LESJUIFS
DETUNISIE
PERSISTENTETSIGNENT
Source : Guysen International News en ligne
le 31 janvier 2012
Les juifs tunisiens ne veulent pas
immigrer en Israël
Malgré les appels du vice Premier ministre israélien Silvan Shalom à immigrer en Israël compte tenu de la situation politique dans leur pays, Atun Khalifa, une figure proméminente de la communauté juive tunisienne, a indiqué à la BBC que les juifs de Tunisie ne souhaitent pas bouger.
Revue de presse, panorama du monde, blog de lutte contre l'antisémitisme et le racisme, ouvert au dialogue, l'autre image d'Israël, la culture juive à la rencontre de toutes les cultures, le monde juif tel qu'il est.
"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS
Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha
Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam
CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
mardi, janvier 31, 2012
LEDOUBLE
VISAGE
DEMARINELEPEN
Source : la newsletter de rue89.com diffusée
le 31 janvier 2012
Autriche :
qui sont ces fachos
avec qui Marine Le Pen
est allée danser ?
Jérôme Segal*
Plongée dans l'histoire de ce bal viennois, auquel était invitée la candidate du FN, avec le spécialiste de l'extrême droite autrichienne Jérôme Segal.
En Autriche, la tradition des bals témoigne d'une splendeur passée, liée à l'Empire austro-hongrois. Il y a le bal de l'Opéra bien sûr – le plus connu –, mais aussi le bal des chasseurs, le bal des juristes, des médecins, des sous-officiers… et encore, depuis 1952, celui de la Fédération des corporations pangermanistes (« Burschenschaften ») qui regroupe chaque année la fine fleur de l'extrême droite européenne, et auquel a participé Marine Le Pen cette année.
Historiquement, ces associations liées aux universités ont joué un rôle positif dans l'unification de l'Allemagne (1871) et dans la défense de la liberté d'expression. Seulement, avec la montée du nazisme, la plupart d'entre elles se sont mises au service du grand Reich... et en ont conservé l'idéologie !
L'Autriche, pas une simple victime
En 1945, alors que les corporations les plus dangereuses étaient interdites en Allemagne, l'Autriche n'accomplissait même pas ces évolutions pourtant élémentaires vers la dénazification, alors qu'elle reprenait sa place dans le concert des nations en se présentant frauduleusement comme le pays « première-victime-du-nazisme ».
Beaucoup d'Autrichiens oublient facilement : c'est Hitler et non Beethoven qui était autrichien et si l'Autriche représentait 8% de la population du Reich, les Autrichiens fournissaient 14% du personnel des SS, 40% du personnel des camps d'extermination… et 70% des services responsables de la logistique de la solution finale sous la direction d'Eichmann (David Art, « The Politics of the Nazi Past in Germany and Austria », 2005, Cambridge University Press, p. 43).
Ce n'est qu'en 1986, lors du scandale lié à l'élection de l'ancien officier de la Wehrmacht Kurt Waldheim à la présidence du pays (celui-ci avait été secrétaire général de l'ONU de 1972 à 1981), que des historiens ont pu se faire entendre [PDF] et remettre en cause la thèse d'une Autriche simple victime.
Une compagnie privée gère le palais
Contrairement aux associations « d'anciens » ou aux fraternités étudiantes qui ont une longue tradition aux Etats-Unis, les Burschenschaften qu'on trouve en Autriche fonctionnent par cooptation, sans être dépendantes des universités.
Une distinction est faite en Autriche entre les corporations où le duel à l'épée est pratiqué sans protection sur le visage (« schlagende Burschenschaften » – littéralement « corporations frappantes »), et celles où cette pratique barbare a été abolie. Le bal qui les rassemble toutes est devenu au fil du temps le point de convergence de toute l'extrême droite européenne.
Que ce soit le Vlaams Belang belge, l'Ataka bulgare ou le Jobbik hongrois, tout ce petit monde semant la peste brune virevolte au son des violons dans la Hofburg, le palais le plus prestigieux de la ville où réside le président autrichien. Comment imaginer que ce lieu si représentatif du pouvoir autrichien puisse être loué à la crème des nazillons autrichiens ? Et bien c'est un effet intéressant du néolibéralisme et plus prosaïquement des privatisations entreprises dans le pays.
C'est une compagnie privée qui gère les lieux, la Wiener Kongresszentrum Hofburg Betriebsges.m.b.H. Et – c'est bien connu – l'argent n'a pas d'odeur. Le chargé de presse expliquait avec candeur, comme c'est reporté dans cet article du quotidien Der Standard :
« Ce bal fait partie des plus nobles qui ont lieu chez nous ; deux tiers des invités sont allemands. Il a lieu depuis des décennies et cela ne fait que trois ans qu'il y a cette excitation autour de ce bal. »
Effectivement, l'extrême droite est tellement implantée dans la société autrichienne que jusqu'en 2009, ce bal ne donnait lieu à aucune protestation. C'est cette année-là que certains se sont rendu compte, par exemple, que cinq recteurs figuraient dans le comité d'organisation de l'édition 2008, dont Peter Skalicky, membre depuis 2003 du conseil d'administration de l'Ecole centrale de Paris (recteur qui, encore en décembre 2009, remettait une décoration à un négationniste notoire).
Rappelons que c'est en l'an 2000 que le parti d'un certain Jörg Haider (grand laudateur de la politique de l'emploi du Reich) est arrivé au pouvoir en Autriche. Ce n'est que six ans plus tard que l'extrême droite a quitté le gouvernement, sans pour autant perdre de sa popularité (contrairement à ce qu'espérait officiellement le chancelier Schüssel à l'époque).
Aux dernières élections nationales (les législatives de 2008), l'extrême droite atteignait 28,5% des suffrages, score correspondant aux sondages actuels en Autriche.
Cette année, parmi les invités du bal de la Burschenschaft Olympia, une certaine Marine Le Pen, venue s'entretenir au passage avec le deuxième vice-président du parlement autrichien, Martin Graf, du parti du sémillant leader Heinz-Christian Strache (41 ans), successeur de Haider, décédé en 2008 [PDF] suite à un accident lorsqu'il conduisait avec 2 grammes d'alcool par litre le sang.
Invitation de David Irving en 2005
Martin Graf fait bien partie d'une de ces nombreuses corporations « frappantes », dont les membres, forcément masculins, se reconnaissent en général par leur cicatrice au visage. La Burschenschaft Olympia à laquelle Graf appartient, et qui perdure depuis 1859, est devenue un groupement ouvertement néonazi. Ils se sont notamment illustrés en invitant en 2005 un négationniste notoire, David Irving, pour une soi-disant « conférence » (Irving dut rester plus longtemps que prévu en Autriche puisqu'il y fit treize mois de prison ! ).
Sur leur site, on lisait il y a peu :
« En tant qu'Allemand, on peut être fier de bien des choses. C'est là que l'expression “n'oublions jamais” prend tout son sens. »
Car cette année, si dans la plupart des pays on commémorait le 27 janvier le 67e anniversaire de la libération d'Auschwitz, les plus hauts représentants de l'Etat autrichien ont préféré, plutôt que de se recueillir ou de débusquer les anciens nazis qui restent dans le pays, autoriser ce rassemblement de fachos (dénomination aussi concise que précise).
Précisons ici que Martin Graf a été élu à son poste en 2008 avec les voix de représentants des deux partis qui président actuellement aux destinées de l'Autriche, le SPÖ des sociaux-démocrates et l »ÖVP des conservateurs chrétiens. Si en France l'UMP tente avec sa composante droite populaire (Mariani, Luca, Vanneste) de briser le relatif « cordon sanitaire » qui existe autour du FN, en Autriche pas de cordon du tout !
« Nous sommes les nouveaux juifs »
Et l'Europe-garante-de-la-démocratie-sur-le-continent, comme réagit-elle ? Rien ! En l'an 2000, il y avait bien eu quelques petites sanctions mais depuis, il y a eu les percées de partis similaires en Italie, aux Pays-Bas, en Bulgarie, en Lettonie, en Suisse… et bien sûr en Hongrie. Les organisations internationales comme l'Unesco ne sont pas plus réactives… au contraire !
A la mi-janvier, la commission autrichienne a décidé de placer la tradition des bals au patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Après tout pourquoi pas ? Seulement, dans la liste des bals représentatifs, on ne trouvait pas le bal de l'opéra… mais le bal WKR des fachos ! Devant le tollé suscité, l'Unesco n'a rien trouvé de mieux que de retirer tous les bals, alors qu'il aurait été simple de n'en enlever qu'un.
Alors il reste les citoyens et le monde politico-associatif. Vendredi 27 janvier au soir, environ 6 000 personnes [2 500 selon la police, ndlr] se sont réunies par -2°C pour protester. Au moins, cette année, les manifestations étaient autorisées (en 2011, la police quadrillait la capitale pour que les néonazis et leurs amis puissent se rendre au bal tranquillement, les demandes de manifestations déposées avaient été rejetées).
Vendredi dernier, des associations très diverses appelaient à y participer, qu'il s'agisse d'organisations politiques (les sociaux-démocrates et les verts), confessionnelles (juives et catholiques) ou d'ONG comme SOS Mitmensch ou Zara (qui militent respectivement auprès des étrangers sans-papiers ou contre le racisme).
Malheureusement, les tambours des manifestants étaient loin de perturber les valseurs, confortablement protégés par les forces d'un ordre qui semble en Autriche bien établi. Le lundi 30 janvier, on lisait encore dans la presse autrichienne que lors de ce bal, M. Strache avait estimé que c'étaient les membres des Burschenschaften qui étaient victimes de persécutions, ajoutant : « Nous sommes les nouveaux juifs. »
Marine Le Pen, venue chercher son père ?
Selon lui, le petit feu de Bengale déposé dans la nuit de vendredi à samedi devant les locaux d'une de ces corporations rappelle « la Nuit de cristal » ! Tentant de justifier l'ignoble parallèle établi par le leader de son parti, l'ancien député du FPÖ Klaus Nittmann a affirmé que « les entreprises qui travaillent pour ce bal se voient coller des étoiles juives ». Voilà autant de propos qui rappellent ceux de Jean-Marie Le Pen.
Marine serait-elle venue dans la capitale historique de la psychanalyse pour y chercher son père ? Avec MM. Strache ou Graf, il reste à espérer que lors du bal, elle n'ait pas trouvé son prince charmant.
*Jérôme Segal est blogueur et maître de conférences à Paris-IV travaillant à l'université de Vienne, spécialiste de l'extrême droite autrichienne.
VISAGE
DEMARINELEPEN
Source : la newsletter de rue89.com diffusée
le 31 janvier 2012
Autriche :
qui sont ces fachos
avec qui Marine Le Pen
est allée danser ?
Jérôme Segal*
Plongée dans l'histoire de ce bal viennois, auquel était invitée la candidate du FN, avec le spécialiste de l'extrême droite autrichienne Jérôme Segal.
En Autriche, la tradition des bals témoigne d'une splendeur passée, liée à l'Empire austro-hongrois. Il y a le bal de l'Opéra bien sûr – le plus connu –, mais aussi le bal des chasseurs, le bal des juristes, des médecins, des sous-officiers… et encore, depuis 1952, celui de la Fédération des corporations pangermanistes (« Burschenschaften ») qui regroupe chaque année la fine fleur de l'extrême droite européenne, et auquel a participé Marine Le Pen cette année.
Historiquement, ces associations liées aux universités ont joué un rôle positif dans l'unification de l'Allemagne (1871) et dans la défense de la liberté d'expression. Seulement, avec la montée du nazisme, la plupart d'entre elles se sont mises au service du grand Reich... et en ont conservé l'idéologie !
L'Autriche, pas une simple victime
En 1945, alors que les corporations les plus dangereuses étaient interdites en Allemagne, l'Autriche n'accomplissait même pas ces évolutions pourtant élémentaires vers la dénazification, alors qu'elle reprenait sa place dans le concert des nations en se présentant frauduleusement comme le pays « première-victime-du-nazisme ».
Beaucoup d'Autrichiens oublient facilement : c'est Hitler et non Beethoven qui était autrichien et si l'Autriche représentait 8% de la population du Reich, les Autrichiens fournissaient 14% du personnel des SS, 40% du personnel des camps d'extermination… et 70% des services responsables de la logistique de la solution finale sous la direction d'Eichmann (David Art, « The Politics of the Nazi Past in Germany and Austria », 2005, Cambridge University Press, p. 43).
Ce n'est qu'en 1986, lors du scandale lié à l'élection de l'ancien officier de la Wehrmacht Kurt Waldheim à la présidence du pays (celui-ci avait été secrétaire général de l'ONU de 1972 à 1981), que des historiens ont pu se faire entendre [PDF] et remettre en cause la thèse d'une Autriche simple victime.
Une compagnie privée gère le palais
Contrairement aux associations « d'anciens » ou aux fraternités étudiantes qui ont une longue tradition aux Etats-Unis, les Burschenschaften qu'on trouve en Autriche fonctionnent par cooptation, sans être dépendantes des universités.
Une distinction est faite en Autriche entre les corporations où le duel à l'épée est pratiqué sans protection sur le visage (« schlagende Burschenschaften » – littéralement « corporations frappantes »), et celles où cette pratique barbare a été abolie. Le bal qui les rassemble toutes est devenu au fil du temps le point de convergence de toute l'extrême droite européenne.
Que ce soit le Vlaams Belang belge, l'Ataka bulgare ou le Jobbik hongrois, tout ce petit monde semant la peste brune virevolte au son des violons dans la Hofburg, le palais le plus prestigieux de la ville où réside le président autrichien. Comment imaginer que ce lieu si représentatif du pouvoir autrichien puisse être loué à la crème des nazillons autrichiens ? Et bien c'est un effet intéressant du néolibéralisme et plus prosaïquement des privatisations entreprises dans le pays.
C'est une compagnie privée qui gère les lieux, la Wiener Kongresszentrum Hofburg Betriebsges.m.b.H. Et – c'est bien connu – l'argent n'a pas d'odeur. Le chargé de presse expliquait avec candeur, comme c'est reporté dans cet article du quotidien Der Standard :
« Ce bal fait partie des plus nobles qui ont lieu chez nous ; deux tiers des invités sont allemands. Il a lieu depuis des décennies et cela ne fait que trois ans qu'il y a cette excitation autour de ce bal. »
Effectivement, l'extrême droite est tellement implantée dans la société autrichienne que jusqu'en 2009, ce bal ne donnait lieu à aucune protestation. C'est cette année-là que certains se sont rendu compte, par exemple, que cinq recteurs figuraient dans le comité d'organisation de l'édition 2008, dont Peter Skalicky, membre depuis 2003 du conseil d'administration de l'Ecole centrale de Paris (recteur qui, encore en décembre 2009, remettait une décoration à un négationniste notoire).
Rappelons que c'est en l'an 2000 que le parti d'un certain Jörg Haider (grand laudateur de la politique de l'emploi du Reich) est arrivé au pouvoir en Autriche. Ce n'est que six ans plus tard que l'extrême droite a quitté le gouvernement, sans pour autant perdre de sa popularité (contrairement à ce qu'espérait officiellement le chancelier Schüssel à l'époque).
Aux dernières élections nationales (les législatives de 2008), l'extrême droite atteignait 28,5% des suffrages, score correspondant aux sondages actuels en Autriche.
Cette année, parmi les invités du bal de la Burschenschaft Olympia, une certaine Marine Le Pen, venue s'entretenir au passage avec le deuxième vice-président du parlement autrichien, Martin Graf, du parti du sémillant leader Heinz-Christian Strache (41 ans), successeur de Haider, décédé en 2008 [PDF] suite à un accident lorsqu'il conduisait avec 2 grammes d'alcool par litre le sang.
Invitation de David Irving en 2005
Martin Graf fait bien partie d'une de ces nombreuses corporations « frappantes », dont les membres, forcément masculins, se reconnaissent en général par leur cicatrice au visage. La Burschenschaft Olympia à laquelle Graf appartient, et qui perdure depuis 1859, est devenue un groupement ouvertement néonazi. Ils se sont notamment illustrés en invitant en 2005 un négationniste notoire, David Irving, pour une soi-disant « conférence » (Irving dut rester plus longtemps que prévu en Autriche puisqu'il y fit treize mois de prison ! ).
Sur leur site, on lisait il y a peu :
« En tant qu'Allemand, on peut être fier de bien des choses. C'est là que l'expression “n'oublions jamais” prend tout son sens. »
Car cette année, si dans la plupart des pays on commémorait le 27 janvier le 67e anniversaire de la libération d'Auschwitz, les plus hauts représentants de l'Etat autrichien ont préféré, plutôt que de se recueillir ou de débusquer les anciens nazis qui restent dans le pays, autoriser ce rassemblement de fachos (dénomination aussi concise que précise).
Précisons ici que Martin Graf a été élu à son poste en 2008 avec les voix de représentants des deux partis qui président actuellement aux destinées de l'Autriche, le SPÖ des sociaux-démocrates et l »ÖVP des conservateurs chrétiens. Si en France l'UMP tente avec sa composante droite populaire (Mariani, Luca, Vanneste) de briser le relatif « cordon sanitaire » qui existe autour du FN, en Autriche pas de cordon du tout !
« Nous sommes les nouveaux juifs »
Et l'Europe-garante-de-la-démocratie-sur-le-continent, comme réagit-elle ? Rien ! En l'an 2000, il y avait bien eu quelques petites sanctions mais depuis, il y a eu les percées de partis similaires en Italie, aux Pays-Bas, en Bulgarie, en Lettonie, en Suisse… et bien sûr en Hongrie. Les organisations internationales comme l'Unesco ne sont pas plus réactives… au contraire !
A la mi-janvier, la commission autrichienne a décidé de placer la tradition des bals au patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Après tout pourquoi pas ? Seulement, dans la liste des bals représentatifs, on ne trouvait pas le bal de l'opéra… mais le bal WKR des fachos ! Devant le tollé suscité, l'Unesco n'a rien trouvé de mieux que de retirer tous les bals, alors qu'il aurait été simple de n'en enlever qu'un.
Alors il reste les citoyens et le monde politico-associatif. Vendredi 27 janvier au soir, environ 6 000 personnes [2 500 selon la police, ndlr] se sont réunies par -2°C pour protester. Au moins, cette année, les manifestations étaient autorisées (en 2011, la police quadrillait la capitale pour que les néonazis et leurs amis puissent se rendre au bal tranquillement, les demandes de manifestations déposées avaient été rejetées).
Vendredi dernier, des associations très diverses appelaient à y participer, qu'il s'agisse d'organisations politiques (les sociaux-démocrates et les verts), confessionnelles (juives et catholiques) ou d'ONG comme SOS Mitmensch ou Zara (qui militent respectivement auprès des étrangers sans-papiers ou contre le racisme).
Malheureusement, les tambours des manifestants étaient loin de perturber les valseurs, confortablement protégés par les forces d'un ordre qui semble en Autriche bien établi. Le lundi 30 janvier, on lisait encore dans la presse autrichienne que lors de ce bal, M. Strache avait estimé que c'étaient les membres des Burschenschaften qui étaient victimes de persécutions, ajoutant : « Nous sommes les nouveaux juifs. »
Marine Le Pen, venue chercher son père ?
Selon lui, le petit feu de Bengale déposé dans la nuit de vendredi à samedi devant les locaux d'une de ces corporations rappelle « la Nuit de cristal » ! Tentant de justifier l'ignoble parallèle établi par le leader de son parti, l'ancien député du FPÖ Klaus Nittmann a affirmé que « les entreprises qui travaillent pour ce bal se voient coller des étoiles juives ». Voilà autant de propos qui rappellent ceux de Jean-Marie Le Pen.
Marine serait-elle venue dans la capitale historique de la psychanalyse pour y chercher son père ? Avec MM. Strache ou Graf, il reste à espérer que lors du bal, elle n'ait pas trouvé son prince charmant.
*Jérôme Segal est blogueur et maître de conférences à Paris-IV travaillant à l'université de Vienne, spécialiste de l'extrême droite autrichienne.
LAFRANCE
APPELLE
LESENEGAL
APLUSDEPLURALITE
Source : afriquinfos.com en ligne
le 30 janvier 2011
Sénégal :
Paris appelle à des élections
« dans le calme et la pluralité »
PARIS (Xinhua)
Le ministère français des affaires étrangères a appelé lundi à la tenue des prochaines élections présidentielles au Sénégal « dans le calme et la pluralité », regrettant la non-représentation de toutes les sensibilités politiques.
« La campagne électorale à venir doit se dérouler dans le calme et la pluralité. Les autorités sénégalaises en sont les garantes », a déclaré le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valero, avant d'appeler « l'ensemble des acteurs à la
responsabilité ».
Suite à la publication par le Conseil constitutionnel du Sénégal vendredi dernier de la liste des candidats à la présidentielle, « la France regrette que toutes les sensibilités politiques ne puissent être représentées », a indiqué le diplomate français.
Les Sages ont ainsi décidé de valider la candidature du président Abdoulaye Wade, qui souhaite briguer son troisième mandat, lors du scrutin du 26 février 2012, tout en rejetant le dossier de Youssou N'Dour, star de la chanson qui jouit d'une grande popularité au Sénégal, au motif qu'il n'a pas réuni les 10. 000 signatures de citoyens requises.
« Nous sommes extrêmement préoccupés par la mise en garde à vue des membres du M23 et notamment celle de son porte-parole, Alioune Tine, également président de la Rencontre africaine pour les droits de l'Homme (RADDHO) survenue samedi 28 janvier », a, par ailleurs, affirmé M. Valero.
M. Tine, membre du mouvement d'opposition M23, est détenu par les forces de police depuis samedi, suite aux violences graves qui se sont déroulées à Dakar et en province dans la nuit de vendredi à samedi, entraînant notamment la mort d'un policier.
« Face aux multiples arrestations, la France rappelle son attachement au respect des procédures judiciaires et des droits de la défense. Nous condamnons, par principe, toute instrumentalisation de la justice à des fins politiques », a poursuivi le porte-parole.
APPELLE
LESENEGAL
APLUSDEPLURALITE
Source : afriquinfos.com en ligne
le 30 janvier 2011
Sénégal :
Paris appelle à des élections
« dans le calme et la pluralité »
PARIS (Xinhua)
Le ministère français des affaires étrangères a appelé lundi à la tenue des prochaines élections présidentielles au Sénégal « dans le calme et la pluralité », regrettant la non-représentation de toutes les sensibilités politiques.
« La campagne électorale à venir doit se dérouler dans le calme et la pluralité. Les autorités sénégalaises en sont les garantes », a déclaré le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valero, avant d'appeler « l'ensemble des acteurs à la
responsabilité ».
Suite à la publication par le Conseil constitutionnel du Sénégal vendredi dernier de la liste des candidats à la présidentielle, « la France regrette que toutes les sensibilités politiques ne puissent être représentées », a indiqué le diplomate français.
Les Sages ont ainsi décidé de valider la candidature du président Abdoulaye Wade, qui souhaite briguer son troisième mandat, lors du scrutin du 26 février 2012, tout en rejetant le dossier de Youssou N'Dour, star de la chanson qui jouit d'une grande popularité au Sénégal, au motif qu'il n'a pas réuni les 10. 000 signatures de citoyens requises.
« Nous sommes extrêmement préoccupés par la mise en garde à vue des membres du M23 et notamment celle de son porte-parole, Alioune Tine, également président de la Rencontre africaine pour les droits de l'Homme (RADDHO) survenue samedi 28 janvier », a, par ailleurs, affirmé M. Valero.
M. Tine, membre du mouvement d'opposition M23, est détenu par les forces de police depuis samedi, suite aux violences graves qui se sont déroulées à Dakar et en province dans la nuit de vendredi à samedi, entraînant notamment la mort d'un policier.
« Face aux multiples arrestations, la France rappelle son attachement au respect des procédures judiciaires et des droits de la défense. Nous condamnons, par principe, toute instrumentalisation de la justice à des fins politiques », a poursuivi le porte-parole.
VA-T-ON
VERSUNHIVER
SENEGALAIS?
Source : francetv.fr en ligne le 31 janvier 2012
Au Sénégal,
"le combat continue" contre
"le coup d'Etat constitutionnel"
Oui pour Wade, non pour N'Dour. Le Conseil constitutionnel du Sénégal a confirmé lundi 30 janvier la liste des candidats autorisés à se présenter à la présidentielle qui se déroulera à partir du 26 février. Contrairement au chanteur Youssou N'Dour, le président sortant Abdoulaye Wade, 85 ans, pourra concourir à sa propre succession. Ses opposants appellent à une "résistance active" contre cette candidature qualifiée de "coup d'Etat constitutionnel" et appellent à un "rassemblement pacifique" mardi à Dakar.
• Qu'est-ce qui peut arrêter Abdoulaye Wade ?
Au pouvoir depuis douze ans, le président Wade va donc pouvoir se présenter pour la troisième fois à la présidence de la République. La Constitution de 2001 n'autorise pourtant que deux mandats maximum. Mais le Conseil - dont les cinq Sages ont été nommés par Wade - a validé sa candidature, arguant du fait que sa première élection, en 2000, s'est faite sous l'empire d'une Constitution antérieure, ce qui l'exclut du décompte des deux mandats.
Le 26 février prochain, Abdoulaye Wade devrait donc être opposé à 13 autres candidats, dont les anciens Premiers ministres Macky Sall et Idrissa Seck ainsi que l'ex-ministre des Affaires étrangères Cheikh Tidiane Gadio. Ces candidatures étaient d'ailleurs visées par une demande d'invalidation de la part d'Abdoulaye Wade.
• Que va devenir Youssou Ndour ?
"Le Sénégal a honte. Le Sénégal est meurtri." Youssou N'Dour est en colère après l'invalidation de sa candidature à la présidentielle et la confirmation de celle d'Abdoulaye Wade. "52 ans de construction démocratique viennent d'être balayés, s'est désolé le chanteur lundi matin sur RFI. Nous avons été trahis par cette décision honteuse. J'ai bien dit honteuse..."
Youssou N'Dour, qui présentait sa candidature pour la première fois, est exclu car il n'aurait pas présenté un nombre suffisant de signatures de soutien valides. Selon le Conseil, il "a produit une liste de 12 936 électeurs appuyant sa candidature, dont seulement 8 911 ont pu être identifiés et leurs signatures validées", alors qu'il en faut 10 000 au minimum.
Le chanteur compte désormais sur une mobilisation de l'opinion. "J'appelle toutes les forces vives de ce pays, nos frères africains, la communauté internationale a exprimer son désaccord face à ce coup d'Etat institutionnel et constitutionnel, a lancé Youssou N'Dour. Le combat continue parce que dieu est avec les justes."
• Le Sénégal est-il "en péril" ?
Après les graves violences qui se sont produites dans la nuit de vendredi à samedi, causant la mort d'un policier, le calme est revenu à Dakar et en province dimanche. Mais des manifestations devraient avoir lieu à partir de mardi, à l'initiative notamment du Mouvement du 23 juin qui a appelé à "la résistance". Arrêté samedi, le coordinateur de ce mouvement était toujours entendu dimanche soir par la police à Dakar. Quant au rappeur Thiat, du mouvement de jeunes Y'en a marre, il a affirmé : "Nous passons aux actes". Dirigeants et militants du mouvement se disent "prêts à tous les sacrifices".
Le secrétaire d'Etat adjoint américain William Burns a affirmé lundi que "la décision du président Wade de solliciter un troisième mandat (...) pourrait mettre en péril la démocratie, le développement démocratique et la stabilité politique" du Sénégal. Paris regrette pour sa part que "toutes les sensibilités" ne soient pas représentées lors de l'élection.
VERSUNHIVER
SENEGALAIS?
Source : francetv.fr en ligne le 31 janvier 2012
Au Sénégal,
"le combat continue" contre
"le coup d'Etat constitutionnel"
Oui pour Wade, non pour N'Dour. Le Conseil constitutionnel du Sénégal a confirmé lundi 30 janvier la liste des candidats autorisés à se présenter à la présidentielle qui se déroulera à partir du 26 février. Contrairement au chanteur Youssou N'Dour, le président sortant Abdoulaye Wade, 85 ans, pourra concourir à sa propre succession. Ses opposants appellent à une "résistance active" contre cette candidature qualifiée de "coup d'Etat constitutionnel" et appellent à un "rassemblement pacifique" mardi à Dakar.
• Qu'est-ce qui peut arrêter Abdoulaye Wade ?
Au pouvoir depuis douze ans, le président Wade va donc pouvoir se présenter pour la troisième fois à la présidence de la République. La Constitution de 2001 n'autorise pourtant que deux mandats maximum. Mais le Conseil - dont les cinq Sages ont été nommés par Wade - a validé sa candidature, arguant du fait que sa première élection, en 2000, s'est faite sous l'empire d'une Constitution antérieure, ce qui l'exclut du décompte des deux mandats.
Le 26 février prochain, Abdoulaye Wade devrait donc être opposé à 13 autres candidats, dont les anciens Premiers ministres Macky Sall et Idrissa Seck ainsi que l'ex-ministre des Affaires étrangères Cheikh Tidiane Gadio. Ces candidatures étaient d'ailleurs visées par une demande d'invalidation de la part d'Abdoulaye Wade.
• Que va devenir Youssou Ndour ?
"Le Sénégal a honte. Le Sénégal est meurtri." Youssou N'Dour est en colère après l'invalidation de sa candidature à la présidentielle et la confirmation de celle d'Abdoulaye Wade. "52 ans de construction démocratique viennent d'être balayés, s'est désolé le chanteur lundi matin sur RFI. Nous avons été trahis par cette décision honteuse. J'ai bien dit honteuse..."
Youssou N'Dour, qui présentait sa candidature pour la première fois, est exclu car il n'aurait pas présenté un nombre suffisant de signatures de soutien valides. Selon le Conseil, il "a produit une liste de 12 936 électeurs appuyant sa candidature, dont seulement 8 911 ont pu être identifiés et leurs signatures validées", alors qu'il en faut 10 000 au minimum.
Le chanteur compte désormais sur une mobilisation de l'opinion. "J'appelle toutes les forces vives de ce pays, nos frères africains, la communauté internationale a exprimer son désaccord face à ce coup d'Etat institutionnel et constitutionnel, a lancé Youssou N'Dour. Le combat continue parce que dieu est avec les justes."
• Le Sénégal est-il "en péril" ?
Après les graves violences qui se sont produites dans la nuit de vendredi à samedi, causant la mort d'un policier, le calme est revenu à Dakar et en province dimanche. Mais des manifestations devraient avoir lieu à partir de mardi, à l'initiative notamment du Mouvement du 23 juin qui a appelé à "la résistance". Arrêté samedi, le coordinateur de ce mouvement était toujours entendu dimanche soir par la police à Dakar. Quant au rappeur Thiat, du mouvement de jeunes Y'en a marre, il a affirmé : "Nous passons aux actes". Dirigeants et militants du mouvement se disent "prêts à tous les sacrifices".
Le secrétaire d'Etat adjoint américain William Burns a affirmé lundi que "la décision du président Wade de solliciter un troisième mandat (...) pourrait mettre en péril la démocratie, le développement démocratique et la stabilité politique" du Sénégal. Paris regrette pour sa part que "toutes les sensibilités" ne soient pas représentées lors de l'élection.
PASUNSEUL
VOTEJUIFPOUR
LEFRONTNATIONAL
Source : la revue Information Juive datée
de janvier 2012
DIASPORABLOG
accueille...
PHILIPPE MEYER
Directeur de publication
INFORMATION JUIVE
Le baiser de la mort
Dans cent jours environ, les français éliront leur prochain président de la République. Le scrutin aura cette fois un caractère inédit en s’inscrivant dans un climat dominé par la plus grave crise économique et financière que traverse le pays, et l’Europe, depuis des décennies. Face à une attente de plus en plus impatiente et exigeante des citoyens, donc des électeurs, les gouvernements européens peinent à endiguer le tsunami économique et financier qui fait courir des risques majeurs pour l’ensemble de la société.
C’est ainsi que galvanisés par les bénéfices électoraux attendus de cette crise, les partis populistes et extrémistes voient dans cette dépression économique qui n’en finit pas une occasion inespérée d’exploiter les incertitudes et les peurs afin d’appliquer leurs idéologies poussiéreuses et nauséabondes qui trainent dans leurs tiroirs depuis si longtemps.
Deux stratégies sont à l’œuvre. D’une part, l’extrême gauche reste sans ambiguïté fidèle à elle-même, ancrée sur ses positions altermondialistes, anticapitalistes, antiaméricaines, antisionistes. Autant d’options qui ne lui permettront pas de se défaire de ses habits râpés de révolutionnaires marginaux et peu fréquentables. D’autre part, l’extrême droite poursuit sur la voie de la normalisation abusive. Il lui faut gagner en crédibilité et en respectabilité, condition première pour espérer passer du statut de groupe extrémiste que l’on rejette à celui de parti représentatif que l’on écoute. Et pour cela, tous les moyens sont bons, même les plus inattendus. C’est ainsi qu’elle n’hésite plus à lancer une opération de séduction envers la communauté juive. Si même les juifs se mettent à l’écouter, qui pourraient encore les diaboliser ? Le calcul est simple. Ce qu'elle perdrait parmi les déçus les plus extrémistes, elle le gagnerait parmi certaines bonnes consciences plus présentables qui n'osaient pas franchir le pas jusque là. Sans compter peut être quelques voix glanées ici ou là au sein de la communauté juive elle-même, un trophée hors norme sur la voie de la réhabilitation.
Mais la ficelle est trop grosse pour qu’aucun ne puisse la voir. Il ne saurait être question ici de prodiguer la moindre consigne de vote républicain, mais de rappeler avec clarté l’impossibilité et l’irresponsabilité de s’engager dans l’aventure d’un tel vote extrémiste.
Outre les risques politiques, économiques et sociaux qui feraient plonger le pays dans des âbymes d’où il ne pourrait se relever, c'est la tromperie sur l'identité même de cette extrême droite qu'il s'agit d'écarter. Un grossier toilettage de son apparence extérieure, censé rassurer et séduire, ne pourra pas dissimiler une réalité repoussante qui n’a pas changé. Malgré un nouveau marketing, le produit demeure frelaté et hautement toxique. L’extrême droite “light” n’existe pas. Sa consommation est dangereuse dès la première prise.
On n’oubliera jamais le passé sulfureux de nombre de ses militants et dirigeants. On n’oubliera jamais les provocations abjectes et répugnantes vociférées pendant tant d’années par leur ancien leader qui demeure un élément clé du dispositif. On n’oubliera jamais les liens entretenus avec les négationnistes et tous les partis fascistes d’Europe. On n’oubliera jamais ses références historiques et idéologiques qui renverraient la France vers ces photos en noir et blanc rappelant le temps où la France avait perdu à la fois son rang et son âme.
Tout cela ne saurait être effacé par une coupe de champagne prise récemment avec tel ambassadeur à New-York,par un petit voyage en Israël fortement médiatisé mais totalement insignifiant, par des exclusions précipitées de troublions gênants, par de vagues propos politiquement corrects visant à se laver de décennies de haine, ou par la recherche de supposés ennemis communs destinée à proposer une union sacrée qui n’a aucun fondement et qui n’existera jamais. On ne change pas la nature des hommes, leur passé et leur idéologie par un simple calcul électoral éphémère.
Pour des raisons historiques, culturelles, morales ou simplement civiques, la conscience juive ne peut en rien être mêlée à une extrême droite avec laquelle elle n’a jamais eu, et n’aura jamais, la moindre des valeurs communes. Comme cela est enseigné depuis des siècles par notre tradition et par nos rabbins, le judaïsme est avant tout ouverture et tolérance envers autrui, respect des différences, et défense des valeurs humanistes.Depuis plus de deux cents ans, la communauté juive de France, structurée à travers le Consistoire créé par Napoléon Ier en 1808, est profondément attachée à la République et à ses valeurs universelles de liberté, d’égalité et de fraternité. Elle est aux antipodes de l’idéologie de la haine, comme le rappellent avec clarté et fermeté l’ensemble des grandes institutions juives en France.
La supercherie d’une séduction absurde doit être traquée, mise au grand jour, et combattue sans compromis, ni faiblesse. Face au baiser de la mort, ayons la lucidité de ne pas tende la joue. Les ennemis de nos ennemis ne sont pas obligatoirement nos amis. Loin de là. L’histoire a toujours montré que si un juif aide l’un de ses ennemis, par mégarde ou par intérêt, cela se retourne inévitablement contre lui. Si nous n’avons pas la mémoire courte, la question ne se posera même pas.
VOTEJUIFPOUR
LEFRONTNATIONAL
Source : la revue Information Juive datée
de janvier 2012
DIASPORABLOG
accueille...
PHILIPPE MEYER
Directeur de publication
INFORMATION JUIVE
Le baiser de la mort
Dans cent jours environ, les français éliront leur prochain président de la République. Le scrutin aura cette fois un caractère inédit en s’inscrivant dans un climat dominé par la plus grave crise économique et financière que traverse le pays, et l’Europe, depuis des décennies. Face à une attente de plus en plus impatiente et exigeante des citoyens, donc des électeurs, les gouvernements européens peinent à endiguer le tsunami économique et financier qui fait courir des risques majeurs pour l’ensemble de la société.
C’est ainsi que galvanisés par les bénéfices électoraux attendus de cette crise, les partis populistes et extrémistes voient dans cette dépression économique qui n’en finit pas une occasion inespérée d’exploiter les incertitudes et les peurs afin d’appliquer leurs idéologies poussiéreuses et nauséabondes qui trainent dans leurs tiroirs depuis si longtemps.
Deux stratégies sont à l’œuvre. D’une part, l’extrême gauche reste sans ambiguïté fidèle à elle-même, ancrée sur ses positions altermondialistes, anticapitalistes, antiaméricaines, antisionistes. Autant d’options qui ne lui permettront pas de se défaire de ses habits râpés de révolutionnaires marginaux et peu fréquentables. D’autre part, l’extrême droite poursuit sur la voie de la normalisation abusive. Il lui faut gagner en crédibilité et en respectabilité, condition première pour espérer passer du statut de groupe extrémiste que l’on rejette à celui de parti représentatif que l’on écoute. Et pour cela, tous les moyens sont bons, même les plus inattendus. C’est ainsi qu’elle n’hésite plus à lancer une opération de séduction envers la communauté juive. Si même les juifs se mettent à l’écouter, qui pourraient encore les diaboliser ? Le calcul est simple. Ce qu'elle perdrait parmi les déçus les plus extrémistes, elle le gagnerait parmi certaines bonnes consciences plus présentables qui n'osaient pas franchir le pas jusque là. Sans compter peut être quelques voix glanées ici ou là au sein de la communauté juive elle-même, un trophée hors norme sur la voie de la réhabilitation.
Mais la ficelle est trop grosse pour qu’aucun ne puisse la voir. Il ne saurait être question ici de prodiguer la moindre consigne de vote républicain, mais de rappeler avec clarté l’impossibilité et l’irresponsabilité de s’engager dans l’aventure d’un tel vote extrémiste.
Outre les risques politiques, économiques et sociaux qui feraient plonger le pays dans des âbymes d’où il ne pourrait se relever, c'est la tromperie sur l'identité même de cette extrême droite qu'il s'agit d'écarter. Un grossier toilettage de son apparence extérieure, censé rassurer et séduire, ne pourra pas dissimiler une réalité repoussante qui n’a pas changé. Malgré un nouveau marketing, le produit demeure frelaté et hautement toxique. L’extrême droite “light” n’existe pas. Sa consommation est dangereuse dès la première prise.
On n’oubliera jamais le passé sulfureux de nombre de ses militants et dirigeants. On n’oubliera jamais les provocations abjectes et répugnantes vociférées pendant tant d’années par leur ancien leader qui demeure un élément clé du dispositif. On n’oubliera jamais les liens entretenus avec les négationnistes et tous les partis fascistes d’Europe. On n’oubliera jamais ses références historiques et idéologiques qui renverraient la France vers ces photos en noir et blanc rappelant le temps où la France avait perdu à la fois son rang et son âme.
Tout cela ne saurait être effacé par une coupe de champagne prise récemment avec tel ambassadeur à New-York,par un petit voyage en Israël fortement médiatisé mais totalement insignifiant, par des exclusions précipitées de troublions gênants, par de vagues propos politiquement corrects visant à se laver de décennies de haine, ou par la recherche de supposés ennemis communs destinée à proposer une union sacrée qui n’a aucun fondement et qui n’existera jamais. On ne change pas la nature des hommes, leur passé et leur idéologie par un simple calcul électoral éphémère.
Pour des raisons historiques, culturelles, morales ou simplement civiques, la conscience juive ne peut en rien être mêlée à une extrême droite avec laquelle elle n’a jamais eu, et n’aura jamais, la moindre des valeurs communes. Comme cela est enseigné depuis des siècles par notre tradition et par nos rabbins, le judaïsme est avant tout ouverture et tolérance envers autrui, respect des différences, et défense des valeurs humanistes.Depuis plus de deux cents ans, la communauté juive de France, structurée à travers le Consistoire créé par Napoléon Ier en 1808, est profondément attachée à la République et à ses valeurs universelles de liberté, d’égalité et de fraternité. Elle est aux antipodes de l’idéologie de la haine, comme le rappellent avec clarté et fermeté l’ensemble des grandes institutions juives en France.
La supercherie d’une séduction absurde doit être traquée, mise au grand jour, et combattue sans compromis, ni faiblesse. Face au baiser de la mort, ayons la lucidité de ne pas tende la joue. Les ennemis de nos ennemis ne sont pas obligatoirement nos amis. Loin de là. L’histoire a toujours montré que si un juif aide l’un de ses ennemis, par mégarde ou par intérêt, cela se retourne inévitablement contre lui. Si nous n’avons pas la mémoire courte, la question ne se posera même pas.
lundi, janvier 30, 2012
POLEMIQUEAUTOUR
DELINTERVIEW
DEGANNOUCHIACCORDEE
AUNERADIOISRAELIENNE
Source: businessnews.com en ligne
le 30 janvier 2012.
Interview de Rached Ghannouchi :
Ennahdha multiplie les versions et
le journaliste israélien maintient ses propos
L’interview qu’aurait ou non accordée le leader d’Ennahdha Rached Ghannouchi à la radio israélienne la Voix d’Israël, continue de susciter la polémique. Le parti islamiste a livré, jusque là, trois versions différentes les unes des autres.
La première version, via la page Facebook de Rached Ghannouchi, a affirmé que le leader d’Ennahdha n’a donné aucune déclaration aux journalistes.
La deuxième a été publiée sur le site internet du parti et affirme que Rached Ghannouchi a présidé une conférence de presse devant 60 journalistes et qu’il n’a donné aucune interview exclusive à un journaliste.
La troisième version est présentée par Néjib Gharbi, chargé de la communication d’Ennahdha, qui a déclaré au journal Al Mach’had que M. Ghannouchi a donné une interview à un journaliste espagnol.
Chacun choisira la version qu’il voudra donc, l’essentiel étant de croire que Rached Ghannouchi n’a donné aucune déclaration à la radio israélienne.
Mosaïque FM a cependant poussé l’investigation en contactant le journaliste israélien. Il s’appelle Gideon Kouts et il a confirmé à nos confrères de Mosaïque que M. Ghannouchi lui a bel et bien donné la déclaration. Il précise qu’il s’est présenté en tant que journaliste israélien avec, de surcroit, un badge montrant clairement son identité et le média pour lequel il travaillait.
R.B.H.
DELINTERVIEW
DEGANNOUCHIACCORDEE
AUNERADIOISRAELIENNE
Source: businessnews.com en ligne
le 30 janvier 2012.
Interview de Rached Ghannouchi :
Ennahdha multiplie les versions et
le journaliste israélien maintient ses propos
L’interview qu’aurait ou non accordée le leader d’Ennahdha Rached Ghannouchi à la radio israélienne la Voix d’Israël, continue de susciter la polémique. Le parti islamiste a livré, jusque là, trois versions différentes les unes des autres.
La première version, via la page Facebook de Rached Ghannouchi, a affirmé que le leader d’Ennahdha n’a donné aucune déclaration aux journalistes.
La deuxième a été publiée sur le site internet du parti et affirme que Rached Ghannouchi a présidé une conférence de presse devant 60 journalistes et qu’il n’a donné aucune interview exclusive à un journaliste.
La troisième version est présentée par Néjib Gharbi, chargé de la communication d’Ennahdha, qui a déclaré au journal Al Mach’had que M. Ghannouchi a donné une interview à un journaliste espagnol.
Chacun choisira la version qu’il voudra donc, l’essentiel étant de croire que Rached Ghannouchi n’a donné aucune déclaration à la radio israélienne.
Mosaïque FM a cependant poussé l’investigation en contactant le journaliste israélien. Il s’appelle Gideon Kouts et il a confirmé à nos confrères de Mosaïque que M. Ghannouchi lui a bel et bien donné la déclaration. Il précise qu’il s’est présenté en tant que journaliste israélien avec, de surcroit, un badge montrant clairement son identité et le média pour lequel il travaillait.
R.B.H.
YOUSSOU
N'DOUR
NOUVEAUCANDIDAT
ALAPRESIDENTIELLE
DENEGALAISE
Source : pressafrik.com en ligne le 26 janvier 2012
Youssou Ndour a officiellement déposé
sa candidature au Conseil constitutionnel
« MA VIE, C’EST LA MUSIQUE, mais je peux m’engager pour un mouvement, une personnalité qui fera avancer les choses ». Invité l’an dernier à Besançon, dans le cadre de « Mars en Afrique », le chanteur sénégalais avait répondu à ceux qui déjà le voyaient devenir chef d’Etat dans son pays natal. Car « Youssou n’est pas seulement un chanteur mais un modèle pour la jeunesse et qui s’est battu toute sa vie et a pris des responsabilités », selon des proches.
Aujourd’hui, la star internationale a officiellement déposé sa candidature à la prochaine élection présidentielle au Sénégal, dont le premier tour est fixé au 26 février. Youssou Ndour se présentera donc face au chef d’Etat sortant, Abdoulaye Wade, qui, à 85 ans, brigue un troisième mandat. Après avoir été à la fois proche et critique du pouvoir, le chanteur s’était mobilisé avec l’opposition pour appeler le chef de l’Etat, de plus en plus impopulaire, à se contenter des deux mandats consécutifs, autorisés par la Constitution révisée en 2001. Il devait apporter son soutien à l’une des vingt personnalités qui se sont déclarées pour succéder à Abdoulaye Wade, au pouvoir depuis déjà douze ans. Il a finalement choisi d’être lui-même « le candidat de la rupture ! »
Et pour peser sur le scrutin, il compte bien sur sa stature internationale et sur son immense popularité. « C’est vrai, je n’ai pas fait d’études supérieures, mais la présidence est une fonction et non un métier. […] A l’école du monde, j’ai appris, j’ai beaucoup appris. Le voyage instruit autant que les livres », a-t-il déclaré début janvier en réponse à ceux qui lui reprochent son inexpérience. Pas encore engagé dans le politique, il lance en 2010 un mouvement citoyen, « Fekkee ma ci boole », ce qui signifie « Je suis là, donc j’en fais partie », en wolof. Un engagement qui lui a déjà valu de nombreux soutiens. Cependant, « beaucoup de gens sont perplexes, maintenant qu’il se présente ». « Mais quel est son programme ? », s’interroge le journal sénégalais « Le Quotidien ».
On connaît le chanteur Youssou Ndour. « You », son surnom dans son pays natal, est devenu la star du mbalax, musique populaire sénégalaise. « Seven seconds », l’une des chansons les plus célèbres de « You » en duo avec Neneh Cherry, en a fait une figure de la « world music », une vedette pour les jeunes de son pays.
Il a travaillé avec des artistes de renommée internationale comme Peter Gabriel, Manu Dibango… Il est aussi le compositeur de la musique du film d’animation du français Michel Ocelot, « Kirikou et la sorcière ».
On connaît le chanteur engagé. Youssou Ndour a organisé un concert pour la libération de Nelson Mandela, à Dakar en 1985, ainsi que plusieurs concerts au profit d’Amnesty International. Il a également été ambassadeur de bonne volonté pour l’Organisation des Nations Unies. En 2007, il a participé avec d’autres artistes engagés à la réalisation de « Make some noises », une reprise du célèbre album de John Lennon « Imagine » comme symbole de la mobilisation pour le dénouement de la crise au Darfour.
Le chanteur est aussi homme d’affaires. Youssou Ndour a toujours investi dans son pays : un studio d’enregistrement à Dakar, une discothèque, une société de production, un orchestre… En 2008, il crée une société de microcrédit. Enfin, patron de presse influent, il possède « L’Observateur », un quotidien, une radio (RFM) et TFM (Télévision Futurs Medias), une chaîne de télévision. D’abord station culturelle, elle diffuse désormais des informations générales et pourrait bien lui servir d’instrument de campagne…
Corinne BAUMERT
Bio express
1 er octobre 1959 : Naissance de Youssou Ndour à Dakar.
1994 : « Seven sconds », duo avec Nenh Cherry
1996 : nommé meilleur artiste africain
1998 : compose la musique du film « Kirikou et la sorcière »
2003 : création d’un groupe de presse
2005 : récompensé par les Grammy Awards
pour son album « Egypt »
2012 : candidat à l’élection présidentielle.
LAUENTFABIUS
PORTE-PAROLE
DEFRANCOISHOLLANDE
ENISRAËL
Source : israel-valleys.com en ligne
le 30 janvier 2012
LAURENT FABIUS SERA EN ISRAËL
CE MERCREDI.
Le Parti socialiste a confié à Daphna Poznansky l'organisation de cette visite d'information.
Laurent Fabius, ancien Premier Ministre, proche de François Hollande, candidat socialiste aux élections présidentielles, est attendu en Israël le mercredi 1er février. A son agenda, des entretiens avec le Premier Ministre Binyamin Netanyahou, le président de l’Etat Shimon Peres, et d’autres personnalités israéliennes de premier plan. Laurent Fabius tiendra un point de presse mercredi à 18.30 à l’hôtel Dan à Tel-Aviv.
Le Parti socialiste a confié à Daphna Poznansky, déléguée des Français de l’Etranger, vice-présidente de la commissions des lois, l’organisation de cette visite d’information menée par l’ancien premier ministre. Rappelons que Laurent Fabius a relancé, en 1994, la coopération scientifique et technologique entre la France et Israël, avec la création de l’AFIRST, dont le 1er président fut le professeur François Gros et le vice-président le professeur Ephraïm Katzir, ancien président de l’Etat.
ISRAELVALLEY PLUS
(DANS NOS ARCHIVES EN JANVIER 2010)
Dans une des éditions du journal Le Monde on peut lire cette semaine les extraits de la lettre de George Frêche à l’attention de Laurent Fabius : “Si la confiance n’est pas nécessairement de mise entre nous, l’expression que j’ai utilisée n’a pas de connotation religieuse. Tu connais depuis longtemps mon amitié pour Israël”, écrit Georges Frêche à l’ex-Premier ministre socialiste, dont la famille est d’origine juive".
Laissons la polémique de côté pour l’instant car George Frêche, avec toutes ses erreurs et maladresses, est malgré tout le soutien sans faille de la firme israélienne AGREXCO dans sa région.
Profitons-en pour parler d’un dossier sympa pour les amis d’Israël: Laurent Fabius, élu maire du Grand-Quevilly en 1995 a été impliqué dans la réalisation opérationnelle et la mise en place d’un jumelage de sa ville avec la magnifique petite ville de Ness-Ziona en Israël.
Fabius n’a jamais renoncé a ce jumelage malgré des critiques provenant de quelques “amis” socialistes. Laurent Fabius est a présent député et 1er adjoint, Finances et développement durable.
C’est en 1964 que Grand-Quevilly a conclu un jumelage avec cette ville d’Israël. Ness-Ziona, d’une superficie de 16 km2 , est située à 20 minutes de Tel Aviv, 50 minutes de Jérusalem et 15 minutes de l’aéroport international “Ben Gourion”. Considérée comme la “Perle de la vallée centrale d’Israël” elle a été érigée par deux pionniers immigrés d’Odessa en Russie.
Entourée de bosquets d’agrumes, la ville se développe à un rythme sans précédent, avec de nouvelles zones résidentielles. Elle comptait entre 250 et 1 800 habitants en 1887 et 6 000 en 1950. Aujourd’hui elle compte 30 000 habitants dont 5 700 enfants. Plusieurs nouveaux bâtiments à usage social ont été construits récemment dans la ville : un centre commercial, le centre culturel Jack Posluns, un complexe sportif et de loisirs et un centre d’éducation.
Un accent a été mis sur l’extension et le développement de l’éducation et de la culture. La municipalité agrandit la ville en maintenant son aspect attractif. Elle développe le Parc de la Science et les services d’éducation et de vie culturelle.
Le nouveau plan d’ensemble de Ness-Ziona a été approuvé et le tracé de nouveaux quartiers comportant quelques 5 000 unités d’habitations est actuellement en phase finale. Cela signifie que dans les années à venir, la population de Ness Ziona doublera.
Avec ce nouveau plan, la municipalité espère réaliser un grand nombre de projets publics dans les domaines de l’éducation, de la culture, de la détente et des sports.
L’Education et la Culture sont les priorités de la Municipalité de Ness-Ziona qui consacre 40 % de son budget aux Jeunes. Dernièrement de nouveaux projets ont été mis en application : le Centre culturel “Poslens” a une fonction régionale, de même que la Bibliothèque et le Centre d’activités. La Galerie d’Exposition et le Conservatoire soulignent l’urbanisme croissant de Ness-Ziona.
Ness-Ziona comprend trois zones industrielles. Deux d’entre elles sont situées dans l’ancienne région et se sont développées au cours de ces dernières années. Au Parc des Sciences “Kyriat Wiezman” se trouvent les industries de pointe les plus sophistiquées et les plus connues mondialement comme par exemple : Indigo, OP, Interfarm, Biotechnologie. —
PORTE-PAROLE
DEFRANCOISHOLLANDE
ENISRAËL
Source : israel-valleys.com en ligne
le 30 janvier 2012
LAURENT FABIUS SERA EN ISRAËL
CE MERCREDI.
Le Parti socialiste a confié à Daphna Poznansky l'organisation de cette visite d'information.
Laurent Fabius, ancien Premier Ministre, proche de François Hollande, candidat socialiste aux élections présidentielles, est attendu en Israël le mercredi 1er février. A son agenda, des entretiens avec le Premier Ministre Binyamin Netanyahou, le président de l’Etat Shimon Peres, et d’autres personnalités israéliennes de premier plan. Laurent Fabius tiendra un point de presse mercredi à 18.30 à l’hôtel Dan à Tel-Aviv.
Le Parti socialiste a confié à Daphna Poznansky, déléguée des Français de l’Etranger, vice-présidente de la commissions des lois, l’organisation de cette visite d’information menée par l’ancien premier ministre. Rappelons que Laurent Fabius a relancé, en 1994, la coopération scientifique et technologique entre la France et Israël, avec la création de l’AFIRST, dont le 1er président fut le professeur François Gros et le vice-président le professeur Ephraïm Katzir, ancien président de l’Etat.
ISRAELVALLEY PLUS
(DANS NOS ARCHIVES EN JANVIER 2010)
Dans une des éditions du journal Le Monde on peut lire cette semaine les extraits de la lettre de George Frêche à l’attention de Laurent Fabius : “Si la confiance n’est pas nécessairement de mise entre nous, l’expression que j’ai utilisée n’a pas de connotation religieuse. Tu connais depuis longtemps mon amitié pour Israël”, écrit Georges Frêche à l’ex-Premier ministre socialiste, dont la famille est d’origine juive".
Laissons la polémique de côté pour l’instant car George Frêche, avec toutes ses erreurs et maladresses, est malgré tout le soutien sans faille de la firme israélienne AGREXCO dans sa région.
Profitons-en pour parler d’un dossier sympa pour les amis d’Israël: Laurent Fabius, élu maire du Grand-Quevilly en 1995 a été impliqué dans la réalisation opérationnelle et la mise en place d’un jumelage de sa ville avec la magnifique petite ville de Ness-Ziona en Israël.
Fabius n’a jamais renoncé a ce jumelage malgré des critiques provenant de quelques “amis” socialistes. Laurent Fabius est a présent député et 1er adjoint, Finances et développement durable.
C’est en 1964 que Grand-Quevilly a conclu un jumelage avec cette ville d’Israël. Ness-Ziona, d’une superficie de 16 km2 , est située à 20 minutes de Tel Aviv, 50 minutes de Jérusalem et 15 minutes de l’aéroport international “Ben Gourion”. Considérée comme la “Perle de la vallée centrale d’Israël” elle a été érigée par deux pionniers immigrés d’Odessa en Russie.
Entourée de bosquets d’agrumes, la ville se développe à un rythme sans précédent, avec de nouvelles zones résidentielles. Elle comptait entre 250 et 1 800 habitants en 1887 et 6 000 en 1950. Aujourd’hui elle compte 30 000 habitants dont 5 700 enfants. Plusieurs nouveaux bâtiments à usage social ont été construits récemment dans la ville : un centre commercial, le centre culturel Jack Posluns, un complexe sportif et de loisirs et un centre d’éducation.
Un accent a été mis sur l’extension et le développement de l’éducation et de la culture. La municipalité agrandit la ville en maintenant son aspect attractif. Elle développe le Parc de la Science et les services d’éducation et de vie culturelle.
Le nouveau plan d’ensemble de Ness-Ziona a été approuvé et le tracé de nouveaux quartiers comportant quelques 5 000 unités d’habitations est actuellement en phase finale. Cela signifie que dans les années à venir, la population de Ness Ziona doublera.
Avec ce nouveau plan, la municipalité espère réaliser un grand nombre de projets publics dans les domaines de l’éducation, de la culture, de la détente et des sports.
L’Education et la Culture sont les priorités de la Municipalité de Ness-Ziona qui consacre 40 % de son budget aux Jeunes. Dernièrement de nouveaux projets ont été mis en application : le Centre culturel “Poslens” a une fonction régionale, de même que la Bibliothèque et le Centre d’activités. La Galerie d’Exposition et le Conservatoire soulignent l’urbanisme croissant de Ness-Ziona.
Ness-Ziona comprend trois zones industrielles. Deux d’entre elles sont situées dans l’ancienne région et se sont développées au cours de ces dernières années. Au Parc des Sciences “Kyriat Wiezman” se trouvent les industries de pointe les plus sophistiquées et les plus connues mondialement comme par exemple : Indigo, OP, Interfarm, Biotechnologie. —
LEYDDISH
ALAPORTEE
DESCHIENS
Source : israel-infos.net en ligne
le 30 janvier 2012
Israël
Le chien qui comprend le Yiddish
par
Gerard Fredj
Une unité de secours des pompiers vient de recevoir un renfort inhabituel.
L'unité, constitué de volontaires orthodoxes, assurent les services de secours et d'incendie.
Il y a plusieurs mois, le groupe a reçu en renfort des chiens spécialement dressés aux recherches de disparus durant les catastrophes naturelles ou accidentelles.
Achetés plus de 10 000 dollars en Hollande, les chiens ont commencé à s'entrainer à leurs nouvelles missions en Israël.
Un des animaux, Oman, a cependant une particularité : il ne comprend et n'obéit qu'aux ordres donnés en Yiddish!
Ce qui veut dire qu'il entend et comprend spécifiquement les appels de détresse lancés dans ce langage.
Oman n'est d'ailleurs pas entrainé comme les autres chiens: lorsqu'il retrouve une victime, au lieu d'aboyer, il s'allonge sur le sol à proximité de la personne en détresse qu'il a repérée.
Ne comprenant que le Yiddish, il n'est pas perturbé par les cris ou ordres contradictoires qui peuvent fuser dans toutes les autres langues dans des moments de panique: il ne comprend et ne répond qu'à son maître.
Oman a été rattaché à une unité de Maleh Adumim.
ALAPORTEE
DESCHIENS
Source : israel-infos.net en ligne
le 30 janvier 2012
Israël
Le chien qui comprend le Yiddish
par
Gerard Fredj
Une unité de secours des pompiers vient de recevoir un renfort inhabituel.
L'unité, constitué de volontaires orthodoxes, assurent les services de secours et d'incendie.
Il y a plusieurs mois, le groupe a reçu en renfort des chiens spécialement dressés aux recherches de disparus durant les catastrophes naturelles ou accidentelles.
Achetés plus de 10 000 dollars en Hollande, les chiens ont commencé à s'entrainer à leurs nouvelles missions en Israël.
Un des animaux, Oman, a cependant une particularité : il ne comprend et n'obéit qu'aux ordres donnés en Yiddish!
Ce qui veut dire qu'il entend et comprend spécifiquement les appels de détresse lancés dans ce langage.
Oman n'est d'ailleurs pas entrainé comme les autres chiens: lorsqu'il retrouve une victime, au lieu d'aboyer, il s'allonge sur le sol à proximité de la personne en détresse qu'il a repérée.
Ne comprenant que le Yiddish, il n'est pas perturbé par les cris ou ordres contradictoires qui peuvent fuser dans toutes les autres langues dans des moments de panique: il ne comprend et ne répond qu'à son maître.
Oman a été rattaché à une unité de Maleh Adumim.
SENEGAL
APPELSOLENNEL
ALACOMMUNAUTE
INTERNATIONALE
Source : lefigaro.fr en ligne le 30 janvier 2012
Sénégal:
Youssou Ndour lance un appel
Le chanteur sénégalais Youssou Ndour a appelé ce matin la communauté internationale à exprimer son désaccord après la confirmation, dans la nuit, par le Conseil constitutionnel du Sénégal de la liste des candidats à la présidentielle de février qu'il avait publiée vendredi.
"Le Sénégal a honte. Le Sénégal est meurtri. Le processus de coup d'Etat constitutionnel est consommé. 52 ans de construction démocratique viennent d'être balayés", a déclaré Youssou Ndour interrogé par la radio française RFI.
"Le Sénégal et son peuple ont mal. Nous avons été trahis par cette décision honteuse. J'ai dit bien honteuse...", a-t-il poursuivi sur les ondes de Radio France Internationale. "J'appelle, donc, toutes les forces vives de ce pays, nos frères africains, la communauté internationale a exprimé son désaccord face à ce coup d'Etat institutionnel et constitutionnel. Le combat continue, parce que dieu est avec les justes", a lancé le chanteur.
Le Conseil constitutionnel du Sénégal a confirmé dans la nuit de dimanche à lundi la liste des candidats à la présidentielle, sur laquelle figure le chef de l'Etat Abdoulaye Wade. Un recours introduit par Youssou Ndour, qui récusait l'invalidation de sa propre candidature par le Conseil, au motif qu'il n'avait pas présenté un nombre suffisant de signatures valides pour le soutenir, a également été jugée non fondée.
APPELSOLENNEL
ALACOMMUNAUTE
INTERNATIONALE
Source : lefigaro.fr en ligne le 30 janvier 2012
Sénégal:
Youssou Ndour lance un appel
Le chanteur sénégalais Youssou Ndour a appelé ce matin la communauté internationale à exprimer son désaccord après la confirmation, dans la nuit, par le Conseil constitutionnel du Sénégal de la liste des candidats à la présidentielle de février qu'il avait publiée vendredi.
"Le Sénégal a honte. Le Sénégal est meurtri. Le processus de coup d'Etat constitutionnel est consommé. 52 ans de construction démocratique viennent d'être balayés", a déclaré Youssou Ndour interrogé par la radio française RFI.
"Le Sénégal et son peuple ont mal. Nous avons été trahis par cette décision honteuse. J'ai dit bien honteuse...", a-t-il poursuivi sur les ondes de Radio France Internationale. "J'appelle, donc, toutes les forces vives de ce pays, nos frères africains, la communauté internationale a exprimé son désaccord face à ce coup d'Etat institutionnel et constitutionnel. Le combat continue, parce que dieu est avec les justes", a lancé le chanteur.
Le Conseil constitutionnel du Sénégal a confirmé dans la nuit de dimanche à lundi la liste des candidats à la présidentielle, sur laquelle figure le chef de l'Etat Abdoulaye Wade. Un recours introduit par Youssou Ndour, qui récusait l'invalidation de sa propre candidature par le Conseil, au motif qu'il n'avait pas présenté un nombre suffisant de signatures valides pour le soutenir, a également été jugée non fondée.
dimanche, janvier 29, 2012
LACHEFDELOPPOSITION
ISRAELIENNE
ARENCONTRE
DESJEUNESOPPOSANTS
IRANIENS
Source : ism-france.org via al manar en ligne
le 29 janvier 2012
"Israël" :
Tzipi Livni rencontre
des étudiants iraniens opposants
au régime !
La dirigeante de l'opposition centriste israélienne Tzipi Livni a rencontré samedi à Tel-Aviv une délégation de la Confédération des étudiants iraniens, des opposants au régime de Téhéran, a constaté un photographe de l'AFP.
Cette délégation était dirigée par Amir Abbas Fakhravar, secrétaire général de la confédération, qui a affirmé être "heureux de se trouver en Israël, la seule démocratie de la région".
Une des membres de la délégation a offert un ruban vert, un symbole de l'opposition iranienne, à Tzipi Livni.
Livni a pour sa part exprimé l'espoir que cette visite "permette de faire comprendre qu'Israël n'a de problème qu'avec les dirigeants iraniens, et pas avec le peuple iranien", a indiqué un communiqué de son parti Kadima.
Livni, ancienne ministre des Affaires étrangères, qui était accompagnée du député de Kadima Nahman Shaï, a également déclaré que cette rencontre lui permettait d'exprimer "l'urgente nécessité d'une intervention et d'actions effectives de la communauté internationale contre le régime iranien".
La Confédération affirme sur son site regrouper 8.000 membres, notamment en Iran, aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en France et en Allemagne.
Amir Abbas Fakhravar a quitté l'Iran depuis cinq ans et vit aux Etats-Unis, précise son site.
ISRAELIENNE
ARENCONTRE
DESJEUNESOPPOSANTS
IRANIENS
Source : ism-france.org via al manar en ligne
le 29 janvier 2012
"Israël" :
Tzipi Livni rencontre
des étudiants iraniens opposants
au régime !
La dirigeante de l'opposition centriste israélienne Tzipi Livni a rencontré samedi à Tel-Aviv une délégation de la Confédération des étudiants iraniens, des opposants au régime de Téhéran, a constaté un photographe de l'AFP.
Cette délégation était dirigée par Amir Abbas Fakhravar, secrétaire général de la confédération, qui a affirmé être "heureux de se trouver en Israël, la seule démocratie de la région".
Une des membres de la délégation a offert un ruban vert, un symbole de l'opposition iranienne, à Tzipi Livni.
Livni a pour sa part exprimé l'espoir que cette visite "permette de faire comprendre qu'Israël n'a de problème qu'avec les dirigeants iraniens, et pas avec le peuple iranien", a indiqué un communiqué de son parti Kadima.
Livni, ancienne ministre des Affaires étrangères, qui était accompagnée du député de Kadima Nahman Shaï, a également déclaré que cette rencontre lui permettait d'exprimer "l'urgente nécessité d'une intervention et d'actions effectives de la communauté internationale contre le régime iranien".
La Confédération affirme sur son site regrouper 8.000 membres, notamment en Iran, aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en France et en Allemagne.
Amir Abbas Fakhravar a quitté l'Iran depuis cinq ans et vit aux Etats-Unis, précise son site.
LAURENTFABIUS
SERENDENISRAËL
ILRENCONTRERA
LEPREMIERMINISTRE
ETLEPRESIDENT
DELAREPUBLIQUE
Source : lefigaro.fr via l'AFP et Radio J
en ligne le 29 janvier 2012
Fabius part en mission pour Hollande
S'abonner au Figaro.fr Laurent Fabius va partir mardi au Proche-Orient puis fin février en Chine et au Japon, en mission pour François Hollande. L'ancien premier ministre socialiste a précisé sur Radio J qu'il s'envolait d'abord pour Israël et Ramallah puis au Liban, au Qatar et à Abou Dhabi, pays dont il rencontrera les principaux dirigeants.
François Hollande "m'a demandé, ne pouvant le faire lui-même, de me rendre pour le représenter dans toute une série de pays", a indiqué le député socialiste. Il s'agit d'une mission "d'amitié, de respect et d'écoute" a-t-il souligné indiquant qu'il avait "prévenu" le chef de la diplomatie Alain Juppé.
"Je pars mardi en Israël et à Ramallah, pour voir les dirigeants israéliens et palestiniens dont le président palestinien Mahmoud Abbas, ensuite j'irai au Liban à Beyrouth pour voir le président de la République, le premier ministre et d'autres responsables, ensuite au Qatar et Abou Dhabi" a-t-il détaillé. Il a précisé qu'il reviendrait "dimanche ou lundi prochain" et serait accompagné de Loïc Hennekinne, ancien secrétaire général du quai d'Orsay (1998-2002). Il a aussi indiqué qu'en Israël il rencontrerait le président Shimon Perez et le premier ministre Benyamin Nétanyahou.
SERENDENISRAËL
ILRENCONTRERA
LEPREMIERMINISTRE
ETLEPRESIDENT
DELAREPUBLIQUE
Source : lefigaro.fr via l'AFP et Radio J
en ligne le 29 janvier 2012
Fabius part en mission pour Hollande
S'abonner au Figaro.fr Laurent Fabius va partir mardi au Proche-Orient puis fin février en Chine et au Japon, en mission pour François Hollande. L'ancien premier ministre socialiste a précisé sur Radio J qu'il s'envolait d'abord pour Israël et Ramallah puis au Liban, au Qatar et à Abou Dhabi, pays dont il rencontrera les principaux dirigeants.
François Hollande "m'a demandé, ne pouvant le faire lui-même, de me rendre pour le représenter dans toute une série de pays", a indiqué le député socialiste. Il s'agit d'une mission "d'amitié, de respect et d'écoute" a-t-il souligné indiquant qu'il avait "prévenu" le chef de la diplomatie Alain Juppé.
"Je pars mardi en Israël et à Ramallah, pour voir les dirigeants israéliens et palestiniens dont le président palestinien Mahmoud Abbas, ensuite j'irai au Liban à Beyrouth pour voir le président de la République, le premier ministre et d'autres responsables, ensuite au Qatar et Abou Dhabi" a-t-il détaillé. Il a précisé qu'il reviendrait "dimanche ou lundi prochain" et serait accompagné de Loïc Hennekinne, ancien secrétaire général du quai d'Orsay (1998-2002). Il a aussi indiqué qu'en Israël il rencontrerait le président Shimon Perez et le premier ministre Benyamin Nétanyahou.
UNEVOIEFERREE
POURCONTOURNER
LECANALDESUEZ
Source : rtbf.be en ligne le 29 janvier 2012
à 20h 40
sur Diasporablog à 21h 34
Israël:
une voie ferrée
entre la Méditerranée
et la mer Rouge ?
Le gouvernement israélien a commencé dimanche à examiner un projet de voie ferrée reliant la Méditerranée et la mer Rouge qui offrirait une route alternative au Canal de Suez pour le trafic entre l'Europe et l'Asie.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a indiqué qu'une ligne ferroviaire courant sur 350 km à travers le désert du Néguev (sud) mettrait la station balnéaire d'Eilat (mer Rouge) à deux heures de Tel-Aviv.
"Cette ligne serait doublée d'une voie réservée au transport de marchandises entre l'Asie et l'Europe", a-t-il déclaré devant les membres de son gouvernement, en précisant qu'une extension vers le nord d'Israël est aussi envisagée.
Selon lui, "ce projet a suscité le plus grand intérêt parmi les puissances émergeantes, notamment la Chine et l'Inde, et d'autres".
Le ministère israélien des Transports a présenté diverses options pour la mise en oeuvre du projet, mais a privilégié le recours à des sociétés chinoises, selon le site Internet du ministère.
Cette ligne ferroviaire, la "Med-Red", pourrait aussi être utilisée pour des exportations de gaz israélien vers l'Inde et peut-être la Chine.
D'importants gisements de gaz, Tamar et Léviathan, ont été découverts en 2010 dans l'est de la Méditerranée à 130 km au large du port de Haïfa (nord d'Israël) et à 1.634 mètres de profondeur.
Il s'agit des plus importantes richesses sous-marines en hydrocarbures découvertes dans le monde depuis dix ans, soit un pactole estimé à des dizaines de milliards de dollars susceptible d'assurer à Israël une indépendance énergétique pendant plusieurs décennies.
Belga
POURCONTOURNER
LECANALDESUEZ
Source : rtbf.be en ligne le 29 janvier 2012
à 20h 40
sur Diasporablog à 21h 34
Israël:
une voie ferrée
entre la Méditerranée
et la mer Rouge ?
Le gouvernement israélien a commencé dimanche à examiner un projet de voie ferrée reliant la Méditerranée et la mer Rouge qui offrirait une route alternative au Canal de Suez pour le trafic entre l'Europe et l'Asie.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a indiqué qu'une ligne ferroviaire courant sur 350 km à travers le désert du Néguev (sud) mettrait la station balnéaire d'Eilat (mer Rouge) à deux heures de Tel-Aviv.
"Cette ligne serait doublée d'une voie réservée au transport de marchandises entre l'Asie et l'Europe", a-t-il déclaré devant les membres de son gouvernement, en précisant qu'une extension vers le nord d'Israël est aussi envisagée.
Selon lui, "ce projet a suscité le plus grand intérêt parmi les puissances émergeantes, notamment la Chine et l'Inde, et d'autres".
Le ministère israélien des Transports a présenté diverses options pour la mise en oeuvre du projet, mais a privilégié le recours à des sociétés chinoises, selon le site Internet du ministère.
Cette ligne ferroviaire, la "Med-Red", pourrait aussi être utilisée pour des exportations de gaz israélien vers l'Inde et peut-être la Chine.
D'importants gisements de gaz, Tamar et Léviathan, ont été découverts en 2010 dans l'est de la Méditerranée à 130 km au large du port de Haïfa (nord d'Israël) et à 1.634 mètres de profondeur.
Il s'agit des plus importantes richesses sous-marines en hydrocarbures découvertes dans le monde depuis dix ans, soit un pactole estimé à des dizaines de milliards de dollars susceptible d'assurer à Israël une indépendance énergétique pendant plusieurs décennies.
Belga
LEDOUBLEVISAGE
DEMARINELEPEN
Source : 20minutes.fr en ligne
le 29 janvier 2012
SOS Racisme et l'UEJF
contre la présence de Marine Le Pen
à un bal de l'extrême droite à Vienne
Des policiers déployés devant le Palais impérial d'hiver à Vienne, où se tient le bal des corporations estudiantines d'extrême droite, le 27 janvier 2012. —Dieter Nagl afp.com
PARIS - SOS Racisme et l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) ont dénoncé dimanche la présence de Marine Le Pen à un bal organisé par des associations estudiantines proches de l'extrême droite.
"Marine Le Pen était l'invitée d'honneur de Martin Graf, troisième vice-président du Parlement autrichien, au bal de l'Olympia", écrit SOS Racisme dans un communiqué.
La date de "ce bal immonde pour nostalgiques du IIIème Reich" coïncide "avec le 67ème anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz, note l'organisation anti-raciste qui se demande "s'il s'agit là d'un détail fortuit".
Marine Le Pen, candidate du FN à la présidentielle, se trouvait à Vienne à l'invitation du dirigeant du parti d'extrême droite FPÖ, Heinz-Christian Strache, et cela au titre de l'Alliance européenne pour la Liberté (EAF), qui rassemble des formations populistes et d'extrême droite de l'Europe.
Au Parlement, Marine Le Pen a rencontré dans l'après-midi le 3e président de l'Assemblée nationale, Martin Graf (FPÖ), puis, après un dîner avec Heinz-Christian Strache, elle s'est rendue au bal au Palais impérial d'hiver des Habsbourg, la Hofburg.
Pour SOS Racisme, "Martin Graf, membre du FPÖ, est l'un des représentants les plus durs et violents de l'extrême droite européenne". "Le groupe Olympia dont il est l'un des idéologues, est une corporation secrète, interdite aux Juifs et aux femmes, dont les membres ont pour mission de véhiculer des idées néonazies", assure le communiqué.
De son côté, l'UEJF "s'inquiète du silence de la société civile et de la classe politique" devant la participation de Marine Le Pen à ce bal" organisé par des "corporations ouvertement néonazies, antisémites et négationnistes".
"Jusqu'où ira Marine Le Pen pour qu'enfin la société civile et le monde politique se mobilisent?", s'interroge l'UEJF.
Dans un communiqué, le Front national annonce que Marine Le Pen déposera "dès lundi" une plainte contre ces deux associations, qui "colportent de fausses nouvelles" et "diffament très gravement la candidate".
Dans un précédent communiqué, le parti dénonçait "les élucubrations répandues par certains médias" sur ce bal, qui "relèvent de la diffamation pure et simple". "Participent à ce bal des personnalités et des élus de toutes origines", ainsi que des journalistes, écrit le parti.
Si Olympia établissait des discriminations telles que celles évoquées par SOS Racisme, le groupe serait interdit, la Constitution autrichienne proscrivant toute interdiction ou exclusion basée sur l'appartenance à une race, à une religion ou à un groupe de pensée philosophique.
Par ailleurs selon une porte-parole de SOS Racisme, un "bal anti-raciste" est organisé ce dimanche à partir de 17H00 au métro Villiers, à l'initiative de SOS Racisme et de l'UEJF. "On veut interpeller le FN sur la rencontre de Marine Le Pen avec l'extrême droite en Autriche", a indiqué la porte-parole. La manifestation se dirigera ensuite boulevard Malesherbes, au QG de campagne de Marine Le Pen.
DEMARINELEPEN
Source : 20minutes.fr en ligne
le 29 janvier 2012
SOS Racisme et l'UEJF
contre la présence de Marine Le Pen
à un bal de l'extrême droite à Vienne
Des policiers déployés devant le Palais impérial d'hiver à Vienne, où se tient le bal des corporations estudiantines d'extrême droite, le 27 janvier 2012. —Dieter Nagl afp.com
PARIS - SOS Racisme et l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) ont dénoncé dimanche la présence de Marine Le Pen à un bal organisé par des associations estudiantines proches de l'extrême droite.
"Marine Le Pen était l'invitée d'honneur de Martin Graf, troisième vice-président du Parlement autrichien, au bal de l'Olympia", écrit SOS Racisme dans un communiqué.
La date de "ce bal immonde pour nostalgiques du IIIème Reich" coïncide "avec le 67ème anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz, note l'organisation anti-raciste qui se demande "s'il s'agit là d'un détail fortuit".
Marine Le Pen, candidate du FN à la présidentielle, se trouvait à Vienne à l'invitation du dirigeant du parti d'extrême droite FPÖ, Heinz-Christian Strache, et cela au titre de l'Alliance européenne pour la Liberté (EAF), qui rassemble des formations populistes et d'extrême droite de l'Europe.
Au Parlement, Marine Le Pen a rencontré dans l'après-midi le 3e président de l'Assemblée nationale, Martin Graf (FPÖ), puis, après un dîner avec Heinz-Christian Strache, elle s'est rendue au bal au Palais impérial d'hiver des Habsbourg, la Hofburg.
Pour SOS Racisme, "Martin Graf, membre du FPÖ, est l'un des représentants les plus durs et violents de l'extrême droite européenne". "Le groupe Olympia dont il est l'un des idéologues, est une corporation secrète, interdite aux Juifs et aux femmes, dont les membres ont pour mission de véhiculer des idées néonazies", assure le communiqué.
De son côté, l'UEJF "s'inquiète du silence de la société civile et de la classe politique" devant la participation de Marine Le Pen à ce bal" organisé par des "corporations ouvertement néonazies, antisémites et négationnistes".
"Jusqu'où ira Marine Le Pen pour qu'enfin la société civile et le monde politique se mobilisent?", s'interroge l'UEJF.
Dans un communiqué, le Front national annonce que Marine Le Pen déposera "dès lundi" une plainte contre ces deux associations, qui "colportent de fausses nouvelles" et "diffament très gravement la candidate".
Dans un précédent communiqué, le parti dénonçait "les élucubrations répandues par certains médias" sur ce bal, qui "relèvent de la diffamation pure et simple". "Participent à ce bal des personnalités et des élus de toutes origines", ainsi que des journalistes, écrit le parti.
Si Olympia établissait des discriminations telles que celles évoquées par SOS Racisme, le groupe serait interdit, la Constitution autrichienne proscrivant toute interdiction ou exclusion basée sur l'appartenance à une race, à une religion ou à un groupe de pensée philosophique.
Par ailleurs selon une porte-parole de SOS Racisme, un "bal anti-raciste" est organisé ce dimanche à partir de 17H00 au métro Villiers, à l'initiative de SOS Racisme et de l'UEJF. "On veut interpeller le FN sur la rencontre de Marine Le Pen avec l'extrême droite en Autriche", a indiqué la porte-parole. La manifestation se dirigera ensuite boulevard Malesherbes, au QG de campagne de Marine Le Pen.
LEPATRON
DELANOUVELLETUNISIE
SURUNERADIO
ISRAELIENNE
ISRAËL - TUNISIE
"POURQUOI!MAISPAS
TOUTDESUITE
Source : businesssnews.com en ligne
le 29 janvier 2012
Ghannouchi :
l’avenir des relations entre la Tunisie
et Israël dépendra de la solution
En marge des travaux du Forum économique de Davos en Suisse où il est invité, Cheikh Rached Ghannouchi a déclaré à la Radio israélienne que « l’avenir des relations de la Tunisie avec Israël dépendra de l’aboutissement à une solution de la question palestinienne ».
A noter et rappeler que cette position, pragmatique et logique, est identique à celle prônée par l’ancien régime de Ben Ali qui faisait lier l’évolution de la normalisation avec Israël à l’avance du processus de paix avec les Palestiniens.
DELANOUVELLETUNISIE
SURUNERADIO
ISRAELIENNE
ISRAËL - TUNISIE
"POURQUOI!MAISPAS
TOUTDESUITE
Source : businesssnews.com en ligne
le 29 janvier 2012
Ghannouchi :
l’avenir des relations entre la Tunisie
et Israël dépendra de la solution
En marge des travaux du Forum économique de Davos en Suisse où il est invité, Cheikh Rached Ghannouchi a déclaré à la Radio israélienne que « l’avenir des relations de la Tunisie avec Israël dépendra de l’aboutissement à une solution de la question palestinienne ».
A noter et rappeler que cette position, pragmatique et logique, est identique à celle prônée par l’ancien régime de Ben Ali qui faisait lier l’évolution de la normalisation avec Israël à l’avance du processus de paix avec les Palestiniens.
YOUSSOUN'DOUR
LESSENEGALAIS
CONTINUENTDYCROIRE
DIASPORABLOG
accueille...
FEKKE MA CI BOOLE
section FRANCE
INVALIDATION
DE LACANDIDATURE
DE YOUSSOU NDOUR
Le comité Fekke Ma Ci Boole (Concernés) France a organisé une conférence de presse ce samedi 28 janvier 2012 à l'Hôtel Campanile du Kremlin Bicêtre, à Paris.
Cette rencontre avec la presse française et internationale a été l'occasion de revenir sur l'invalidation de la candidature de M. Youssou Ndour - et de deux autres candidats - par le Conseil Constitutionnel.
Les motifs invoqués sont aussi fallacieux qu'indignes de la justice de notre pays. Moins de 10.000 signatures auraient été validées sur les 12.000 que le candidat de Fekke Ma Ci Boole a déposées.
Fekke Ma Ci Boole a été le seul mouvement citoyen dans l'histoire du Sénégal à lancer une pétition qui a réuni plus d'un million de signatures. Réunir les dix milles signatures exigées de tout candidat indépendant sont une formalité pour notre mouvement citoyen. Et elles sont recevables, comme le prouvera le recours déposé ce samedi 28 janvier par les avocats du mouvement.
Nous attendons la décision du Conseil Constitutionnel avec la confiance qui sied aux personnes sûres de leur bon droit. Et de leur victoire le soir du 27 février. Car cet acharnement montre que M. Youssou Ndour est le challenger le plus sérieux du pouvoir, qui cherche à l'évincer de la course pour s'ouvrir un boulevard.
Nous sommes cependant inquiets pour la démocratie sénégalaise qui se trouve, de nouveau, prise en otage par Abdoulaye Wade et une justice aux ordres.
Le comité Fekke Ma Ci Boole France (Concernés) félicite M. Youssou Ndour pour la détermination dont il fait preuve pour obtenir non seulement la validation de sa candidature, mais aussi et surtout l'invalidation de la candidature de Wade, qui était la seule attendue par tous le citoyens épris de paix et de justice.
Le comité Fekke Ma Ci Boole France (Concernés) se félicite du recours déposé par 7 candidats pour obtenir l'invalidation de la candidature de M. Wade, qui est contraire aux dispositions de la constitution sénégalaise.
Paris, le 28 janvier 2012.
A PROPOS DE :
FEKKE MA CI BOOLE section FRANCE (Concernés) a été créé le 7 janvier 2012. Il compte déjà des sections en province et des extensions en Italie et en Espagne.
LESSENEGALAIS
CONTINUENTDYCROIRE
DIASPORABLOG
accueille...
FEKKE MA CI BOOLE
section FRANCE
INVALIDATION
DE LACANDIDATURE
DE YOUSSOU NDOUR
Le comité Fekke Ma Ci Boole (Concernés) France a organisé une conférence de presse ce samedi 28 janvier 2012 à l'Hôtel Campanile du Kremlin Bicêtre, à Paris.
Cette rencontre avec la presse française et internationale a été l'occasion de revenir sur l'invalidation de la candidature de M. Youssou Ndour - et de deux autres candidats - par le Conseil Constitutionnel.
Les motifs invoqués sont aussi fallacieux qu'indignes de la justice de notre pays. Moins de 10.000 signatures auraient été validées sur les 12.000 que le candidat de Fekke Ma Ci Boole a déposées.
Fekke Ma Ci Boole a été le seul mouvement citoyen dans l'histoire du Sénégal à lancer une pétition qui a réuni plus d'un million de signatures. Réunir les dix milles signatures exigées de tout candidat indépendant sont une formalité pour notre mouvement citoyen. Et elles sont recevables, comme le prouvera le recours déposé ce samedi 28 janvier par les avocats du mouvement.
Nous attendons la décision du Conseil Constitutionnel avec la confiance qui sied aux personnes sûres de leur bon droit. Et de leur victoire le soir du 27 février. Car cet acharnement montre que M. Youssou Ndour est le challenger le plus sérieux du pouvoir, qui cherche à l'évincer de la course pour s'ouvrir un boulevard.
Nous sommes cependant inquiets pour la démocratie sénégalaise qui se trouve, de nouveau, prise en otage par Abdoulaye Wade et une justice aux ordres.
Le comité Fekke Ma Ci Boole France (Concernés) félicite M. Youssou Ndour pour la détermination dont il fait preuve pour obtenir non seulement la validation de sa candidature, mais aussi et surtout l'invalidation de la candidature de Wade, qui était la seule attendue par tous le citoyens épris de paix et de justice.
Le comité Fekke Ma Ci Boole France (Concernés) se félicite du recours déposé par 7 candidats pour obtenir l'invalidation de la candidature de M. Wade, qui est contraire aux dispositions de la constitution sénégalaise.
Paris, le 28 janvier 2012.
A PROPOS DE :
FEKKE MA CI BOOLE section FRANCE (Concernés) a été créé le 7 janvier 2012. Il compte déjà des sections en province et des extensions en Italie et en Espagne.
samedi, janvier 28, 2012
AFFAIRELEEZEITOUNI
DANSUNELETTRE
ADRESSEEAUXRABBINS
LEGRANDRABBINDEFRANCE
TANCELESASSASSINS
Source : Guysen.com en ligne le 28 janvier 2012
à 20h 52 heure de Jérusalem
sur Diasporablog à 20h 47
Lettre du Grand Rabbin
de France Gilles Bernheim
Le Grand Rabbin Gilles Bernheim a demandé à Guysen de publier sa lettre envoyée aux Rabbins de France au sujet des chauffards assassins français de Lee Zeitouni
Messieurs les Grands Rabbins,
Messieurs les Rabbins, chers collègues
La presse nationale s'est largement répandue ces derniers mois sur ce qu'il est convenu d'appeler maintenant l'affaire, la triste et honteuse affaire Lee ZEITOUNI.
Triste parce qu'ayant entraîné la mort d'une jeune femme de 25 ans et honteuse par le comportement de ceux qui sont responsables de cette tragédie.
Le 16 septembre dernier, à Tel Aviv, alors qu'elle se rendait à son travail, Lee ZEITOUNI a été violemment heurtée et tuée sur le coup par un véhicule 4X4 conduit par un français. Dans ce véhicule se trouvaient deux individus, Eric ROBIC et Claude KHAYAT, et la justice devra terminer qui était le chauffeur car, pour l'instant, rien n'est clair à ce sujet.
Afin d'échapper à la justice, ces deux présumés coupables ont alors immédiatement le premier avion en partance pour "se mettre à l'abri" dans leur pays d'origine, la France.
Une telle attitude et ce comportement ne représentent nullement les valeurs du judaïsme et n'est certainement pas à l'honneur de notre communauté.
Nous n'avons pas l'intention de nous immiscer dans des problèmes juridiques, mais nous espérons que très rapidement les autorités tant israéliennes que françaises trouveront le moyen de faire en sorte que justice soit faite.
En tant que Grand rabbin de France, comme le souligne le verset : c'est la justice, la justice seule que tu dois rechercher (Deutéronome 16,20), je considère qu'il est de mon devoir moral, en état de la procédure et de ce que nous savons, de vous demander de ne leur accorder aucun honneur religieux au sein de toutes nos communautés consistoriales.
Je vous prie de croire, Messieurs les Grands rabbins, Messieurs les Rabbins, chers Collègues de l'expression de mes sentiments les plus fidèles.
Grand Rabbin Gilles Bernheim
DANSUNELETTRE
ADRESSEEAUXRABBINS
LEGRANDRABBINDEFRANCE
TANCELESASSASSINS
Source : Guysen.com en ligne le 28 janvier 2012
à 20h 52 heure de Jérusalem
sur Diasporablog à 20h 47
Lettre du Grand Rabbin
de France Gilles Bernheim
Le Grand Rabbin Gilles Bernheim a demandé à Guysen de publier sa lettre envoyée aux Rabbins de France au sujet des chauffards assassins français de Lee Zeitouni
Messieurs les Grands Rabbins,
Messieurs les Rabbins, chers collègues
La presse nationale s'est largement répandue ces derniers mois sur ce qu'il est convenu d'appeler maintenant l'affaire, la triste et honteuse affaire Lee ZEITOUNI.
Triste parce qu'ayant entraîné la mort d'une jeune femme de 25 ans et honteuse par le comportement de ceux qui sont responsables de cette tragédie.
Le 16 septembre dernier, à Tel Aviv, alors qu'elle se rendait à son travail, Lee ZEITOUNI a été violemment heurtée et tuée sur le coup par un véhicule 4X4 conduit par un français. Dans ce véhicule se trouvaient deux individus, Eric ROBIC et Claude KHAYAT, et la justice devra terminer qui était le chauffeur car, pour l'instant, rien n'est clair à ce sujet.
Afin d'échapper à la justice, ces deux présumés coupables ont alors immédiatement le premier avion en partance pour "se mettre à l'abri" dans leur pays d'origine, la France.
Une telle attitude et ce comportement ne représentent nullement les valeurs du judaïsme et n'est certainement pas à l'honneur de notre communauté.
Nous n'avons pas l'intention de nous immiscer dans des problèmes juridiques, mais nous espérons que très rapidement les autorités tant israéliennes que françaises trouveront le moyen de faire en sorte que justice soit faite.
En tant que Grand rabbin de France, comme le souligne le verset : c'est la justice, la justice seule que tu dois rechercher (Deutéronome 16,20), je considère qu'il est de mon devoir moral, en état de la procédure et de ce que nous savons, de vous demander de ne leur accorder aucun honneur religieux au sein de toutes nos communautés consistoriales.
Je vous prie de croire, Messieurs les Grands rabbins, Messieurs les Rabbins, chers Collègues de l'expression de mes sentiments les plus fidèles.
Grand Rabbin Gilles Bernheim
DESJUIFS"HEREDIM"
D'ISRAËL
DESJUIFSORTHODOXES
DEPARIS
Source : lexpress.fr en ligne le 28 janvier 2012
Qui sont les juifs orthodoxes de Paris?
A l'heure où l'attitude de certains radicaux suscite la polémique en Israël, L'Express est allé au devant des juifs orthodoxes de la capitale. Un monde à part dans la communauté juive.
Dans un coin du 19e arrondissement de Paris, entre les stations Riquet et Laumière, une petite Jérusalem a vu le jour il y a plus de 20 ans. Des hommes barbus en costumes noirs, portant kippas ou chapeaux, des femmes en jupes longues coiffées de perruques, déambulent dans ce quartier où hammams, commerces cacher et restaurants africains font bon ménage. Rue de Thionville, des jeunes gens discutent en hébreux devant le centre d'études religieuses. Rue Riquet, une synagogue fondée par des Tunisiens de Djerba rassemble quelques fidèles. Rue Petit, épicentre de la communauté, s'érige le complexe scolaire Beth Haya Mouchka, qui accueille les tout-petits à la crèche et 2000 filles du primaire au lycée.
L'établissement abrite aussi une synagogue, lieu de culte pour de nombreux loubavitch des environs. Ce samedi matin de janvier, ils viennent s'y rassembler pour les prières du Shabbat. Les femmes murmurent, les hommes chantent. Au balcon, les épouses entrevoient derrière un rideau blanc leurs conjoints. Parfois, quand certains bavardent ou que les enfants courent un peu trop, le rabbin rappelle tout le monde à l'ordre. Après deux heures de prières et de commentaires de la Torah, l'assistance profite, dans une ambiance festive, d'un buffet offert par de jeunes mariés.
Une communauté parmi
les plus strictes de France
En décembre dernier, une frange ultra-minoritaire mais radicale des haredims a suscité la polémique en Israël, en cherchant notamment à imposer la ségrégation hommes-femmes dans les bus ou en s'en prenant à une fillette de huit ans habillée selon eux de façon "indécente". Cette actualité israélienne, largement commentée en France, offre aujourd'hui l'occasion de s'interroger sur la place, dans la société française, de ces communautés dites "orthodoxes". Quelques dizaines de milliers de personnes en France appartiendraient à cette tendance religieuse. Mais, le rabbin Moché Lewin, porte-parole du grand rabbin de France se méfie de cette qualification: "Tout dépend ce qu'on entend par ce terme, nuance-t-il. De nos jours, on voit quelqu'un porter une kippa et des barrettes et on dit c'est un orthodoxe".
Pourtant, les communautés Loubavitch et Agoudas Hakehilos (en yiddish: "Union des communautés") sont considérées comme étant les plus "strictes" de France. Elles ont une pratique rituelle rigoureuse et ne font pas partie du Consistoire, instance fondée par Napoléon Ier pour organiser le culte israélite. Moché Lewin explique que "pour des raisons idéologiques certaines synagogues préfèrent ne pas être rattachées au Consistoire ". Le président de l'association Agoudas Hakehilos, Daniel Altmann, souligne ainsi que celle de la rue Pavée, dans le quartier parisien du Marais (4e), a toujours été indépendante afin de " se préserver de toute influence ".
La population non juive ne comprend pas toujours les gens très religieux
Dans un pays laïc, allergique au communautarisme, l'existence de ces sociétés pratiquantes étonne et conduit notamment à se poser une question "géographique": pourquoi les Juifs orthodoxes parisiens sont-ils ainsi regroupés dans certains "îlots" du XVIIème, du XIXème ou du XXème? Selon le rabbin Lewin, la première raison est d'ordre pratique: "Les juifs religieux doivent se rendre à pied à la synagogue pendant le Shabbat et donc ils vont habiter autour des lieux de culte existants". Autre explication: le développement d'écoles confessionnelles dans certains quartiers a poussé les familles pratiquantes à s'en rapprocher, parfois pour des raisons de sécurité.
Augmentation des agressions
d'enfants juifs
Depuis 2000, et la seconde Intifada, les cas d'agression d'enfants juifs ont augmenté et les inscriptions dans ces écoles aussi. Rivka, une commerçante Sépharade du 19e, commente: "les enfants avec les kippas se font souvent embêter. La population non juive ne comprend pas toujours les gens très religieux. Il y a du racisme. Pourtant, ils ne gênent personne. Au sein de la communauté, ils aident même beaucoup. A la synagogue de la rue Petit, il y a des collectes pour les jeunes filles qui n'ont pas assez d'argent pour se marier. Ils vont aussi rendre visite aux malades à l'hôpital."
Des écoles juives hors contrat
Au coeur de paris, le Marais abrite le plus vieux quartier juif de la capitale. Une communauté Haredi y est fortement représentée: Agoudas Hakehilos. Son président, Daniel Altmann, trader de profession, précise que sa communauté considère les règles du Talmud prioritaires. Environ 25 000 personnes en France se revendiquent de ce mouvement. Cette institution comprend une autorité rabbinique, deux écoles, des centres d'études, un tribunal rabbinique, elle se charge de l'organisation et de la surveillance de l'alimentation cacher.
Contrairement à celle de la rue Petit, l'école orthodoxe de la rue Pavée, réservée aux garçons, est "hors contrat", c'est à dire qu'elle est libre dans le choix des programmes, du corps professoral, et de ses élèves. Certains principes sont à respecter pour pouvoir inscrire ces enfants dans cet établissement où l'enseignement religieux occupe toutes les matinées: faire le Shabbat, ne pas avoir de télévision chez soi... "Les petits voient des choses mauvaises à la TV, on est très prudent sur ce qu'on fait entrer à la maison", assure Daniel Altmann, avant d'ajouter, très fier: "notre label cacher est très difficile à obtenir, et plus exigeant que celui du Consistoire". C'est ainsi dans ces communautés: l'alimentation définit souvent le degré d'orthodoxie.
Ces groupuscules construisent
eux-mêmes leurs murailles
D'autres règles s'imposent à tous. Aux femmes, notamment: l'obligation de se couvrir la tête (même hors de la synagogue), l'interdiction de porter des pantalons. D'après Daniel Altmann, elles peuvent travailler mais de préférence "dans des milieux où il n'y a pas trop de contact avec les hommes". L'entre-soi est également cultivé par les mariages. Les filles se fiancent à 20 ans. Auparavant, il faut "éviter le contact entre les filles et les garçons". Les unions se réalisent grâce à des connaissances familiales et amicales... Et évidemment, dans ce milieu, les mariages mixtes, avec une personne non-juive, "ça n'existe pas". Les conversions sont possibles mais jugées "difficiles".
Les Juifs orthodoxes de France ont tous pris leurs distances face aux événements de décembre dernier en Israël. Ainsi, même s'il définit sa communauté comme "haredi" et invite chacun à "laisser tranquille les gens très religieux", Daniel Altmann assure se " désolidariser de ce qui s'est passé à Bet Shemesh". Moché Lewin, le porte-parole du Grand rabbinat, dénonce ces actes commis par des "mouvements ultra minoritaires". A la suite de ces incidents, le Grand Rabbin, Gilles Bernheim a d'ailleurs engagé une discussion sur la dignité de la femme et sur son statut dans le judaïsme. M. Nisembaum, porte-parole de l'association loubavitch, critique lui aussi l'attitude d'une minorité: "C'est lamentable. Avant les juifs étaient coupés du monde par la force des choses, mis dans des ghettos, et maintenant ces groupuscules construisent eux-mêmes leurs murailles".
En France, même si ces communautés orthodoxes paraissent fermées et peu portées sur la modernité, elles sont attachées aux principes républicains de laïcité, et ne voient pas de raison de changer le modèle. Ainsi, Daniel Altmann juge " ridicule " la proposition d'Eva Joly d'instituer un jour férié pour Yom Kippour. "Moins la République s'occupe de nos affaires mieux c'est", estime-t-il. Pour Moché Lewin, "la laïcité est une chance pour le dialogue inter religieux. Mais il faut une laïcité intelligente, et non d'exclusion..."
Marina Rafenberg
Différents courants
Le mouvement orthodoxe juif, né en Allemagne au XIXème, repose sur une pratique religieuse fidèle aux textes bibliques et à la "Halakha", l'ensemble des lois qui règlent la vie quotidienne des Juifs. Il est traversé par plusieurs courants. Ainsi, les Haredim ("Craignant-Dieu" en hébreu) représentent une grande partie de ces orthodoxes. Ils vivent généralement dans leurs quartiers, sous la direction de rabbins qui incarnent à leurs yeux le seul pouvoir légitime. Certains ont une pratique religieuse stricte mais acceptent de s'immerger dans le monde moderne. D'autres, comme ceux de la communauté Edah Haredit, rejettent cette modernité. Ils ont leurs propres tribunaux rabbiniques et évitent la nourriture cacher des autres communautés. L'usage de la télévision est proscrit, le monde "extérieur" est perçu comme une source de perversion. A Jérusalem, ils habitent notamment le quartier de Méa Sharim. La frange la plus radicale, largement minoritaire, dénonce la mixité homme femme avec une virulence qui a fait scandale en décembre dernier. Les Hassidim de Loubavitch, autre branche du courant Haredim, obeissent eux aussi un mode de vie très strict mais ils ne s'opposent pas totalement à la modernité. Ils ne vivent pas reclus, et vont parfois au-devant des Juifs non pratiquants pour les rapprocher de leur religion. D'après Haim Nisembaum, à la fois porte-parole des loubavitch, rabbin de la synagogue de la rue Petit et haut fonctionnaire, il y aurait 30 000 loubavitch en France. Une communauté dont l'image donnée par les médias et le cinéma est à ses yeux "caricaturale". D'après lui, au-delà des apparences vestimentaires, les loubavitch ne sont ni "passéistes" ni "ultra-orthodoxes". D'ailleurs, il estime que dans le judaïsme, l'extrémisme reste "marginal" car cette religion est selon lui "non conquérante".
D'ISRAËL
DESJUIFSORTHODOXES
DEPARIS
Source : lexpress.fr en ligne le 28 janvier 2012
Qui sont les juifs orthodoxes de Paris?
A l'heure où l'attitude de certains radicaux suscite la polémique en Israël, L'Express est allé au devant des juifs orthodoxes de la capitale. Un monde à part dans la communauté juive.
Dans un coin du 19e arrondissement de Paris, entre les stations Riquet et Laumière, une petite Jérusalem a vu le jour il y a plus de 20 ans. Des hommes barbus en costumes noirs, portant kippas ou chapeaux, des femmes en jupes longues coiffées de perruques, déambulent dans ce quartier où hammams, commerces cacher et restaurants africains font bon ménage. Rue de Thionville, des jeunes gens discutent en hébreux devant le centre d'études religieuses. Rue Riquet, une synagogue fondée par des Tunisiens de Djerba rassemble quelques fidèles. Rue Petit, épicentre de la communauté, s'érige le complexe scolaire Beth Haya Mouchka, qui accueille les tout-petits à la crèche et 2000 filles du primaire au lycée.
L'établissement abrite aussi une synagogue, lieu de culte pour de nombreux loubavitch des environs. Ce samedi matin de janvier, ils viennent s'y rassembler pour les prières du Shabbat. Les femmes murmurent, les hommes chantent. Au balcon, les épouses entrevoient derrière un rideau blanc leurs conjoints. Parfois, quand certains bavardent ou que les enfants courent un peu trop, le rabbin rappelle tout le monde à l'ordre. Après deux heures de prières et de commentaires de la Torah, l'assistance profite, dans une ambiance festive, d'un buffet offert par de jeunes mariés.
Une communauté parmi
les plus strictes de France
En décembre dernier, une frange ultra-minoritaire mais radicale des haredims a suscité la polémique en Israël, en cherchant notamment à imposer la ségrégation hommes-femmes dans les bus ou en s'en prenant à une fillette de huit ans habillée selon eux de façon "indécente". Cette actualité israélienne, largement commentée en France, offre aujourd'hui l'occasion de s'interroger sur la place, dans la société française, de ces communautés dites "orthodoxes". Quelques dizaines de milliers de personnes en France appartiendraient à cette tendance religieuse. Mais, le rabbin Moché Lewin, porte-parole du grand rabbin de France se méfie de cette qualification: "Tout dépend ce qu'on entend par ce terme, nuance-t-il. De nos jours, on voit quelqu'un porter une kippa et des barrettes et on dit c'est un orthodoxe".
Pourtant, les communautés Loubavitch et Agoudas Hakehilos (en yiddish: "Union des communautés") sont considérées comme étant les plus "strictes" de France. Elles ont une pratique rituelle rigoureuse et ne font pas partie du Consistoire, instance fondée par Napoléon Ier pour organiser le culte israélite. Moché Lewin explique que "pour des raisons idéologiques certaines synagogues préfèrent ne pas être rattachées au Consistoire ". Le président de l'association Agoudas Hakehilos, Daniel Altmann, souligne ainsi que celle de la rue Pavée, dans le quartier parisien du Marais (4e), a toujours été indépendante afin de " se préserver de toute influence ".
La population non juive ne comprend pas toujours les gens très religieux
Dans un pays laïc, allergique au communautarisme, l'existence de ces sociétés pratiquantes étonne et conduit notamment à se poser une question "géographique": pourquoi les Juifs orthodoxes parisiens sont-ils ainsi regroupés dans certains "îlots" du XVIIème, du XIXème ou du XXème? Selon le rabbin Lewin, la première raison est d'ordre pratique: "Les juifs religieux doivent se rendre à pied à la synagogue pendant le Shabbat et donc ils vont habiter autour des lieux de culte existants". Autre explication: le développement d'écoles confessionnelles dans certains quartiers a poussé les familles pratiquantes à s'en rapprocher, parfois pour des raisons de sécurité.
Augmentation des agressions
d'enfants juifs
Depuis 2000, et la seconde Intifada, les cas d'agression d'enfants juifs ont augmenté et les inscriptions dans ces écoles aussi. Rivka, une commerçante Sépharade du 19e, commente: "les enfants avec les kippas se font souvent embêter. La population non juive ne comprend pas toujours les gens très religieux. Il y a du racisme. Pourtant, ils ne gênent personne. Au sein de la communauté, ils aident même beaucoup. A la synagogue de la rue Petit, il y a des collectes pour les jeunes filles qui n'ont pas assez d'argent pour se marier. Ils vont aussi rendre visite aux malades à l'hôpital."
Des écoles juives hors contrat
Au coeur de paris, le Marais abrite le plus vieux quartier juif de la capitale. Une communauté Haredi y est fortement représentée: Agoudas Hakehilos. Son président, Daniel Altmann, trader de profession, précise que sa communauté considère les règles du Talmud prioritaires. Environ 25 000 personnes en France se revendiquent de ce mouvement. Cette institution comprend une autorité rabbinique, deux écoles, des centres d'études, un tribunal rabbinique, elle se charge de l'organisation et de la surveillance de l'alimentation cacher.
Contrairement à celle de la rue Petit, l'école orthodoxe de la rue Pavée, réservée aux garçons, est "hors contrat", c'est à dire qu'elle est libre dans le choix des programmes, du corps professoral, et de ses élèves. Certains principes sont à respecter pour pouvoir inscrire ces enfants dans cet établissement où l'enseignement religieux occupe toutes les matinées: faire le Shabbat, ne pas avoir de télévision chez soi... "Les petits voient des choses mauvaises à la TV, on est très prudent sur ce qu'on fait entrer à la maison", assure Daniel Altmann, avant d'ajouter, très fier: "notre label cacher est très difficile à obtenir, et plus exigeant que celui du Consistoire". C'est ainsi dans ces communautés: l'alimentation définit souvent le degré d'orthodoxie.
Ces groupuscules construisent
eux-mêmes leurs murailles
D'autres règles s'imposent à tous. Aux femmes, notamment: l'obligation de se couvrir la tête (même hors de la synagogue), l'interdiction de porter des pantalons. D'après Daniel Altmann, elles peuvent travailler mais de préférence "dans des milieux où il n'y a pas trop de contact avec les hommes". L'entre-soi est également cultivé par les mariages. Les filles se fiancent à 20 ans. Auparavant, il faut "éviter le contact entre les filles et les garçons". Les unions se réalisent grâce à des connaissances familiales et amicales... Et évidemment, dans ce milieu, les mariages mixtes, avec une personne non-juive, "ça n'existe pas". Les conversions sont possibles mais jugées "difficiles".
Les Juifs orthodoxes de France ont tous pris leurs distances face aux événements de décembre dernier en Israël. Ainsi, même s'il définit sa communauté comme "haredi" et invite chacun à "laisser tranquille les gens très religieux", Daniel Altmann assure se " désolidariser de ce qui s'est passé à Bet Shemesh". Moché Lewin, le porte-parole du Grand rabbinat, dénonce ces actes commis par des "mouvements ultra minoritaires". A la suite de ces incidents, le Grand Rabbin, Gilles Bernheim a d'ailleurs engagé une discussion sur la dignité de la femme et sur son statut dans le judaïsme. M. Nisembaum, porte-parole de l'association loubavitch, critique lui aussi l'attitude d'une minorité: "C'est lamentable. Avant les juifs étaient coupés du monde par la force des choses, mis dans des ghettos, et maintenant ces groupuscules construisent eux-mêmes leurs murailles".
En France, même si ces communautés orthodoxes paraissent fermées et peu portées sur la modernité, elles sont attachées aux principes républicains de laïcité, et ne voient pas de raison de changer le modèle. Ainsi, Daniel Altmann juge " ridicule " la proposition d'Eva Joly d'instituer un jour férié pour Yom Kippour. "Moins la République s'occupe de nos affaires mieux c'est", estime-t-il. Pour Moché Lewin, "la laïcité est une chance pour le dialogue inter religieux. Mais il faut une laïcité intelligente, et non d'exclusion..."
Marina Rafenberg
Différents courants
Le mouvement orthodoxe juif, né en Allemagne au XIXème, repose sur une pratique religieuse fidèle aux textes bibliques et à la "Halakha", l'ensemble des lois qui règlent la vie quotidienne des Juifs. Il est traversé par plusieurs courants. Ainsi, les Haredim ("Craignant-Dieu" en hébreu) représentent une grande partie de ces orthodoxes. Ils vivent généralement dans leurs quartiers, sous la direction de rabbins qui incarnent à leurs yeux le seul pouvoir légitime. Certains ont une pratique religieuse stricte mais acceptent de s'immerger dans le monde moderne. D'autres, comme ceux de la communauté Edah Haredit, rejettent cette modernité. Ils ont leurs propres tribunaux rabbiniques et évitent la nourriture cacher des autres communautés. L'usage de la télévision est proscrit, le monde "extérieur" est perçu comme une source de perversion. A Jérusalem, ils habitent notamment le quartier de Méa Sharim. La frange la plus radicale, largement minoritaire, dénonce la mixité homme femme avec une virulence qui a fait scandale en décembre dernier. Les Hassidim de Loubavitch, autre branche du courant Haredim, obeissent eux aussi un mode de vie très strict mais ils ne s'opposent pas totalement à la modernité. Ils ne vivent pas reclus, et vont parfois au-devant des Juifs non pratiquants pour les rapprocher de leur religion. D'après Haim Nisembaum, à la fois porte-parole des loubavitch, rabbin de la synagogue de la rue Petit et haut fonctionnaire, il y aurait 30 000 loubavitch en France. Une communauté dont l'image donnée par les médias et le cinéma est à ses yeux "caricaturale". D'après lui, au-delà des apparences vestimentaires, les loubavitch ne sont ni "passéistes" ni "ultra-orthodoxes". D'ailleurs, il estime que dans le judaïsme, l'extrémisme reste "marginal" car cette religion est selon lui "non conquérante".
JUIFSDEFRANCE
ETFRONTNATIONAL
APRESMOULTES
TERGIVERSATIONSLECRIF
RECONNAITQUECETTELIAISON
CONTRE-NATURE CHOQUE
Source :la newsletter du CRIF diffusée
le 27 janvier 2012
Editorial du Président
Ahmadinejad vote Le Pen
Le bruit court que certains membres de la communauté juive vont voter pour Marine Le Pen. Cette intention nous parait choquante pour de nombreuses raisons.
« Jean-Marie Le Pen "considère que l'Iran a le droit à l'atome comme tout le monde, c'est une nation souveraine »
En voici une supplémentaire!
Nous vous proposons de prendre connaissance des déclarations de Jean-Marie Le Pen à Public Sénat, le 24 janvier 2012. Le président d’honneur du Front National, le père de Marine Le Pen, son mentor et son gourou en politique étrangère, trouve parfaitement acceptable la possession de l’arme nucléaire par les mollahs fanatiques qui gouvernent l’iran.
En effet, interrogé sur des sanctions renforcées contre l'Iran, soupçonné de vouloir se doter de la bombe nucléaire, Jean-Marie Le Pen a dit les trouver "parfaitement inutiles et donc nuisibles".
"L'Europe utilise 20% du pétrole iranien, l'Iran a des clients qui sont tout prêts à prendre ces 20% et même au-delà" et "je ne crois pas du tout que (l'Europe) dissuadera la Chine ou l'Inde d'acheter du pétrole iranien", a-t-il dit.
Interrogé sur ce qu'il ferait face au programme nucléaire iranien, le dirigeant du FN a répondu: "Je ne fais rien" car "il n'est pas démontré qu'il est à vocation militaire".
Jean-Marie Le Pen "considère que l'Iran a le droit à l'atome comme tout le monde, c'est une nation souveraine".
Ahmadinejad vote Le Pen.
Richard Prasquier
ETFRONTNATIONAL
APRESMOULTES
TERGIVERSATIONSLECRIF
RECONNAITQUECETTELIAISON
CONTRE-NATURE CHOQUE
Source :la newsletter du CRIF diffusée
le 27 janvier 2012
Editorial du Président
Ahmadinejad vote Le Pen
Le bruit court que certains membres de la communauté juive vont voter pour Marine Le Pen. Cette intention nous parait choquante pour de nombreuses raisons.
« Jean-Marie Le Pen "considère que l'Iran a le droit à l'atome comme tout le monde, c'est une nation souveraine »
En voici une supplémentaire!
Nous vous proposons de prendre connaissance des déclarations de Jean-Marie Le Pen à Public Sénat, le 24 janvier 2012. Le président d’honneur du Front National, le père de Marine Le Pen, son mentor et son gourou en politique étrangère, trouve parfaitement acceptable la possession de l’arme nucléaire par les mollahs fanatiques qui gouvernent l’iran.
En effet, interrogé sur des sanctions renforcées contre l'Iran, soupçonné de vouloir se doter de la bombe nucléaire, Jean-Marie Le Pen a dit les trouver "parfaitement inutiles et donc nuisibles".
"L'Europe utilise 20% du pétrole iranien, l'Iran a des clients qui sont tout prêts à prendre ces 20% et même au-delà" et "je ne crois pas du tout que (l'Europe) dissuadera la Chine ou l'Inde d'acheter du pétrole iranien", a-t-il dit.
Interrogé sur ce qu'il ferait face au programme nucléaire iranien, le dirigeant du FN a répondu: "Je ne fais rien" car "il n'est pas démontré qu'il est à vocation militaire".
Jean-Marie Le Pen "considère que l'Iran a le droit à l'atome comme tout le monde, c'est une nation souveraine".
Ahmadinejad vote Le Pen.
Richard Prasquier
LESELECTIONS
PRESIDENTIELLES
AUSENEGAL
SOUSHAUTE-TENSION
Source : leparisien.fr via l'AFP en ligne
le 28 janvier 2012
Sénégal:
après de graves violences,
l'opposition veut pousser Wade
au départ
Le calme est revenu à Dakar samedi, après une vague de violences, marquées par un mort - un policier - à la suite de la validation vendredi soir de la candidature du chef de l'Etat Abdoulaye Wade à la présidentielle de février au Sénégal, a indiqué la police.
Le calme est revenu à Dakar samedi, après une vague de violences, marquées par un mort - un policier - à la suite de la validation vendredi soir de la candidature du chef de l'Etat Abdoulaye Wade à la présidentielle de février au Sénégal, a indiqué la police.
L'opposition entendait samedi pousser le président sénégalais Abdoulaye Wade, 85 ans, au départ malgré la validation de sa candidature à la présidentielle de février par le Conseil constitutionnel, une décision qui a provoqué de graves violences dans plusieurs villes.
"Wade brûle le Sénégal", "Nuits d'émeutes dans le pays", "Peur sur le Sénégal", "Wade jubile, le pays brûle": samedi, les titres de la presse nationale résumaient la fureur de citoyens sénégalais, qui, excédés par la validation de la candidature du président sortant, ont basculé dans la violence.
Un policier mort lynché à coups de pierres à Dakar, émeutes dans plusieurs quartiers, bâtiments incendiés, affrontements entre jeunes et policiers dans la capitale et à Thiès, Kaolack, Matam, Tambacounda: dès l'annonce de la validation de la candidature contestée de M. Wade, le Sénégal s'est enflammé.
Samedi matin, le calme était revenu à Dakar qui porte encore les stigmates des violences: restes carbonisés de boutiques incendiées, rues encombrées de pierres et pneus brûlés, que les équipes de la municipalité s'affairaient à nettoyer sous la surveillance des forces de l'ordre.
La décision du Conseil était attendue avec anxiété et les violences prévisibles de la part de Sénégalais, en particulier les jeunes, amèrement déçus par les douze ans de règne du président Wade: ils restent confrontés au chômage, à la vie chère, aux pénuries, aux coupures d'eau et d'électricité.
Dans la nuit, Abdoul Aziz Diop, un responsable du Mouvement du 23 juin (M23), qui regroupe partis d'opposition et organisations de la société civile à la pointe du combat contre la nouvelle candidature Wade, avait affirmé que le peuple allait "marcher" sur le palais présidentiel.
Samedi, interrogé par l'AFP, il n'a pas réitéré cette menace.
Il a dit que les leaders du M23 s'étaient réunis "toute la nuit pour étudier la meilleure manière d'organiser la riposte", y compris par d'éventuelles manifestations.
"Si la candidature de Wade est maintenue, il n'y aura pas d'élection", a-t-il affirmé, car "aucun candidat du M23 n'ira à une élection" qui aboutirait "à des résultats préfabriqués dès le premier tour" en faveur du président sortant.
Persécution
M. Diop a affirmé que le pouvoir "a entrepris toute la nuit de persécuter les animateurs du M23", en particulier Alioune Tine, son porte-parole.
Des membres de la Division des investigations criminelles (DIC) se sont rendus à son domicile, d'où il était absent. "Aucun animateur du M23 ne répondra à une convocation d'une police politique", a affirmé M. Diop.
Outre celle de M. Wade, le Conseil a validé treize autres candidatures sur dix-sept présentées.
Il a rejeté celle de la star internationale de la chanson Youssou Ndour, au motif qu'il n'avait pas présenté un nombre suffisant d'électeurs valables pour soutenir sa candidature. "Je suis candidat, et je reste candidat" a affirmé le chanteur en dénoncant "le coup de force" du Conseil constitutionnel.
Les candidats ont désormais jusqu'à samedi soir pour déposer des recours contre les validations et invalidations auprès du Conseil.
Abdoulaye Wilane, un des responsables du PS, a déclaré que ce parti et ceux qui le soutiennent allaient "faire des recours." Il y a une bataille juridique et une bataille politique" pour que M. Wade parte, a-t-il dit, ajoutant: "Le combat continue jusqu'au bout".
Le porte-parole de la présidence, Sérigne Mbacké Ndiaye, a également évoqué sur une radio locale de possibles recours de son camp contre certaines candidatures anti-Wade, sans préciser lesquelles.
"Sur 12 millions d'habitants, qu'il y ait 200, 300 voire 1.000, voire 2.000 personnes qui manifestent contre la décision du Conseil constitutionnel, quand même cela ne dérange pas", a affirmé M. Mbacké Ndiaye sur Radio France Internationale (RFI).
Elu en 2000, réélu en 2007 pour cinq ans après une révision constitutionnelle de 2001 instituant un quinquennat renouvelable une fois, M. Wade se représente pour sept ans après le rétablissement du septennat en 2008, à la suite d'une nouvelle révision constitutionnelle. Ses opposants jugent sa candidature anti-constitutionnelle.
PRESIDENTIELLES
AUSENEGAL
SOUSHAUTE-TENSION
Source : leparisien.fr via l'AFP en ligne
le 28 janvier 2012
Sénégal:
après de graves violences,
l'opposition veut pousser Wade
au départ
Le calme est revenu à Dakar samedi, après une vague de violences, marquées par un mort - un policier - à la suite de la validation vendredi soir de la candidature du chef de l'Etat Abdoulaye Wade à la présidentielle de février au Sénégal, a indiqué la police.
Le calme est revenu à Dakar samedi, après une vague de violences, marquées par un mort - un policier - à la suite de la validation vendredi soir de la candidature du chef de l'Etat Abdoulaye Wade à la présidentielle de février au Sénégal, a indiqué la police.
L'opposition entendait samedi pousser le président sénégalais Abdoulaye Wade, 85 ans, au départ malgré la validation de sa candidature à la présidentielle de février par le Conseil constitutionnel, une décision qui a provoqué de graves violences dans plusieurs villes.
"Wade brûle le Sénégal", "Nuits d'émeutes dans le pays", "Peur sur le Sénégal", "Wade jubile, le pays brûle": samedi, les titres de la presse nationale résumaient la fureur de citoyens sénégalais, qui, excédés par la validation de la candidature du président sortant, ont basculé dans la violence.
Un policier mort lynché à coups de pierres à Dakar, émeutes dans plusieurs quartiers, bâtiments incendiés, affrontements entre jeunes et policiers dans la capitale et à Thiès, Kaolack, Matam, Tambacounda: dès l'annonce de la validation de la candidature contestée de M. Wade, le Sénégal s'est enflammé.
Samedi matin, le calme était revenu à Dakar qui porte encore les stigmates des violences: restes carbonisés de boutiques incendiées, rues encombrées de pierres et pneus brûlés, que les équipes de la municipalité s'affairaient à nettoyer sous la surveillance des forces de l'ordre.
La décision du Conseil était attendue avec anxiété et les violences prévisibles de la part de Sénégalais, en particulier les jeunes, amèrement déçus par les douze ans de règne du président Wade: ils restent confrontés au chômage, à la vie chère, aux pénuries, aux coupures d'eau et d'électricité.
Dans la nuit, Abdoul Aziz Diop, un responsable du Mouvement du 23 juin (M23), qui regroupe partis d'opposition et organisations de la société civile à la pointe du combat contre la nouvelle candidature Wade, avait affirmé que le peuple allait "marcher" sur le palais présidentiel.
Samedi, interrogé par l'AFP, il n'a pas réitéré cette menace.
Il a dit que les leaders du M23 s'étaient réunis "toute la nuit pour étudier la meilleure manière d'organiser la riposte", y compris par d'éventuelles manifestations.
"Si la candidature de Wade est maintenue, il n'y aura pas d'élection", a-t-il affirmé, car "aucun candidat du M23 n'ira à une élection" qui aboutirait "à des résultats préfabriqués dès le premier tour" en faveur du président sortant.
Persécution
M. Diop a affirmé que le pouvoir "a entrepris toute la nuit de persécuter les animateurs du M23", en particulier Alioune Tine, son porte-parole.
Des membres de la Division des investigations criminelles (DIC) se sont rendus à son domicile, d'où il était absent. "Aucun animateur du M23 ne répondra à une convocation d'une police politique", a affirmé M. Diop.
Outre celle de M. Wade, le Conseil a validé treize autres candidatures sur dix-sept présentées.
Il a rejeté celle de la star internationale de la chanson Youssou Ndour, au motif qu'il n'avait pas présenté un nombre suffisant d'électeurs valables pour soutenir sa candidature. "Je suis candidat, et je reste candidat" a affirmé le chanteur en dénoncant "le coup de force" du Conseil constitutionnel.
Les candidats ont désormais jusqu'à samedi soir pour déposer des recours contre les validations et invalidations auprès du Conseil.
Abdoulaye Wilane, un des responsables du PS, a déclaré que ce parti et ceux qui le soutiennent allaient "faire des recours." Il y a une bataille juridique et une bataille politique" pour que M. Wade parte, a-t-il dit, ajoutant: "Le combat continue jusqu'au bout".
Le porte-parole de la présidence, Sérigne Mbacké Ndiaye, a également évoqué sur une radio locale de possibles recours de son camp contre certaines candidatures anti-Wade, sans préciser lesquelles.
"Sur 12 millions d'habitants, qu'il y ait 200, 300 voire 1.000, voire 2.000 personnes qui manifestent contre la décision du Conseil constitutionnel, quand même cela ne dérange pas", a affirmé M. Mbacké Ndiaye sur Radio France Internationale (RFI).
Elu en 2000, réélu en 2007 pour cinq ans après une révision constitutionnelle de 2001 instituant un quinquennat renouvelable une fois, M. Wade se représente pour sept ans après le rétablissement du septennat en 2008, à la suite d'une nouvelle révision constitutionnelle. Ses opposants jugent sa candidature anti-constitutionnelle.
ELECTIONSAUSENEGAL
LAVALIDATION
DELACANDIDATURE
DUPRESIDENTSORTANT
PLONGELEPAYS
DANSLAVIOLENCE
Source : leparisien.fr en ligne
le 28 janvier 2012
Sénégal :
des violences éclatent
après la candidature de Wade
La validation de la candidature du chef de l'Etat sénégalais Abdoulaye Wade à la présidentielle a provoqué une vague de violences dans plusieurs villes du Sénégal, dont sa capitale, Dakar, où un policier a tué.
La violence s'installe à Dakar, au Sénégal. Après le rejet par le Conseil constitutionnel de la candidature de Youssou N'Dour, officiellement pour manque de signatures, et la validation de celle du président Abdoulaye Wade, la tension est montée d'un cran.
Le chanteur sénégalais a dénoncé un «coup de force» du président en place, autorisé à concourir pour un troisième mandat en février alors que les troubles semblaient avoir cessé avant l'aube de samedi
Dans la nuit de vendredi à samedi, un policier a été tué lors de violences qui ont éclaté après la publication de la liste des candidats retenus par le Conseil constitutionnel pour la présidentielle de février, selon une source policière. «Ils ont tué un policier», a affirmé le commissaire de police Arona Sy, sans donner les circonstances de cette mort survenue lors de violences entre policiers et jeunes opposants.
Dès l'annonce de la validation de la candidature du président Wade et du rejet de celle du chanteur Youssou Ndour, des jeunes rassemblés depuis des heures sur une place de Dakar à l'appel de l'opposition ont jeté des pierres sur les policiers qui ont riposté à coups de gaz lacrymogène et de matraque.
Des partis d'opposition appellent à
«marcher sur le palais de la République»
Les télévisions privées montraient des jeunes érigeant des barricades, brûlant des pneus et des planches sur plusieurs artères, ainsi que des échanges de projectiles et gaz lacrymogènes entre des manifestants, essentiellement des jeunes, et les forces de l'ordre anti-émeutes de police et de gendarmerie. Des manifestations de colère étaient en cours également dans les provinces, d'après les médias locaux, notamment à Thiès et à Kaolack (centre), Matam et Ourossogui (nord).
Le Mouvement du 23 juin (M23), coalition de partis politiques de l'opposition et de la société civile contestant la candidature de Abdoulaye Wade à la présidentielle de février, a lui appelé samedi les Sénégalais à «marcher sur le palais de la République» pour le «déloger».
«Dès ce samedi matin, le M23 mettra tout en oeuvre» pour pouvoir organiser cette «marche sur le palais et aller déloger» Abdoulaye Wade, assure Aziz Diop, un des responsables du mouvement. Le M23 regroupe des partis politiques et coalitions de partis ayant investi certains des candidats autorisés, dont les anciens Premiers ministres Moustapha Niasse, Idrissa Seck et Macky Sall, ainsi que le chef du Parti socialiste (PS), Ousmane Tanor Dieng.
LAVALIDATION
DELACANDIDATURE
DUPRESIDENTSORTANT
PLONGELEPAYS
DANSLAVIOLENCE
Source : leparisien.fr en ligne
le 28 janvier 2012
Sénégal :
des violences éclatent
après la candidature de Wade
La validation de la candidature du chef de l'Etat sénégalais Abdoulaye Wade à la présidentielle a provoqué une vague de violences dans plusieurs villes du Sénégal, dont sa capitale, Dakar, où un policier a tué.
La violence s'installe à Dakar, au Sénégal. Après le rejet par le Conseil constitutionnel de la candidature de Youssou N'Dour, officiellement pour manque de signatures, et la validation de celle du président Abdoulaye Wade, la tension est montée d'un cran.
Le chanteur sénégalais a dénoncé un «coup de force» du président en place, autorisé à concourir pour un troisième mandat en février alors que les troubles semblaient avoir cessé avant l'aube de samedi
Dans la nuit de vendredi à samedi, un policier a été tué lors de violences qui ont éclaté après la publication de la liste des candidats retenus par le Conseil constitutionnel pour la présidentielle de février, selon une source policière. «Ils ont tué un policier», a affirmé le commissaire de police Arona Sy, sans donner les circonstances de cette mort survenue lors de violences entre policiers et jeunes opposants.
Dès l'annonce de la validation de la candidature du président Wade et du rejet de celle du chanteur Youssou Ndour, des jeunes rassemblés depuis des heures sur une place de Dakar à l'appel de l'opposition ont jeté des pierres sur les policiers qui ont riposté à coups de gaz lacrymogène et de matraque.
Des partis d'opposition appellent à
«marcher sur le palais de la République»
Les télévisions privées montraient des jeunes érigeant des barricades, brûlant des pneus et des planches sur plusieurs artères, ainsi que des échanges de projectiles et gaz lacrymogènes entre des manifestants, essentiellement des jeunes, et les forces de l'ordre anti-émeutes de police et de gendarmerie. Des manifestations de colère étaient en cours également dans les provinces, d'après les médias locaux, notamment à Thiès et à Kaolack (centre), Matam et Ourossogui (nord).
Le Mouvement du 23 juin (M23), coalition de partis politiques de l'opposition et de la société civile contestant la candidature de Abdoulaye Wade à la présidentielle de février, a lui appelé samedi les Sénégalais à «marcher sur le palais de la République» pour le «déloger».
«Dès ce samedi matin, le M23 mettra tout en oeuvre» pour pouvoir organiser cette «marche sur le palais et aller déloger» Abdoulaye Wade, assure Aziz Diop, un des responsables du mouvement. Le M23 regroupe des partis politiques et coalitions de partis ayant investi certains des candidats autorisés, dont les anciens Premiers ministres Moustapha Niasse, Idrissa Seck et Macky Sall, ainsi que le chef du Parti socialiste (PS), Ousmane Tanor Dieng.
vendredi, janvier 27, 2012
UNEPREMIERE
ENFRANCE
DESJUIFSCREENT
UNGROUPEDESOUTIEN
AUPRESIDENTSORTANT
VOTONS SARKOZY EN 2012
PETITION DU COMITE DES CITOYENS JUIFS DE FRANCE POUR SARKOZY
Qui a dit?:
"Le peuple d'Israël, si courageux, qui ne doit la liberté et la démocratie à personne d'autre qu'à lui-même, à son courage, à son énergie et à son intelligence". "Aucun exil, aucune épreuve n'avait pu arracher du cœur du peuple juif le souvenir de la Terre Promise".
(Nicolas Sarkozy à la Knesset, 23 juin 2008).
Voter est un droit, un privilège et une responsabilité. Il ya plusieurs raisons pour lesquelles nous, Citoyens Juifs de France, représentants de la société civile peu politisés, devrons nous engager et aller voter et faire voter aux élections présidentielle pour ce véritable ami d'Israël, lucide, courageux et sincère. Votons ou perdons notre droit de nous plaindre. Ensemble, nous déciderons de notre avenir. Faites partie de cet avenir commun en votant.
Nous devons cependant éviter que certains se fourvoient dans un vote FN/PS (les 2 FRONTS : Front National , et Front de Gauche) car leurs candidats respectifs seraient de mauvais Présidents de la République, l’une par son outrance, l’autre par son laxisme et nous allons en faire la démonstration!
VOICI 10 BONNES RAISONS DE VOTER SARKOZY:
1° Votons pour défendre ce qui compte pour nous et notre famille. Votons pour que nous puissions avoir un mot à dire dans ce qui se passe. Beaucoup de gens justifient leur apathie en disant que leur vote ne compte pas. Or, Notre voix et celle de notre entourage compte, par leur effet d'entrainement.
2° Votons pour assurer notre propre sécurité, pour que la France reste la France.
Nous vivons dans une époque troublée. Toutes sortes de terroristes, d'extrémistes et de délinquants sexuels menacent de nous nuire. Certains poussent à l'islamisation de notre société au détriment de la laïcité et de nos valeurs morales judéo-chrétiennes. Or, le PS ne pousse pas au respect de la laïcité : Hollande n’a pas voté la loi sur l’interdiction de la burqa, Aubry pratiquait des horaires réservés aux femmes dans les piscines de Lille et Daniel Vaillant, ancien ministre de l’Intérieur sous Jospin, ne voyait pas de problème dans les prières de rue,
Choisissons un président prêt à nous rassurer, à protéger nos vies et celles de nos enfants. Levons-nous pour défendre nos idéaux en votant.
3° Votons pour l'emploi, pour vivre dignement sur le plan socio-économique, pour l'homme des idées et du mouvement, celui qui n'as pas peur de se montrer impopulaire, face au vide et à l'immobilisme des autres candidats. Grâce à son incroyable énergie et à sa capacité à agir sur tous les fronts, Sarkozy a secoué la France: elle en garde quelques bleus et le lui fait payer. Dans un pays génétiquement allergique au changement, il a réussi à imposer la réforme des retraites, le service minimum lors des grèves du service public et à favoriser la création de 1 million d'auto-entreprises.
4° Votons pour nos enfants et petits-enfants. Les décisions que nous prenons aujourd'hui auront un impact sur nos enfants, nos petits-enfants et toutes les générations qui suivront. Faisons un choix qui améliorera leur vie en votant. Grâce à la réforme sur l'autonomie des universités de Valérie Pécresse, elles ont déjà regagné en crédibilité dans la compétition internationale.
5° Votons pour l'expérience, pour une personne qui a déjà fait ses preuves au milieu de crises politiques et économiques majeures. Il a le plus d'expérience en tant qu'ancien avocat, puis maire, député, porte-parole du gouvernement, ministre du Budget, ministre de la Communication, ministre de l'Intérieur, ministre de l'Économie et des Finances et ancien président du conseil général des Hauts-de-Seine. En tant que Président, il a présidé le Conseil européen en 2008, l'Union pour la Méditerranée et le G20 pour l'année 2011, en dépit d'une crise financière mondiale, d'une crise économique mondiale, d'une crise de la dette dans la zone euro. Il est le seul candidat à pouvoir diriger le porte-avions France par gros temps.
6° Votons pour un président qui a toujours proclamé être l'ami des Juifs et d'Israël, tout en sachant que cela allait lui aliéner le vote des Musulmans de France et des antisémites d'extrême-droite. Il a sécurisé les principaux édifices communautaires, augmenté les effectifs et les rondes de policiers lors des principales fêtes juives, été l'un des rares Présidents à avoir été en Israel, suivi de nombreux ministres et d'accords économiques et militaires. Il a toujours été le plus ferme, à la pointe des sanctions économiques contre la menace atomique que fait peser l'Iran sur l'Europe et tout le Moyen-Orient. A l'inverse, les socialistes osent mettre sur le même plan la libération d'un jeune israélien innocent retenu en otage pendant plus de cinq ans par des barbares sans avoir commis la moindre faute, et des terroristes ayant massacré des civils innocents et ayant été jugés et condamnés à perpétuité pour ces crimes. Leur positionnement déclaré en faveur de Stéphane Hessel et de la Palestine est en fait un clin d’œil appuyé en direction des banlieues, s'indignant par la voix du député PS Jean Glavany de l'apartheid imposé aux Palestiniens par Israël sur l'eau.
7° Votons pour un président qui sait s'entourer: Observez les ministres actuels et comparez avec ceux qui seraient susceptibles d'être ministres de ses concurrents.
* Dans le cas de Marine Le Pen, qui n’a jamais été ministre elle-même, on peut imaginer Bruno Gollnisch, Ministre de l’Intérieur, Dieudonné, Ministre des Affaires Etrangères et Alain Soral, membre du comité central du FN-, Ministre de la Culture, sans compter les négationnistes Faurisson et Marc-Edouard Nabe.
* Dans le cas de François Hollande, qui n’a jamais été ministre lui-même, ce serait probablement Pierre Moscovici, Ministre du Budget, Martine Aubry, Ministre de l’Economie et des Finances, Jean Glavany, Ministre des Affaires Etrangères, Daniel Vaillant, Ministre de l'Intérieur, Stéphane Hessel Ministre de la Culture, sans compter les autres éventuels « ministrables » : José Bové, Mélenchon, Eva Joly, Cécile Duflot, Faouzi Lamdaoui, Najat Belkacem. Dans ce genre de Conseil des Ministres, il serait probablement difficile, de rester neutre ou de prendre la défense d’Israël.
8° Votons pour Nicolas Sarkozy, qui a l'intelligence, un talent naturel et un charisme communicatif pour rassembler les gens, réformer: il a réussi à faire avancer notre pays, malgré la retraite à 60 ans et les 35 heures, un marché du travail rigide et le principe de précaution. En France, dans les années Sarkozy, non seulement les salaires n’ont pas été réduits comme dans quelques pays voisins, ils n’ont pas davantage été bloqués, ils ont même progressé légèrement et le pouvoir d’achat a donc augmenté. Comme l’a confirmé l’O.C.D.E., nos dispositifs sociaux ont fait que, chez nous, les inégalités ne se sont pas creusées alors qu’elles l’ont fait ailleurs. Ainsi, lorsque la gauche prétend toujours au monopole du cœur, il est utile de rappeler que c’est à partir du premier septennat de François Mitterrand que les plus values se sont dirigées plus fortement vers le capital au détriment du salariat.
9° Votons contre la terreur islamiste. Nous avons besoin d'un leader intelligent stratège comprenant les forces d'équilibre avec diplomatie, déployant une stratégie plutôt que de simples tactiques, et ayant confiance en soi.
10° Votons pour un président hyperactif et efficace, plutôt que pour ses concurrents hyperpassifs, indécis et incapables de trancher. Sur le caractère et les capacités à faire face à une crise quelle qu’elle soit, les sondages donnent nettement l’avantage à Nicolas Sarkozy sur ses principaux rivaux.
* François Hollande, « l’homme qui n’aime pas les riches » qui gagnent plus de «4000€ par mois », et la gauche ne veulent pas réduire les déficits, mais au contraire encore et toujours augmenter la fiscalité: elle est déjà globalement lourde, or une augmentation de 10% de l’impôt sur le revenu ne rapporterait que 6 milliards. Il n’y a donc pas de miracle à espérer du côté de la fiscalité. Il y en a du côté des économies. Pour le reste, on ne peut que déplorer le vide programmatique abyssal du projet socialiste qui rappelle étrangement les mêmes errances que du temps de Ségolène Royal.
Essayant de mimer les gestes et les mots de François Mitterrand qui avait mené par deux fois la gauche à la victoire, l’autre François (Hollande) s’affiche dans ses meetings avec Stéphane Hessel (le 19/1/12), la figure des indignés, pseudo- conscience morale de l’ultra-gauche, pseudo intellectuel de gauche, le plus antisioniste des pro-palestiniens, pour ne plus être taxé de «capitaine du pédalo dans la tempête» par la gauche de la gauche.
Il court ainsi après l'extrême-gauche, Mélenchon et Eva Joly, déclarant que « son ennemi, c’est la finance », avec tout un florilège de promesses qui font s’interroger sur la crédibilité du financement de son projet, or la France ne se gouverne pas à la gauche de la gauche, car cela équivaudrait à une société nivelée par le bas,ss
* Marine Le Pen , sous couvert de laïcité, présente un programme xénophobe (et de probables futurs ministres antisémites ), des propositions économiques et financières suicidaires, car le retour au franc qu’elle prône conduirait à la ruine de notre pays; parmi ces mesures socio-économiques: retour au franc, re-nationalisation de la Poste et des banques, augmentation des effectifs de police et de gendarmerie, de l'effort de défense, le tout pour un coût total de 511 milliards d'euros sur 5 ans, sans aucune mesure crédible d'économies budgétaires.
C’est pourquoi, pour notre avenir, pour la France, NOUS APPELLONS A VOTER SARKOZY!
Comité des Citoyens Juifs de France pour Sarkozy 2012
ENFRANCE
DESJUIFSCREENT
UNGROUPEDESOUTIEN
AUPRESIDENTSORTANT
VOTONS SARKOZY EN 2012
PETITION DU COMITE DES CITOYENS JUIFS DE FRANCE POUR SARKOZY
Qui a dit?:
"Le peuple d'Israël, si courageux, qui ne doit la liberté et la démocratie à personne d'autre qu'à lui-même, à son courage, à son énergie et à son intelligence". "Aucun exil, aucune épreuve n'avait pu arracher du cœur du peuple juif le souvenir de la Terre Promise".
(Nicolas Sarkozy à la Knesset, 23 juin 2008).
Voter est un droit, un privilège et une responsabilité. Il ya plusieurs raisons pour lesquelles nous, Citoyens Juifs de France, représentants de la société civile peu politisés, devrons nous engager et aller voter et faire voter aux élections présidentielle pour ce véritable ami d'Israël, lucide, courageux et sincère. Votons ou perdons notre droit de nous plaindre. Ensemble, nous déciderons de notre avenir. Faites partie de cet avenir commun en votant.
Nous devons cependant éviter que certains se fourvoient dans un vote FN/PS (les 2 FRONTS : Front National , et Front de Gauche) car leurs candidats respectifs seraient de mauvais Présidents de la République, l’une par son outrance, l’autre par son laxisme et nous allons en faire la démonstration!
VOICI 10 BONNES RAISONS DE VOTER SARKOZY:
1° Votons pour défendre ce qui compte pour nous et notre famille. Votons pour que nous puissions avoir un mot à dire dans ce qui se passe. Beaucoup de gens justifient leur apathie en disant que leur vote ne compte pas. Or, Notre voix et celle de notre entourage compte, par leur effet d'entrainement.
2° Votons pour assurer notre propre sécurité, pour que la France reste la France.
Nous vivons dans une époque troublée. Toutes sortes de terroristes, d'extrémistes et de délinquants sexuels menacent de nous nuire. Certains poussent à l'islamisation de notre société au détriment de la laïcité et de nos valeurs morales judéo-chrétiennes. Or, le PS ne pousse pas au respect de la laïcité : Hollande n’a pas voté la loi sur l’interdiction de la burqa, Aubry pratiquait des horaires réservés aux femmes dans les piscines de Lille et Daniel Vaillant, ancien ministre de l’Intérieur sous Jospin, ne voyait pas de problème dans les prières de rue,
Choisissons un président prêt à nous rassurer, à protéger nos vies et celles de nos enfants. Levons-nous pour défendre nos idéaux en votant.
3° Votons pour l'emploi, pour vivre dignement sur le plan socio-économique, pour l'homme des idées et du mouvement, celui qui n'as pas peur de se montrer impopulaire, face au vide et à l'immobilisme des autres candidats. Grâce à son incroyable énergie et à sa capacité à agir sur tous les fronts, Sarkozy a secoué la France: elle en garde quelques bleus et le lui fait payer. Dans un pays génétiquement allergique au changement, il a réussi à imposer la réforme des retraites, le service minimum lors des grèves du service public et à favoriser la création de 1 million d'auto-entreprises.
4° Votons pour nos enfants et petits-enfants. Les décisions que nous prenons aujourd'hui auront un impact sur nos enfants, nos petits-enfants et toutes les générations qui suivront. Faisons un choix qui améliorera leur vie en votant. Grâce à la réforme sur l'autonomie des universités de Valérie Pécresse, elles ont déjà regagné en crédibilité dans la compétition internationale.
5° Votons pour l'expérience, pour une personne qui a déjà fait ses preuves au milieu de crises politiques et économiques majeures. Il a le plus d'expérience en tant qu'ancien avocat, puis maire, député, porte-parole du gouvernement, ministre du Budget, ministre de la Communication, ministre de l'Intérieur, ministre de l'Économie et des Finances et ancien président du conseil général des Hauts-de-Seine. En tant que Président, il a présidé le Conseil européen en 2008, l'Union pour la Méditerranée et le G20 pour l'année 2011, en dépit d'une crise financière mondiale, d'une crise économique mondiale, d'une crise de la dette dans la zone euro. Il est le seul candidat à pouvoir diriger le porte-avions France par gros temps.
6° Votons pour un président qui a toujours proclamé être l'ami des Juifs et d'Israël, tout en sachant que cela allait lui aliéner le vote des Musulmans de France et des antisémites d'extrême-droite. Il a sécurisé les principaux édifices communautaires, augmenté les effectifs et les rondes de policiers lors des principales fêtes juives, été l'un des rares Présidents à avoir été en Israel, suivi de nombreux ministres et d'accords économiques et militaires. Il a toujours été le plus ferme, à la pointe des sanctions économiques contre la menace atomique que fait peser l'Iran sur l'Europe et tout le Moyen-Orient. A l'inverse, les socialistes osent mettre sur le même plan la libération d'un jeune israélien innocent retenu en otage pendant plus de cinq ans par des barbares sans avoir commis la moindre faute, et des terroristes ayant massacré des civils innocents et ayant été jugés et condamnés à perpétuité pour ces crimes. Leur positionnement déclaré en faveur de Stéphane Hessel et de la Palestine est en fait un clin d’œil appuyé en direction des banlieues, s'indignant par la voix du député PS Jean Glavany de l'apartheid imposé aux Palestiniens par Israël sur l'eau.
7° Votons pour un président qui sait s'entourer: Observez les ministres actuels et comparez avec ceux qui seraient susceptibles d'être ministres de ses concurrents.
* Dans le cas de Marine Le Pen, qui n’a jamais été ministre elle-même, on peut imaginer Bruno Gollnisch, Ministre de l’Intérieur, Dieudonné, Ministre des Affaires Etrangères et Alain Soral, membre du comité central du FN-, Ministre de la Culture, sans compter les négationnistes Faurisson et Marc-Edouard Nabe.
* Dans le cas de François Hollande, qui n’a jamais été ministre lui-même, ce serait probablement Pierre Moscovici, Ministre du Budget, Martine Aubry, Ministre de l’Economie et des Finances, Jean Glavany, Ministre des Affaires Etrangères, Daniel Vaillant, Ministre de l'Intérieur, Stéphane Hessel Ministre de la Culture, sans compter les autres éventuels « ministrables » : José Bové, Mélenchon, Eva Joly, Cécile Duflot, Faouzi Lamdaoui, Najat Belkacem. Dans ce genre de Conseil des Ministres, il serait probablement difficile, de rester neutre ou de prendre la défense d’Israël.
8° Votons pour Nicolas Sarkozy, qui a l'intelligence, un talent naturel et un charisme communicatif pour rassembler les gens, réformer: il a réussi à faire avancer notre pays, malgré la retraite à 60 ans et les 35 heures, un marché du travail rigide et le principe de précaution. En France, dans les années Sarkozy, non seulement les salaires n’ont pas été réduits comme dans quelques pays voisins, ils n’ont pas davantage été bloqués, ils ont même progressé légèrement et le pouvoir d’achat a donc augmenté. Comme l’a confirmé l’O.C.D.E., nos dispositifs sociaux ont fait que, chez nous, les inégalités ne se sont pas creusées alors qu’elles l’ont fait ailleurs. Ainsi, lorsque la gauche prétend toujours au monopole du cœur, il est utile de rappeler que c’est à partir du premier septennat de François Mitterrand que les plus values se sont dirigées plus fortement vers le capital au détriment du salariat.
9° Votons contre la terreur islamiste. Nous avons besoin d'un leader intelligent stratège comprenant les forces d'équilibre avec diplomatie, déployant une stratégie plutôt que de simples tactiques, et ayant confiance en soi.
10° Votons pour un président hyperactif et efficace, plutôt que pour ses concurrents hyperpassifs, indécis et incapables de trancher. Sur le caractère et les capacités à faire face à une crise quelle qu’elle soit, les sondages donnent nettement l’avantage à Nicolas Sarkozy sur ses principaux rivaux.
* François Hollande, « l’homme qui n’aime pas les riches » qui gagnent plus de «4000€ par mois », et la gauche ne veulent pas réduire les déficits, mais au contraire encore et toujours augmenter la fiscalité: elle est déjà globalement lourde, or une augmentation de 10% de l’impôt sur le revenu ne rapporterait que 6 milliards. Il n’y a donc pas de miracle à espérer du côté de la fiscalité. Il y en a du côté des économies. Pour le reste, on ne peut que déplorer le vide programmatique abyssal du projet socialiste qui rappelle étrangement les mêmes errances que du temps de Ségolène Royal.
Essayant de mimer les gestes et les mots de François Mitterrand qui avait mené par deux fois la gauche à la victoire, l’autre François (Hollande) s’affiche dans ses meetings avec Stéphane Hessel (le 19/1/12), la figure des indignés, pseudo- conscience morale de l’ultra-gauche, pseudo intellectuel de gauche, le plus antisioniste des pro-palestiniens, pour ne plus être taxé de «capitaine du pédalo dans la tempête» par la gauche de la gauche.
Il court ainsi après l'extrême-gauche, Mélenchon et Eva Joly, déclarant que « son ennemi, c’est la finance », avec tout un florilège de promesses qui font s’interroger sur la crédibilité du financement de son projet, or la France ne se gouverne pas à la gauche de la gauche, car cela équivaudrait à une société nivelée par le bas,ss
* Marine Le Pen , sous couvert de laïcité, présente un programme xénophobe (et de probables futurs ministres antisémites ), des propositions économiques et financières suicidaires, car le retour au franc qu’elle prône conduirait à la ruine de notre pays; parmi ces mesures socio-économiques: retour au franc, re-nationalisation de la Poste et des banques, augmentation des effectifs de police et de gendarmerie, de l'effort de défense, le tout pour un coût total de 511 milliards d'euros sur 5 ans, sans aucune mesure crédible d'économies budgétaires.
C’est pourquoi, pour notre avenir, pour la France, NOUS APPELLONS A VOTER SARKOZY!
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