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Source : lessentiel.lu en ligne
le 26 décembre 2011
Carla Bruni écrit à la mère
de la victime
L'épouse du président français a assuré à la famille de la jeune Israélienne tuée à Tel-Aviv par deux Français dans un accident de la route que la France faisait le «maximum» pour que justice soit faite.
«Les autorités judiciaires françaises font le maximum pour que les investigations demandées soient effectuées sans délai, en liaison constante avec les autorités israéliennes», écrit la première dame de France dans une lettre adressée à Kate Zeitouni, mère de la victime. Dans cette lettre, remise lundi soir à la famille de Lee Zeitouni par un diplomate de l'ambassade de France à Tel-Aviv, Mme Bruni-Sarkozy écrit en outre s'associer à «la douleur intolérable» que représente la disparition de Lee.
Fin septembre, Lee Zeitouni, une Israélienne de 25 ans, était morte à Tel Aviv après avoir été heurtée par un 4X4 dont les deux occupants avaient précipitamment regagné la France le jour même, suscitant une vive émotion en Israël. «Les autorités françaises et israéliennes coopèrent activement pour que les procédures en cours se déroulent rapidement et efficacement afin de permettre que justice soit rendue à la mémoire de Lee et de votre famille, si durement éprouvée», assure Mme Bruni-Sarkozy dans sa lettre.
Ils ne veulent pas
«croupir 20 ans en prison"
«Sachant la très grande et très légitime émotion que ce drame suscite, le Président de la République avait déjà donné les instructions les plus claires pour que les procédures d'entraide judiciaire en France soient mises en œuvre de façon prioritaire et que toute requête israélienne soit traitée avec la plus grande célérité», souligne par ailleurs un communiqué de l'ambassade publié à la suite de la rencontre du diplomate français avec la famille Zeitouni.
Saisie par la justice israélienne, une juge d'instruction du parquet de Créteil a renvoyé le compte rendu de ses investigations à l'État hébreu au début du mois de décembre. Mais les deux suspects refusent de comparaître, excipant du fait que la France n'est pas compétente pour juger des faits commis à l'étranger. Peu après l'incident, un des suspects interrogé par téléphone par une chaîne de télévision israélienne avait affirmé «regretter» son acte mais avait ajouté qu'il n'avait pas l'intention de revenir en Israël pour «croupir 20 ans en prison».
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