LENTREPRISE
ISRAELIENNE
AGREXCOFERME
SESPORTES
Source : israelvalley.com en ligne
le 31 août 2011
LES BOYCOTTEURS
DE L"ETAT JUIF JUBILENT :
AGREXCO EST EN LIQUIDATION
JUDICIAIRE ET LE SITE DE SETE
SEMBLE ELIMINE POUR L'AVENIR.
Econostrum : "La société israélienne d’importation de fruits et légumes Agrexco a été placée en liquidation judiciaire mardi 30 août 2011 par un tribunal de Tel Aviv. Elle est détenue à 30% par l’Etat d’Israël, 57% par Plant Production and Marketing Board (contrôlé par le ministère des finances et le ministère de l’agriculture) et à 11% par Tnuvo Food Industries Ltd.
Cette liquidation devrait se ressentir en France et notamment au port de Sète qui avait investi 6 M€ dans un nouveau terminal fruitier avec un hangar réfrigéré de 15 000 m² inauguré durant l’été 2011. Agrexco devait y représenter 40% du trafic et aussi créer quelques deux cent emplois. Après avoir quitté le port de Marseille en 2009, Agrexco était implantée à Savone Vado (Italie) en attendant d’entrer dans les nouvelles installations.
Interrogé en mai 2011 par econostrum.info, Ouzis Kouris, gérant d’Agrexco France, avait indiqué “nous sommes à Sète pour une dizaine d’années”. Selon certaines sources, un repreneur, le groupe israélien Kislev Forwarding and Custom Clearance Ltd. aurait été intéressé par les actifs d’Agrexco mais n’envisageait pas d’intégrer Sète dans sa stratégie. Le projet de Kislev incluait le licenciement de 80% des employés d’Agrexco et un recentrage des activités européennes en Grande-Bretagne. Mais, la cour de Tel Aviv a bien noté l’absence d’offre de reprise.
Une campagne européenne de boycott d’Agrexco, répondant à l’appel du Comité national palestinien de boycott (BNC), avait mis à mal les importations du leader israélien. En France, la Coalition contre Agrexco reprochait notamment à l’entreprise “un type de développement qui se fait au mépris des impératifs écologiques (acheminement des marchandises à des milliers de km à des coûts énergétiques et de pollution élevés)” et le fait qu’une partie des produits exportés provenait des territoires palestiniens occupés par Israël. Agrexco exportait, principalement sous la marque Carmel, des fruits, des légumes et des fleurs."
Source: http://www.econostrum.info/L-israelienne-Agrexco-est-placee-en-liquidation-judiciaire_a6600.html
Revue de presse, panorama du monde, blog de lutte contre l'antisémitisme et le racisme, ouvert au dialogue, l'autre image d'Israël, la culture juive à la rencontre de toutes les cultures, le monde juif tel qu'il est.
"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS
Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha
Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam
CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
mercredi, août 31, 2011
mardi, août 30, 2011
LAHIGH-TECH
ISRAELIENNE
PARTENAIRE
DELETEISRAELIEN
Source : 01net.com en ligne
le 30 août 2011
A Tel-Aviv, la high-tech
au service des Indignés
A quelques jours d'une manifestation où plus d'un million d'Israéliens sont attendus, nous sommes allés dans un campement d'Indignés pour y découvrir une véritable pépinière d'idées et de high-tech. Reportage.
Nathalie Hamou
C'est devenu leur activité du week-end... Depuis plusieurs semaines, développeurs, créateurs de sites Web et autres experts des médias sociaux se réunissent sur le toit d'un immeuble de sept étages, situé en bordure de Tel-Aviv en Israël. Dans les locaux du « Hub », un concept de bureaux open space pour entrepreneurs sociaux, des dizaines d'entre eux ont pris part à un Hackaton (marathon technologique) étalé sur deux jours, avant de se retrouver pour une table ronde dédiée aux nouveaux médias sociaux alternatifs. Leur rêve : créer un « Huffington Post israélien » de type participatif. Leur objectif à plus court terme : répondre aux besoins des initiateurs de la « révolution des tentes ». Né le long du boulevard Rothschild, une voie cossue de Tel-Aviv, ce mouvement israélien des Indignés (lire l'encadré), suscite une large mobilisation dans les rangs de la high-tech.
Un mouvement social né d'un réseau social
« Deux jours après l'apparition des premières tentes à Tel-Aviv, nous avons lancé le site d'informations J14.org.il. Son URL évoque le 14 juillet, date à laquelle le public israélien a commencé à descendre dans les rues, qui se trouve être une référence dans l'histoire mondiale », rappelle son concepteur, Amnon Dafni, fondateur de la start-up OSC et désormais responsable de la stratégie médias de la révolte sociale. « Depuis, les propositions de sites, de plates-formes et autres outils technologiques n'ont cessé d'affluer », se félicite ce web-activiste, adepte de la médecine chinoise et des arts martiaux.
Comme en Egypte, le mouvement des Indignés de Tel-Aviv a pris son envol grâce à Facebook. Des centaines d'internautes ont réagi au post de Daphni Leef, une jeune vidéaste de 25 ans, mise à la porte par son propriétaire et venue la première planter sa tente boulevard Rothschild en signe de protestation. Mais la comparaison avec les événements de la place Tahir au Caire s'arrête là.
Organiser la communication
« Israël est un régime démocratique : les protestataires n'ont été confrontés ni aux tanks, ni au blocus d'Internet ! Ce qui n'a pas empêché les gens de la high-tech de faire preuve d'inventivité », sourit Maayan Alexander, consultante Internet à Jérusalem, qui officie pour l'ONG Shatil. « Au début les programmeurs ont suivi cette “révolution” avec un certain scepticisme, raconte pour sa part Asaf Levi, créateur du site Web de rencontres Qmee, mais très vite ils ont créé des groupes de discussion sur Google ou Twitter sous le hashtag #J14hackers ».
Parmi les projets nés de ce brainstorming géant : un système de syndication de contenus, concocté par le Web manager Asaf Pri Hadash, permettant de diffuser instantanément la même information sur Facebook, sur Twitter, sous forme d'e-mail ou de SMS ; un agrégateur de blogs RSS ou encore une plate-forme de SMS gratuits. « L'idée est de permettre aux occupants des dizaines de villages de tentes disséminés dans le pays, d'envoyer des messages d'alertes sur la Toile à partir d'un téléphone mobile basique, pour gérer leurs besoins logistiques ou pour battre le rappel en cas d'ordre d'évacuation », explique Guy Sheffer, à l'origine du projet. Cet étudiant en licence de physique de l'université hébraïque de Jérusalem est un « indigné » de la première heure. « Simplement, je préfère écrire des codes, confie-t-il, plutôt que défiler avec un mégaphone ».
Des dizaines d'outils au service d'une cause
Pour l'heure, les initiatives émanant de la high-tech visent pour l'essentiel à adapter des technologies existantes. « Nous cherchons à développer des outils de nature à enraciner notre lutte, y compris une fois que les campements de tentes seront évacués », résume Amnon Dafni.
Fer de lance de cette force de proposition : la communauté israélienne de l'open source, qui compte plusieurs centaines de membres actifs et des milliers de
« suiveurs ». « De par notre idéologie tournée vers la transparence et les modèles participatifs, il était logique que l'on apporte notre contribution à ce mouvement de fond », résume Doron Ofek. Fondateur de l'association israélienne de l'open source Hamakor, ce quadra se déclare impressionné par l'essor actuel « des plates-formes de démocratie directe » dans son pays.
Signe des temps, le gouvernement israélien vient de se payer les services de la jeune pousse Linnovate pour créer son agora digitale (hidavrut.org.il), basée sur Drupal. Le 8 août, cette même start-up spécialisée dans les plates-formes open source, avait offert le site de débat citoyen (1) ohel.org.il, à la révolution sociale...
(1) l'URL est devenue depuis http://ohel.j14.org.il. En hébreu, le mot ohel signifie tente.
ISRAELIENNE
PARTENAIRE
DELETEISRAELIEN
Source : 01net.com en ligne
le 30 août 2011
A Tel-Aviv, la high-tech
au service des Indignés
A quelques jours d'une manifestation où plus d'un million d'Israéliens sont attendus, nous sommes allés dans un campement d'Indignés pour y découvrir une véritable pépinière d'idées et de high-tech. Reportage.
Nathalie Hamou
C'est devenu leur activité du week-end... Depuis plusieurs semaines, développeurs, créateurs de sites Web et autres experts des médias sociaux se réunissent sur le toit d'un immeuble de sept étages, situé en bordure de Tel-Aviv en Israël. Dans les locaux du « Hub », un concept de bureaux open space pour entrepreneurs sociaux, des dizaines d'entre eux ont pris part à un Hackaton (marathon technologique) étalé sur deux jours, avant de se retrouver pour une table ronde dédiée aux nouveaux médias sociaux alternatifs. Leur rêve : créer un « Huffington Post israélien » de type participatif. Leur objectif à plus court terme : répondre aux besoins des initiateurs de la « révolution des tentes ». Né le long du boulevard Rothschild, une voie cossue de Tel-Aviv, ce mouvement israélien des Indignés (lire l'encadré), suscite une large mobilisation dans les rangs de la high-tech.
Un mouvement social né d'un réseau social
« Deux jours après l'apparition des premières tentes à Tel-Aviv, nous avons lancé le site d'informations J14.org.il. Son URL évoque le 14 juillet, date à laquelle le public israélien a commencé à descendre dans les rues, qui se trouve être une référence dans l'histoire mondiale », rappelle son concepteur, Amnon Dafni, fondateur de la start-up OSC et désormais responsable de la stratégie médias de la révolte sociale. « Depuis, les propositions de sites, de plates-formes et autres outils technologiques n'ont cessé d'affluer », se félicite ce web-activiste, adepte de la médecine chinoise et des arts martiaux.
Comme en Egypte, le mouvement des Indignés de Tel-Aviv a pris son envol grâce à Facebook. Des centaines d'internautes ont réagi au post de Daphni Leef, une jeune vidéaste de 25 ans, mise à la porte par son propriétaire et venue la première planter sa tente boulevard Rothschild en signe de protestation. Mais la comparaison avec les événements de la place Tahir au Caire s'arrête là.
Organiser la communication
« Israël est un régime démocratique : les protestataires n'ont été confrontés ni aux tanks, ni au blocus d'Internet ! Ce qui n'a pas empêché les gens de la high-tech de faire preuve d'inventivité », sourit Maayan Alexander, consultante Internet à Jérusalem, qui officie pour l'ONG Shatil. « Au début les programmeurs ont suivi cette “révolution” avec un certain scepticisme, raconte pour sa part Asaf Levi, créateur du site Web de rencontres Qmee, mais très vite ils ont créé des groupes de discussion sur Google ou Twitter sous le hashtag #J14hackers ».
Parmi les projets nés de ce brainstorming géant : un système de syndication de contenus, concocté par le Web manager Asaf Pri Hadash, permettant de diffuser instantanément la même information sur Facebook, sur Twitter, sous forme d'e-mail ou de SMS ; un agrégateur de blogs RSS ou encore une plate-forme de SMS gratuits. « L'idée est de permettre aux occupants des dizaines de villages de tentes disséminés dans le pays, d'envoyer des messages d'alertes sur la Toile à partir d'un téléphone mobile basique, pour gérer leurs besoins logistiques ou pour battre le rappel en cas d'ordre d'évacuation », explique Guy Sheffer, à l'origine du projet. Cet étudiant en licence de physique de l'université hébraïque de Jérusalem est un « indigné » de la première heure. « Simplement, je préfère écrire des codes, confie-t-il, plutôt que défiler avec un mégaphone ».
Des dizaines d'outils au service d'une cause
Pour l'heure, les initiatives émanant de la high-tech visent pour l'essentiel à adapter des technologies existantes. « Nous cherchons à développer des outils de nature à enraciner notre lutte, y compris une fois que les campements de tentes seront évacués », résume Amnon Dafni.
Fer de lance de cette force de proposition : la communauté israélienne de l'open source, qui compte plusieurs centaines de membres actifs et des milliers de
« suiveurs ». « De par notre idéologie tournée vers la transparence et les modèles participatifs, il était logique que l'on apporte notre contribution à ce mouvement de fond », résume Doron Ofek. Fondateur de l'association israélienne de l'open source Hamakor, ce quadra se déclare impressionné par l'essor actuel « des plates-formes de démocratie directe » dans son pays.
Signe des temps, le gouvernement israélien vient de se payer les services de la jeune pousse Linnovate pour créer son agora digitale (hidavrut.org.il), basée sur Drupal. Le 8 août, cette même start-up spécialisée dans les plates-formes open source, avait offert le site de débat citoyen (1) ohel.org.il, à la révolution sociale...
(1) l'URL est devenue depuis http://ohel.j14.org.il. En hébreu, le mot ohel signifie tente.
ENISRAËL,
DESCOLONS
PRÊTS
AUCOMBAT
Source : lexpress.fr via l'Agence Reuters
en ligne le 30 août 2011
L'armée israélienne
entraîne les colons
avant le vote à l'Onu
L'armée israélienne entraîne des unités de sécurité de colons juifs en vue d'une possible flambée de violences liée à la reconnaissance d'un Etat de Palestine à l'Onu mi-septembre, rapportent mardi des colons et des responsables militaires.
Israël a depuis longtemps autorisé des colons à être armés en Cisjordanie, mais les exercices militaires se multiplient parmi les dizaines de groupes de défense civils à l'approche du vote lors de l'Assemblée générale des Nations unies.
Dans un communiqué, Tsahal dit "consacrer de grands efforts à l'entraînement de forces locales, en les préparant à faire face à toutes les éventualités".
Les responsables des colonies juives ont démenti une information parue dans le journal Haaretz selon laquelle des colons seraient équipés de matériel contre les manifestants, comme des gaz lacrymogènes.
Le responsable du conseil des colons Yesha, Danny Dayan, a estimé que ces préparatifs "n'avaient rien d'extraordinaire", soulignant que la plupart des colons avaient fait leur service militaire. "Ils sont sous la responsabilité de l'armée israélienne, ce ne sont pas des milices privées", dit-il.
Défenseurs des droits de l'homme et Palestiniens jugent au contraire que les colons utilisent leurs armes pour attaquer les Palestiniens et qu'Israël a fait preuve de laxisme lors des enquêtes après des violences.
Les Palestiniens, qui disposent d'un statut d'"observateur" à l'Onu, souhaitent obtenir la reconnaissance d'un Etat de Palestine, ce qui semble exclu puisque les Etats-Unis disent qu'ils y opposeront leur veto. Ils pourraient en revanche passer du statut de pays observateur à celui d'Etat non membre.
DESCOLONS
PRÊTS
AUCOMBAT
Source : lexpress.fr via l'Agence Reuters
en ligne le 30 août 2011
L'armée israélienne
entraîne les colons
avant le vote à l'Onu
L'armée israélienne entraîne des unités de sécurité de colons juifs en vue d'une possible flambée de violences liée à la reconnaissance d'un Etat de Palestine à l'Onu mi-septembre, rapportent mardi des colons et des responsables militaires.
Israël a depuis longtemps autorisé des colons à être armés en Cisjordanie, mais les exercices militaires se multiplient parmi les dizaines de groupes de défense civils à l'approche du vote lors de l'Assemblée générale des Nations unies.
Dans un communiqué, Tsahal dit "consacrer de grands efforts à l'entraînement de forces locales, en les préparant à faire face à toutes les éventualités".
Les responsables des colonies juives ont démenti une information parue dans le journal Haaretz selon laquelle des colons seraient équipés de matériel contre les manifestants, comme des gaz lacrymogènes.
Le responsable du conseil des colons Yesha, Danny Dayan, a estimé que ces préparatifs "n'avaient rien d'extraordinaire", soulignant que la plupart des colons avaient fait leur service militaire. "Ils sont sous la responsabilité de l'armée israélienne, ce ne sont pas des milices privées", dit-il.
Défenseurs des droits de l'homme et Palestiniens jugent au contraire que les colons utilisent leurs armes pour attaquer les Palestiniens et qu'Israël a fait preuve de laxisme lors des enquêtes après des violences.
Les Palestiniens, qui disposent d'un statut d'"observateur" à l'Onu, souhaitent obtenir la reconnaissance d'un Etat de Palestine, ce qui semble exclu puisque les Etats-Unis disent qu'ils y opposeront leur veto. Ils pourraient en revanche passer du statut de pays observateur à celui d'Etat non membre.
ANTISEMITISME
SUR UNE RADIO NATIONALE
Les préjugés ont, en France, la peau dure et de nombreux français n'ont pas fini de s'en débarasser. Avec une extrême-droite fort active dans son combat vénimeux contre une France multicolor, multi-culturellle, le racisme et l'antisémitisme ont, hélas, de beaux jours à vivre devant eux.
Sud Radio, devenu depuis cette rentrée, radio nationale, vient dans sa matinale, aujourd'hui, présentée par l'inénarrable, Robert Ménard, ancien Patron de Reporters sans frontière, de le démontrer. Grandeur nature. Un angle de l'affaire DSK qui avait été, volontairement écarté dans les médias jusqu'à son dénouement récent, refait surface. "Autour de DSK existe-t-il un lobby juif"? Et voilà que le lobby juif réapparait et donne du grain à moudre aux antisémites de tous poils et de toute envergure. Comme s'il fallait chargé, un peu plus la barque de cette affaire, déjà bien assez lourde. L'ancien Patron du FMI l'avait craint lui-même dans sa confidence à la presse comme futur prétendant à l'Elysée .
SUD RADIO doit être sévèrement sanctionné, par l'autorité de régulation de l'audi-visuel, mais pas seulement. Nous devons protester notre indignation contre ses nouvelles méthodes, qui permettent impunément, à des journalistes, de s'en prendre à telle ou telle autre communauté. Ici, la cible ce sont les Juifs.
L'esprit pétainiste est-il revenu dans certains médias? SUD RADIO à travers ces journalistes est-ils entrain de lancer une chasse aux sorcières, une curée contre une cathégorie de Français.
Protestons avec vigueur, et sans ménagement, contre cette diffusion, à l'échelle nationale, de la haine dans le réseau audio-visuel.
Demandons le licenciement d'Eric Muzet en cette circonstance, et de tout autre journaliste qui voudrait reprendre cet INADMISSIBLE créneau. Ici ou ailleurs.
COMBATTONS L'ANTISEMITISME ET LE RACISME DE TOUTES NOS FORCES, PAR TOUS LES MOYENS LEGAUX. CES MAUX QUI RONGENT LE PAYS.
ILS NE DOIVENT, SOUS AUCUN PRETEXTE, CIRCULER SUR LES CIRCUITS MEDIATIQUES.
STOP A L'ANTISEMITISMR ET AU RACISME! Y COMPRIS DANS LES MEDIAS QUI FONT ET FORMENT L'OPINION
Bernard Koch
Diasporablog
SUR UNE RADIO NATIONALE
Les préjugés ont, en France, la peau dure et de nombreux français n'ont pas fini de s'en débarasser. Avec une extrême-droite fort active dans son combat vénimeux contre une France multicolor, multi-culturellle, le racisme et l'antisémitisme ont, hélas, de beaux jours à vivre devant eux.
Sud Radio, devenu depuis cette rentrée, radio nationale, vient dans sa matinale, aujourd'hui, présentée par l'inénarrable, Robert Ménard, ancien Patron de Reporters sans frontière, de le démontrer. Grandeur nature. Un angle de l'affaire DSK qui avait été, volontairement écarté dans les médias jusqu'à son dénouement récent, refait surface. "Autour de DSK existe-t-il un lobby juif"? Et voilà que le lobby juif réapparait et donne du grain à moudre aux antisémites de tous poils et de toute envergure. Comme s'il fallait chargé, un peu plus la barque de cette affaire, déjà bien assez lourde. L'ancien Patron du FMI l'avait craint lui-même dans sa confidence à la presse comme futur prétendant à l'Elysée .
SUD RADIO doit être sévèrement sanctionné, par l'autorité de régulation de l'audi-visuel, mais pas seulement. Nous devons protester notre indignation contre ses nouvelles méthodes, qui permettent impunément, à des journalistes, de s'en prendre à telle ou telle autre communauté. Ici, la cible ce sont les Juifs.
L'esprit pétainiste est-il revenu dans certains médias? SUD RADIO à travers ces journalistes est-ils entrain de lancer une chasse aux sorcières, une curée contre une cathégorie de Français.
Protestons avec vigueur, et sans ménagement, contre cette diffusion, à l'échelle nationale, de la haine dans le réseau audio-visuel.
Demandons le licenciement d'Eric Muzet en cette circonstance, et de tout autre journaliste qui voudrait reprendre cet INADMISSIBLE créneau. Ici ou ailleurs.
COMBATTONS L'ANTISEMITISME ET LE RACISME DE TOUTES NOS FORCES, PAR TOUS LES MOYENS LEGAUX. CES MAUX QUI RONGENT LE PAYS.
ILS NE DOIVENT, SOUS AUCUN PRETEXTE, CIRCULER SUR LES CIRCUITS MEDIATIQUES.
STOP A L'ANTISEMITISMR ET AU RACISME! Y COMPRIS DANS LES MEDIAS QUI FONT ET FORMENT L'OPINION
Bernard Koch
Diasporablog
ROBERTMENARD
SUD-RADIO
ETLANTISEMITISME
Source : lexpress.fr en ligne
le 30 août 2011
L'ancienne figure du FMI
fait l'objet d'un débat
pour le moins déplacé
sur l'antenne de Sud Radio.
La station a cru bon organiser un débat sur cette question. Tollé et colère du CSA.
"DSK est-il soutenu par un lobby juif?" Cette question a été soulevée sur l'antenne de Sud-Radio par l'un de ses journalistes qui a cru bon en faire un débat. L'idée de ce sujet lui est venue d'un auditeur, pris malencontreusement à l'antenne, et qui s'en est pris en ce sens à l'ancien directeur du FMI. La situation a suscité un véritable malaise au sein de la station, comme l'indique Le Monde.fr. Et l'inquiétude du CSA, qui s'étonne d'un tel dérapage en direct.
Tout a démarré le matin même. Robert Ménard, qui anime la matinale de Sud-Radio, aurait interrompu brutalement un auditeur qui portait des accusations à connotation antisémite à l'encontre de DSK. L'incident n'en est pas resté là, puisque dans l'après-midi du 22 août, Eric Mazet, qui anime "Liberté de parole", décide de rebondir sur les propos de cet auditeur et...d'en faire un débat: "DSK est-il soutenu par les juifs? venez vous exprimer dès maintenant"! Malaise et stupéfaction dans le studio où Michel Cardoze, journaliste émérite et ancien collaborateur de L'Humanité, confie en direct son écoeurement et sa colère.
L'incident n'a pas échappé aux membres du CSA qui devraient rappeler à l'ordre la station, au terme de ce bien piteux épisode.
SUD-RADIO
ETLANTISEMITISME
Source : lexpress.fr en ligne
le 30 août 2011
L'ancienne figure du FMI
fait l'objet d'un débat
pour le moins déplacé
sur l'antenne de Sud Radio.
La station a cru bon organiser un débat sur cette question. Tollé et colère du CSA.
"DSK est-il soutenu par un lobby juif?" Cette question a été soulevée sur l'antenne de Sud-Radio par l'un de ses journalistes qui a cru bon en faire un débat. L'idée de ce sujet lui est venue d'un auditeur, pris malencontreusement à l'antenne, et qui s'en est pris en ce sens à l'ancien directeur du FMI. La situation a suscité un véritable malaise au sein de la station, comme l'indique Le Monde.fr. Et l'inquiétude du CSA, qui s'étonne d'un tel dérapage en direct.
Tout a démarré le matin même. Robert Ménard, qui anime la matinale de Sud-Radio, aurait interrompu brutalement un auditeur qui portait des accusations à connotation antisémite à l'encontre de DSK. L'incident n'en est pas resté là, puisque dans l'après-midi du 22 août, Eric Mazet, qui anime "Liberté de parole", décide de rebondir sur les propos de cet auditeur et...d'en faire un débat: "DSK est-il soutenu par les juifs? venez vous exprimer dès maintenant"! Malaise et stupéfaction dans le studio où Michel Cardoze, journaliste émérite et ancien collaborateur de L'Humanité, confie en direct son écoeurement et sa colère.
L'incident n'a pas échappé aux membres du CSA qui devraient rappeler à l'ordre la station, au terme de ce bien piteux épisode.
FRANCAIS
ETANGLAIS
SURLESTRACES
DEKHADAFI
Source : ladepeche.fr en ligne
le 30 août 2011
Des commandos français
et anglais traquent Kadhafi
La chasse au colonel Kadhafi
se poursuit depuis une semaine
Après quarante-deux ans de règne, Kadhafi a fui face à l'avancée des rebelles dans Tripoli, il y a une semaine maintenant. Malgré la mise à prix de sa tête par de riches industriels libyens, il reste pour le moment introuvable.
Selon Kader Abderrahim, spécialiste du Maghreb et de l'islamisme à l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), Kadhafi avait « acheté des clientèles auprès des tribus, et éliminé ses opposants. Aujourd'hui qu'il n'a plus le pouvoir ni les moyens financiers, ça va être très dur pour lui de tenir ».
Jusqu'à présent, les troupes occidentales restaient cantonnées aux frappes aériennes ou au soutien technique et stratégique. C'est notamment le cas d'une trentaine de militaires français du commandement des opérations spéciales (COS), présents près de Benghazi. « C'est principalement ce qui a permis la progression éclair des troupes rebelles entre le 17 et le 20 août », explique Kader Abderrahim.
Des troupes spéciales de la DGSE
et des SAS anglais
Mais les spécialistes du renseignement s'accordent aujourd'hui sur la présence, au sol, de troupes spéciales dans la traque au colonel Kadhafi. Le quotidien anglais The Telegraph affirme que les commandos SAS seraient à la tête de ces troupes, déguisés en hommes du CNT libyen.
Le spécialiste français des questions militaires Jean-Dominique Merchet, va dans le même sens, lorsqu'il évoque les hommes du Service action de la DGSE : « Les unités militaires qui la composent (environ 800 hommes) sont les seules à avoir le droit d'agir de manière entièrement clandestine. Cela signifie, par exemple, ne pas porter l'uniforme de l'armée française. Les hommes du SA sont-ils à l'action en Libye ? C'est hautement probable, et s'ils n'y étaient pas, on se demanderait alors vraiment pourquoi entretenir de telles unités... » Mais leur activité, couverte par une très stricte application du secret-défense, n'est jamais évoquée officiellement.
Des drones pour la prise de Tripoli
« Tant que les rebelles du CNT ne contrôleront pas la totalité du pays, ils n'attraperont pas Kadhafi », assure pour sa part Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R). Car satellites et drones ne suffiront pas à fouiller toute l'étendue du désert libyen.
Les petits avions sans pilote ont tout de même été d'une aide capitale pour la prise de Tripoli, permettant aux rebelles de ne pas avancer aveuglément, et aux avions de l'Otan d'opérer des frappes plus précises. Ainsi, seules 39 frappes aériennes ont eu lieu samedi 21 août, week-end où tout a basculé, contre une soixantaine par jour depuis mars.
ETANGLAIS
SURLESTRACES
DEKHADAFI
Source : ladepeche.fr en ligne
le 30 août 2011
Des commandos français
et anglais traquent Kadhafi
La chasse au colonel Kadhafi
se poursuit depuis une semaine
Après quarante-deux ans de règne, Kadhafi a fui face à l'avancée des rebelles dans Tripoli, il y a une semaine maintenant. Malgré la mise à prix de sa tête par de riches industriels libyens, il reste pour le moment introuvable.
Selon Kader Abderrahim, spécialiste du Maghreb et de l'islamisme à l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), Kadhafi avait « acheté des clientèles auprès des tribus, et éliminé ses opposants. Aujourd'hui qu'il n'a plus le pouvoir ni les moyens financiers, ça va être très dur pour lui de tenir ».
Jusqu'à présent, les troupes occidentales restaient cantonnées aux frappes aériennes ou au soutien technique et stratégique. C'est notamment le cas d'une trentaine de militaires français du commandement des opérations spéciales (COS), présents près de Benghazi. « C'est principalement ce qui a permis la progression éclair des troupes rebelles entre le 17 et le 20 août », explique Kader Abderrahim.
Des troupes spéciales de la DGSE
et des SAS anglais
Mais les spécialistes du renseignement s'accordent aujourd'hui sur la présence, au sol, de troupes spéciales dans la traque au colonel Kadhafi. Le quotidien anglais The Telegraph affirme que les commandos SAS seraient à la tête de ces troupes, déguisés en hommes du CNT libyen.
Le spécialiste français des questions militaires Jean-Dominique Merchet, va dans le même sens, lorsqu'il évoque les hommes du Service action de la DGSE : « Les unités militaires qui la composent (environ 800 hommes) sont les seules à avoir le droit d'agir de manière entièrement clandestine. Cela signifie, par exemple, ne pas porter l'uniforme de l'armée française. Les hommes du SA sont-ils à l'action en Libye ? C'est hautement probable, et s'ils n'y étaient pas, on se demanderait alors vraiment pourquoi entretenir de telles unités... » Mais leur activité, couverte par une très stricte application du secret-défense, n'est jamais évoquée officiellement.
Des drones pour la prise de Tripoli
« Tant que les rebelles du CNT ne contrôleront pas la totalité du pays, ils n'attraperont pas Kadhafi », assure pour sa part Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R). Car satellites et drones ne suffiront pas à fouiller toute l'étendue du désert libyen.
Les petits avions sans pilote ont tout de même été d'une aide capitale pour la prise de Tripoli, permettant aux rebelles de ne pas avancer aveuglément, et aux avions de l'Otan d'opérer des frappes plus précises. Ainsi, seules 39 frappes aériennes ont eu lieu samedi 21 août, week-end où tout a basculé, contre une soixantaine par jour depuis mars.
LALGERIEPAYSREFUGE
DELAFAMILLEKHADAFI
Source : leparisien.fr en ligne
le 30 août 2011 à 0h 22
sur Diasporablog à 1h
Libye :
trois enfants et
l'épouse de Kadhafi réfugiés
en Algérie
L'épouse de l'ex-dirigeant libyen Muammar Kadhafi et trois de ses enfants sont entrés ce lundi en territoire algérien. C'est ce qu'a annoncé, en fin d'après-midi, le ministère algérien des Affaires étrangères, provoquant «l'incompréhension» de la rébellion libyenne. Cette nuit, le gouvernement rebelle a indiqué ne «pas comprendre» que l'on puisse «sauver la famille de Kadhafi» et exigé qu'elle rentre en Libye.
Quant à Muammar Kadhafi, insaisissable depuis la prise de son QG de Tripoli, le 23 août, il se trouverait à 100 km au sud-est de Tripoli, à Bani Walid, avec ses fils Saadi et Saïf al-Islam, selon l'agence de presse italienne Ansa. Mais prudence... Khamis, le benjamin de la famille, dont la mort a été annoncée plusieurs fois, a, lui, été tué, selon le Conseil nationale de transition (CNT).
Dans un communiqué diffusé par l'agence APS, le ministère algérien a déclaré : «L'épouse de Muammar Kadhafi, Safia, sa fille Aïcha et ses fils Hannibal et Mohamed, accompagnés de leurs enfants sont entrés en Algérie à 08h45 (9h45, heure française, ndlr) par la frontière algéro-libyenne.» «Cette information a été portée à la connaissance du secrétaire général des Nations unies, du président du Conseil de sécurité et de Mahmoud Jibril (le n°2 du CNT, ndlr),», a ajouté le ministère. Le CNT a aussitôt annoncé qu'il allait demander à Alger de «ramener» les Kadhafi.
Aïcha serait
sur le point d'accoucher
Aïcha, 34 ans, qui fut l'avocate de Saddam Hussein, serait à moins de 48 heures d'accoucher, selon des sources locales algériennes. Mohamed, 41 ans, l'aîné de la famille, est un homme de réseau très discret. Hannibal, 33 ans, est connu pour ses excès de comportement. Il avait été interpellé avec son épouse le 15 juillet 2008 dans un palace de Genève. Ce qui avait provoqué une crise diplomatique entre la Suisse et la Libye. Quant à Safiya Farkash, mère de sept des huit enfants biologiques de Muammar Kadhafi dont elle est la seconde épouse, elle est une femme discrète, infirmière de métier, reconnue pour sa fortune et son influence considérables.
Samedi, l'Algérie avait démenti de «la manière la plus catégorique» sur leparisien.fr la présence de l'ancien dirigeant libyen sur son territoire.
Le chef de la diplomatie algérienne
a rencontré un dirigeant du CNT
Cette affaire intervient alors que dimanche, les insurgés avaient haussé le ton sur ce point contre Alger. Le porte-parole militaire du CNT, Ahmed Omar Bani, avait déclaré que le gouvernement algérien devra «répondre» de son attitude de sa «stricte neutralité» à l'égard des révolutionnaires libyens. Alger n'a pas reconnu le CNT comme représentant légitime du peuple libyen, contrairement à la Tunisie, l'Egypte et une cinquantaine de pays.
Ce lundi matin, le ministère algérien des Affaires étrangères avait publié un premier communiqué dans lequel il annonçait qu'une rencontre avait eu lieu en marge de la Ligue arabe entre le chef de la diplomatie algérienne Mourad Medelci et Mahmoud Jibril, à la demande de ce dernier. Des canaux de communication existent déjà, était-il souligné dans le communiqué.
DELAFAMILLEKHADAFI
Source : leparisien.fr en ligne
le 30 août 2011 à 0h 22
sur Diasporablog à 1h
Libye :
trois enfants et
l'épouse de Kadhafi réfugiés
en Algérie
L'épouse de l'ex-dirigeant libyen Muammar Kadhafi et trois de ses enfants sont entrés ce lundi en territoire algérien. C'est ce qu'a annoncé, en fin d'après-midi, le ministère algérien des Affaires étrangères, provoquant «l'incompréhension» de la rébellion libyenne. Cette nuit, le gouvernement rebelle a indiqué ne «pas comprendre» que l'on puisse «sauver la famille de Kadhafi» et exigé qu'elle rentre en Libye.
Quant à Muammar Kadhafi, insaisissable depuis la prise de son QG de Tripoli, le 23 août, il se trouverait à 100 km au sud-est de Tripoli, à Bani Walid, avec ses fils Saadi et Saïf al-Islam, selon l'agence de presse italienne Ansa. Mais prudence... Khamis, le benjamin de la famille, dont la mort a été annoncée plusieurs fois, a, lui, été tué, selon le Conseil nationale de transition (CNT).
Dans un communiqué diffusé par l'agence APS, le ministère algérien a déclaré : «L'épouse de Muammar Kadhafi, Safia, sa fille Aïcha et ses fils Hannibal et Mohamed, accompagnés de leurs enfants sont entrés en Algérie à 08h45 (9h45, heure française, ndlr) par la frontière algéro-libyenne.» «Cette information a été portée à la connaissance du secrétaire général des Nations unies, du président du Conseil de sécurité et de Mahmoud Jibril (le n°2 du CNT, ndlr),», a ajouté le ministère. Le CNT a aussitôt annoncé qu'il allait demander à Alger de «ramener» les Kadhafi.
Aïcha serait
sur le point d'accoucher
Aïcha, 34 ans, qui fut l'avocate de Saddam Hussein, serait à moins de 48 heures d'accoucher, selon des sources locales algériennes. Mohamed, 41 ans, l'aîné de la famille, est un homme de réseau très discret. Hannibal, 33 ans, est connu pour ses excès de comportement. Il avait été interpellé avec son épouse le 15 juillet 2008 dans un palace de Genève. Ce qui avait provoqué une crise diplomatique entre la Suisse et la Libye. Quant à Safiya Farkash, mère de sept des huit enfants biologiques de Muammar Kadhafi dont elle est la seconde épouse, elle est une femme discrète, infirmière de métier, reconnue pour sa fortune et son influence considérables.
Samedi, l'Algérie avait démenti de «la manière la plus catégorique» sur leparisien.fr la présence de l'ancien dirigeant libyen sur son territoire.
Le chef de la diplomatie algérienne
a rencontré un dirigeant du CNT
Cette affaire intervient alors que dimanche, les insurgés avaient haussé le ton sur ce point contre Alger. Le porte-parole militaire du CNT, Ahmed Omar Bani, avait déclaré que le gouvernement algérien devra «répondre» de son attitude de sa «stricte neutralité» à l'égard des révolutionnaires libyens. Alger n'a pas reconnu le CNT comme représentant légitime du peuple libyen, contrairement à la Tunisie, l'Egypte et une cinquantaine de pays.
Ce lundi matin, le ministère algérien des Affaires étrangères avait publié un premier communiqué dans lequel il annonçait qu'une rencontre avait eu lieu en marge de la Ligue arabe entre le chef de la diplomatie algérienne Mourad Medelci et Mahmoud Jibril, à la demande de ce dernier. Des canaux de communication existent déjà, était-il souligné dans le communiqué.
lundi, août 29, 2011
AUCAIRE
AUSSI
LESMANIFESTATIONS
ANTI-ISRAELIENNES
NEFONTPASRECETTE
Source : Guysen International News
en ligne le 29 août 2011
Egypte :
les organisateurs
de la manifestation anti-israélienne,
déçus
Les organisateurs de la ''manifestation du million" devant l'ambassade israélienne au Caire vendredi dernier, ont été déçus par la faible mobilisation, a indiqué samedi un journaliste égyptien sous couvert d'anonymat au site israélien Walla. Alors qu'ils tablaient sur la présence de centaines de milliers d'anti-israéliens, seuls un millier ont pris la peine de se déplacer.
AUSSI
LESMANIFESTATIONS
ANTI-ISRAELIENNES
NEFONTPASRECETTE
Source : Guysen International News
en ligne le 29 août 2011
Egypte :
les organisateurs
de la manifestation anti-israélienne,
déçus
Les organisateurs de la ''manifestation du million" devant l'ambassade israélienne au Caire vendredi dernier, ont été déçus par la faible mobilisation, a indiqué samedi un journaliste égyptien sous couvert d'anonymat au site israélien Walla. Alors qu'ils tablaient sur la présence de centaines de milliers d'anti-israéliens, seuls un millier ont pris la peine de se déplacer.
LESTUNNELSDE
L'EXTRÊME-GAUCHE
AULOBBYPRO-SYRIEN
Source : la newsletter du C. R.I. F. diffusée
le 29 août 2011
DIASPORABLOG
accueille...
MARC KNOBEL
La propagande pro-syrienne,
En France, il y a quelques années, un lobby pro-syrien encourageait le développement de relations bilatérales et économiques entre la France et la Syrie. Ce lobby était relativement actif. Aujourd’hui à la lumière des événements tragiques qui surviennent en Syrie, le contexte n’est plus le même et le lobby pro-syrien est beaucoup plus discret qu’il ne l’était par le passé. On peut même dire que ceux qui se démenaient tant ces dernières années sont très discrets aujourd’hui. Cependant, malgré le contexte géopolitique, un site Internet francophone (http://www.infosyrie.fr) présente les activités d’une prétendue agence de ré information sur la Syrie. Cette agence défend le régime baasiste.
Que trouve-t-on sur le site de l’Agence ? D’abord un éditorial ubuesque en date du 31 mai 2011 (1) dont on pourrait penser qu’il aurait pu être rédigé par un diplomate syrien, en poste à Paris. Extrait : « À en croire la grande majorité des médias, de CBS à Al-Jazeera, la Syrie est à feu et à sang, selon le schéma désormais classique (et même hollywoodien) du peuple luttant à mains nues pour la démocratie à l’occidentale, contre un pouvoir isolé ne s’appuyant plus que sur ses hommes de main…. Oui, c’est vrai, le sang coule en Syrie. Mais tous les manifestants ne sont pas désarmés et pacifiques ou en recherche de pluralisme. Mais toutes les victimes ne sont pas civiles. Et toutes ces manifestations ne sont pas spontanées. » Que lit-on plus loin ? Ceci : « Contrairement à pas mal d’alliés arabes de Washington, la Syrie est un pays où les minorités sont protégées, où les femmes sont actrices à part entière de la vie sociale, un pays d’ailleurs ouvert au tourisme et au monde. Un pays qui avance, à son rythme. C’est aussi, bien sûr, un pays où subsistent des problèmes. Mais dont les habitants, dans leur immense majorité, ne veulent pas suivre les fauteurs de guerre civile et religieuse. »
Les Syriens qui sont oppressés, bâillonnés, liquidés, torturés sur ordre de Bachar El-Assad apprécieront cette prose nauséeuse.
Sur ce site, il existe aussi différentes rubriques, la première est intitulée « Décryptage », sorte de revue de presse « hypercritique », qui prétend mettre en évidence « les trucages et falsifications généralement volontaires des médias sur la situation en Syrie, trucages inspirés par les mots d'ordre de l'Amérique et de ses alliés européens et arabes. » Une autre rubrique pompeusement intitulée « ré-information » publie des articles qui proposent une autre interprétation de l’actualité, entendre par-là, une interprétation pro-gouvernementale de l’actualité. Il existe même une rubrique « Galerie », avec de jolies photographies de villes et paysages syriens. Enfin, l’Agence dit avoir contacté les candidats à l’élection présidentielle 2012 (2) pour leur demander leur position à propos de l’engagement de la France dans l’OTAN et, « particulièrement, du droit d’ingérence dont pourrait disposer l’Etat Français (3) »
Sous forme d’entretien, on trouve le récit du séjour qu’Alain Soral a effectué, dimanche 21 août et lundi 22 août, avec quelque 200 journalistes et personnalités de 18 nations en Syrie, à Damas d’abord puis à Hama (4). Rappelons qui est Alain Soral : militant du Parti communiste dans les années 1990, il devient en novembre 2007 membre du comité central du Front national, chargé notamment des affaires sociales et du problème des banlieues, jusqu'à son départ de ce parti le 1er février 2009. Il préside depuis 2007 Égalité et réconciliation, association « nationaliste de gauche » dont il est le fondateur, Il se présente aux élections européennes de 2009 en Île-de-France en 5e position sur la « liste antisioniste » conduite par Dieudonné (5).
Soral raconte : « Deux avions étaient pleins, et notamment de journalistes invités par les autorités syriennes. Parmi lesquels, côté français, une journaliste de FR3 et son équipe et un reporter du Figaro » qu’il critiquera par ailleurs. Soral ajoute : « Sinon, d’assez gros contingents de journalistes russes, indiens, plus quelques personnalités pro-syriennes venues de différents pays. » A la question de savoir si l’on voit beaucoup de policiers à Damas et si l’on a le sentiment d’un « état de siège », Soral répond qu’il ne voit aucune différence avec sa première visite, voici cinq ans, quand tout était calme : « il n’y a aucune présence militaire ou même policière visible à Damas et dans ses environs. » Il ajoute aussitôt : « Pour en revenir à Damas… on ne voit dans la capitale syrienne aucun bombage politique, de tags sur les murs. Tout ça donne une impression de calme civil général, une atmosphère urbaine au moins aussi respirable que celle de Paris », affirme-t-il effrontément.
Plus loin, Soral parle enfin des opposants au régime. Selon lui, ce sont « des groupes actifs de « snipers », d’assassins, à l’évidence financés et armés de l’extérieur, disposant par exemple de téléphones satellitaires de haut niveau et d’armes de guerre modernes, s’appuyant sur une base sociale islamiste radicale indéniable, et donc capable de commettre des provocations très graves, causant la mort de nombreux policiers ».
Et Thierry Meyssan ?
Le journaliste français Thierry Meyssan qui soutient Kadhafi -connu pour avoir ouvert la polémique sur les attentats du 11 septembre 2001 avec son livre L'Effroyable imposture, dans lequel il développe ce que ses détracteurs qualifient à juste titre de « théorie du complot »- fustige cette fois « la guerre médiatique menée par les chaînes satellitaires entre autres CNN, France 24, BBC et al-Jazeera, pour envenimer la communauté internationale, ternir l'image des gouvernements et justifier les agressions terroristes », affirme-t-il… « La façon avec laquelle les médias occidentaux se comportent vis-à-vis de la Syrie et de la Libye constitue un tournant dans l'histoire de la guerre psychologique, à travers l'utilisation de nouveaux procédés qui ont surpris l'opinion publique internationale", ajoute sans rire Thierry Meyssan dans un article publié sur le site Egalité et Réconciliation et par le réseau Voltaire, que rapporte avec joie… la très officielle agence de presse arabe syrienne, Sana (6). Et pour cause…
Notes :
1) http://www.infosyrie.fr/edito/manifs-manips/
2) A savoir pour le Nouveau Parti Anticapitaliste: Philippe Poutou ; Lutte Ouvrière: Nathalie Arthaud ; Europe Ecologie - Les Verts: Eva Joly ; Le Parti de Gauche: Jean-Luc Mélenchon ; Parti Radical de Gauche: Jean-Michel Baylet ; Parti Socialiste: Martine Aubry - François Hollande - Ségolène Royal - Arnaud Montebourg ; Nouveau Centre: Hervé Morin ; Mouvement Démocrate (MODEM): François Bayrou ; Parti Chrétien Démocrate: Christine Boutin ; République Solidaire: Dominique de Villepin ; Parti Radical: Jean-Louis Borloo ; Debout la République: Nicolas Dupont-Aignan ; Les Démocrates: François Bayrou et pour le Front national, Marine Le Pen.
3) Voici les questions qu’InfoSyrie pose aux candidats à l’élection présidentielle « Vous êtes candidat(e) déclaré(e) à l’élection présidentielle. Dans ce cadre, nous souhaiterions vous interroger, comme l’ensemble de vos concurrents, sur votre vision de la politique étrangère de la France. La France a réintégré l’OTAN, sous la direction et par la volonté de l’actuel chef de l’Etat. Dans cette logique et au nom du droit d’ingérence « humanitaire », notre pays s’est lancé dans une politique d’intervention armée à l’étranger ou de stigmatisation. Vous aspirez à présider aux destinées de notre pays. Nous aimerions, en conséquence, connaître votre position sur deux questions qui nous paraissent essentielles :
-Etes-vous partisan, ou non, d’une sortie de la France de l’OTAN ?
-Etes-vous partisan, ou non, du droit d’ingérence ? »
Le site indique que les réponses seront publiées sur le site InfoSyrie.fr le 15 septembre 2011.
4) Cet entretien est publié sur le site Internet d’Alain Soral
5) http://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Soral
L'EXTRÊME-GAUCHE
AULOBBYPRO-SYRIEN
Source : la newsletter du C. R.I. F. diffusée
le 29 août 2011
DIASPORABLOG
accueille...
MARC KNOBEL
La propagande pro-syrienne,
En France, il y a quelques années, un lobby pro-syrien encourageait le développement de relations bilatérales et économiques entre la France et la Syrie. Ce lobby était relativement actif. Aujourd’hui à la lumière des événements tragiques qui surviennent en Syrie, le contexte n’est plus le même et le lobby pro-syrien est beaucoup plus discret qu’il ne l’était par le passé. On peut même dire que ceux qui se démenaient tant ces dernières années sont très discrets aujourd’hui. Cependant, malgré le contexte géopolitique, un site Internet francophone (http://www.infosyrie.fr) présente les activités d’une prétendue agence de ré information sur la Syrie. Cette agence défend le régime baasiste.
Que trouve-t-on sur le site de l’Agence ? D’abord un éditorial ubuesque en date du 31 mai 2011 (1) dont on pourrait penser qu’il aurait pu être rédigé par un diplomate syrien, en poste à Paris. Extrait : « À en croire la grande majorité des médias, de CBS à Al-Jazeera, la Syrie est à feu et à sang, selon le schéma désormais classique (et même hollywoodien) du peuple luttant à mains nues pour la démocratie à l’occidentale, contre un pouvoir isolé ne s’appuyant plus que sur ses hommes de main…. Oui, c’est vrai, le sang coule en Syrie. Mais tous les manifestants ne sont pas désarmés et pacifiques ou en recherche de pluralisme. Mais toutes les victimes ne sont pas civiles. Et toutes ces manifestations ne sont pas spontanées. » Que lit-on plus loin ? Ceci : « Contrairement à pas mal d’alliés arabes de Washington, la Syrie est un pays où les minorités sont protégées, où les femmes sont actrices à part entière de la vie sociale, un pays d’ailleurs ouvert au tourisme et au monde. Un pays qui avance, à son rythme. C’est aussi, bien sûr, un pays où subsistent des problèmes. Mais dont les habitants, dans leur immense majorité, ne veulent pas suivre les fauteurs de guerre civile et religieuse. »
Les Syriens qui sont oppressés, bâillonnés, liquidés, torturés sur ordre de Bachar El-Assad apprécieront cette prose nauséeuse.
Sur ce site, il existe aussi différentes rubriques, la première est intitulée « Décryptage », sorte de revue de presse « hypercritique », qui prétend mettre en évidence « les trucages et falsifications généralement volontaires des médias sur la situation en Syrie, trucages inspirés par les mots d'ordre de l'Amérique et de ses alliés européens et arabes. » Une autre rubrique pompeusement intitulée « ré-information » publie des articles qui proposent une autre interprétation de l’actualité, entendre par-là, une interprétation pro-gouvernementale de l’actualité. Il existe même une rubrique « Galerie », avec de jolies photographies de villes et paysages syriens. Enfin, l’Agence dit avoir contacté les candidats à l’élection présidentielle 2012 (2) pour leur demander leur position à propos de l’engagement de la France dans l’OTAN et, « particulièrement, du droit d’ingérence dont pourrait disposer l’Etat Français (3) »
Sous forme d’entretien, on trouve le récit du séjour qu’Alain Soral a effectué, dimanche 21 août et lundi 22 août, avec quelque 200 journalistes et personnalités de 18 nations en Syrie, à Damas d’abord puis à Hama (4). Rappelons qui est Alain Soral : militant du Parti communiste dans les années 1990, il devient en novembre 2007 membre du comité central du Front national, chargé notamment des affaires sociales et du problème des banlieues, jusqu'à son départ de ce parti le 1er février 2009. Il préside depuis 2007 Égalité et réconciliation, association « nationaliste de gauche » dont il est le fondateur, Il se présente aux élections européennes de 2009 en Île-de-France en 5e position sur la « liste antisioniste » conduite par Dieudonné (5).
Soral raconte : « Deux avions étaient pleins, et notamment de journalistes invités par les autorités syriennes. Parmi lesquels, côté français, une journaliste de FR3 et son équipe et un reporter du Figaro » qu’il critiquera par ailleurs. Soral ajoute : « Sinon, d’assez gros contingents de journalistes russes, indiens, plus quelques personnalités pro-syriennes venues de différents pays. » A la question de savoir si l’on voit beaucoup de policiers à Damas et si l’on a le sentiment d’un « état de siège », Soral répond qu’il ne voit aucune différence avec sa première visite, voici cinq ans, quand tout était calme : « il n’y a aucune présence militaire ou même policière visible à Damas et dans ses environs. » Il ajoute aussitôt : « Pour en revenir à Damas… on ne voit dans la capitale syrienne aucun bombage politique, de tags sur les murs. Tout ça donne une impression de calme civil général, une atmosphère urbaine au moins aussi respirable que celle de Paris », affirme-t-il effrontément.
Plus loin, Soral parle enfin des opposants au régime. Selon lui, ce sont « des groupes actifs de « snipers », d’assassins, à l’évidence financés et armés de l’extérieur, disposant par exemple de téléphones satellitaires de haut niveau et d’armes de guerre modernes, s’appuyant sur une base sociale islamiste radicale indéniable, et donc capable de commettre des provocations très graves, causant la mort de nombreux policiers ».
Et Thierry Meyssan ?
Le journaliste français Thierry Meyssan qui soutient Kadhafi -connu pour avoir ouvert la polémique sur les attentats du 11 septembre 2001 avec son livre L'Effroyable imposture, dans lequel il développe ce que ses détracteurs qualifient à juste titre de « théorie du complot »- fustige cette fois « la guerre médiatique menée par les chaînes satellitaires entre autres CNN, France 24, BBC et al-Jazeera, pour envenimer la communauté internationale, ternir l'image des gouvernements et justifier les agressions terroristes », affirme-t-il… « La façon avec laquelle les médias occidentaux se comportent vis-à-vis de la Syrie et de la Libye constitue un tournant dans l'histoire de la guerre psychologique, à travers l'utilisation de nouveaux procédés qui ont surpris l'opinion publique internationale", ajoute sans rire Thierry Meyssan dans un article publié sur le site Egalité et Réconciliation et par le réseau Voltaire, que rapporte avec joie… la très officielle agence de presse arabe syrienne, Sana (6). Et pour cause…
Notes :
1) http://www.infosyrie.fr/edito/manifs-manips/
2) A savoir pour le Nouveau Parti Anticapitaliste: Philippe Poutou ; Lutte Ouvrière: Nathalie Arthaud ; Europe Ecologie - Les Verts: Eva Joly ; Le Parti de Gauche: Jean-Luc Mélenchon ; Parti Radical de Gauche: Jean-Michel Baylet ; Parti Socialiste: Martine Aubry - François Hollande - Ségolène Royal - Arnaud Montebourg ; Nouveau Centre: Hervé Morin ; Mouvement Démocrate (MODEM): François Bayrou ; Parti Chrétien Démocrate: Christine Boutin ; République Solidaire: Dominique de Villepin ; Parti Radical: Jean-Louis Borloo ; Debout la République: Nicolas Dupont-Aignan ; Les Démocrates: François Bayrou et pour le Front national, Marine Le Pen.
3) Voici les questions qu’InfoSyrie pose aux candidats à l’élection présidentielle « Vous êtes candidat(e) déclaré(e) à l’élection présidentielle. Dans ce cadre, nous souhaiterions vous interroger, comme l’ensemble de vos concurrents, sur votre vision de la politique étrangère de la France. La France a réintégré l’OTAN, sous la direction et par la volonté de l’actuel chef de l’Etat. Dans cette logique et au nom du droit d’ingérence « humanitaire », notre pays s’est lancé dans une politique d’intervention armée à l’étranger ou de stigmatisation. Vous aspirez à présider aux destinées de notre pays. Nous aimerions, en conséquence, connaître votre position sur deux questions qui nous paraissent essentielles :
-Etes-vous partisan, ou non, d’une sortie de la France de l’OTAN ?
-Etes-vous partisan, ou non, du droit d’ingérence ? »
Le site indique que les réponses seront publiées sur le site InfoSyrie.fr le 15 septembre 2011.
4) Cet entretien est publié sur le site Internet d’Alain Soral
5) http://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Soral
APARIS
UNEMANIFESTATION
ANTI-MUSULMANE
AUXETATS-UNIS
ISRAËLINVITE
PARLESMUSULMANS
AMERICAINSALARUPTURE
DEJEÛNEDURAMADAN
Source : la newsletter du C. R. I. F. diffusée
le 29 août 2011
L’ambassadeur d’Israël
aux Etats-Unis
offre un Iftar à la communauté
américaine musulmane
Michael Oren, ambassadeur d’Israël aux Etats-Unis, a offert jeudi 25 Août 2011, un Iftar, le repas qui marque la rupture du jeûne du Ramadan, en l’honneur de responsables musulmans américains.
Parmi ses 65 convives figuraient, Akbar Ahmed, titulaire de la chaire des études islamiques à l’Université américaine et Abdullah Antepli, titulaire de la chaire de m’Islam à Duke University.
Source : Huffington Post
UNEMANIFESTATION
ANTI-MUSULMANE
AUXETATS-UNIS
ISRAËLINVITE
PARLESMUSULMANS
AMERICAINSALARUPTURE
DEJEÛNEDURAMADAN
Source : la newsletter du C. R. I. F. diffusée
le 29 août 2011
L’ambassadeur d’Israël
aux Etats-Unis
offre un Iftar à la communauté
américaine musulmane
Michael Oren, ambassadeur d’Israël aux Etats-Unis, a offert jeudi 25 Août 2011, un Iftar, le repas qui marque la rupture du jeûne du Ramadan, en l’honneur de responsables musulmans américains.
Parmi ses 65 convives figuraient, Akbar Ahmed, titulaire de la chaire des études islamiques à l’Université américaine et Abdullah Antepli, titulaire de la chaire de m’Islam à Duke University.
Source : Huffington Post
NOUVELATTENTAT
MEURTRIER
ENPLEINCOEUR
DISRAËL
Source : israelvalley.com en ligne
le 29 août 2011
L'ATTENTAT DU "HAOMAN 17"
DE CE MATIN AURAIT PU
ÊTRE DRAMATIQUE
SANS LE SANG-FROID DU DJ
QUI A CONTINUE A FAIRE
DANSER 1000 JEUNES,
CECI AFIN D'EVITER
UNE PANIQUE MEURTRIERE.
Par
Daniel Rouach (Tel-Aviv)
BREAKING NEWS – PAS DE MORT : UN GRAVE ATTENTAT AU COUTEAU A TEL-AVIV FACE AU NIGHT CLUB “HAOMAN 17” A 2 HEURES DU MATIN. HUIT BLESSES DONT UN TRES GRIEVEMENT.
“DANSER AVEC LES LARMES”.
En plein milieu de la nuit la rédaction d’Israelvalley à Tel-Aviv a reçu un SMS nous signalant qu’un attentat a eu lieu au centre de la ville et ceci à deux pas du club “Haoman 17” (le plus grand club d’Israël qui accueille une clientèle mixte et gay). Plus de huit personnes ont été blessés par un palestinien de la ville de Naplouse qui hurlait “Allah Akbar” un couteau à la main.
Selon nos informations à 3 heures du matin : “Il avait volé un Taxi dans le Sud de Tel-Aviv pour se rendre sur le lieu de l’attentat. Il a été maîtrisé par la police. Le terroriste a été blessé lors de son arrestation”. (A notre connaissance pas de Français blessés où d’étrangers). Selon Aroutz 7 : “Après quelques soins à l’hôpital, il a été emmené pour interrogatoire. Selon des témoins, le taxi roulait à 70kmh lorsqu’il a heurté le groupe de personnes, dont l’une a carrément été projetée dans les airs.
Au commandement de la Police on estime que ce genre d’attentats risque de se reproduire au mois de septembre. Par ailleurs, le chef d’état-major Benny Gantz a ordonné de renforcer la présence militaire de Tsahal au sud de la Bande de Gaza le long de la frontière avec l’Egypte suite à une alerte sérieuse d’attentat de la part du Jihad Islamique.”
NAPLOUSE
Naplouse est une importante cité de Cisjordanie qui compte 126 000 habitants. Elle se situe à environ soixante-trois kilomètres au nord de Jérusalem. Ses habitants sont principalement des Palestiniens, dont environ 300 Samaritains. Le principal lieu saint de ceux-ci, le mont Garizim, surplombe en effet la ville. La ville abrite des lieux saints musulmans, chrétiens, samaritains et juifs.
HAOMAN
Le club Haoman est très célèbre en Israël. Un journaliste canadien de passage à Tel-Aviv en a parlé recemment : “La musique électronique est assourdissante, les pistes de danse encombrées, la lumière tamisée au maximum, la queue pour les toilettes interminable, puis l’air empeste l’alcool et la fumée. Pourtant, être admis au Haoman est un privilège que nous envient les dizaines de jeunes sur leur 31 qui attendent sans espoir à l’entrée. Le club, il faut dire, a acquis une renommée planétaire. Les meilleurs DJ de la ville y sévissent quand ils ne sont pas en train de sillonner le monde”.
Un autre article sur ce club : “L’Haoman 17 était sans doute le la boite la plus célèbre de Jérusalem, elle a ouvert ses portes à Tel-Aviv rue Abarbanel.
La déco, le système de son et l’éclairage vous mettent au cœur des nuits brûlantes tel aviviennes. Soirées Gay, Djs guests du monde entier et after sont les mots clefs de ce temple des nuits de la ville qui ne s’arrête jamais”.
Ynet : A Palestinian attacker wounded eight Israelis near a Tel Aviv nightclub early Monday, hitting a police checkpoint with a stolen taxi and then stabbing others, police said. The attacker was a Palestinian in his twenties from the city of Nablus, according to police spokeswoman Luba Samri. Just before 2 a.m., the attacker stole a taxi in south Tel Aviv and then drove into a police checkpoint securing the street near a popular nightclub, she said. He then got out of the car and stabbed passers-by, she said, while shouting “Allahu akbar” – Arabic for “God is great,” a phrase often used as a battle-cry by Islamic terrorists. The wounded included four policemen and three civilians, Samri said. One of the eight people hurt was listed in a serious condition in hospital and the others suffered light to moderate injuries, Samri said.
The Palestinian told police that he had planned the attack in advance and chose the ‘Haoman 17’ nightclub, where over 1,000 revelers celebrated the end of the summer vacation. He also bought the knife and carefully planned the taxi attack. Only the police’s presence, he claimed, disrupted his plans. At first, witnesses believed that it was a traffic accident but soon realized that it was a terrorist attack when the Palestinian exited the taxi and started stabbing passers-by.
ISRAELVALLEY PLUS
La culture des boîtes de nuit d’Israël a produit beaucoup de DJ de classe internationale, qui ont pratiquement inventé leur propre marque de fabrique de musique électronique. La juxtaposition de la réalité quotidienne due à la situation sécuritaire avec l’émotion libérée dans les clubs des villes comme Tel-Aviv et Jérusalem est parfaitement naturel, selon Nathan Shor, auteur de “Danser avec les larmes”, une histoire de 50 ans de boîtes de nuit en Israël.
Sortir dans les clubs en période d’alerte est une sorte de fierté nationale pour certains Israéliens. « Par exemple, exactement avant la première guerre du Golfe, il y avait des fêtes « fin du monde ». Après l’attaque suicide terroriste au club Dolphinarium, le club a réouvert et les jeunes sont revenus. Ce n’était pas manque de cœur. On disait à ce moment-là : « Non, vous ne m’arrêterez pas de vivre ma vie », dit-il à Rachel Neiman de Israelity après la parution de son livre. « Je pense que c’est le vrai sionisme – de vivre comme toutes les autres nations. Je pense que Herzl aurait préféré une fête sans fin à une guerre sans fin ».
Et des fêtes, ils en font, avec une liste sans fin de DJ inventifs montrant le mouvement. Omri H. Heilbronner, qui pendant 11 ans a été le directeur artistique des deux clubs les plus influents d’Israël – Oman 17 à Jérusalem et Tel-Aviv, dit qu’au début, Israël s’inspirait des tendances et des sons européens puis le style s’est développé comme quelque chose d’uniquement israélien, qui a été plus tard imité dans les clubs internationaux. « Je pense que nous avons beaucoup contribué à la musique transe. Cela n’a jamais été copié de personne d’autre. C’est un genre qu’Israël a inventé, avec des artistes comme Infected Mushrooms et Skazi. La musique était innovante et vraiment quelques choses de nouveau. », dit-il à Israel21 C de Londres, où il étudie actuellement. « La chose a commencé à s’étendre et grandir dans le monde entier, et les Israéliens commencent à avoir de l’assurance pour sortir et faire leur spectacle dans les clubs étrangers. Les DJ comme Guy Gerber et Shlomo Aber étaient influents dans l’extension de ces musiques ».
Le DJ israélien a une mentalité très chaleureuse, touchante et aimable. Il a un aspect très humain, mais il est aussi un peut insolent en même temps. C’est pour cela que les gens les trouvent intéressants », dit-il. « Je pense que c’est plus amusant qu’une autre musique électronique, qui peut être trop sérieuse ». Le monde des DJ est devenu un canal à travers lequel le public est exposé à un autre aspect de la culture israélienne, dit Heilbronner. « Je pense que c’est une grande relance pour Israël d’avoir ces DJ qui se distribuent dans le monde entier. Je ne compte plus le nombre de fois où les gens sont venus me voir pour me demander si on monte encore des chameaux. C’est bon d’avoir des ambassadeurs autour du monde qui présentent le vrai Israël, » dit-il.—
MEURTRIER
ENPLEINCOEUR
DISRAËL
Source : israelvalley.com en ligne
le 29 août 2011
L'ATTENTAT DU "HAOMAN 17"
DE CE MATIN AURAIT PU
ÊTRE DRAMATIQUE
SANS LE SANG-FROID DU DJ
QUI A CONTINUE A FAIRE
DANSER 1000 JEUNES,
CECI AFIN D'EVITER
UNE PANIQUE MEURTRIERE.
Par
Daniel Rouach (Tel-Aviv)
BREAKING NEWS – PAS DE MORT : UN GRAVE ATTENTAT AU COUTEAU A TEL-AVIV FACE AU NIGHT CLUB “HAOMAN 17” A 2 HEURES DU MATIN. HUIT BLESSES DONT UN TRES GRIEVEMENT.
“DANSER AVEC LES LARMES”.
En plein milieu de la nuit la rédaction d’Israelvalley à Tel-Aviv a reçu un SMS nous signalant qu’un attentat a eu lieu au centre de la ville et ceci à deux pas du club “Haoman 17” (le plus grand club d’Israël qui accueille une clientèle mixte et gay). Plus de huit personnes ont été blessés par un palestinien de la ville de Naplouse qui hurlait “Allah Akbar” un couteau à la main.
Selon nos informations à 3 heures du matin : “Il avait volé un Taxi dans le Sud de Tel-Aviv pour se rendre sur le lieu de l’attentat. Il a été maîtrisé par la police. Le terroriste a été blessé lors de son arrestation”. (A notre connaissance pas de Français blessés où d’étrangers). Selon Aroutz 7 : “Après quelques soins à l’hôpital, il a été emmené pour interrogatoire. Selon des témoins, le taxi roulait à 70kmh lorsqu’il a heurté le groupe de personnes, dont l’une a carrément été projetée dans les airs.
Au commandement de la Police on estime que ce genre d’attentats risque de se reproduire au mois de septembre. Par ailleurs, le chef d’état-major Benny Gantz a ordonné de renforcer la présence militaire de Tsahal au sud de la Bande de Gaza le long de la frontière avec l’Egypte suite à une alerte sérieuse d’attentat de la part du Jihad Islamique.”
NAPLOUSE
Naplouse est une importante cité de Cisjordanie qui compte 126 000 habitants. Elle se situe à environ soixante-trois kilomètres au nord de Jérusalem. Ses habitants sont principalement des Palestiniens, dont environ 300 Samaritains. Le principal lieu saint de ceux-ci, le mont Garizim, surplombe en effet la ville. La ville abrite des lieux saints musulmans, chrétiens, samaritains et juifs.
HAOMAN
Le club Haoman est très célèbre en Israël. Un journaliste canadien de passage à Tel-Aviv en a parlé recemment : “La musique électronique est assourdissante, les pistes de danse encombrées, la lumière tamisée au maximum, la queue pour les toilettes interminable, puis l’air empeste l’alcool et la fumée. Pourtant, être admis au Haoman est un privilège que nous envient les dizaines de jeunes sur leur 31 qui attendent sans espoir à l’entrée. Le club, il faut dire, a acquis une renommée planétaire. Les meilleurs DJ de la ville y sévissent quand ils ne sont pas en train de sillonner le monde”.
Un autre article sur ce club : “L’Haoman 17 était sans doute le la boite la plus célèbre de Jérusalem, elle a ouvert ses portes à Tel-Aviv rue Abarbanel.
La déco, le système de son et l’éclairage vous mettent au cœur des nuits brûlantes tel aviviennes. Soirées Gay, Djs guests du monde entier et after sont les mots clefs de ce temple des nuits de la ville qui ne s’arrête jamais”.
Ynet : A Palestinian attacker wounded eight Israelis near a Tel Aviv nightclub early Monday, hitting a police checkpoint with a stolen taxi and then stabbing others, police said. The attacker was a Palestinian in his twenties from the city of Nablus, according to police spokeswoman Luba Samri. Just before 2 a.m., the attacker stole a taxi in south Tel Aviv and then drove into a police checkpoint securing the street near a popular nightclub, she said. He then got out of the car and stabbed passers-by, she said, while shouting “Allahu akbar” – Arabic for “God is great,” a phrase often used as a battle-cry by Islamic terrorists. The wounded included four policemen and three civilians, Samri said. One of the eight people hurt was listed in a serious condition in hospital and the others suffered light to moderate injuries, Samri said.
The Palestinian told police that he had planned the attack in advance and chose the ‘Haoman 17’ nightclub, where over 1,000 revelers celebrated the end of the summer vacation. He also bought the knife and carefully planned the taxi attack. Only the police’s presence, he claimed, disrupted his plans. At first, witnesses believed that it was a traffic accident but soon realized that it was a terrorist attack when the Palestinian exited the taxi and started stabbing passers-by.
ISRAELVALLEY PLUS
La culture des boîtes de nuit d’Israël a produit beaucoup de DJ de classe internationale, qui ont pratiquement inventé leur propre marque de fabrique de musique électronique. La juxtaposition de la réalité quotidienne due à la situation sécuritaire avec l’émotion libérée dans les clubs des villes comme Tel-Aviv et Jérusalem est parfaitement naturel, selon Nathan Shor, auteur de “Danser avec les larmes”, une histoire de 50 ans de boîtes de nuit en Israël.
Sortir dans les clubs en période d’alerte est une sorte de fierté nationale pour certains Israéliens. « Par exemple, exactement avant la première guerre du Golfe, il y avait des fêtes « fin du monde ». Après l’attaque suicide terroriste au club Dolphinarium, le club a réouvert et les jeunes sont revenus. Ce n’était pas manque de cœur. On disait à ce moment-là : « Non, vous ne m’arrêterez pas de vivre ma vie », dit-il à Rachel Neiman de Israelity après la parution de son livre. « Je pense que c’est le vrai sionisme – de vivre comme toutes les autres nations. Je pense que Herzl aurait préféré une fête sans fin à une guerre sans fin ».
Et des fêtes, ils en font, avec une liste sans fin de DJ inventifs montrant le mouvement. Omri H. Heilbronner, qui pendant 11 ans a été le directeur artistique des deux clubs les plus influents d’Israël – Oman 17 à Jérusalem et Tel-Aviv, dit qu’au début, Israël s’inspirait des tendances et des sons européens puis le style s’est développé comme quelque chose d’uniquement israélien, qui a été plus tard imité dans les clubs internationaux. « Je pense que nous avons beaucoup contribué à la musique transe. Cela n’a jamais été copié de personne d’autre. C’est un genre qu’Israël a inventé, avec des artistes comme Infected Mushrooms et Skazi. La musique était innovante et vraiment quelques choses de nouveau. », dit-il à Israel21 C de Londres, où il étudie actuellement. « La chose a commencé à s’étendre et grandir dans le monde entier, et les Israéliens commencent à avoir de l’assurance pour sortir et faire leur spectacle dans les clubs étrangers. Les DJ comme Guy Gerber et Shlomo Aber étaient influents dans l’extension de ces musiques ».
Le DJ israélien a une mentalité très chaleureuse, touchante et aimable. Il a un aspect très humain, mais il est aussi un peut insolent en même temps. C’est pour cela que les gens les trouvent intéressants », dit-il. « Je pense que c’est plus amusant qu’une autre musique électronique, qui peut être trop sérieuse ». Le monde des DJ est devenu un canal à travers lequel le public est exposé à un autre aspect de la culture israélienne, dit Heilbronner. « Je pense que c’est une grande relance pour Israël d’avoir ces DJ qui se distribuent dans le monde entier. Je ne compte plus le nombre de fois où les gens sont venus me voir pour me demander si on monte encore des chameaux. C’est bon d’avoir des ambassadeurs autour du monde qui présentent le vrai Israël, » dit-il.—
dimanche, août 28, 2011
DSK/KHADAFI
LAPOLITIQUESPECTACLE
DEMASQUEE
DIASPORABLOG
accueille...
BERNARD DARMON
DSK, Kadhafi,
le spectacle continue. 25 août
J’ai été un des premiers à m’élever contre le traitement indigne que les media faisaient à DSK et voilà que ce même homme, hier sali sans pitié, est aujourd’hui blanchi comme si Rien ne s’était passé.
Elle a menti, elle n’est plus crédible. Il a menti, il est réhabilité.
La parole de la femme de chambre n’est plus audible puisqu’elle a menti dans ses déclarations au service de l’immigration, elle a menti sur sa version des faits, son témoignage n’est plus recevable. Mais monsieur le Juge qui n’a jamais menti? Quel homme ou quelle femme en situation de détresse ne mentirait pas pour régulariser une situation et pouvoir travailler? La direction du Sofitel a t’elle menti lorsqu’elle disait que cette femme de chambre était une employée exemplaire? DSK n’a-t-il pas lui aussi menti lorsqu’au début il prétendait contre toute évidence ne pas avoir eu de relation sexuelle avec la femme de chambre?
Si la justice est réduite à n’écouter que ceux qui n’ont jamais menti, Il va y avoir moins d’encombrement dans les tribunaux!
Le plus grotesque est de voir les bandes de clowns qui se cooptent les uns les autres, se ruant vers des micros pour expliquer à quel point le DSK est innocent, et combien son expérience et ses compétences seraient utiles à la France et au Monde. Je me demande encore comment nous faisons pour vivre sans lui depuis le mois de mai. Devons-nous écouter béatement chaque soir sur nos écrans, les élucubrations d’irresponsables politiques en quête de notoriété ?
Et sommes-nous contraints de subir le matraquage de journalistes dégénérés et complices des politiques qui les font vivre ?
Je ne sais pas si DSK est un violeur, mais ce dont je suis certain, c’est que je ne sais pas s’il ne l’est pas. Et cet homme, blanchi par incertitude est ainsi porté au pinacle comme s’il s’agissait d’un saint homme.
Cette même semaine, nous assistons à la fin du régime dictatorial de Kadhafi. Aidés par une coalition menée par les Français, les insurgés ont fait tomber le tyran, vous savez bien, celui qui était reçu avec les honneurs et qui avait planté sa tente dans les jardins de l’Elysées il y a un peu plus de trois ans. Celui à qui le Président voulait vendre pour 10 milliards d’armement. Ceux qui verraient un rapport entre la non confirmation de ces contrats et l’intervention militaire seraient de mauvaise foi. Parce que n’oublions jamais que si cette opération militaire a eu lieu, c’est aussi parce que les occidentaux, France en tête, étaient soutenus par les grandes démocraties arabes alliées que sont l’Arabie Saoudite ou le Qatar.
Par ces temps de crise, c’est un beau calcul économique fait par notre Président, car les multinationales françaises vont se régaler avec les marchés qu’elles obtiendront pour la reconstruction de ce pays si riche en ressources naturelles. Et si ce conflit qui n’est pas terminé a fait plus de 20000 morts, c’est légitime, puisque c’est sur l’autel de la Liberté qu’ils ont été sacrifiés. Et tout ça au nom de la Démocratie dont chacun sait qu’elle est parfaitement improbable.
Mais quel rapport existe-t-il entre ces deux évènements me direz-vous ?
Dans les deux cas, quel désastre pour la Justice, quel désastre pour la Morale, quel désastre pour la Vérité. La même manipulation médiatique et les mêmes contre-vérités ânonnées par nos intellectuels en chemises blanches, ainsi que par nos politiques qui savent que leur médiatisation donc leur popularité, passe par leur asservissement aux dictateurs de la pensée.
Bernard Darmon
LAPOLITIQUESPECTACLE
DEMASQUEE
DIASPORABLOG
accueille...
BERNARD DARMON
DSK, Kadhafi,
le spectacle continue. 25 août
J’ai été un des premiers à m’élever contre le traitement indigne que les media faisaient à DSK et voilà que ce même homme, hier sali sans pitié, est aujourd’hui blanchi comme si Rien ne s’était passé.
Elle a menti, elle n’est plus crédible. Il a menti, il est réhabilité.
La parole de la femme de chambre n’est plus audible puisqu’elle a menti dans ses déclarations au service de l’immigration, elle a menti sur sa version des faits, son témoignage n’est plus recevable. Mais monsieur le Juge qui n’a jamais menti? Quel homme ou quelle femme en situation de détresse ne mentirait pas pour régulariser une situation et pouvoir travailler? La direction du Sofitel a t’elle menti lorsqu’elle disait que cette femme de chambre était une employée exemplaire? DSK n’a-t-il pas lui aussi menti lorsqu’au début il prétendait contre toute évidence ne pas avoir eu de relation sexuelle avec la femme de chambre?
Si la justice est réduite à n’écouter que ceux qui n’ont jamais menti, Il va y avoir moins d’encombrement dans les tribunaux!
Le plus grotesque est de voir les bandes de clowns qui se cooptent les uns les autres, se ruant vers des micros pour expliquer à quel point le DSK est innocent, et combien son expérience et ses compétences seraient utiles à la France et au Monde. Je me demande encore comment nous faisons pour vivre sans lui depuis le mois de mai. Devons-nous écouter béatement chaque soir sur nos écrans, les élucubrations d’irresponsables politiques en quête de notoriété ?
Et sommes-nous contraints de subir le matraquage de journalistes dégénérés et complices des politiques qui les font vivre ?
Je ne sais pas si DSK est un violeur, mais ce dont je suis certain, c’est que je ne sais pas s’il ne l’est pas. Et cet homme, blanchi par incertitude est ainsi porté au pinacle comme s’il s’agissait d’un saint homme.
Cette même semaine, nous assistons à la fin du régime dictatorial de Kadhafi. Aidés par une coalition menée par les Français, les insurgés ont fait tomber le tyran, vous savez bien, celui qui était reçu avec les honneurs et qui avait planté sa tente dans les jardins de l’Elysées il y a un peu plus de trois ans. Celui à qui le Président voulait vendre pour 10 milliards d’armement. Ceux qui verraient un rapport entre la non confirmation de ces contrats et l’intervention militaire seraient de mauvaise foi. Parce que n’oublions jamais que si cette opération militaire a eu lieu, c’est aussi parce que les occidentaux, France en tête, étaient soutenus par les grandes démocraties arabes alliées que sont l’Arabie Saoudite ou le Qatar.
Par ces temps de crise, c’est un beau calcul économique fait par notre Président, car les multinationales françaises vont se régaler avec les marchés qu’elles obtiendront pour la reconstruction de ce pays si riche en ressources naturelles. Et si ce conflit qui n’est pas terminé a fait plus de 20000 morts, c’est légitime, puisque c’est sur l’autel de la Liberté qu’ils ont été sacrifiés. Et tout ça au nom de la Démocratie dont chacun sait qu’elle est parfaitement improbable.
Mais quel rapport existe-t-il entre ces deux évènements me direz-vous ?
Dans les deux cas, quel désastre pour la Justice, quel désastre pour la Morale, quel désastre pour la Vérité. La même manipulation médiatique et les mêmes contre-vérités ânonnées par nos intellectuels en chemises blanches, ainsi que par nos politiques qui savent que leur médiatisation donc leur popularité, passe par leur asservissement aux dictateurs de la pensée.
Bernard Darmon
GUILADSHALIT
A25ANS
Source : dépêche AFP diffusée
le 28 août 2011
Israël marque le 25e anniversaire
de Gilad Shalit détenu à Gaza
depuis 5 ans
De David BUIMOVITCH (AFP)
TERMINAL FRONTALIER D'EREZ
Israël a marqué dimanche le 25e anniversaire de son soldat Gilad Shalit, qui est également de nationalité française, prisonnier du mouvement islamiste palestinien Hamas depuis cinq ans dans la bande de Gaza.
Quelque 200 sympathisants se sont rassemblés dans la soirée au terminal d'Erez, à la frontière avec l'enclave palestinienne, pour exiger la libération du jeune tankiste.
Le père du soldat, Noam Shalit, a accusé les dirigeants israéliens d'avoir "abandonné" son fils. "Des dirigeants qui abandonnent un soldat n'ont pas le droit de gouverner le pays", a-t-il estimé.
"Le monde se tait. La Croix-Rouge est impuissante. L'ONU n'intervient pas, et un jeune homme porte sur ses épaules tout le poids de notre lutte contre l'organisation terroriste Hamas", a affirmé de son côté le grand rabbin de Tel Aviv, Israël Meïr Lau, qui a proposé de se livrer en otage en échange de Gilad Shalit.
A la mi-journée, une centaine d'Israéliens avaient manifesté près du terminal routier de Kérem Shalom, à la lisière de la bande de Gaza, où a été capturé le soldat il y a cinq ans.
"L'Europe parle de blocus israélien sur Gaza, ce qui est faux, alors que personne ne proteste contre le fait qu'un Israélien est otage du Hamas depuis cinq ans, sans avoir reçu la moindre visite, y compris de la Croix-Rouge", s'est insurgé Tzahi Léon, un des organisateurs du rassemblement.
Les manifestants ont brièvement et symboliquement bloqué des camions entrant dans la bande de Gaza par Israël.
Les parents du détenu, Noam et Aviva Shalit, ont participé dimanche matin à une manifestation devant le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu, lors du conseil des ministres, comme chaque semaine depuis un an.
Le président français Nicolas Sarkozy a adressé une lettre au soldat, remise à ses parents, dans laquelle il exprime "(s)a solidarité et (s)on indignation face au sort injustifiable" qui lui est imposé.
"La France ne vous oublie pas, nous sommes au contraire particulièrement proches de vous en ce triste anniversaire que vos ravisseurs vous auront à nouveau empêché de passer libre, avec ceux que vous aimez", écrit M. Sarkozy dans cette lettre obtenue par l'AFP.
De son côté, le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé a assuré "que la France ne baissera pas les bras" et "se mobilisera tant que Gilad ne sera pas un homme libre", dans une lettre transmise à ses parents.
"Gilad Shalit est à ce jour l'otage français qui a fait l'objet de la détention la plus longue. Cette situation ne peut plus durer", a souligné M. Juppé.
Noam Shalit avait été l'hôte d'honneur, samedi soir, de la manifestation hebdomadaire à Tel-Aviv contre la vie chère et la crise du logement. Des manifestants arboraient des banderoles avec l'inscription: "Gilad Shalit a droit lui aussi à une maison".
Le soldat a été kidnappé le 25 juin 2006 par un commando de trois groupes armés palestiniens, dont la branche militaire du Hamas, qui contrôle la bande de Gaza depuis juin 2007.
Il est depuis détenu au secret, sans aucune visite de la Croix-Rouge qui a récemment demandé "la preuve" qu'il est "vivant".
Les négociations pour sa libération ont échoué.
A25ANS
Source : dépêche AFP diffusée
le 28 août 2011
Israël marque le 25e anniversaire
de Gilad Shalit détenu à Gaza
depuis 5 ans
De David BUIMOVITCH (AFP)
TERMINAL FRONTALIER D'EREZ
Israël a marqué dimanche le 25e anniversaire de son soldat Gilad Shalit, qui est également de nationalité française, prisonnier du mouvement islamiste palestinien Hamas depuis cinq ans dans la bande de Gaza.
Quelque 200 sympathisants se sont rassemblés dans la soirée au terminal d'Erez, à la frontière avec l'enclave palestinienne, pour exiger la libération du jeune tankiste.
Le père du soldat, Noam Shalit, a accusé les dirigeants israéliens d'avoir "abandonné" son fils. "Des dirigeants qui abandonnent un soldat n'ont pas le droit de gouverner le pays", a-t-il estimé.
"Le monde se tait. La Croix-Rouge est impuissante. L'ONU n'intervient pas, et un jeune homme porte sur ses épaules tout le poids de notre lutte contre l'organisation terroriste Hamas", a affirmé de son côté le grand rabbin de Tel Aviv, Israël Meïr Lau, qui a proposé de se livrer en otage en échange de Gilad Shalit.
A la mi-journée, une centaine d'Israéliens avaient manifesté près du terminal routier de Kérem Shalom, à la lisière de la bande de Gaza, où a été capturé le soldat il y a cinq ans.
"L'Europe parle de blocus israélien sur Gaza, ce qui est faux, alors que personne ne proteste contre le fait qu'un Israélien est otage du Hamas depuis cinq ans, sans avoir reçu la moindre visite, y compris de la Croix-Rouge", s'est insurgé Tzahi Léon, un des organisateurs du rassemblement.
Les manifestants ont brièvement et symboliquement bloqué des camions entrant dans la bande de Gaza par Israël.
Les parents du détenu, Noam et Aviva Shalit, ont participé dimanche matin à une manifestation devant le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu, lors du conseil des ministres, comme chaque semaine depuis un an.
Le président français Nicolas Sarkozy a adressé une lettre au soldat, remise à ses parents, dans laquelle il exprime "(s)a solidarité et (s)on indignation face au sort injustifiable" qui lui est imposé.
"La France ne vous oublie pas, nous sommes au contraire particulièrement proches de vous en ce triste anniversaire que vos ravisseurs vous auront à nouveau empêché de passer libre, avec ceux que vous aimez", écrit M. Sarkozy dans cette lettre obtenue par l'AFP.
De son côté, le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé a assuré "que la France ne baissera pas les bras" et "se mobilisera tant que Gilad ne sera pas un homme libre", dans une lettre transmise à ses parents.
"Gilad Shalit est à ce jour l'otage français qui a fait l'objet de la détention la plus longue. Cette situation ne peut plus durer", a souligné M. Juppé.
Noam Shalit avait été l'hôte d'honneur, samedi soir, de la manifestation hebdomadaire à Tel-Aviv contre la vie chère et la crise du logement. Des manifestants arboraient des banderoles avec l'inscription: "Gilad Shalit a droit lui aussi à une maison".
Le soldat a été kidnappé le 25 juin 2006 par un commando de trois groupes armés palestiniens, dont la branche militaire du Hamas, qui contrôle la bande de Gaza depuis juin 2007.
Il est depuis détenu au secret, sans aucune visite de la Croix-Rouge qui a récemment demandé "la preuve" qu'il est "vivant".
Les négociations pour sa libération ont échoué.
LESRELATIONS
ISRAËL/EGYPTE
SERESSERRENT
Source : romandie.com via l'AFP en ligne
le 28 août 2011
Israël examinera
toute demande égyptienne
de renforts au Sinaï
JERUSALEM
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est déclaré dimanche disposé à examiner toute requête de l'Egypte de déployer des effectifs militaires supplémentaires dans le Sinaï, sans préjuger de la réponse, a rapporté la radio publique israélienne.
Le cabinet de sécurité examinera toute proposition en ce sens, a déclaré le Premier ministre lors du conseil du ministre hebdomadaire, selon la radio.
Le ministre de la Défense, Ehud Barak, interrogé par la radio, s'est borné à rappeler qu'Israël avait déjà autorisé dans le passé le déploiement de renforts égyptiens. Nous avons autorisé à plusieurs reprises l'envoi de bataillons supplémentaires égyptiens, a-t-il relevé.
C'était une mesure temporaire, nécessaire également pour l'Egypte, afin d'éviter que le gazoduc explose à nouveau (...) et pour lutter contre le terrorisme, a t-il ajouté, faisant allusion à la récente offensive de l'armée et de la police égyptiennes dans le Sinaï contre les auteurs d'attentats visant le gazoduc alimentant Israël.
M. Barak a réaffirmé que le traité de paix avec l'Egypte servait les deux parties et rappelé son importance stratégique pour Israël.
S'exprimant sous couvert de l'anonymat, un haut responsable israélien de la sécurité a affirmé à l'AFP qu'il n'y avait pas eu de demande égyptienne d'autoriser l'envoi de renforts supplémentaires et que la question n'était donc pas à l'ordre du jour.
Le 15 août, la radio israélienne avait annoncé qu'Israël avait donné son feu vert au déploiement d'un millier de garde-frontières égyptiens dans la péninsule du Sinaï pour ramener l'ordre dans cette région.
Des troupes supplémentaires sont déjà entrées dans le Sinaï en coordination avec Israël lors de l'opération Aigle, lancée à la mi-août, a dit de son côté une source militaire égyptienne à l'AFP.
Des blindés de l'armée égyptienne étaient entrés le 13 août dans le nord du Sinaï en prévision de cette opération à laquelle ont participé, selon des responsables de la sécurité, plus de 1.000 soldats et policiers.
Le traité de paix de 1979 entre les deux pays prévoit une démilitarisation du Sinaï. Israël n'avait accepté qu'une seule dérogation en 2005, en permettant à une force de police égyptienne de prendre position à Rafah, le terminal frontalier entre l'Egypte et la bande de Gaza.
ISRAËL/EGYPTE
SERESSERRENT
Source : romandie.com via l'AFP en ligne
le 28 août 2011
Israël examinera
toute demande égyptienne
de renforts au Sinaï
JERUSALEM
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est déclaré dimanche disposé à examiner toute requête de l'Egypte de déployer des effectifs militaires supplémentaires dans le Sinaï, sans préjuger de la réponse, a rapporté la radio publique israélienne.
Le cabinet de sécurité examinera toute proposition en ce sens, a déclaré le Premier ministre lors du conseil du ministre hebdomadaire, selon la radio.
Le ministre de la Défense, Ehud Barak, interrogé par la radio, s'est borné à rappeler qu'Israël avait déjà autorisé dans le passé le déploiement de renforts égyptiens. Nous avons autorisé à plusieurs reprises l'envoi de bataillons supplémentaires égyptiens, a-t-il relevé.
C'était une mesure temporaire, nécessaire également pour l'Egypte, afin d'éviter que le gazoduc explose à nouveau (...) et pour lutter contre le terrorisme, a t-il ajouté, faisant allusion à la récente offensive de l'armée et de la police égyptiennes dans le Sinaï contre les auteurs d'attentats visant le gazoduc alimentant Israël.
M. Barak a réaffirmé que le traité de paix avec l'Egypte servait les deux parties et rappelé son importance stratégique pour Israël.
S'exprimant sous couvert de l'anonymat, un haut responsable israélien de la sécurité a affirmé à l'AFP qu'il n'y avait pas eu de demande égyptienne d'autoriser l'envoi de renforts supplémentaires et que la question n'était donc pas à l'ordre du jour.
Le 15 août, la radio israélienne avait annoncé qu'Israël avait donné son feu vert au déploiement d'un millier de garde-frontières égyptiens dans la péninsule du Sinaï pour ramener l'ordre dans cette région.
Des troupes supplémentaires sont déjà entrées dans le Sinaï en coordination avec Israël lors de l'opération Aigle, lancée à la mi-août, a dit de son côté une source militaire égyptienne à l'AFP.
Des blindés de l'armée égyptienne étaient entrés le 13 août dans le nord du Sinaï en prévision de cette opération à laquelle ont participé, selon des responsables de la sécurité, plus de 1.000 soldats et policiers.
Le traité de paix de 1979 entre les deux pays prévoit une démilitarisation du Sinaï. Israël n'avait accepté qu'une seule dérogation en 2005, en permettant à une force de police égyptienne de prendre position à Rafah, le terminal frontalier entre l'Egypte et la bande de Gaza.
LAPOLICE
ISRAELIENNE
CONTREDE"SQUATERS"
Source : la newsletter de guysen
international news diffusée le 28 août 2011
Jérusalem :
60 personnes squattent
un immeuble à l'abandon
Soixante personnes ont accaparé un bâtiment abandonné rue King George à Jérusalem pour ''une soirée de chansons''. ''Il y a un problème : d'un côté il n'y a pas de logements pour les jeunes à Jérusalem. D'un autre côté, il y a tellement de bâtiments vides'', a déclaré l'un des manifestants. La police a été dépêchée sur place.
ISRAELIENNE
CONTREDE"SQUATERS"
Source : la newsletter de guysen
international news diffusée le 28 août 2011
Jérusalem :
60 personnes squattent
un immeuble à l'abandon
Soixante personnes ont accaparé un bâtiment abandonné rue King George à Jérusalem pour ''une soirée de chansons''. ''Il y a un problème : d'un côté il n'y a pas de logements pour les jeunes à Jérusalem. D'un autre côté, il y a tellement de bâtiments vides'', a déclaré l'un des manifestants. La police a été dépêchée sur place.
LETE
ISRAELIEN
FAITEMERGE
UNEFEMMEJUIVE
AUNAVENIRCERTAIN
Source : israelvalley.com en ligne
le 28 août 2011
INCONTOURNABLE DEPUIS
LA REVOLTE DES TENTES :
MRS SHELLY YACIMOVITCH.
L'ETOÎLE MONTANTE
DE LA POLITIQUE ISRAELIENNE
EST TRES PRESENTE.
Par
Yaël Myers (Tel-Aviv)
Les Tycoons d’Israël sont ses ennemis déclarés et sa connaissance intime des dessous du pouvoir politique israélien est considérable. Elle a analysé à la loupe les cartels du pays. Shelly Yacimovitch n’a pas de casserole. Depuis des semaines que “le mouvement des tentes” a démarré, sa personnalité hors du commun émerge. Elle est candidate pour reprendre en main le Parti Socialiste israélien abandonné en début d’année par Ehoud Barak.
C’est une femme qui possède une excellente réthorique et une présence dans les médias bien réelle. Ancienne journaliste vedette de la télévison, elle est présentée par la droite comme une “gauchiste d’extrême gauche”. Un article dans le JPost (1) : “De même pour Shelly Yacimovitch, l’outsider des primaires du Parti travailliste. Elle n’a ni l’expérience politique de ses principaux rivaux Amir Peretz et Isaac Herzog. Ni la brillante carrière militaire et l’expérience de gestion de deux villes comme Amram Mitzna. Ni le budget de campagne quasi illimité d’Erel Margalit. Mais c’est elle qui sort largement gagnante de la vague de manifestations qui submerge le pays ces dernières semaines.”
Son conseiller personnel est Yaron Zelekha. Il était le Trésorier-payeur-général de l’Etat. C’est lui qui avait dénoncé la plupart des affaires de corruption qui ont secoué le pays, y compris celle impliquant l’ex-Premier Ministre Olmert. L’homme est tout à la fois adulé et haï. Bien avant la révolte des tentes il avait tenté de combattre par la loi les inégalités sociales et avait signalé avec une abondance de détails la concentration des pouvoirs en Israël. En 2010 Zelekha avait fait un cours d’économie de 80 minutes qui est devenu un best seller sur You Tube. Plus de 80 000 personnes ont déjà suivi son intervention.
Sa démonstration étant implacable, il est devenu rapidement “l’homme à abattre”par les magnats. Hier soir, et en présence d’IsraelValley, il a tenu un discours à “l’Ono Academic College”. Dans son intervention très remarquée il a utilisé la célèbre phrase de Kahdafi et les mots “Zenga, Zenga” (allée par allée). “Il faut démolir le pouvoir des magnats zenga, zenga…”. Yaron Zelekha devrait lire l’article ci-dessous. Une idée pour son prochain discours ?
Quelques mots de Shelly Yacimovitch (mars 2010) dans Aroutz 7 lorsque Barak a lançé son nouveau parti : "Des députés du parti travailliste, et parmi eux le ministre démissionnaire Benyamin Ben Eliézer, ont fustigé le ministre de la Défense, qui a proclamé lundi la formation d’un nouveau parti politique, et son départ du parti dans le cadre duquel il a été élu. Ils se sont réunis en un forum spécial des membres actifs de la branche kibboutzique du parti.
«Nous avons assisté hier à un agissement des plus abjects», a déclaré la députée Sheli Yacimovitch, anciennement présentatrice à la radio. «Il est impossible de minimiser l’aspect cynique de cette démarche. Dans toute l’histoire de la politique israélienne, jamais un acte aussi repoussant que celui qui a été commis hier avait été commis auparavant. C’est un acte opportuniste qui n’a qu’un seul but: assurer à Barak qu’il conservera son siège de ministre de la Défense.»
Source: (1) http://fr.jpost.com
ISRAELIEN
FAITEMERGE
UNEFEMMEJUIVE
AUNAVENIRCERTAIN
Source : israelvalley.com en ligne
le 28 août 2011
INCONTOURNABLE DEPUIS
LA REVOLTE DES TENTES :
MRS SHELLY YACIMOVITCH.
L'ETOÎLE MONTANTE
DE LA POLITIQUE ISRAELIENNE
EST TRES PRESENTE.
Par
Yaël Myers (Tel-Aviv)
Les Tycoons d’Israël sont ses ennemis déclarés et sa connaissance intime des dessous du pouvoir politique israélien est considérable. Elle a analysé à la loupe les cartels du pays. Shelly Yacimovitch n’a pas de casserole. Depuis des semaines que “le mouvement des tentes” a démarré, sa personnalité hors du commun émerge. Elle est candidate pour reprendre en main le Parti Socialiste israélien abandonné en début d’année par Ehoud Barak.
C’est une femme qui possède une excellente réthorique et une présence dans les médias bien réelle. Ancienne journaliste vedette de la télévison, elle est présentée par la droite comme une “gauchiste d’extrême gauche”. Un article dans le JPost (1) : “De même pour Shelly Yacimovitch, l’outsider des primaires du Parti travailliste. Elle n’a ni l’expérience politique de ses principaux rivaux Amir Peretz et Isaac Herzog. Ni la brillante carrière militaire et l’expérience de gestion de deux villes comme Amram Mitzna. Ni le budget de campagne quasi illimité d’Erel Margalit. Mais c’est elle qui sort largement gagnante de la vague de manifestations qui submerge le pays ces dernières semaines.”
Son conseiller personnel est Yaron Zelekha. Il était le Trésorier-payeur-général de l’Etat. C’est lui qui avait dénoncé la plupart des affaires de corruption qui ont secoué le pays, y compris celle impliquant l’ex-Premier Ministre Olmert. L’homme est tout à la fois adulé et haï. Bien avant la révolte des tentes il avait tenté de combattre par la loi les inégalités sociales et avait signalé avec une abondance de détails la concentration des pouvoirs en Israël. En 2010 Zelekha avait fait un cours d’économie de 80 minutes qui est devenu un best seller sur You Tube. Plus de 80 000 personnes ont déjà suivi son intervention.
Sa démonstration étant implacable, il est devenu rapidement “l’homme à abattre”par les magnats. Hier soir, et en présence d’IsraelValley, il a tenu un discours à “l’Ono Academic College”. Dans son intervention très remarquée il a utilisé la célèbre phrase de Kahdafi et les mots “Zenga, Zenga” (allée par allée). “Il faut démolir le pouvoir des magnats zenga, zenga…”. Yaron Zelekha devrait lire l’article ci-dessous. Une idée pour son prochain discours ?
Quelques mots de Shelly Yacimovitch (mars 2010) dans Aroutz 7 lorsque Barak a lançé son nouveau parti : "Des députés du parti travailliste, et parmi eux le ministre démissionnaire Benyamin Ben Eliézer, ont fustigé le ministre de la Défense, qui a proclamé lundi la formation d’un nouveau parti politique, et son départ du parti dans le cadre duquel il a été élu. Ils se sont réunis en un forum spécial des membres actifs de la branche kibboutzique du parti.
«Nous avons assisté hier à un agissement des plus abjects», a déclaré la députée Sheli Yacimovitch, anciennement présentatrice à la radio. «Il est impossible de minimiser l’aspect cynique de cette démarche. Dans toute l’histoire de la politique israélienne, jamais un acte aussi repoussant que celui qui a été commis hier avait été commis auparavant. C’est un acte opportuniste qui n’a qu’un seul but: assurer à Barak qu’il conservera son siège de ministre de la Défense.»
Source: (1) http://fr.jpost.com
KHADAFI
SOUVENIR
SOUVENIR
DIASPORABLOG
accueille...
Jacques BENILLOUCHE
LIBYE-SYRIE :
LA MEMOIRE COURTE
Les titres des journaux fustigent aujourd’hui le régime du colonel Kadhafi traité de dictateur, de fou et de de tyran. Ses délires, ceux du 30 août 2010 à Rome, ont pourtant été peu rapportés par la presse au nom de l'intérêt de la diplomatie française. Mouammar Kadhafi avait alors lancé un appel pour que l'islam devienne « la religion de toute l'Europe ». Les ministres de Nicolas Sarkozy s’étaient montrés disciplinés et n’avaient pas osé contrer un président qui estimait que la politique de la France était de son domaine réservé....
Lire la suite en cliquant sur le lien :
http://benillouche.blogspot.com/2011/08/libye-syrie-la-memoire-courte.html
Jacques BENILLOUCHE
http://www.benillouche.com/
SOUVENIR
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DIASPORABLOG
accueille...
Jacques BENILLOUCHE
LIBYE-SYRIE :
LA MEMOIRE COURTE
Les titres des journaux fustigent aujourd’hui le régime du colonel Kadhafi traité de dictateur, de fou et de de tyran. Ses délires, ceux du 30 août 2010 à Rome, ont pourtant été peu rapportés par la presse au nom de l'intérêt de la diplomatie française. Mouammar Kadhafi avait alors lancé un appel pour que l'islam devienne « la religion de toute l'Europe ». Les ministres de Nicolas Sarkozy s’étaient montrés disciplinés et n’avaient pas osé contrer un président qui estimait que la politique de la France était de son domaine réservé....
Lire la suite en cliquant sur le lien :
http://benillouche.blogspot.com/2011/08/libye-syrie-la-memoire-courte.html
Jacques BENILLOUCHE
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UNEPREMIERE
ENISRAËL
JUIFSETARABES
MANIFESTENTENSEMBLE
CONTREDES
JUIFSULTRA-ORTHODOXES
Source : guysen international news
en ligne le 28 août
Juifs et arabes manifestent à Wadi Ara contre les ultra-orthodoxes
Des centaines de juifs et d'arabes manifestent au kibboutz Maanit, près de Wadi Ara, pour dénoncer l'extension de la ville ultra-orthodoxe de Harish. Ils brandissent des banderoles sur lesquelles on peut lire ''Nous ne voulons pas des Haredim'', ''Non à l'occupation des terres'', ''Non à la judaïsation de Wadi Ara''. Il y a un mois, le ministre de l'Intérieur Eli Yishaï a donné son feu vert à la construction de 4700 logements supplémentaires à Harish, en sus des 4100 déjà autorisés.
ENISRAËL
JUIFSETARABES
MANIFESTENTENSEMBLE
CONTREDES
JUIFSULTRA-ORTHODOXES
Source : guysen international news
en ligne le 28 août
Juifs et arabes manifestent à Wadi Ara contre les ultra-orthodoxes
Des centaines de juifs et d'arabes manifestent au kibboutz Maanit, près de Wadi Ara, pour dénoncer l'extension de la ville ultra-orthodoxe de Harish. Ils brandissent des banderoles sur lesquelles on peut lire ''Nous ne voulons pas des Haredim'', ''Non à l'occupation des terres'', ''Non à la judaïsation de Wadi Ara''. Il y a un mois, le ministre de l'Intérieur Eli Yishaï a donné son feu vert à la construction de 4700 logements supplémentaires à Harish, en sus des 4100 déjà autorisés.
samedi, août 27, 2011
LETE
ISRAELIEN
REPRENDSESDROITS
Source : lefigaro.fr via l'AFP en ligne
le 27 août 2011
Israël:
reprise des manifestations
Plus de vingt mille Israéliens se sont rassemblés ce soir "pour la justice sociale" à Tel Aviv, à Jérusalem et dans une dizaine de localités, pour relancer le mouvement de contestation sociale, ont indiqué les médias.
Les organisateurs reconnaissaient que les chiffres de manifestants étaient très inférieurs à ceux des dernières semaines expliquant cette baisse par la tension dans le sud d'Israël, cible ces derniers jours de dizaines de tirs de roquettes provenant de Gaza.
"Les problèmes de sécurité ont toujours existé en Israël. Ils ne nous empêcheront pas de lutter", a déclaré lors d'un rassemblement à Tel Aviv l'un des leaders du mouvement, le président de l'union des étudiants Itzik Shmuli, annonçant pour samedi prochain une "marche d'un million" de manifestants.
La foule a scandé: "le peuple exige la justice sociale pas la charité", le slogan adopté par la contestation depuis son début à la mi-juillet avec l'apparition des premières tentes de protestations le long du boulevard Rothschild à Tel-Aviv.
Le père, Noam Shalit, du soldat israélien Gilad Shalit était l'invité d'honneur du rassemblement à Tel Aviv à l'occasion du 25ème anniversaire de son fils, des manifestants arborant des banderoles avec l'inscription "Gilad Shalit a lui aussi droit à un logis".
Ovationné par la foule, il appelé le gouvernement israélien à "payer le prix nécessaire pour ramener Gilad à la maison" ou démissionner.
Capturé en bordure de la bande de Gaza le 25 juin 2006 par un commando de trois groupes armés palestiniens, dont la branche militaire du Hamas, qui contrôle Gaza depuis juin 2007, Gilad Shalit est depuis détenu au secret, dans l'attente d'un échange de prisonniers avec Israël
Depuis le début de la contestation, ce sont surtout les classes moyennes et les étudiants qui ont été les plus actifs.
Selon un sondage, une très grande majorité de la population israélienne (88%) soutient cette grogne sociale, la première du genre d'une telle ampleur en Israël.
Soumis à cette pression, le premier ministre Benjamin Netanyahu a promis d'infléchir son approche ultra-libérale de l'économie pour répondre aux exigences des manifestants.
Il a créé une commission chargée de proposer des réformes avec les partenaires sociaux et de présenter des recommandations au gouvernement d'ici un mois.
ISRAELIEN
REPRENDSESDROITS
Source : lefigaro.fr via l'AFP en ligne
le 27 août 2011
Israël:
reprise des manifestations
Plus de vingt mille Israéliens se sont rassemblés ce soir "pour la justice sociale" à Tel Aviv, à Jérusalem et dans une dizaine de localités, pour relancer le mouvement de contestation sociale, ont indiqué les médias.
Les organisateurs reconnaissaient que les chiffres de manifestants étaient très inférieurs à ceux des dernières semaines expliquant cette baisse par la tension dans le sud d'Israël, cible ces derniers jours de dizaines de tirs de roquettes provenant de Gaza.
"Les problèmes de sécurité ont toujours existé en Israël. Ils ne nous empêcheront pas de lutter", a déclaré lors d'un rassemblement à Tel Aviv l'un des leaders du mouvement, le président de l'union des étudiants Itzik Shmuli, annonçant pour samedi prochain une "marche d'un million" de manifestants.
La foule a scandé: "le peuple exige la justice sociale pas la charité", le slogan adopté par la contestation depuis son début à la mi-juillet avec l'apparition des premières tentes de protestations le long du boulevard Rothschild à Tel-Aviv.
Le père, Noam Shalit, du soldat israélien Gilad Shalit était l'invité d'honneur du rassemblement à Tel Aviv à l'occasion du 25ème anniversaire de son fils, des manifestants arborant des banderoles avec l'inscription "Gilad Shalit a lui aussi droit à un logis".
Ovationné par la foule, il appelé le gouvernement israélien à "payer le prix nécessaire pour ramener Gilad à la maison" ou démissionner.
Capturé en bordure de la bande de Gaza le 25 juin 2006 par un commando de trois groupes armés palestiniens, dont la branche militaire du Hamas, qui contrôle Gaza depuis juin 2007, Gilad Shalit est depuis détenu au secret, dans l'attente d'un échange de prisonniers avec Israël
Depuis le début de la contestation, ce sont surtout les classes moyennes et les étudiants qui ont été les plus actifs.
Selon un sondage, une très grande majorité de la population israélienne (88%) soutient cette grogne sociale, la première du genre d'une telle ampleur en Israël.
Soumis à cette pression, le premier ministre Benjamin Netanyahu a promis d'infléchir son approche ultra-libérale de l'économie pour répondre aux exigences des manifestants.
Il a créé une commission chargée de proposer des réformes avec les partenaires sociaux et de présenter des recommandations au gouvernement d'ici un mois.
DEBATAVEC
MAREKHALTER
DIASPORABLOG
accueille...
DENIS KASSEL
Une reponse à Marek Halter
par
Denis Kassel,
vendredi 26 août 2011, 11:27.
Marek Halter a publié il y a quelques jours une opinion dans un quotidien du soir sous le titre "Quand pourrons-nous enfin parler d'Israël en dehors du conflit israélo-palestinien ?"
J'y ai relevé nombre d'inepties et d'incohérences que je publie ici vu que je ne vais pas offrir au monde.fr 15 euros par mois pour voir publier eventuellement ma réponse sur leur site. Bien sûr si je l'avais accusé d'être un propagandiste sioniste, comme un certain Latour, ma reponse aurait même été publiée dans l'édition papier...
Le débat est donc ouvert, au moins entre nous. Vous êtes invités à commenter et/ou à partager
Denis
Ce n'est pas la première fois que je le remarque. Marek Halter connait fort mal l'histoire juive biblique et contemporaine. Apparemment, ce n'est pas tout d'avoir un nègre qui écrive pour vous des romans à l'eau de rose sur fond de femmes de la Bible...
Parfois cette ignorance patente va à l'encontre de ses propres théories politiques comme une opinion publiée dans Libé en août 2005 à propos de l'expulsion des Juifs du Goush Katif dans laquelle il semblait se baser sur les frontières du royaume de David pour déterminer les limites actuelles de l'Etat d'Israël. Qu'il apprenne d'abord, quelles étaient les frontières du Royaume d'Israël de l'époque...
Je cite dans la tribune actuelle: "L'œuvre des jusqu'au-boutistes qui involontairement peut-être viennent au secours du gouvernement israélien en difficulté avec sa population. Un acte cependant qui vise Mahmoud Abbas et son projet de proclamation d'un Etat Palestien dans les frontières de 1967.
Car, ceux qui tuent, quelle que soit leur appartenance, veulent toute la Palestine. Comme le montrent les cartes de la région vendues à Gaza. "
- Les attentats visent Mahmoud Abbas ? Comment a réagi ce dernier? A-t-il condamné ces actes de ses frères palestiniens?
- A quoi ressemblent la Palestine dans les cartes vendues à Ramallah? Exactement comme à Gaza, ce sont les mêmes. Son organisation, l'OLP, Organisation de Liberation de la Palestine a-t-elle changé son nom en ORCVP (Organisation de Reconnaissance de la Cisjordanie par des Voies Pacifiques) ? Pas à ma connaissance. Le Fatah/OLP et le Hamas veulent tous deux la "libération" de toute la Palestine même s'il y a parfois des divergences tactiques
"Khaled Mechaal que nous avons, Clara Halter et moi même, rencontré à Damas pour lui parler de Gilad Chalit nous avait prévenus : il y a parmi les Palestiniens des groupes plus extrémistes encore que le Hamas"
- Ce bla-bla de Mechaal pour diplomates d'opérette ne dédouane en rien le Hamas de sa responsabilité sur tout ce qui se fait à partir du territoire qu'il controle ou de ses ressortissants.
Et si les Israéliens laissaient se developper des milices armées et que le gouvernement "prévenait" qu'il y a des groupes plus extremistes que le Likoud, ça convaicrait quelqu'un? Je crois même que le couple Halter ne tomberait pas dans ce panneau grossier
"Guedaliah ben Ahikam fut désigné pour redonner un souffle au pays meurtri. C'était un esprit réaliste et fort. On l'accusa de brader le pays à l'étranger. Il fut assassiné par un opposant juif, un certain Ishmaël ben Netanya. Choqué par ce crime et encouragé par le prophète Jérémie, le peuple instaura un jeûne en souvenir du gouverneur exécuté. C'est le jeûne de Guedaliah."
- J'ai entendu beaucoup de choses sur Guedaliah, mais qu'il etait un esprit réaliste et fort, c'est bien la première fois. Y-a-t-il des sources d'historiens ou dans la littérature rabbinnique?
- Son assassinat est certes tragique, mais la raison exacte du jeûne est qu'à la suite de cet acte criminel, toute la population de Judée a été exilee et que ce fut la fin de la souveraineté juive, jusqu'à l'époque récente.
"Mais après l'assassinat de Rabin, nul jour de jeûne ou de commémoration. Pourquoi ? Ceux qui ont pris la place de Rabin à la tête d'Israël, tel Benjamin Netanyahu ne le crurent pas nécessaire."
- L'assassinat de Rabin est certes une tragédie nationale (et j'espère qu'un jour toutes les zones d'ombre à ce sujet seront levées)
Et pourquoi ne parler que de Netanyahou? Posons la question aussi à Shimon Peres, Ehoud Barak, Ariel Sharon, Ehoud Olmert et Tsipi Livni qui ont aussi été premiers ministres depuis l'assassinat. Comme un bon juif, je repondrais par une autre question: "Depuis quand, dans quel pays ou quelle religion, un premier ministre institue un jeûne?"
Est ce que Moubarak ou le gouvernement égyptien actuel doivent instituer un jeûne à la suite de l'assassinat de Sadate? Peut être que Clara et Marek devraient le suggérer à la clique militire qui a pris le pouvoir au Caire grâce à Obama... Est ce que le même Obama a institué un jeûne à la memoire de Kennedy ?
- Et enfin comme je l'ai explique plus haut, selon la tradition juive (on ne peut pas demander aux Halter de tout savoir, déjà ils donnent des chiffres et des faits totalement fataisistes sur la Histadrout, voir ci dessous ..) c'est plus les conséquences de l'assassinat de Guedalia (exil) qui a été la raison du jeûne, ce qui n'est pas le cas pour Itshak Rabin
"Aux israéliens attachés à la Bible et qui savent que c'est à Hebron qu'Abraham avait acheté il y a quatre mille ans son premier lopin de terre au Hittite Ephron, je rappelle qu'il a acheté la Paix au roi des Phillistins, Abimelekh, près d'un puis dans le Neguev, puis d'où jaillit des siècles plus tard la ville de Beercheva, lieu où les israéliens, les descendants d'Abraham, viennent de manifester leur colère. "
- Quelle est exactement la position de Marek Halter sur Hébron? ce n'est pas clair du tout...
Si j'en crois une de son article dans Libé il y a quelques années , il ne fait pas de doute que la ville sur laquelle David a régné pendant 7 ans et demi (II Samuel V,5) avant d'être reconnu comme roi sur tout Israël devrait non seulement faire partie intégrante de l'Etat d'Israël, mais une de ses principales métropoles. Idem pour Betlehem sa ville natale.
"Aujourd'hui plus de deux millions d'individus y adhèrent."
- Les chiffres de 2 millions d'adhérents de la Histadrout sont completement fantaisistes, il y en a bien moins d'un million. Je suppose qu'il se base sur des données déja gonflées d'il y a environ 30 ans ou plusieurs catégories de la population etaient encartées contre leur gré comme:
- les adhérents de la plus grande caisse maladie de l'époque qui étaient obligés d'être membres de cette centrale syndicale, ce qui n'est plus le cas, heureusement
- les employés de certaines entreprises liées a la Histadrout par tel ou tel accord syndical (ce fut mon cas personnel, quand j'ai travaillé dans une filiale de Tadiran...)
On peut penser ce qu'on veut du libéralisme économique, mais je me réjouis qu' Israël abandonne petit à petit le systême bolchévique où on était obligé d'être adhérent au Syndicat ou au Parti .
MAREKHALTER
DIASPORABLOG
accueille...
DENIS KASSEL
Une reponse à Marek Halter
par
Denis Kassel,
vendredi 26 août 2011, 11:27.
Marek Halter a publié il y a quelques jours une opinion dans un quotidien du soir sous le titre "Quand pourrons-nous enfin parler d'Israël en dehors du conflit israélo-palestinien ?"
J'y ai relevé nombre d'inepties et d'incohérences que je publie ici vu que je ne vais pas offrir au monde.fr 15 euros par mois pour voir publier eventuellement ma réponse sur leur site. Bien sûr si je l'avais accusé d'être un propagandiste sioniste, comme un certain Latour, ma reponse aurait même été publiée dans l'édition papier...
Le débat est donc ouvert, au moins entre nous. Vous êtes invités à commenter et/ou à partager
Denis
Ce n'est pas la première fois que je le remarque. Marek Halter connait fort mal l'histoire juive biblique et contemporaine. Apparemment, ce n'est pas tout d'avoir un nègre qui écrive pour vous des romans à l'eau de rose sur fond de femmes de la Bible...
Parfois cette ignorance patente va à l'encontre de ses propres théories politiques comme une opinion publiée dans Libé en août 2005 à propos de l'expulsion des Juifs du Goush Katif dans laquelle il semblait se baser sur les frontières du royaume de David pour déterminer les limites actuelles de l'Etat d'Israël. Qu'il apprenne d'abord, quelles étaient les frontières du Royaume d'Israël de l'époque...
Je cite dans la tribune actuelle: "L'œuvre des jusqu'au-boutistes qui involontairement peut-être viennent au secours du gouvernement israélien en difficulté avec sa population. Un acte cependant qui vise Mahmoud Abbas et son projet de proclamation d'un Etat Palestien dans les frontières de 1967.
Car, ceux qui tuent, quelle que soit leur appartenance, veulent toute la Palestine. Comme le montrent les cartes de la région vendues à Gaza. "
- Les attentats visent Mahmoud Abbas ? Comment a réagi ce dernier? A-t-il condamné ces actes de ses frères palestiniens?
- A quoi ressemblent la Palestine dans les cartes vendues à Ramallah? Exactement comme à Gaza, ce sont les mêmes. Son organisation, l'OLP, Organisation de Liberation de la Palestine a-t-elle changé son nom en ORCVP (Organisation de Reconnaissance de la Cisjordanie par des Voies Pacifiques) ? Pas à ma connaissance. Le Fatah/OLP et le Hamas veulent tous deux la "libération" de toute la Palestine même s'il y a parfois des divergences tactiques
"Khaled Mechaal que nous avons, Clara Halter et moi même, rencontré à Damas pour lui parler de Gilad Chalit nous avait prévenus : il y a parmi les Palestiniens des groupes plus extrémistes encore que le Hamas"
- Ce bla-bla de Mechaal pour diplomates d'opérette ne dédouane en rien le Hamas de sa responsabilité sur tout ce qui se fait à partir du territoire qu'il controle ou de ses ressortissants.
Et si les Israéliens laissaient se developper des milices armées et que le gouvernement "prévenait" qu'il y a des groupes plus extremistes que le Likoud, ça convaicrait quelqu'un? Je crois même que le couple Halter ne tomberait pas dans ce panneau grossier
"Guedaliah ben Ahikam fut désigné pour redonner un souffle au pays meurtri. C'était un esprit réaliste et fort. On l'accusa de brader le pays à l'étranger. Il fut assassiné par un opposant juif, un certain Ishmaël ben Netanya. Choqué par ce crime et encouragé par le prophète Jérémie, le peuple instaura un jeûne en souvenir du gouverneur exécuté. C'est le jeûne de Guedaliah."
- J'ai entendu beaucoup de choses sur Guedaliah, mais qu'il etait un esprit réaliste et fort, c'est bien la première fois. Y-a-t-il des sources d'historiens ou dans la littérature rabbinnique?
- Son assassinat est certes tragique, mais la raison exacte du jeûne est qu'à la suite de cet acte criminel, toute la population de Judée a été exilee et que ce fut la fin de la souveraineté juive, jusqu'à l'époque récente.
"Mais après l'assassinat de Rabin, nul jour de jeûne ou de commémoration. Pourquoi ? Ceux qui ont pris la place de Rabin à la tête d'Israël, tel Benjamin Netanyahu ne le crurent pas nécessaire."
- L'assassinat de Rabin est certes une tragédie nationale (et j'espère qu'un jour toutes les zones d'ombre à ce sujet seront levées)
Et pourquoi ne parler que de Netanyahou? Posons la question aussi à Shimon Peres, Ehoud Barak, Ariel Sharon, Ehoud Olmert et Tsipi Livni qui ont aussi été premiers ministres depuis l'assassinat. Comme un bon juif, je repondrais par une autre question: "Depuis quand, dans quel pays ou quelle religion, un premier ministre institue un jeûne?"
Est ce que Moubarak ou le gouvernement égyptien actuel doivent instituer un jeûne à la suite de l'assassinat de Sadate? Peut être que Clara et Marek devraient le suggérer à la clique militire qui a pris le pouvoir au Caire grâce à Obama... Est ce que le même Obama a institué un jeûne à la memoire de Kennedy ?
- Et enfin comme je l'ai explique plus haut, selon la tradition juive (on ne peut pas demander aux Halter de tout savoir, déjà ils donnent des chiffres et des faits totalement fataisistes sur la Histadrout, voir ci dessous ..) c'est plus les conséquences de l'assassinat de Guedalia (exil) qui a été la raison du jeûne, ce qui n'est pas le cas pour Itshak Rabin
"Aux israéliens attachés à la Bible et qui savent que c'est à Hebron qu'Abraham avait acheté il y a quatre mille ans son premier lopin de terre au Hittite Ephron, je rappelle qu'il a acheté la Paix au roi des Phillistins, Abimelekh, près d'un puis dans le Neguev, puis d'où jaillit des siècles plus tard la ville de Beercheva, lieu où les israéliens, les descendants d'Abraham, viennent de manifester leur colère. "
- Quelle est exactement la position de Marek Halter sur Hébron? ce n'est pas clair du tout...
Si j'en crois une de son article dans Libé il y a quelques années , il ne fait pas de doute que la ville sur laquelle David a régné pendant 7 ans et demi (II Samuel V,5) avant d'être reconnu comme roi sur tout Israël devrait non seulement faire partie intégrante de l'Etat d'Israël, mais une de ses principales métropoles. Idem pour Betlehem sa ville natale.
"Aujourd'hui plus de deux millions d'individus y adhèrent."
- Les chiffres de 2 millions d'adhérents de la Histadrout sont completement fantaisistes, il y en a bien moins d'un million. Je suppose qu'il se base sur des données déja gonflées d'il y a environ 30 ans ou plusieurs catégories de la population etaient encartées contre leur gré comme:
- les adhérents de la plus grande caisse maladie de l'époque qui étaient obligés d'être membres de cette centrale syndicale, ce qui n'est plus le cas, heureusement
- les employés de certaines entreprises liées a la Histadrout par tel ou tel accord syndical (ce fut mon cas personnel, quand j'ai travaillé dans une filiale de Tadiran...)
On peut penser ce qu'on veut du libéralisme économique, mais je me réjouis qu' Israël abandonne petit à petit le systême bolchévique où on était obligé d'être adhérent au Syndicat ou au Parti .
LACONTESTATIONSOCIALE
ENISRAËL
ETTOUFFEE
PARLACAUSESECURITAIRE
Source : lemonde.fr en ligne
le 26 août 2011
Incertain printemps social israélien
par Samy Cohen,
directeur de recherches Sciences Po
Centre d'études
et de recherches internationales (CERI)
Quelques jours avant que n'éclate la "révolution des tentes", mi-juillet, ce mouvement de protestation contre la cherté des logements en Israël, personne n'aurait parié sur une telle vague de protestation ou sur la présence de 300 000 personnes lors de la manifestation du 6 août. Ce mouvement lancé via Facebook s'est étendu à une rapidité fulgurante. Des tentes, symboles du mouvement, ont été dressées boulevard Rothschild, à Tel-Aviv, et dans de nombreuses autres villes du pays.
Les grandes révoltes éclatent souvent de manière imprévisible. Au moins sait-on qu'elles se développent sur un terreau favorable. En Israël, le mécontentement gronde depuis des années. Les prix du logement ont flambé. Les écarts entre riches et pauvres sont parmi les plus importants au monde. Un quart de la population vit sous le seuil de pauvreté, avec un revenu mensuel inférieur à 740 euros.
Le mimétisme avec le "printemps arabe" est une des explications plausibles. Nombre d'acteurs de la protestation le ressentent et le déclarent. Sur une grande banderole blanche, on peut lire : "Tahrir, au coin de Rothschild", "Marche comme un Egyptien", est-il écrit sur une pancarte brandie lors de la manifestation du 3 août.
Quelles sont les chances de voir les revendications du "printemps israélien" aboutir ? Celui-ci a déjà fait faire à la société israélienne un pas de géant en mettant un problème de justice sociale sur l'agenda public. Mais les difficultés demeurent et des divergences sont perceptibles. Certains souhaitent le départ du premier ministre, Benyamin Nétanyahou, un des principaux instigateurs de la politique néolibérale. D'autres redoutent qu'une attitude trop hostile ne fasse de leur révolte un mouvement d'opposition politique.
Le deuxième problème est celui des revendications. Que demander et jusqu'où aller dans les exigences ? Faut-il négocier avec la commission mise en place par le premier ministre ou exiger purement et simplement le retour de l'Etat-providence ? Pour l'instant, en tout cas, le mouvement penche nettement en faveur de cette dernière option.
Troisièmement, les manifestants s'interrogent : doivent-ils continuer à protester dans la rue ou se constituer en organisation politique pour présenter des candidats lors des prochaines élections prévues en 2013 ? Beaucoup sont tentés par cette solution. Mais le mouvement manque encore d'un vrai leadership politique.
Autre difficulté, celle liée à l'agenda de la rentrée de septembre, date à laquelle l'Autorité palestinienne entend demander l'adhésion de l'Etat palestinien à l'ONU. Cette perspective pourrait donner lieu à des manifestations palestiniennes et reléguer les revendications sociales au deuxième rang. Il ne faut pas perdre de vue, enfin, que si le terrorisme reprend, il détournera l'attention du public vers sa priorité numéro un, à savoir la sécurité.
Plusieurs attaques surprises lancées, le 18 août, le long de la frontière égyptienne, contre des véhicules israéliens par un groupuscule extrémiste palestinien ont fait huit morts et de nombreux blessés. Les organisateurs du mouvement des tentes qui avaient appelé à une grande manifestation, le 18 août, ont aussitôt proclamé leur solidarité avec les victimes. La manifestation qui devait se tenir à Jérusalem a été annulée, et celle de Tel-Aviv transformée en une "marche silencieuse", en présence de quelque 4 000 participants seulement.
Faudra-t-il, enfin, s'attaquer aux questions sensibles de la guerre et de la paix, qui font partie des non-dits de cette révolte ? Beaucoup sont convaincus qu'il est impossible de continuer à augmenter les dépenses liées à la défense et, dans le même temps, d'instaurer plus de justice sociale. Mais on ne s'attaque pas facilement au sacro-saint budget militaire.
Un des autres non-dits actuels concerne l'occupation et la poursuite de la colonisation des territoires occupés. Le mouvement de révolte peut-il se transformer en un grand mouvement pour la paix, comme les Palestiniens eux-mêmes le souhaitent ? Cela semble peu probable.
Certes, la question de la poursuite du financement public des colonies se posera tôt ou tard. Mais réclamer la fin de la colonisation est une chose, exiger le retrait des territoires occupés en est une autre. S'il se prononçait en ce sens, le mouvement des tentes perdrait alors rapidement le soutien massif de la population israélienne (plus de 85 %), car le retrait des territoires occupés ne fait pas consensus, même si la majorité des Israéliens est prête à accepter la création d'un Etat palestinien.
S'attaquer au problème de l'occupation le fera apparaître comme un mouvement "gauchiste", "propalestinien" et "non patriote", un risque qu'il ne prendra pas, afin d'éviter de brouiller les cartes et de perdre sa popularité actuelle.
S'il arrive à s'organiser pour participer aux élections, il devra cependant répondre à ces deux questions : comment une organisation politique qui prétend accéder à la Knesset (le Parlement israélien) peut-elle avoir un programme économique et social, sans proposer une solution claire pour mettre fin au conflit israélo-palestinien ? Peut-elle promettre la justice sociale aux seuls Israéliens, sans se soucier de celle des Palestiniens vivant sous occupation depuis 1967.
ENISRAËL
ETTOUFFEE
PARLACAUSESECURITAIRE
Source : lemonde.fr en ligne
le 26 août 2011
Incertain printemps social israélien
par Samy Cohen,
directeur de recherches Sciences Po
Centre d'études
et de recherches internationales (CERI)
Quelques jours avant que n'éclate la "révolution des tentes", mi-juillet, ce mouvement de protestation contre la cherté des logements en Israël, personne n'aurait parié sur une telle vague de protestation ou sur la présence de 300 000 personnes lors de la manifestation du 6 août. Ce mouvement lancé via Facebook s'est étendu à une rapidité fulgurante. Des tentes, symboles du mouvement, ont été dressées boulevard Rothschild, à Tel-Aviv, et dans de nombreuses autres villes du pays.
Les grandes révoltes éclatent souvent de manière imprévisible. Au moins sait-on qu'elles se développent sur un terreau favorable. En Israël, le mécontentement gronde depuis des années. Les prix du logement ont flambé. Les écarts entre riches et pauvres sont parmi les plus importants au monde. Un quart de la population vit sous le seuil de pauvreté, avec un revenu mensuel inférieur à 740 euros.
Le mimétisme avec le "printemps arabe" est une des explications plausibles. Nombre d'acteurs de la protestation le ressentent et le déclarent. Sur une grande banderole blanche, on peut lire : "Tahrir, au coin de Rothschild", "Marche comme un Egyptien", est-il écrit sur une pancarte brandie lors de la manifestation du 3 août.
Quelles sont les chances de voir les revendications du "printemps israélien" aboutir ? Celui-ci a déjà fait faire à la société israélienne un pas de géant en mettant un problème de justice sociale sur l'agenda public. Mais les difficultés demeurent et des divergences sont perceptibles. Certains souhaitent le départ du premier ministre, Benyamin Nétanyahou, un des principaux instigateurs de la politique néolibérale. D'autres redoutent qu'une attitude trop hostile ne fasse de leur révolte un mouvement d'opposition politique.
Le deuxième problème est celui des revendications. Que demander et jusqu'où aller dans les exigences ? Faut-il négocier avec la commission mise en place par le premier ministre ou exiger purement et simplement le retour de l'Etat-providence ? Pour l'instant, en tout cas, le mouvement penche nettement en faveur de cette dernière option.
Troisièmement, les manifestants s'interrogent : doivent-ils continuer à protester dans la rue ou se constituer en organisation politique pour présenter des candidats lors des prochaines élections prévues en 2013 ? Beaucoup sont tentés par cette solution. Mais le mouvement manque encore d'un vrai leadership politique.
Autre difficulté, celle liée à l'agenda de la rentrée de septembre, date à laquelle l'Autorité palestinienne entend demander l'adhésion de l'Etat palestinien à l'ONU. Cette perspective pourrait donner lieu à des manifestations palestiniennes et reléguer les revendications sociales au deuxième rang. Il ne faut pas perdre de vue, enfin, que si le terrorisme reprend, il détournera l'attention du public vers sa priorité numéro un, à savoir la sécurité.
Plusieurs attaques surprises lancées, le 18 août, le long de la frontière égyptienne, contre des véhicules israéliens par un groupuscule extrémiste palestinien ont fait huit morts et de nombreux blessés. Les organisateurs du mouvement des tentes qui avaient appelé à une grande manifestation, le 18 août, ont aussitôt proclamé leur solidarité avec les victimes. La manifestation qui devait se tenir à Jérusalem a été annulée, et celle de Tel-Aviv transformée en une "marche silencieuse", en présence de quelque 4 000 participants seulement.
Faudra-t-il, enfin, s'attaquer aux questions sensibles de la guerre et de la paix, qui font partie des non-dits de cette révolte ? Beaucoup sont convaincus qu'il est impossible de continuer à augmenter les dépenses liées à la défense et, dans le même temps, d'instaurer plus de justice sociale. Mais on ne s'attaque pas facilement au sacro-saint budget militaire.
Un des autres non-dits actuels concerne l'occupation et la poursuite de la colonisation des territoires occupés. Le mouvement de révolte peut-il se transformer en un grand mouvement pour la paix, comme les Palestiniens eux-mêmes le souhaitent ? Cela semble peu probable.
Certes, la question de la poursuite du financement public des colonies se posera tôt ou tard. Mais réclamer la fin de la colonisation est une chose, exiger le retrait des territoires occupés en est une autre. S'il se prononçait en ce sens, le mouvement des tentes perdrait alors rapidement le soutien massif de la population israélienne (plus de 85 %), car le retrait des territoires occupés ne fait pas consensus, même si la majorité des Israéliens est prête à accepter la création d'un Etat palestinien.
S'attaquer au problème de l'occupation le fera apparaître comme un mouvement "gauchiste", "propalestinien" et "non patriote", un risque qu'il ne prendra pas, afin d'éviter de brouiller les cartes et de perdre sa popularité actuelle.
S'il arrive à s'organiser pour participer aux élections, il devra cependant répondre à ces deux questions : comment une organisation politique qui prétend accéder à la Knesset (le Parlement israélien) peut-elle avoir un programme économique et social, sans proposer une solution claire pour mettre fin au conflit israélo-palestinien ? Peut-elle promettre la justice sociale aux seuls Israéliens, sans se soucier de celle des Palestiniens vivant sous occupation depuis 1967.
ASHKENAZES
SEPHARADES
LACONCURRENCE
DESQ.I.
DIASPORABLOG
accueille...
LE Q.I DES JUIFS ASHKENAZES
Je ne voulais pas résister à l'appel de mon ami Michel qui cherche depuis longtemps à nous énerver, nous les sépharades, parce que nous critiquons son gefiltefisch et son foie haché, mais qui en fait, semble souffrir d'un malheureux complexe. Il affirme que les juifs ashkénazes auraient un Q.I 20% plus élevé que la moyenne de la population mondiale.....
Lire la suite et l'enquête en cliquant sur le lien :
http://benillouche.blogspot.com/2011/08/le-qi-des-juifs-ashkenazes.html
Jacques BENILLOUCHE
http://www.benillouche.com/
SEPHARADES
LACONCURRENCE
DESQ.I.
DIASPORABLOG
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LE Q.I DES JUIFS ASHKENAZES
Je ne voulais pas résister à l'appel de mon ami Michel qui cherche depuis longtemps à nous énerver, nous les sépharades, parce que nous critiquons son gefiltefisch et son foie haché, mais qui en fait, semble souffrir d'un malheureux complexe. Il affirme que les juifs ashkénazes auraient un Q.I 20% plus élevé que la moyenne de la population mondiale.....
Lire la suite et l'enquête en cliquant sur le lien :
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Jacques BENILLOUCHE
http://www.benillouche.com/
LETE
ISRAELIEN
PLONGEON
DANSUNEMAREE
DEXPERTS
Source : isrelvalley.com en ligne
le 27 août 2011
LA REVOLTE DES TENTES
DANS CHALLENGES
DEUX THINK TANKS :
UNE ARMADA DE 22 EXPERTS
POUR TRATJENBERG NOMME
PAR NETANYAHOU ET
60 UNIVERSITAIRES NOMMES
PAR LES LEADERS
DE LA CONTESTATION.
Par
Nathalie Hamou
(à Tel-Aviv)
Pas d’economistes-robots pour réfléchir sur les mesures à prendre par le Gouvernement Netanyahou. Simplement des équipes de chercheurs et experts qui vont apporter leurs idées à opérationnaliser. Nathalie Hamou a réalisé des interviews très intéressants pour un article paru dans la presse Française.
Dans Challenges : "Faire descendre, le 3 septembre, 1 million de manifestants dans les rues: les initiateurs de la « révolte des tentes », lancée boulevard Rothschild, l’un des plus cossus de Tel-Aviv, réussiront-ils leur pari? Une chose est sûre: Benyamin Netanyahou prend très au sérieux cette vague de contestation sans précédent contre la flambée des prix, les logements chers ou les oligopoles qui agite le pays depuis près de six semaines.
Certes, le Premier ministre israélien n’a pas encore mis les pieds dans un des campements de toile dressés par les protestataires de Haïfa à Beersheba. Mais il s’est empressé de mandater une armada de 22 experts, sous la houlette de Manuel Trajtenberg, un économiste respecté qui passe pour un sympathisant de la cause des « indignés ». Objectif de la manoeuvre: obtenir « des solutions viables » avant la fi n de septembre. Une initiative jugée peu crédible par les leaders de la contestation, qui se sont adjoint les services d’un ancien vice-gouverneur de la Banque d’Israël, Avia Spivak, pour diriger leur propre think tank, composé de 60 universitaires.
Le tournant libéral incriminé
« Bibi ne peut pas se permettre d’ignorer l’une des crises sociales les plus graves de l’histoire du pays, observe le politologue Yossi Shain, de l’université de Tel-Aviv. Israël a déjà connu la colère des laissés-pour-compte, mais c’est la première fois qu’un mouvement de protestation mobilise les classes moyennes, dont le revenu net moyen avoisine 1 800 euros, et qui n’arrivent plus à joindre les deux bouts. »
En réalité, la « révolte des tentes » met en cause l’artisan de l’essor économique israélien. C’est en effet sous l’égide de Netanyahou, alors aux Finances, que le pays a engagé, entre 2002 et 2005, des réformes libérales en taillant dans le budget de l’aide sociale. Une politique à double tranchant. Au crédit du champion du Likoud: une croissance qui devrait flirter avec les 5 % en 2011, un taux de chômage inférieur à 6 %, et un déficit budgétaire limité à 4 % du PIB. A son passif: une accentuation des disparités sociales (20 % des ménages vivent sous le seuil de la pauvreté) dans un pays minuscule où une vingtaine de familles se partagent 50 % de la capitalisation boursière. Et contrôlent les banques, les télécoms, les supermarchés, les stations d’essence ou la promotion immobilière.
« En fait, cette situation résulte d’un long processus. Israël n’a épousé les valeurs socialistes que pendant les vingt-cinq ans ayant suivi sa création, explique le fondateur de l’Institut Reut, Gidi Grinstein, un des experts de la commission Trajtenberg. Depuis le plan de stabilisation économique instauré en 1985 par Shimon Peres, tous les gouvernements israéliens ont soutenu les privatisations et l’économie de marché. » Ce tournant libéral a notamment permis à Israël de vaincre la stagflation, d’enrayer la mainmise du grand syndicat Histadrout sur 30 % de la production industrielle du pays, et de s’intégrer à l’économie mondiale. Il reste que le miracle israélien, qui s’est surtout produit ces dernières années, a aggravé les inégalités. Le secteur high-tech, qui représente 40 % de l’export israélien, n’assure que 7 % des emplois. Tandis que le désengagement de l’Etat s’est traduit pour les ménages par une hausse de leurs dépenses d’éducation ou de santé.
Limiter l’impact des monopoles
« Il faudra au moins dix ans pour mettre en oeuvre un nouveau train de réformes structurelles », assure Gidi Grinstein. Afin d’alléger le fardeau pesant sur les classes moyennes, les experts prônent l’éducation gratuite dès le plus jeune âge ; ou l’intégration au marché du travail des femmes arabes israéliennes et des hommes ultraorthodoxes (75 % restent à l’écart de la population active). L’équipe Netanyahou promet, de son côté, une réforme foncière ainsi qu’une action concertée pour limiter l’impact des monopoles. « Quoi qu’il en soit, Bibi ne pourra guère s’en sortir en sabrant dans les dépenses militaires [20 % de l’enveloppe de l’Etat. NDLR] ou par une autre pirouette budgétaire », pointe Yossi Shain. A court terme, la possible reconnaissance d’un Etat palestinien, le 20 septembre, aux Nations unies, pourrait reléguer la fronde sociale au second plan. « Mais le Premier ministre, comme l’ensemble de la classe politique, devra affronter cette lame de fond », affirme l’universitaire."
Par Nathalie Hamou (à Tel-Aviv)
Source: http://www.challenges.fr/actualite/monde/20110825.CHA3027/les-israeliens-reclament-un-vrai-contrat-social.html
ISRAELIEN
PLONGEON
DANSUNEMAREE
DEXPERTS
Source : isrelvalley.com en ligne
le 27 août 2011
LA REVOLTE DES TENTES
DANS CHALLENGES
DEUX THINK TANKS :
UNE ARMADA DE 22 EXPERTS
POUR TRATJENBERG NOMME
PAR NETANYAHOU ET
60 UNIVERSITAIRES NOMMES
PAR LES LEADERS
DE LA CONTESTATION.
Par
Nathalie Hamou
(à Tel-Aviv)
Pas d’economistes-robots pour réfléchir sur les mesures à prendre par le Gouvernement Netanyahou. Simplement des équipes de chercheurs et experts qui vont apporter leurs idées à opérationnaliser. Nathalie Hamou a réalisé des interviews très intéressants pour un article paru dans la presse Française.
Dans Challenges : "Faire descendre, le 3 septembre, 1 million de manifestants dans les rues: les initiateurs de la « révolte des tentes », lancée boulevard Rothschild, l’un des plus cossus de Tel-Aviv, réussiront-ils leur pari? Une chose est sûre: Benyamin Netanyahou prend très au sérieux cette vague de contestation sans précédent contre la flambée des prix, les logements chers ou les oligopoles qui agite le pays depuis près de six semaines.
Certes, le Premier ministre israélien n’a pas encore mis les pieds dans un des campements de toile dressés par les protestataires de Haïfa à Beersheba. Mais il s’est empressé de mandater une armada de 22 experts, sous la houlette de Manuel Trajtenberg, un économiste respecté qui passe pour un sympathisant de la cause des « indignés ». Objectif de la manoeuvre: obtenir « des solutions viables » avant la fi n de septembre. Une initiative jugée peu crédible par les leaders de la contestation, qui se sont adjoint les services d’un ancien vice-gouverneur de la Banque d’Israël, Avia Spivak, pour diriger leur propre think tank, composé de 60 universitaires.
Le tournant libéral incriminé
« Bibi ne peut pas se permettre d’ignorer l’une des crises sociales les plus graves de l’histoire du pays, observe le politologue Yossi Shain, de l’université de Tel-Aviv. Israël a déjà connu la colère des laissés-pour-compte, mais c’est la première fois qu’un mouvement de protestation mobilise les classes moyennes, dont le revenu net moyen avoisine 1 800 euros, et qui n’arrivent plus à joindre les deux bouts. »
En réalité, la « révolte des tentes » met en cause l’artisan de l’essor économique israélien. C’est en effet sous l’égide de Netanyahou, alors aux Finances, que le pays a engagé, entre 2002 et 2005, des réformes libérales en taillant dans le budget de l’aide sociale. Une politique à double tranchant. Au crédit du champion du Likoud: une croissance qui devrait flirter avec les 5 % en 2011, un taux de chômage inférieur à 6 %, et un déficit budgétaire limité à 4 % du PIB. A son passif: une accentuation des disparités sociales (20 % des ménages vivent sous le seuil de la pauvreté) dans un pays minuscule où une vingtaine de familles se partagent 50 % de la capitalisation boursière. Et contrôlent les banques, les télécoms, les supermarchés, les stations d’essence ou la promotion immobilière.
« En fait, cette situation résulte d’un long processus. Israël n’a épousé les valeurs socialistes que pendant les vingt-cinq ans ayant suivi sa création, explique le fondateur de l’Institut Reut, Gidi Grinstein, un des experts de la commission Trajtenberg. Depuis le plan de stabilisation économique instauré en 1985 par Shimon Peres, tous les gouvernements israéliens ont soutenu les privatisations et l’économie de marché. » Ce tournant libéral a notamment permis à Israël de vaincre la stagflation, d’enrayer la mainmise du grand syndicat Histadrout sur 30 % de la production industrielle du pays, et de s’intégrer à l’économie mondiale. Il reste que le miracle israélien, qui s’est surtout produit ces dernières années, a aggravé les inégalités. Le secteur high-tech, qui représente 40 % de l’export israélien, n’assure que 7 % des emplois. Tandis que le désengagement de l’Etat s’est traduit pour les ménages par une hausse de leurs dépenses d’éducation ou de santé.
Limiter l’impact des monopoles
« Il faudra au moins dix ans pour mettre en oeuvre un nouveau train de réformes structurelles », assure Gidi Grinstein. Afin d’alléger le fardeau pesant sur les classes moyennes, les experts prônent l’éducation gratuite dès le plus jeune âge ; ou l’intégration au marché du travail des femmes arabes israéliennes et des hommes ultraorthodoxes (75 % restent à l’écart de la population active). L’équipe Netanyahou promet, de son côté, une réforme foncière ainsi qu’une action concertée pour limiter l’impact des monopoles. « Quoi qu’il en soit, Bibi ne pourra guère s’en sortir en sabrant dans les dépenses militaires [20 % de l’enveloppe de l’Etat. NDLR] ou par une autre pirouette budgétaire », pointe Yossi Shain. A court terme, la possible reconnaissance d’un Etat palestinien, le 20 septembre, aux Nations unies, pourrait reléguer la fronde sociale au second plan. « Mais le Premier ministre, comme l’ensemble de la classe politique, devra affronter cette lame de fond », affirme l’universitaire."
Par Nathalie Hamou (à Tel-Aviv)
Source: http://www.challenges.fr/actualite/monde/20110825.CHA3027/les-israeliens-reclament-un-vrai-contrat-social.html
DSK
ENFRANCE
UNRETOUR
SOUSHAUTE-TENSION
Source : lefigaro.fr en ligne le 27 août 2011
Une majorité de Français
ne veut plus voir DSK
en politique
Par
Guillaume Perrault
L'ancien directeur général du Fonds monétaire international devrait être en France la semaine prochaine. Un retour à hauts risques.
Le reflux de la popularité est l'épreuve la plus délicate du caractère, disait Barnave, idole des foules au début de la Révolution et guillotiné deux ans plus tard. Un jugement que Dominique Strauss-Kahn pourrait cosigner. Malgré l'abandon des poursuites par le procureur de New York, l'ancien favori des sondages pour la course à l'Élysée demeure rejeté par une majorité écrasante de Français. Selon une enquête BVA pour RTL, Orange et la presse quotidienne régionale parue vendredi, 80 % des personnes interrogées ne «souhaitent pas» que l'ancien ministre de l'Économie soit candidat à la primaire du PS pour la présidentielle de 2012.
Le rejet de DSK par les Français s'est beaucoup accentué au cours de l'été. Seules 54 % des personnes interrogées par BVA le 1er juillet se déclaraient alors opposées à son retour dans la course à l'Élysée. Désormais, au terme de l'enquête d'opinion (réalisée les 23 et 24 août auprès d'un échantillon représentatif de 1 026 personnes), ce refus est partagé par 77 % des sympathisants de gauche et 89 % de leurs homologues de droite. Seuls 19 % des sondés désirent que DSK soit candidat à l'investiture du PS pour la présidentielle. En outre, 58 % des personnes interrogées - 55 % à gauche, 68 % à droite - considéreraient «plutôt comme une mauvaise chose pour le Parti socialiste» que l'ex-patron du Fonds monétaire international (FMI) joue un rôle politique important pendant la campagne présidentielle.
Prêt à rentrer en France
Même l'hypothèse d'une entrée de DSK au gouvernement en cas de victoire de la gauche à la présidentielle est rejetée par 56 % des sondés. Seul motif d'espoir pour les strauss-kahniens : les sympathisants de gauche restent en majorité (52 %) favorables à une telle perspective. Un «come-back» politique de DSK au sein d'un gouvernement de gauche n'est donc pas à exclure. Selon BVA, le rejet de DSK ne profite pas pour autant à Nicolas Sarkozy, bien au contraire. Une proportion très élevée des sondés (64 %, contre 60 % en juin) expriment le vœu d'une victoire de la gauche à l'élection présidentielle. Seuls 36 % d'entre eux marquent leur désir de voir la droite l'emporter.
Pendant ce temps, DSK, qui a récupéré son passeport jeudi, a regagné vendredi soir Washington avant que l'ouragan Irene n'empêche tout déplacement dans la région. DSK a l'intention de se rendre au Fonds monétaire international pour saluer ses anciens collaborateurs. Il devrait ensuite regagner la France à la fin de la semaine prochaine.
Ses retrouvailles avec le PS promettent d'être délicates. Présente aux universités d'été de son parti à La Rochelle, la conseillère régionale Anne Mansouret, mère de la romancière Tristane Banon, qui a porté plainte contre DSK pour tentative de viol, maintient ses accusations contre l'ancien directeur général du FMI. Anne Mansouret - qui a indiqué avoir eu elle-même une liaison avec DSK avant la tentative de viol dont sa fille dit avoir été victime en 2003 - a déclaré avoir eu «l'impression qu'il y a, oui, une espèce de pulsion, de violence et de prédation» dans le comportement de DSK envers les femmes en privé. L'ancien ministre de l'Économie avait pour sa part réagi à la plainte de Tristane Banon en portant plainte pour dénonciation calomnieuse. Une enquête diligentée par le parquet de Paris est toujours en cours.
ENFRANCE
UNRETOUR
SOUSHAUTE-TENSION
Source : lefigaro.fr en ligne le 27 août 2011
Une majorité de Français
ne veut plus voir DSK
en politique
Par
Guillaume Perrault
L'ancien directeur général du Fonds monétaire international devrait être en France la semaine prochaine. Un retour à hauts risques.
Le reflux de la popularité est l'épreuve la plus délicate du caractère, disait Barnave, idole des foules au début de la Révolution et guillotiné deux ans plus tard. Un jugement que Dominique Strauss-Kahn pourrait cosigner. Malgré l'abandon des poursuites par le procureur de New York, l'ancien favori des sondages pour la course à l'Élysée demeure rejeté par une majorité écrasante de Français. Selon une enquête BVA pour RTL, Orange et la presse quotidienne régionale parue vendredi, 80 % des personnes interrogées ne «souhaitent pas» que l'ancien ministre de l'Économie soit candidat à la primaire du PS pour la présidentielle de 2012.
Le rejet de DSK par les Français s'est beaucoup accentué au cours de l'été. Seules 54 % des personnes interrogées par BVA le 1er juillet se déclaraient alors opposées à son retour dans la course à l'Élysée. Désormais, au terme de l'enquête d'opinion (réalisée les 23 et 24 août auprès d'un échantillon représentatif de 1 026 personnes), ce refus est partagé par 77 % des sympathisants de gauche et 89 % de leurs homologues de droite. Seuls 19 % des sondés désirent que DSK soit candidat à l'investiture du PS pour la présidentielle. En outre, 58 % des personnes interrogées - 55 % à gauche, 68 % à droite - considéreraient «plutôt comme une mauvaise chose pour le Parti socialiste» que l'ex-patron du Fonds monétaire international (FMI) joue un rôle politique important pendant la campagne présidentielle.
Prêt à rentrer en France
Même l'hypothèse d'une entrée de DSK au gouvernement en cas de victoire de la gauche à la présidentielle est rejetée par 56 % des sondés. Seul motif d'espoir pour les strauss-kahniens : les sympathisants de gauche restent en majorité (52 %) favorables à une telle perspective. Un «come-back» politique de DSK au sein d'un gouvernement de gauche n'est donc pas à exclure. Selon BVA, le rejet de DSK ne profite pas pour autant à Nicolas Sarkozy, bien au contraire. Une proportion très élevée des sondés (64 %, contre 60 % en juin) expriment le vœu d'une victoire de la gauche à l'élection présidentielle. Seuls 36 % d'entre eux marquent leur désir de voir la droite l'emporter.
Pendant ce temps, DSK, qui a récupéré son passeport jeudi, a regagné vendredi soir Washington avant que l'ouragan Irene n'empêche tout déplacement dans la région. DSK a l'intention de se rendre au Fonds monétaire international pour saluer ses anciens collaborateurs. Il devrait ensuite regagner la France à la fin de la semaine prochaine.
Ses retrouvailles avec le PS promettent d'être délicates. Présente aux universités d'été de son parti à La Rochelle, la conseillère régionale Anne Mansouret, mère de la romancière Tristane Banon, qui a porté plainte contre DSK pour tentative de viol, maintient ses accusations contre l'ancien directeur général du FMI. Anne Mansouret - qui a indiqué avoir eu elle-même une liaison avec DSK avant la tentative de viol dont sa fille dit avoir été victime en 2003 - a déclaré avoir eu «l'impression qu'il y a, oui, une espèce de pulsion, de violence et de prédation» dans le comportement de DSK envers les femmes en privé. L'ancien ministre de l'Économie avait pour sa part réagi à la plainte de Tristane Banon en portant plainte pour dénonciation calomnieuse. Une enquête diligentée par le parquet de Paris est toujours en cours.
vendredi, août 26, 2011
ISRAËL/EGYPTE
DENOUVEAUXPAS
ENAVANT
Source : lefigaro.fr en ligne
le 26 août 2011 à 20h 38
Israël autorise l'Égypte
à remilitariser le Sinaï
Pour lutter contre les tribus bédouines et les infiltrations d'islamistes palestiniens, le traité de paix de 1979 pourrait être amendé.
Pour préserver le traité de paix conclu en 1979 avec l'Égypte, Israël est prêt à bien des sacrifices. Ehoud Barak, le ministre de la Défense, a ainsi affirmé à l'hebdomadaire britannique The Economist qu'il était prêt à accepter le déploiement de soldats égyptiens, équipés d'hélicoptères et de véhicules blindés, dans la péninsule du Sinaï, bien que cette région tampon soit censée être démilitarisée aux termes du traité. Les Israéliens espèrent ainsi amadouer les militaires égyptiens, au pouvoir depuis la chute d'Hosni Moubarak au début de l'année.
Ces renforts doivent permettre à l'Égypte de ramener l'ordre face à des tribus de Bédouins hostiles au pouvoir, mais aussi face à une inquiétante concentration d'islamistes, notamment palestiniens. «Personne ne veut que le Sinaï devienne une base pour les terroristes qui menaceraient l'Égypte, Israël, mais aussi la Jordanie et l'Arabie saoudite», souligne Ron Ben-Yishaï, commentateur militaire. Profitant du chaos ambiant, des membres d'un groupe armé palestinien se sont infiltrés la semaine dernière dans le sud d'Israël à partir du Sinaï. Au cours des échanges de tirs, huit Israéliens ont été tués, mais aussi trois policiers égyptiens, ce qui a déclenché un début de crise diplomatique.
Enquête policière conjointe
Des rumeurs sur le rappel de l'ambassadeur d'Égypte à Tel-Aviv ont été aussitôt propagées par la télévision publique égyptienne. Les responsables israéliens ont tenté ensuite de calmer le jeu. Un exemple : le patron du Conseil de sécurité national israélien, Yaakov Amidror, après avoir exclu une enquête commune avec les militaires égyptiens sur les circonstances de la mort des policiers égyptiens, a fait marche arrière sous la pression du Caire et accepté vendredi une coopération entre les deux armées pour tenter de tirer les choses au clair.
«Nous traversons une période hypersensible, il ne faut surtout pas fournir de prétexte à la rue égyptienne et à ceux qui tentent de la manipuler, notamment les Frères musulmans, pour canaliser toute hostilité des Égyptiens vers Israël», explique un diplomate. Une allusion notamment à la «manifestation du Million» organisée vendredi pour demander l'annulation du traité de paix au Caire. Dimanche dernier, un jeune Égyptien est devenu un héros national pour avoir arraché le drapeau israélien du toit de l'ambassade de l'État hébreu. Bref, comme le souligne Ehoud Barak, «il faut parfois subordonner des considérations stratégiques à des besoins tactiques».
Autrement dit, éviter une rupture avec l'Égypte et mener la guerre «antiterroriste» dans le Sinaï est pour le moment plus important qu'un éventuel danger que pourrait représenter une armée égyptienne déployée en force à la frontière israélienne. Malgré tout, toucher au traité de paix avec l'Égypte a un caractère hautement symbolique, au point que Reuven Rivlin, le président de la Knesset, a exigé vendredi que toute modification de ce texte, ratifié en son temps par le Parlement, soit soumise au préalable à l'approbation des députés.
DENOUVEAUXPAS
ENAVANT
Source : lefigaro.fr en ligne
le 26 août 2011 à 20h 38
Israël autorise l'Égypte
à remilitariser le Sinaï
Pour lutter contre les tribus bédouines et les infiltrations d'islamistes palestiniens, le traité de paix de 1979 pourrait être amendé.
Pour préserver le traité de paix conclu en 1979 avec l'Égypte, Israël est prêt à bien des sacrifices. Ehoud Barak, le ministre de la Défense, a ainsi affirmé à l'hebdomadaire britannique The Economist qu'il était prêt à accepter le déploiement de soldats égyptiens, équipés d'hélicoptères et de véhicules blindés, dans la péninsule du Sinaï, bien que cette région tampon soit censée être démilitarisée aux termes du traité. Les Israéliens espèrent ainsi amadouer les militaires égyptiens, au pouvoir depuis la chute d'Hosni Moubarak au début de l'année.
Ces renforts doivent permettre à l'Égypte de ramener l'ordre face à des tribus de Bédouins hostiles au pouvoir, mais aussi face à une inquiétante concentration d'islamistes, notamment palestiniens. «Personne ne veut que le Sinaï devienne une base pour les terroristes qui menaceraient l'Égypte, Israël, mais aussi la Jordanie et l'Arabie saoudite», souligne Ron Ben-Yishaï, commentateur militaire. Profitant du chaos ambiant, des membres d'un groupe armé palestinien se sont infiltrés la semaine dernière dans le sud d'Israël à partir du Sinaï. Au cours des échanges de tirs, huit Israéliens ont été tués, mais aussi trois policiers égyptiens, ce qui a déclenché un début de crise diplomatique.
Enquête policière conjointe
Des rumeurs sur le rappel de l'ambassadeur d'Égypte à Tel-Aviv ont été aussitôt propagées par la télévision publique égyptienne. Les responsables israéliens ont tenté ensuite de calmer le jeu. Un exemple : le patron du Conseil de sécurité national israélien, Yaakov Amidror, après avoir exclu une enquête commune avec les militaires égyptiens sur les circonstances de la mort des policiers égyptiens, a fait marche arrière sous la pression du Caire et accepté vendredi une coopération entre les deux armées pour tenter de tirer les choses au clair.
«Nous traversons une période hypersensible, il ne faut surtout pas fournir de prétexte à la rue égyptienne et à ceux qui tentent de la manipuler, notamment les Frères musulmans, pour canaliser toute hostilité des Égyptiens vers Israël», explique un diplomate. Une allusion notamment à la «manifestation du Million» organisée vendredi pour demander l'annulation du traité de paix au Caire. Dimanche dernier, un jeune Égyptien est devenu un héros national pour avoir arraché le drapeau israélien du toit de l'ambassade de l'État hébreu. Bref, comme le souligne Ehoud Barak, «il faut parfois subordonner des considérations stratégiques à des besoins tactiques».
Autrement dit, éviter une rupture avec l'Égypte et mener la guerre «antiterroriste» dans le Sinaï est pour le moment plus important qu'un éventuel danger que pourrait représenter une armée égyptienne déployée en force à la frontière israélienne. Malgré tout, toucher au traité de paix avec l'Égypte a un caractère hautement symbolique, au point que Reuven Rivlin, le président de la Knesset, a exigé vendredi que toute modification de ce texte, ratifié en son temps par le Parlement, soit soumise au préalable à l'approbation des députés.
ISRAËL
POURRAIT
RECONNAÎTRE
LEC. N. T.ENLYBIE
DIASPORABLOG
accueille...
Slate-Afrique :
Israël et la Libye
Maintenant que le régime de Kadhafi est tombé, le gouvernement israélien espère un rapprochement avec le Conseil national de transition.
La Libye a toujours eu une attitude ambiguë vis-à-vis d’Israël, en soufflant le chaud et le froid dans ses relations. Le régime de Kadhafi et les rebelles qui viennent de prendre le pouvoir à Tripoli ont tous deux approché le gouvernement israélien pour obtenir un appui politique et matériel.
Le paradoxe tient au fait que, durant ses quatre décennies au pouvoir, le colonel Kadhafi s’était montré l’un des plus virulents critiques de l’État juif. Le jeune colonel avait d’ailleurs reçu une leçon en public du vieux président tunisien Bourguiba, qui lui avait déjà conseillé de voir du côté d’Israël.....
Lire la suite en cliquant sur le lien :
http://benillouche.blogspot.com/2011/08/slate-afrique-israel-et-la-libye.html
--
Jacques BENILLOUCHE
http://www.benillouche.com/
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Maintenant que le régime de Kadhafi est tombé, le gouvernement israélien espère un rapprochement avec le Conseil national de transition.
La Libye a toujours eu une attitude ambiguë vis-à-vis d’Israël, en soufflant le chaud et le froid dans ses relations. Le régime de Kadhafi et les rebelles qui viennent de prendre le pouvoir à Tripoli ont tous deux approché le gouvernement israélien pour obtenir un appui politique et matériel.
Le paradoxe tient au fait que, durant ses quatre décennies au pouvoir, le colonel Kadhafi s’était montré l’un des plus virulents critiques de l’État juif. Le jeune colonel avait d’ailleurs reçu une leçon en public du vieux président tunisien Bourguiba, qui lui avait déjà conseillé de voir du côté d’Israël.....
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Jacques BENILLOUCHE
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APRES
LEHAMAS
ISRAËLCONCLUT
UNETRÊVEAVEC
LEDJIHADHISLAMIQUE
Source : TF1news.fr en ligne le 26 août 2011
Accord de cessez-le-feu entre Israël
et le Djihad islamique
Israël et le Djihad islamique ont conclu un accord de cessez-le-feu après plusieurs jours de violence, a déclaré vendredi un responsable palestinien dans la bande de Gaza. Ce dernier, qui a requis l'anonymat, a précisé que les autorités israéiennes et le groupe palestinien avaient informé Le Caire qu'ils allaient finalement respecter la trêve annoncée lundi dernier après une médiation de l'Egypte et des Nations unies.
Huit Palestiniens, dont un chef local du Djihad islamique, ont été tués depuis lundi, ce qui porte à 26 le nombre total de morts palestiniens en huit jours. Une roquette tirée sur le sud d'Israël par des militants gazaouis a également tué un citoyen israélien. Un porte-parole militaire israélien a déclaré qu'aucune roquette n'avait été tirée sur Israël depuis jeudi.
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Source : TF1news.fr en ligne le 26 août 2011
Accord de cessez-le-feu entre Israël
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Israël et le Djihad islamique ont conclu un accord de cessez-le-feu après plusieurs jours de violence, a déclaré vendredi un responsable palestinien dans la bande de Gaza. Ce dernier, qui a requis l'anonymat, a précisé que les autorités israéiennes et le groupe palestinien avaient informé Le Caire qu'ils allaient finalement respecter la trêve annoncée lundi dernier après une médiation de l'Egypte et des Nations unies.
Huit Palestiniens, dont un chef local du Djihad islamique, ont été tués depuis lundi, ce qui porte à 26 le nombre total de morts palestiniens en huit jours. Une roquette tirée sur le sud d'Israël par des militants gazaouis a également tué un citoyen israélien. Un porte-parole militaire israélien a déclaré qu'aucune roquette n'avait été tirée sur Israël depuis jeudi.
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