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AFAIRELAFÊTE
DANSLE7èART
Source : israelvalley.com en ligne
le 22 janvier 2012
"Barbie Blues" et a été sélectionné
pour participer au prestigieux festival
du film de Sundance.
Son budget : seulement 800 dollars !
Avec un budget de seulement 800 dollars, une étudiante de cinéma israélienne, Adi Kutner, a produit le film “Barbie Blues”. Ce fim de 18 minutes et a été sélectionné pour participer au prestigieux festival du film de Sundance.
Le festival du film de Sundance (Sundance Film Festival) est le principal festival américain de cinéma indépendant, et l’un des principaux au monde. Il se tient chaque année à Park City et Salt Lake City dans l’Utah. Il présente essentiellement des films indépendants dans des sections compétitives ou non-compétitives. (Source : philosemitisme.blog@gmail.com)
ISRAELVALLEY PLUS EN 2011
Sarah Smadja pour Guysen (Jérusalem) : "Le Cinéma israélien, en plein âge d’or, collectionne les succès. Après la Corée-du-Sud et la Roumanie, c’est au tour d’Israël d’être mis en lumière sur les plus belles planches du 7eme art. Son ascension est si remarquable que les critiques nomment cette nouvelle vague créative « l’iceberg redressé», « le vent en Poupe » ou encore « les nouvelles étoiles de David».
Pour accompagner les nouveaux talents, dix-sept écoles de cinéma ont été créées, et le gouvernement a instauré depuis 2001 un fonds de soutien, l’Israel Film Fund (IFF), qui distribue chaque année au moins 12 millions d’euros. Qu’il s’inspire de la guerre ou qu’il s’attache à mettre en lumière d’autres aspects de la réalité israélienne, c’est l’exportation de ses films qui a permis au cinéma israélien de connaitre un tel essor.
Le conflit israélo-palestinien, qui a longtemps été l’une des principales thématiques, a laissé la place aujourd’hui, aux sujets tels que le poids de l’armée sur la vie quotidienne (Une jeunesse comme aucune autre, de Dalia Hager), la prostitution (Mon trésor, de Keren Yedaya), la désagrégation familiale (Les Sept Jours, de Ronit et Schlomi Elkabetz), le souvenir de la Shoah (Tu Marcheras sur l’Eau, d’Eitan Fox) ou encore la religion (Kadosh, d’Amos Gitaï).
Ronit Elkabetz : « La nouvelle génération partage une conviction : pour évoquer Israël et ses contradictions, il faut s’éloigner de la prétendue objectivité des reportages télévisés et raconter des histoires à la première personne du singulier ».
C’est ainsi que les cinéastes, qui se focalisaient jusqu’à présent sur les fossés entre droite et gauche, riches et pauvres, ashkénazes et séfarades, croyants et non croyants, se sont détournés des propos purement politiques au profit de la vie quotidienne et de ses difficultés. Le conflit reste néanmoins présent, mais plutôt comme un passage obligé pour mieux appréhender la réalité."
Revue de presse, panorama du monde, blog de lutte contre l'antisémitisme et le racisme, ouvert au dialogue, l'autre image d'Israël, la culture juive à la rencontre de toutes les cultures, le monde juif tel qu'il est.
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