JOURNEE
CONTRE
LAPEINEDEMORT
DIASPORABLOG
accueille....
LE CONSEIL NATIONAL
DE LA RESISTANCE
IRANIENNE
Mme Radjavi demande
au Conseil de Sécurité de l’ONU
un tribunal international pour juger
les responsables des exécutions
et des massacres en Iran
A l’occasion de la Journée internationale contre la peine de mort, Mme Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, a appelé une fois de plus le Conseil de Sécurité de l’ONU à mettre en place un tribunal pour juger les responsables de la torture, des exécutions et des massacres du régime des mollahs, en particulier du massacre de 30.000 prisonniers politiques en 1988, qui sont aujourd’hui les principaux dirigeants, responsables politiques, militaires et judiciaire du fascisme religieux en Iran.
Le silence face à ce crime sans précédent de l’époque contemporaine, encourage le pouvoir iranien à poursuivre ses violations systématiques et sauvages des droits humains. Les exécutions des prisonniers, notamment politiques, se poursuivent depuis le début de l’année. Et aujourd’hui, en cette Journée internationale contre la peine de mort, quatre prisonniers, dont une femme, ont été pendus à la prison centrale de Zendjan.
A l’heure actuelle, beaucoup de détenus politiques attendent dans le couloir de la mort. Mme Farah (Elmira Vazehan) et MM. Mohammad Ali Saremi, Jafar Kazemi, Mohammad Ali Hadj-Agha’i, Mohsen Daneshpour-Moghadam et son fils Ahmad, sont condamnés à mort pour Moharebeh ou guerre contre Dieu, uniquement pour leurs liens de parenté avec des Moudjahidine d’Achraf ou s’être rendus à Achraf.
Les potences à travers le pays, a estimé Mme Radjavi, les exécutions collectives, les rafles de jeunes et de femmes, trahissent l’impuissance de la dictature religieuse face à la montée des protestations et du rejet de la population pour l’ensemble du régime du guide suprême. Elle a salué les condamnés à mort politiques. Le courage de ces détenus, a-t-elle souligné, face au régime sanguinaire et à ses condamnations dans des simulacres de procès, témoigne de l’échec du régime du guide suprême face au peuple insurgé d’Iran et ses justes aspirations, un régime qui ne peut plus le terroriser par des exécutions et des massacres.
Maryam Radjavi a souligné que le temps est venu d’exclure de la communauté des nations le régime des mollahs non seulement pour son projet d’armes atomiques, mais aussi ses exactions sauvages. Ce régime, ses dirigeants et les responsables des exécutions, de la torture et des massacres de la population en Iran, doivent être la cible de sanctions générales de la part de la communauté internationale, notamment de l’Union européenne.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 10 octobre 2010
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