"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mercredi, février 06, 2008

PASSERELLE
Source : lemonde.fr via l'Agence Reuters
en lignele 6 février




Israël contre des forces supplémentaires
entre l'Égypte et Gaza



par Jeffrey Heller
JERUSALEM (Reuters) - Le cabinet de sécurité restreint israélien exclut un doublement des effectifs des gardes égyptiens ou un déploiement de forces internationales pour sécuriser la frontière entre l'Egypte et Gaza.
En revanche, il a approuvé le principe de la construction d'une clôture de sécurité le long des 220 kilomètres de frontière entre le Sinaï égyptien et Israël, comme le suggérait le ministre de la Défense, Ehud Barak.


La ministre israélienne des Affaires étrangère, Tzipi Livni, avait suggéré d'accepter que l'Egypte fasse passer à 1.500 le nombre de ses gardes à la frontière de Gaza, qui est plafonné par le traité de paix israélo-égyptien de 1979.
Mais, réuni mercredi sous la présidence du Premier ministre Ehud Olmert, le cabinet restreint, dont Barak et Livni font partie, a rejeté l'idée. "Le ministre de la Défense ne croit pas que cela fasse une différence qu'il y ait plus ou moins de policiers égyptiens", a-t-on expliqué dans l'entourage de Barak.
Israël a été très critique de la façon dont les autorités du Caire ont géré la crise des deux dernières semaines à leur frontière avec Gaza, dont des activistes du Hamas avaient fait sauter le mur de séparation, provoquant un afflux incontrôlable de Palestiniens dans le Sinaï.
L'Egypte a refermé dimanche cette frontière, dont l'Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas a proposé de reprendre le contrôle, qu'elle avait perdu en juin lorsque le Hamas a pris le pouvoir par la force à Gaza.




"LE HAMAS N'A PAS SON MOT À DIRE"


L'Egypte a exhorté le Hamas à accepter le retour des forces sécurité d'Abbas, assurant que, après avoir fermé les yeux pour des raisons humanitaires sur les allées et venues des Palestiniens, sa patience avait des limites.
Le mouvement islamiste "n'acceptera plus le maintien de la fermeture des postes-frontières qui ont transformé Gaza en une immense prison", a rétorqué son porte-parole Abu Zouhri. Mais Abbas a estimé que le Hamas n'avait "pas son mot à dire".
Bien qu'il n'y soit plus présent depuis son retrait de Gaza en 2005, Israël peut s'opposer à l'ouverture du point de passage de Rafah en vertu d'un accord conclu la même année avec l'Egypte et l'Autorité palestinienne sous l'égide de Etats-Unis et de l'Union européenne.
Arguant de soucis de sécurité, l'Etat juif a maintenu le point de passage fermé quasiment en permanence depuis juin en empêchant les observateurs européens censés y superviser le transit et basés sur son territoire de le rejoindre via son poste frontière de Kerem Shalom.
"Nous appelons les autorités gouvernant la bande de Gaza à autoriser les observateurs et les éléments de l'Autorité palestinienne à revenir à nouveau au point de passage, afin de superviser l'application de l'accord de 2005", a déclaré mardi le chef de la diplomatie égyptienne, Ahmed Aboul Gheït.
L'ouverture "sauvage" de la frontière égypto-gazaouie fait craindre à Israël une infiltration sur son territoire via le Sinaï égyptien de centaines d'activistes palestiniens, d'où sa décision d'ériger une clôture le long de ses 220 km de frontière avec l'Egypte.






Version française :

Marc Delteil

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