la newsletter d'atlasinfo.fr diffusée
le 25 juillet 2012



Le Liban demande à Damas
d'éviter les incursions



Le Liban a demandé à la Syrie d'éviter les incursions de ses forces en territoire libanais, a déclaré mercredi son ministre des Affaires étrangères, Adnan Mansour.

Depuis le début du soulèvement contre Bachar al Assad, à la mi-mars 2011, plusieurs civils libanais ont péri, y compris des femmes et enfants, lors d'incursions des forces syriennes ou dans des tirs de mortier que Damas a justifiés par la présence de rebelles cherchant refuge par-delà la frontière.

Adnan Mansour, qui ne cache pas son soutien au président Bachar al Assad, a adressé une lettre au gouvernement syrien par les canaux diplomatiques.

Lundi, le président libanais Michel Souleimane a demandé au chef de la diplomatie de protester auprès de Damas contre des perquisitions menées par une trentaine de militaires syriens dans le nord du Liban.

Mais Mansour, qui est membre du parti chiite Amal, a répondu le lendemain sur la chaine du Hezbollah, Al Manar, qu'il souhaitait une enquête au préalable.

"Nous considérons la Syrie comme un Etat frère et cette relation ne sera pas brisée, ni aujourd'hui ni à l'avenir", a déclaré Adnan Mansour.

Amal et le Hezbollah sont des alliés de Damas.
TORTURES
SOUSSILENCE
AUMALI
Source : la newsletter d'atlasinfo.fr diffusée
le 25 juillet 2012



Mali:
les forces à l'origine du coup d'Etat
coupables de torture



Les forces ayant participé au coup d'Etat au Mali seraient responsables de la disparition d'une vingtaine de soldats et les auraient torturés, avance Human Rights Watch dans un rapport rendu public mercredi.

Ces soldats portés disparus sont vraisemblablement morts pendant le coup d'Etat avorté d'avril dernier, selon HRW. Ils ont été vus, pour la dernière fois en pleine nuit, les yeux bandés et les mains attachées. Les détenus auraient été battus, poignardés, brûlés et certains abusés sexuellement.

Le capitaine Amadou Sanogo soutenu par un groupe de soldats a renversé le président démocratiquement élu Amadou Toumani Touré. Ils ont ensuite remis le pouvoir à un gouvernement intérimaire, mais ils exercent encore largement leur emprise sur le pays.

Human Rights Watch appelle le gouvernement malien à enquêter sur ces cas de disparition et de torture.
LIRAN ACCEPTE
LAMINUTEDESILENCE
AUXJODELONDRES

ENMEMOIRE
DESVICTIMESISRAELIENNES
DELATTTENTATDESJODEMUNICH
Source : crif.org en ligne le 25 juillet 2012



L’Iran permet à ses athlètes
de respecter la minute de silence
pour les israéliens,
si elle est acceptée…


Le Chef de la délégation iranienne aux Jeux olympiques, Bahram Afsharzada, a déclaré que son pays allait permettre à ses athlètes de concourir avec des athlètes israéliens à Londres: « Nous serons fidèles au sport ». Il a également déclaré que l’Iran respectera une minute de silence pour les 11 athlètes assassinés à Munich en 1972.

« Mais comme tout le monde sait que cette minute a été refusée à maintes reprises….l’Iran sait très bien que ses sportifs n’auront pas besoin de soutenir leur plus grand ennemi : Israël. »
Pour rappel, il faut savoir que l’Iran a été critiqué de ce qu’un certain nombre de ses athlètes aient refusé de jouer contre des israéliens lors des jeux d’ Athènes en 2004 et de Pékin en 2008. Cette année, l’Iran sort la carte de la « tolérance » et dit qu’elle acceptera que ses athlètes entrent en compétition contre les athlètes israéliens.

Le Chef de la délégation olympique de l’Iran, Bahram Afsharzada a annoncé que si le silence d’une minute pour les personnes assassinées lors du massacre de Munich, est accepté, ses athlètes y participeront aussi .

Mais comme tout le monde sait que cette minute a été refusée à maintes reprises….l’Iran sait très bien que ses sportifs n’auront pas besoin de soutenir leur plus grand ennemi : Israël.

Cette initiative a également reçu le soutien de l’ONU qui invite toutes les parties qui se battent partout dans le monde de faire une trêve pendant les Jeux de Londres « Pendant la pratique du sport aux Jeux olympiques, tous les États devraient être unis », «Pendant les jeux,la solidarité entre tous les pays est très importante. »

Pour rappel : « 40 ans après les attentats de Munich, Israël dit redouter cette fois une initiative de l’Iran et du Hezbollah. Selon le Sunday Times britannique, les services de renseignements israéliens ont demandé le suivi des mouvements des membres de la « force iranienne Al-Qods » dans les capitales européennes.

Il y a deux semaines les médias britanniques rapportaient qu’un terroriste islamiste présumé qui faisait l’objet d’une restriction de mouvements en Grande-Bretagne avait traversé 5 fois le parc olympique de Londres. »
BACHARELASSAD
POUSSEALEXTRÊME
Source : la newsletter de rue89.com
diffusée le 23 juillet 2012



Syrie :
pourquoi Bachar el-Assad
se battra jusqu’au bout


Pierre Haski
Cofondateur


Enjeux nationaux, régionaux, confessionnels : plusieurs conflits se déroulent en un. Une complexité stratégique plus grande qu’en Tunisie, en Egypte ou en Libye.



Les événements de Damas ou Alep, deux métropoles restées largement absentes du soulèvement depuis seize mois, montrent une accélération du conflit en Syrie. Et, en creux, l’échec de l’approche diplomatique, enterrée par le double veto à l’ONU. Même si l’issue de ce conflit n’est pas nécessairement aussi proche qu’il y paraît.

Malgré son arsenal militaire et sa détermination à se maintenir au pouvoir par tous les moyens, le régime d’Assad n’a sans doute plus les moyens de gagner le bras de fer avec ses opposants ; mais ceux-ci, avec leurs divisions et leurs conflits internes, n’ont pas encore fait la preuve de leur capacité à l’emporter, et encore moins à présenter une alternance crédible.

Avec ou sans la chute du régime, l’instabilité pourrait ainsi durer longtemps en Syrie. Certains parlent d’années, avec son cortège de victimes civiles – déjà plus de 15 000 morts – et de populations déplacées – des centaines de milliers de réfugiés dans les pays voisins et déplacés à l’intérieur du pays.

Complexité syrienne
Le régime syrien ne se résume pas au pouvoir d’un homme, d’un clan, ou même d’une caste. Il est le produit d’une longue histoire qui plonge ses racines dans la composition confessionnelle de la Syrie, l’histoire coloniale et en particulier française, et la revanche sociale d’un groupe qui a atteint le sommet en utilisant le canal de l’armée.

Les Alaouites, la communauté dont est issue Bachar el-Assad et qui constitue le cœur du pouvoir syrien, ont longtemps été les mal-aimés de la Syrie. Ne serait-ce que pour des raisons religieuses : issus du chiisme au sein de l’islam, ils étaient considérés aussi bien par les chiites que par les sunnites comme des hérétiques, jusqu’à d’opportunes cautions religieuses très politiques, provenant d’abord du grand mufti de Jérusalem Mohamed Amin al-Husseini, puis de l’imam irano-libanais Moussa Sadr avant sa disparition en Libye en 1978.

Le pouvoir syrien ne s’est évidemment jamais assumé comme alaouite. Il s’est confondu avec le parti pan-arabe Baas, né en 1947 et déconnecté de toute considération religieuse au point d’avoir été loué comme un modèle de laïcité pour le monde arabo-musulman.

Pouvoir alaouite
Mais la réalité en Syrie est la concentration du pouvoir, en particulier militaire et sécuritaire, et de plus en plus économique, autour de la communauté alaouite, même si celle-ci ne constitue que 11 à 12% de la population totale, tandis que les musulmans sunnites en représentent la majorité, au côté des autres groupes minoritaires (chiites, chrétiens, kurdes...).

Vous savez que le climat est à la guerre civile lorsque les citoyens cessent de se référer à leur identité nationale – en l’occurrence syrienne – pour en revenir à leur identité communautaire : alaouite, sunnite ou chrétienne. Ce fut le cas en Yougoslavie avant le début de l’éclatement et de la guerre de 1991 ; c’est aujourd’hui le cas en Syrie, comme le racontent, par exemple, Florence Aubenas à Alep ce lundi, et le New York Times dimanche.

De ce fait, il ne suffit pas de faire sauter un homme ou un clan comme en Tunisie ou en Egypte. Les Alaouites, dans leur grande majorité (il y a de rares exceptions, comme l’écrivaine Samar Yazbek, exilée à Paris), sont aujourd’hui convaincus que s’ils perdent le pouvoir, il y aura des représailles, et qu’ils subiront, en tant que communauté, la vengeance des autres après des décennies d’exactions et de pouvoir despotique.

Les autres minorités – Kurdes, chiites, et surtout chrétiens – partagent peu ou prou ce sentiment, comme l’avait innoportunément exprimé la hiérarchie catholique d’Alep aux premiers temps du soulèvement populaire.

Un mini Etat-alouite ?
Autre signe qui ne trompe pas : le retour progressif de nombreux Alaouites vers leur région d’origine, au port de Tartous (qui abrite une base russe) et dans les montagnes, là où certains fantasment déjà sur la création d’un mini-Etat alaouite comme les Français, dans leur stratégie de diviser-pour-mieux-régner, l’avaient fait au début de leur mandat, dans les années 20.

Ils durent y renoncer en 1936 sous pression de la bourgeoisie sunnite des villes, non sans qu’une pétition de protestation de dignitaires alaouites ne soit envoyée à Léon Blum, alors président du Conseil, notamment signée par... le grand-père de Bachar el-Assad.

Dans une « lettre de Tartous », le site Foreign Policy parle de plusieurs milliers de familles alaouites réinstallées dans cette région en fuyant les zones d’affrontements de Homs et d’ailleurs. Et en Israël, on se prépare officiellement au cas de figure improbable d’un afflux de réfugiés alaouites en cas de chute du régime Assad.

Ce contexte laisse à penser que le régime se battra jusqu’au bout, plutôt que le scénario « soft » d’un départ de Bachar el-Assad et de sa famille à l’étranger, ou d’un coup de force interne au régime dans l’espoir de sauver l’édifice en sacrifiant la tête, comme dans le précédent égyptien.

Une dimension stratégique
Lorsque Ben Ali s’est enfui de Tunis, le 14 janvier 2011, les experts de la région se sont empressés de dire qu’un tel scénario était impossible en Egypte, trop gros morceau par rapport à la modeste Tunisie. Un mois plus tard, Moubarak tombait à son tour.

L’effet domino s’est arrêté là dans la vague révolutionnaire. En Libye, il a fallu l’intervention de l’Otan pour aider les insurgés de Benghazi à faire tomber le pouvoir de Kadhafi après quatre décennies ; à Bahrein, à l’opposé, la coalition d’intérêts régionaux a écrasé la contestation.

Quid de la Syrie ? On ne peut pas évoquer la seule dimension intérieure et sa complexité pour analyser l’avenir du soulèvement populaire.

Jeux d’alliances
La Syrie fait partie d’un tissus complexe d’alliances à l’échelle régionale et internationale qui en fait un enjeu de choix :

•au Moyen-Orient, la Syrie est l’alliée de l’Iran et du Hezbollah libanais ; elle joue un rôle-clé dans la vie de son voisin libanais, pour son plus grand malheur, et dans l’éternel conflit israélo-arabe, en raison de l’occupation du plateau du Golan par l’Etat hébreu depuis 1967 ;
•au niveau international, elle bénéficie toujours de la protection bienveillante de la Chine et surtout de la Russie, deux membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU qui ont mis leur veto la semaine dernière à une résolution inspirée par les Occidentaux.
Pour autant, ceux qui tentent de décrire le conflit actuel comme un affrontement entre l’« impérialisme » occidental et un front « anti-impérialiste » recomposé sont dans l’illusion ou la fiction :

•le pouvoir d’Assad cherche d’abord à perpétuer son contrôle dictatorial du pays ;
•les Russes sont dans l’affirmation de leur puissance renaissante ;
•les puissances du Golfe qui soutiennent l’opposition, mènent, par Syriens interposés, leur éternel conflit avec l’Iran chiite ;
•la Turquie s’affirme comme nouvelle puissance régionale dans l’ancien empire ottoman.
Les Occidentaux, pour leur part, sont totalement engagés dans ce jeu complexe. Ils se sont impliqués à reculons dans le conflit syrien, en raison justement de la situation stratégique différente de ce pays.

Sans oublier, tout de même, que tout infréquentable qu’il soit, le régime baassiste a collaboré avec la CIA pour accueillir les prisonniers jihadistes ou supposés tels (exemple : le Canadien d’origine syrienne Maher Arar) soumis à la torture dans le programme de « rendition » de l’administration Bush, et que Bachar el-Assad trônait sur les Champs-Elysées pas plus tard qu’en 2008.

Etre du « bon côté » ?
Aujourd’hui, ils ont choisi d’appuyer politiquement, et sans doute en sous-main militairement, l’opposition syrienne, malgré ses divisions et ses contradictions, dans l’espoir de se trouver du « bon côté » du manche à l’heure du bilan.

Le paradoxe est que les pays occidentaux se sont trouvés en porte-à-faux en Tunisie et en Egypte, et que lorsqu’ils ont pris l’initiative comme en Libye, ils n’en ont guère récolté les bénéfices.

En Syrie, ils avancent à pas mesurés : pas question, par exemple, de rejouer l’aventure militaire avec BHL, malgré les exhortations de ce dernier restées lettre morte. En revanche, les Occidentaux font le pari de peser sur l’issue désormais jugée inéluctable de ce conflit qui verra la chute d’Assad, afin de contenir l’influence trop grande des islamistes et notamment des jihadistes, tout en sortant la Syrie de l’orbite russe et iranienne.

Ce pari est évidemment hasardeux car, comme le montrent les autres révolutions arabes, nul ne peut en garantir l’issue ni même les rapports de force politiques à l’issue de quatre décennies de glaciation.

L’appel, ce week-end, de Laurent Fabius, à la transformation de l’opposition en un gouvernement provisoire susceptible de remplacer le gouvernement syrien en cas de chute du régime, relève pour l’heure de l’incantation, tant cette opposition est divisée, même si, sur le terrain, c’est l’armée syrienne libre qui a la seule légitimité qui compte, celle des armes.

Il y a quelques jours, la réunion au Caire de la principale composante de l’opposition s’est terminée en pugilat lorsque les représentants kurdes ont réclamé la reconnaissance de leurs droits...

Quoi qu’il en soit, c’est toute l’équation du Moyen-Orient qui sera bouleversée quand (et pas si) Bachar el-Assad tombera. La région entrera dans un monde imprévisible, où tous les repères en place depuis des décennies seront à revoir.

Mais avant que ce « big bang » moyen-oriental ne se produise, Assad ne se rendra pas sans un combat au finish, entraînant son cortège de souffrances et de destructions. Et l’inévitable radicalisation qui va avec
ISRAËL
NOUVELLEDECOUVERTE
Source : la newsletter de Guysen International News
diffusée le 25 juillet 2012



Découverte archéologique
de l'ère cananéenne
à Tel-Hatzor


Sur le site de Tel-Hatzor (Haute Galilée), ont été découvertes 13 grandes jarres en argile de l'ère cananéenne qui dateraient du -18e siècle au -13e siècle, et servaient au stockage de céréales et de liquides. Ces vestiges datant d'il y a 3800 ans, hautes de 1,2 mètre et d'un volume maximal de 500 litres, vont permettre aux archéologues d'en apprendre plus sur la conduite de la dynastie royale dans la ville. Des traces de blé et d'autres céréales, ainsi que d'huile d'olive et de vin, y ont été repérées. Tel-Hatzor fut au temps de la conquête d'Israël par Josué la plus importante ville fortifiée du pays, qui commerçait avec la Babylonie et la Syrie. Les jarres ont été trouvées dans un bâtiment qui faisait partie de la maison royale régnant à Hatzor, et a été également mis à jour lors des fouilles.
LAFFAIREMERAH
CEQUEDIT

LESECRETDEFENSE
Source : parismatch.com en ligne le 19 juillet 2012




EXCLU:
Le dossier secret défense sur Merah décrypté





Delphine Byrka

Parismatch.com



Le dossier secret défense détenu par la DCRI sur Mohamed Merah et transmis à Manuel Valls contient en tout 23 documents. Transmis mardi par le ministre de l’Intérieur à la commission du secret de la Défense nationale qui va pouvoir statuer sur leur éventuelle déclassification, ces documents suffiront-ils vraiment à éclairer la Justice sur les véritables informations que la centrale de renseignements détenait sur le djihadiste?


La lecture de ces documents ne semble pas avoir rassuré le ministre sur les liens troubles entretenus par l’agence française du contre-terrorisme avec cet «islamiste identifié comme dangereux depuis 2010», selon un proche. Dans un langage volontairement elliptique, une source ministérielle souligne un adjectif utilisé plusieurs fois dans ces notes secrètes concernant Merah: «fiable». Si l’on décrypte: le qualificatif «fiable» ne peut être utilisé qu’avec le mot source ou contact, pas avec celui d’islamiste ou de menace… Les notes jusqu’ici transmises par la DCRI aux juges en charge du dossier laissent dubitatives. Dans un procès-verbal de trois pages intitulé «Informations concernant Mohamed Merah» la DCRI le présente d’emblée comme un «individu connu de (leur) direction pour son implication dans l’islamisme radical»: «Mohamed Merah a fréquenté la mouvance radicale par l’entremise de sa sœur Souad et de son frère Abdelkader, tous deux étudiants dans un institut coranique du Caire en Egypte».

23 documents
Dans ce procès verbal rédigé le lendemain de la tuerie de l’école juive de Toulouse un court paragraphe consacré à «Ses liens avec la mouvance islamiste» établit une proximité de Merah avec des djihadistes dont Jean-Michel Clain «leader de la mouvance salafiste radicale toulousaine, interpellé en 2008 pour son implication dans les filières djihadistes à destination d’Irak», son frère Fabien arrêté et condamné «connu pour avoir des liens avec des individus de la bande de Gaza dès 2008, plus particulièrement avec l’armée islamique». Un autre nom du même réseau apparaît, Sabri Essid, djihadiste français interpellé à la frontière entre la Syrie et l’Irak et condamné. Au chapitre «Antécédents judiciaires», et contrairement à ce qu’a affirmé la Légion Etrangère, Mohamed Merah n’a pas décidé de lui-même de renoncer à intégrer ce corps mais «a reçu un avis défavorable à sa candidature». La note devient plus évasive «Sur ses déplacements»: «En juillet 2010 Mohamed Merah se rend à Damas en Syrie où il séjourne plusieurs jours en alternant de brefs séjours en Turquie. De Syrie, il se rend ensuite au Liban en septembre 2010 puis en Israël brièvement. En septembre 2010, il séjourne en Egypte, au Caire chez son frère Abdelkader. De retour en France, il décide de partir pour l’Afghanistan et emprunte un vol le 29/10/2010 Paris CDG-Douchanbe (Tadjikistan)». Puis le récit continue mais au conditionnel. «Après 3 semaines à Douchanbe, il aurait pris un vol pour Kaboul le 13/11/2010.» Il est ensuite relaté son contrôle par la police afghane à Kandahar, mais son passage entre les mains des Américains n'est pas évoqué. Rien non plus sur son périple au Pakistan, une année plus tard.

La DCRI en sait beaucoup plus
Et pourtant… La DCRI en sait beaucoup plus. Par ce qu’on appelle dans le jargon du renseignement pour couvrir ses sources la «coopération inter-services», autrement dit, par la coopération avec la DGSE! Normalement la «coopération inter-services» est interne aux services de police, mais lorsqu’il s’agit d’éléments recueillis à l’étranger, aucun service de police, DCRI comprise, n’a compétence à travailler en dehors du territoire français. Un étrange procès-verbal rédigé par la DCRI a été glissé dans le dossier Merah. Il s’agit d’un compte-rendu succinct de surveillance de Mohamed Merah à l’aéroport de Bruxelles. Cinq lignes: «Il ressort que Mohamed Merah a été contrôlé lors de son passage au poste frontière de l’aéroport de Zaventem (Bruxelles) à son retour du Caire le 18 octobre 2010. De ces éléments, il ressort qu’un individu le suivait sans pour autant donner l’impression qu’ils se connaissaient. Il s’agit du nommé D.B, inconnu de notre documentation.» Officiellement à cette époque, Mohamed Merah n’était pas surveillé par la DCRI. Alors comment se fait-il qu’il ait été attendu à son retour du Caire? Après enquête, cette note n’a pas été alimentée par la police belge. «S’il s’était agi d’un renseignement en provenance d’un service étranger ami, il aurait été notifié sur cette note "coopération police internationale"» explique une source à la DCRI.

Pas de photocopie des passeports
Alors la DGSE? Bizarrement, alors que le dossier Merah contient déjà plus de 1500 procès-verbaux, 15 tomes, il n’y a aucune trace de photocopie du passeport de Mohamed Merah retrouvé lors de la perquisition à son domicile, ni de son passeport algérien. Plus précisément, seule la page avec son identité figure au dossier, mais nullement celles qui, par les tampons d’entrée et sortie des différents pays où il est passé, retraceraient ses périples de djihadiste! Secret défense, le (les) passeport(s) de Merah? Dans la retranscription des négociations entre le négociateur de la DCRI et Mohamed Merah, un échange vient appuyer les interrogations du cabinet du ministre de l’Intérieur sur les possibles informations détenues par la DGSE. Le négociateur DCRI: «Dis moi, tu te rappelles l’entretien quand on s’est vu, on t’avait parlé de tes pérégrinations, on avait un peu suivi ton séjour au Pakistan, et t’avais été repéré, on va dire, assez proche de l’endroit où était mort Ben Laden. Et tu nous as dit "Ouais mais non mais c’est pas vrai du tout" (…) T’as été en pèlerinage là-bas?» Mohamed Merah répond: «J’ai pas dit "non c’est pas vrai", je t’ai dit: j’étais à quelques kilomètres de Abbottabad, de la maison du chef Oussama Ben Laden.» A son retour du Pakistan, donc, la DCRI en savait déjà beaucoup plus qu’elle ne veut bien le dire sur le périple de Merah aux pays des talibans. Qui a pu le localiser à cet endroit aussi sensible? Même si c’est la CIA, elle n’a pu transmettre ces informations qu’à la DGSE. Quand il s’agit d’échange d’informations avec les Américains, la DCRI a un interlocuteur: le FBI. La CIA, elle, s’adresse à la DGSE. La levée du secret défense du dossier Merah sera t-elle demandée aussi au service de renseignements extérieurs français? Rien n’est moins sûr.
AUX AMIS, AUX INTERNAUTES,

A LA COMMUNAUTE MUSULMANE

DE FRANCE ET D'AILLEURS, J'ADRESSE MES VOEUX SINCERES

POUR UN RAMADAN CELEBRER DANS UNE ATMOSPHERE

DE BONHEUR ET DANS UN ESPRIT DE PAIX.

SANTE A TOUS


Bernard Koch
Auteur de DIASPORABLOG

mardi, juillet 24, 2012

RAFLEDUVELD'HIV
DISCOURSDEFRANCOISHOLLANDE
LANCIENCONSEILLER
DENICOLASSARKOZY
NILARESPONSABILITEDEVICHY



VIVE REACTION DU C.R.I.F.


"Le Crif est lui-même scandalisé par les propos de M. Henri Guaino sur le discours du Président de la République au cours de la commémoration de la rafle du Vel d’Hiv. François Hollande a insisté dans son discours, qui reflète la triste vérité historique, sur le fait que le crime a été commis par la France, c’est à dire par le gouvernement au pouvoir de l’époque, mais qu’il l’a été aussi contre la France, c’est-à-dire contre les valeurs qui fondent le contrat républicain. Lui faire le procès d’être proche des notables vichystes « apeurés », correspond à une insultante falsification de ses paroles et à une prétentieuse auto-appropriation du gaullisme, alors que le Président de la République a mis en avant la Résistance, les Justes et l’action du Général de Gaulle. Ces attaques ad hominem sans justification ne grandissent pas leur auteur."



Note de la rédaction de Diasporablog :

Bruno Le Maire, ancien ministre UMP, candidat à la Présidence de son Parti, s'est rangé, ce matin, sur France-Inter, aux côtés d'Henri Guaino dans son opposition au discours de François Hollande, Président de la République, prononcé le 22 juillet 2012 à quelques emplacements du Vel d'Hiv, dénonçant, sans ambiguité le rôle de la France, de toute la France, dans cette collaboration avec l'ennemi qui a ammené le Gouvernement de Vichy sous le commendement du Maréchal Pétain à jeter dans les camps d'extermination nazi, plus de 13 000 juifs.

Des signes qui ne trompent pas et qui montre, on ne peut mieux, le virus extrême-droite qui s'est emparé de l'UMP jusqu'aux dernières élections. Et qui, on le voit, dans cette polémique nauséabonde, perdure jusqu'à cette nouvelle législature.

Plus que jamais, la vigilance reste de mise. Les coups contre les Juifs viennent de là où on les attendaient le moins.


Bernard Koch
LEMAROC
UNNOUVEAU
PRINTEMPSARABE?
Source : algerie1.com via l'AFP en ligne
le 23 juillet 2012


Maroc :

Manifestation à Rabat pour réclamer
des réformes sociales et politiques



Quelque trois mille personnes ont manifesté hier soir dans des quartiers populaires de Rabat, à l’appel du Mouvement du 20 février qui réclame des réformes sociales et politiques.

La manifestation formée surtout de jeunes s’est déroulée dans le calme, après la rupture du jeûne du ramadan. Elle intervient après une accalmie de plusieurs mois, les manifestations ayant quasiment pris fin avec la formation d’un gouvernement islamiste en janvier avec un programme de réformes sociales.

Les militants de ce mouvement contestataire, créé dans la rue le 20 février 2011 dans le sillage des révoltes arabes, ont lancé des slogans en faveur d’une plus grande justice sociale, et contre la corruption, notamment.

Première manifestation d’envergure depuis plusieurs mois Il s’agit de la première manifestation d’envergure dans la capitale depuis plusieurs mois, le mouvement ayant beaucoup perdu de sa vigueur bien que certaines de ses revendications restent d’actualité sur fond de grogne sociale.

Le M20, comme on appelle le mouvement, a contribué au Printemps arabe « version
marocaine », qui a culminé avec l’adoption d’une nouvelle Constitution en juillet, suivie de législatives anticipées qui ont donné en novembre la victoire aux islamistes modérés du parti Justice et Développement (PJD), actuellement au pouvoir
LEHEZBOLLAHASSOCIE
ALABOUCHERIESYRIENNE
DEBACHARELASSAD
RÊVEDUNEGUERRE

CONTREISRAËL
Source : mediapart.fr en ligne le 24 juillet 2012


Le Hezbollah veut exporter
la guerre en Israël



Par
Rachid Barbouch



Dans une interview accordée au quotidien kowéitien "Arra'y", des responsables du Hezbollah ont clairement laissé entendre qu'ils resteront solidaires avec le régime de Bachar Al-Assad, et ce, en toute circonstance.

Ces responsables proches du cercle de prise de décisions du Hezbollah ont mis en garde l'OTAN et Israël contre toute intervention armée en Syrie en reprenant les arguments de leur chef spirituel Hassan Nasrallah

"Dans le cas d'une agression extérieure visant la Syrie, il est bien évident que nous ne garderons pas les mains croisées. Israël dit vouloir intervenir dans le conflit. Que ce soit bien clair que dans ce cas là nous prendrons nous aussi part à cette guerre".

Dans ses derniers discours, le cheikh Hassan Nasrallah a réitéré son soutien à Bachar Al Assad. Il a notammant reconnu que le Hezbollah combattait en 2006 avec des armes syriennes.

Ces déclarations des responsables du Hezbollah font suite au discours du premier ministre israélien Netanyahou faisant savoir qu'il ne laissera pas les armes chimiques syriennes tomber entre les mains d'extrémistes religieux en cas de chute du régime de Bachar Al Assad.



Egalement sur mon blog du Monde:

http://ahfir.blog.lemonde.fr/2012/07/24/le-hezbollah-veut-exporter-la-guerre-en-israel/