ISRAEL,
LE DESENGAGEMENT DE GAZA
L’Armée et la Police d’Israël viennent de terminer le retrait de la Bande de Gaza, conformément aux engagements pris par le Premier Ministre Israélien, Ariel Sharon, en passant par la voie démocratique. Contrairement aux craintes et aux prévisions des experts, le retrait s’est effectué dans un temps record, sans trop d’agitations et de confrontations frontales entre Tsahal et les habitants évacués des implantations.
Aujourd’hui, force est de reconnaître que la nouvelle situation provoquée par ce départ de Gaza, cause de sérieux secousses dans l’échiquier politique en Israël , mais aussi, risque, à terme, de voir la société palestinienne se trouver coincée entre deux alternatives : montrer sa capacité à administrer un Etat, si embryonnaire soit-il, ou poursuivre dans l’aventure suicidaire du « jusqu’au boutisme » qui aboutirait, à l’évidence, à l’anéantissement pur et simple de l' entité palestinienne avant même qu’elle n’apparaisse. Un nouveau chapitre de cet orient compliqué vient de s’ouvrir. Aux jeunes générations des deux camps d’en écrire la suite et surtout aux Palestiniens, et à ceux qui les soutiennnent, de dessiner, enfin, les contours, de ce que sera, pour eux, un Etat vivant en Paix aux côtés d’un Etat juif.
Israël devait-il céder Gaza ? Quel avenir pour Israël, après le désengagement de Gaza ? Quel point de vue avez-vous du Premier Ministre Israélien, Ariel Sharon, au lendemain de ce désengagement? Le vieux rêve sioniste, comme pensent certains commentateurs, est-il en train de s'effondrer? En 2005, à quoi correspond le SIONISME ? Selon vous, l'initiative de se retirer de Gaza, change-t-elle les données du conflit israélo-palestinien ? Que retenez-vous de cette évacuation ? Quelle image avez-vous retenu de cette période ?
Nous ouvrons le débat sur Israël, après Gaza. Nous attendons vos réactions. Nous sélectionnerons les meilleures d’entre elles pour les publier sur notre blog.
Bernard Koch
Aujourd’hui, force est de reconnaître que la nouvelle situation provoquée par ce départ de Gaza, cause de sérieux secousses dans l’échiquier politique en Israël , mais aussi, risque, à terme, de voir la société palestinienne se trouver coincée entre deux alternatives : montrer sa capacité à administrer un Etat, si embryonnaire soit-il, ou poursuivre dans l’aventure suicidaire du « jusqu’au boutisme » qui aboutirait, à l’évidence, à l’anéantissement pur et simple de l' entité palestinienne avant même qu’elle n’apparaisse. Un nouveau chapitre de cet orient compliqué vient de s’ouvrir. Aux jeunes générations des deux camps d’en écrire la suite et surtout aux Palestiniens, et à ceux qui les soutiennnent, de dessiner, enfin, les contours, de ce que sera, pour eux, un Etat vivant en Paix aux côtés d’un Etat juif.
Israël devait-il céder Gaza ? Quel avenir pour Israël, après le désengagement de Gaza ? Quel point de vue avez-vous du Premier Ministre Israélien, Ariel Sharon, au lendemain de ce désengagement? Le vieux rêve sioniste, comme pensent certains commentateurs, est-il en train de s'effondrer? En 2005, à quoi correspond le SIONISME ? Selon vous, l'initiative de se retirer de Gaza, change-t-elle les données du conflit israélo-palestinien ? Que retenez-vous de cette évacuation ? Quelle image avez-vous retenu de cette période ?
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Bernard Koch
Copyright photo Alain Azria
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