Revue de presse, panorama du monde, blog de lutte contre l'antisémitisme et le racisme, ouvert au dialogue, l'autre image d'Israël, la culture juive à la rencontre de toutes les cultures, le monde juif tel qu'il est.
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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha
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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
mardi, juin 13, 2006
UNZER
YDDISHE WEG
Une nouvelle rubrique qui nous promènera, en fonction de l'actualité, sur les sentiers du Yddishland. Pour cette première page consacrée à la culture yiddish, un coup de coeur et un coup de projecteur sur le Molière yiddish, Sholeim Aleichem, maître incontesté de la comédie sociétale du yddishland, observateur avisé au regard cocasse sur le petit monde de la vie juive de la fin du 19è siècle. Woody Allen, en bon disciple, ne cache pas sa complicité et son voisinage avec cette figure de proue de la vie littéraire et théâtrale qui rayonna à l'intérieur des shtet et qui demeura jusqu'à la veille de la seconde guerre mondiale.
Deux évènements le mettent à l'affiche : le succès de la comédie musicale, tirée du célèbre conte de Sholeim Aleichem "Tévyé, le laitier", "UN VIOLON SUR LE TOIT", nominée aux Molière cette année, actuellement, jusqu'à la fin de ce mois, au Casino de Paris et une série de lectures de ses oeuvres à la Maison du Yddish, passage Amelot, à Paris, ce week-end :
À la mémoire de Sholem Aleykhem
Lectures en yiddish par Nicole Wajeman
Présentation de Yitskhok NiborskiDans le cadre des samedis littérairesEn yiddish
Samedi 17 juin 2006 à 15h00
Ce grand écrivain, grand humoriste également, a demandé dans son testament que l'anniversaire de sa mort, le 90e cette année, soit l'occasion de se réjouir et de lire l'une de ses oeuvres.
Entrée libre
Réservation souhaitable au :
01 47 00 14 00
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BIOGRAPHIE
et BIBLIOGRAPHIE
de SHOLEIM ALEICHEM
(source : www.madrichim.org)
Sholem Aleichem ("la paix soit avec vous") est le pseudonyme le plus connu de l'écrivain et du rabbin Sholem Rabinovich. Il est considéré comme un auteur classique de l'humour dans la littérature yiddish et, par conséquent, comme le "Maître du rire juif". Il a choisi ce pseudonyme puisque c'est le salut et la bénédiction de l'homme du peuple juif et il a préféré l'utiliser pour que ses parents et des connaissances ne le reconnaissent pas, ni ne critiquent ses écrits en hébreu.
Il est né à Periaslev, province de Poltava, en Russie, le 18 février ou le 2 mars 1859, selon le calendrier juif, c'est le 26 d'Adar en 5619. Il fut le troisième fils de Menachem Nahum Rabinovich et de Jaie Ester Zelding. Sa famille était une famille aisée, religieuse et passionnée de littérature hébraïque de la Haskala. Il a été élevé dans le shtetl Boronkov. Ce shtetl lui a servi d'inspiration pour écrire Kasrilevké, le shtetl imaginaire le plus célèbre de la littérature yiddish. Entre les années 1865 et 1872, il a débuté ses premières études judaïques. De retour à Periaslev, il a étudié avec des maîtres de la Guemara. Après sa Bar-Mitsva, sa mère est morte du choléra et il est parti vivre dans la maison de ses grands-pères maternels à Kiev. Après un certain temps, il est revenu vivre avec son père et sa belle-mère, Jane. Le père était très admiré par Sholem Aleichem et il est devenu sa plus grande source d'inspiration. Ce fut également le cas de sa belle-mère, caractérisée dans l’œuvre Funem Yarid (Depuis le marché) comme une femme de mauvais caractère qui disait fréquemment des insultes. Depuis très jeune, il avait l'habitude d'imiter les voisins dans leur façon de marcher, de parler, en laissant libre cours à son imagination. Son père l'a encouragé dans la voix des études bibliques et déjà à 21 ans, il était rabbin à Lublin (1881-1883).
Ses oeuvres ont été nombreuses et ont été traduites en plusieurs langues et représentées dans des théâtres juifs et non juifs dans le monde entier. Elles contiennent des récits de la vie juive, des récits de la culture populaire juive, les proverbes populaires en yiddish d’où ressortent des sentiments et des pensées universelles. Ses oeuvres engendrent aussi bien le rire que des pleurs au lecteur universel, sans restrictions adjectives, ni de limitations géographiques ou raciales. Sholem Aleichem avait l'habitude de dire "lajn iz guezunt, doktoirim heisn lajn" (rire est salutaire, les médecins recommandent de rire). C’est probablement cela qui l’a rendu si populaire. Sholem Aleichem a décrit ainsi le shtetl, Kasrilevke et Boiberik le petit village où la majorité des Juifs résidaient, en montrant "la capacité de supporter, d’endurer et de survivre à toute sorte de calamités que la vie et les hommes lui apportent ; cependant, malgré le fait d’être très endolori, il ne perd pas la jovialité, le sourire, la plaisanterie, la plaisanterie pour adoucir les infortunes amères.” Il a aussi décrit avec humour les migrations de la fin du XIXe siècle puisque les personnages du shtetl étaient à la recherche de nouveaux horizons, par exemple, l'Amérique où ils espéraient trouver des fortunes.
Rappelons qu'ils venaient d'une époque de persécutions antisémites, de pogroms et de pauvreté. Sholem Aleichem (l'humoriste) est considéré comme le petit-fils de la littérature yiddish. Il forme une trilogie avec Mendele Moicher Sfurim (le satirique), considéré comme le grand-père et Isaac Leibusch Peretz (l'humaniste), considéré comme le père. L'humour de S. Aleichem est différent de celui de Mendele puisqu'il contient moins d’amertume et d’ironie et beaucoup plus de rire. Les trois forment les classiques de la littérature yiddish. Mendele Moicher Sfurim et Sholem Aleichem ont peint leurs personnages seulement sous leur aspect juif, leur atmosphère, leur manière de s'habiller, leur manière de penser, leurs difficultés économiques, leurs coutumes, leurs fêtes, leur religiosité et insérés dans un climat hostile et incompréhensible. Mendele Moicher Sfurim a fait ressortir les défauts de la société juive de son temps. En revanche, Sholem Aleichem, en a fait une caricature sous une forme souriante et compréhensive. A I. L Peretz, au contraire des deux précédents, était intéressé par les réactions communes de caractère humain de toutes les personnes.
À travers des personnages juifs, il a présenté des problèmes de caractère général, aussi bien psychologiques qu’éthiques. En 1873, après avoir lu "Robinson Crusoé", il a écrit sa première tentative littéraire "Le Robinson Crusoé juif" son père ayant été le premier lecteur de celle-ci. Entre les années 1876 et 1881, il commença à donner des cours de Russe et a été engagé par Elimelech Loiev comme professeur pour sa fille. Il a commencé à publier ses premières lettres dans le journal Hatzefira et quelques articles sur l’éducation dans le journal Hamelitz (un quotidien). Le 12 mai 1883, Lag Baomer, s'est mariée avec Hodl (Olga) une fille d'Elimelech Loiev. Cette même année, il a commencé à écrire en yiddish dans le Yiddishes Folksblat de Saint-Pétersbourg et son premier conte a été "Tzvei shteiner" (Deux pierres). Il laissa sa fonction de Rabbin et emménagea à Kiev. Il a écrit "Di vibores", "Di hiberguejapte briv oif der post" (L'excès de lettres dans le courrier) et "Vu iz der capitan ?" (Où est le capitaine ?) En 1888, son père est mort et en sa mémoire il a écrit : "Blumen" (Fleurs). Sa première fille Noomi (Ema) est née et il a écrit quelques feuilletons : comme Bilder fun der zhitomirer gas (Images de la rue Zsitomir), Arba kosot (Quatre verres) et Funem veg (Du chemin). C'est l'année la plus fructueuse des productions de Sholem Aleichem. Il a confectionné l'annuaire Yidische Folksbibliotec dans la ville de Kiev. Cette même année, il a publié le roman Sender Blanc un zain guesindl (Sender Blanc et sa famille) où déjà son style humoristique et critique des échanges sociaux se profilait. Il a publié la comédie "Der guet" (Le divorce) et il a écrit en hébreu le conte "Gmar hatima tova" (Sois inscrit dans le livre de la vie). Cette même année, il a connu Mendele Moicher Sfurim et Ravnitzky. En 1884 est née sa deuxième fille, Ernestina (Jaie Ester). Il a travaillé comme contrôleur de comptes. Il a publié dans Folksblat "Natasha", "Hejer un niderik" (Haut et bas) et des feuilletons comme "Maine briv tsu main fraind Sholem Aleichem" (Mes lettres à mon ami Sholem Aleichem), sous un autre pseudonyme, celui de Baron Pipernoter. En 1885 est décédé son beau-père, Elimelech Loiev et il a dû administrer l'héritage. C’est seulement en 1886 qu’il a publié les contes "Di veltraize" (Le voyage dans le monde) et "Kindershpil" (Jeu pour enfants). En 1887 est née sa troisième fille, Sara Liali. Il a commencé à faire du commerce dans le blé, le sucre et à travailler avec des actions boursières et en même temps, il a publié des contes comme "Dos meserl" (Le canif), "Lag Baomer", "A josn, a doctor" (Un fiancé, un docteur). En 1889, est né son fils Elimelech (Misha). Il a préparé le second annuaire et a publié en hébreu dans le "Hamelitz" "Tmunot vetzlalim mejaiei haiehudim beMazepevka" (Lumières et ombres de la vie des Juifs à Mazepevka) et l'article "Lesheelat hasafá" (Question à propos de la langue). Il participe à la polémique qui est apparue par l'impact que produit l'apparition du Folksbibliotek en yiddish puisque jusqu’à ce moment, on écrivait en hébreu.
En 1890, il a édité le second l'annuaire Yddishe Folksbibliotek. Il a publié "Zelik der shnaider" (Zelig, le tailleur), la comédie "Di aseife" (la réunion). Il a perdu sa fortune à la bourse de Kiev et il est parti seul vers l'étranger, sa famille étant restée à Odessa. Pendant l’année 1891, il vit à Paris, à Vienne et à Chernovitz. Il est emprisonné en Autriche à cause d’une erreur avec son nom. Sa belle-mère Rajel, a soldé les dettes de Sholem Aleichem. Il retrouve sa famille à Odessa, mais il recommence à faire faillite dans les affaires. En 1892 naît sa fille Miriam (Marusi) Il a publié la première série des lettres de Menachem Mendl et de Scheine Scheindl et la chanson de berceau "Shlof main kind" (Dors mon enfant) avec la vente des derniers bijoux de sa femme. Pendant les années 1893 à 1899, il s'est occupé du commerce et d'opérations à la bourse. Simultanément, avec l'activité mercantile, sa plume ne cesse d'écrire. En 1894, il a écrit "Iaknaz" une satire au sujet des commerçants de la bourse de Kiev, qui a été très critiquée. Il a écrit le premier conte de "Tevié le laitier" appelé “Dos groise Guevins” (le grand gain) et quelques feuilletons. En 1895, il a écrit la deuxième série de lettres de Menachem Mendl "Papìrlej", en 1897 il a publié à Varsovie le feuilleton "Der idischer congres en Bazel" (Le Congrès Juif à Bâle). En 1898, il a publié à Varsovie les feuilletons "Oif vos badarfn idn aland ?" (Pourquoi les Juifs ont-ils besoin d'un État ") et " Tzu maine shvester in Tzión "(À mes sœurs de Sion). En 1899, il a écrit deux contes de "Tevye der milkhiker” (Tevié le laitier)" A boidim "(Un toit) et "Haintike kinder "(Les enfants d'aujourd'hui). L’œuvre d’un seul acte " Mazal tov" (Mazel-Tov) et la troisième série des lettres de Menachem Mendl " Milionen ". En 1900, il a continué de publier des lettres de Menachem Mendl et le célèbre conte "Di fon" (le drapeau). Il a aussi écrit avec Varshavsky des articles sur le sionisme. En 1901, est né son fils Nahum (Numa). Il a édité les poésies de Varshavsky et il a continué d'écrire les lettres de Menachem Mendl, "Di shtot Kasrilevke" (Le ville de Kasrilevke) et "Najes fun kinder"(Les satisfactions que les enfants donnent).
En 1902, parmi les nombreux contes qu'il a écrits, certains se détachent “Ven ij bin Rotchild” (Si j'étais Rotchild), "Oifn fidl" (Sur le violon) et "Der melech mit der malke" (Le roi et la reine). En 1903, il a écrit l’œuvre "Tzezeit un tzeshpreit" (Dispersé et éparpillé) en trois actes et quelques contes sur les thèmes des fêtes juives (‘Hanoucca, Pourim, Simhat Tora, etc..) en yiddish et en hébreu. En 1904, il rencontre pour la première fois à Varsovie, Itzjak L. Peretz et il prend contact avec d'autres poètes russes de l'époque, spécialement Maximo Gorki à Petersbourg. Il a maintenu une correspondance fluide avec eux. Il a publié dans le journal "Fraind" de nouveaux contes de la série Tevie, et dans le journal "Tog", des contes de Pessa’h et de Lag Baomer. Il a essayé d'obtenir une permission du gouvernement pour ouvrir son propre journal, mais il n’y est pas parvenu.
En 1905, il a collaboré avec le journal "Der Veg" et avec la revue mensuelle de Londres "Di yddishe tzukunft". Il lit en public ses oeuvres en Lituanie et dans les pays baltes. À Varsovie, est représentée, pour première une fois, l’œuvre "Tzezeit un tzeshpreit" et en langue polonaise. En général, ses oeuvres s'épuisent rapidement, par conséquent, elles ont besoin d'être et bien évidemment elles sont, jusqu'à aujourd'hui, rééditées. Il a subi le pogrom de Kiev et quand lui et sa famille ont été sauvés, il a décidé d'écrire la première version de son Épitaphe et de s'établir aux Etats-Unis mais, auparavant, il part en pèlerinage dans des villes européennes comme Lemberg, Gênes et Londres. A la fin de l’année 1906, il arrive à New York où il est reçu avec les honneurs par la communauté juive locale. Là-bas aussi, il gagne sa vie en lisant ses oeuvres en public. En 1907, il a participé au Congrès Sioniste comme délégué des sionistes New-Yorkais et là il a trouvé pour la première fois le poète Jaim N. Bialik. Il a écrit deux oeuvres : "Der oisvurf" (l'homme vil) ou "Shmuel Posternak" et "Stempeniú" et la première série de "Motl Peisi dem Jazn" ( Motel, le Jazan). En 1908, à Berlin, il a écrit la comédie "Haotzar" (Le trésor). Il a voyagé en Russie et a lu en public ses oeuvres dans de grandes et petites villes européennes (Berlin, Paris, Odessa, Chernovitz). Il a attrapé la tuberculose et sur les conseils des médecins, il s'est installé à Nervi (en Italie) avec une partie de sa famille. Il a publié des contes pour Pessa’h et a continué la série de Motl. Malgré sa maladie, il a continué à collaborer avec les journaux Fraind, Di Naie Velt, Morgn Journal et Americaner.
En 1914, vivant à Berlin, la Première Guerre Mondiale le surprend et il réussit à se réfugier à Copenhague avec sa famille ; sans moyens économiques et malade, il décide de partir définitivement pour New York. Ils y arrivent le 2 décembre et une semaine après il lit l'une de ses oeuvres dans le Carneghie Hall. Son oeuvre "Hafikoman" est imprimée. Il écrit " Le progrès à Krasilevke ", chapitres de Motl Peisi y de Tevie. À Copenhague, son oeuvre est représentée au théâtre "Shver tzu zain a id" (il est difficile d’être un Juif). En 1915, il a travaillé en exclusivité, pour un an, pour le journal "Tog" de New York. Il lit ses oeuvres dans les villes proches de sa résidence, puisqu'en raison de sa maladie, il ne pouvait pas voyager sur de longues distances, ni vers des lieux chauds. Son fils Misha meurt et cet événement le brise totalement. La même nuit de la mort de son fils, il écrit son testament. Sa santé et sa situation économique s’aggravent, puisque le journal "Tog" ne renouvelle pas le contrat. Cependant, il ne cesse d'écrire et pendant cette année, il présente l’œuvre “Dos groise guevins” (Le grand gain) et les récits "Funem iarid" (Retour de la foire et “Maasiot fun toiznt ain najt” (Les contes des milles et une nuit). Il a vécu ses derniers jours dans le Bronx, un quartier new-yorkais. Le 4 mars 1916, dans le théâtre Metropolitan de Philadelphie, il a lu devant des milliers de personnes une oeuvre et les organisateurs de l'événement l'ont escroqué. Triste et endolori, il a cherché une consolation chez le peu d'amis qu’il avait encore et qui continuaient à lui rendre visite. Sa santé a empiré avec une insuffisance rénale et des problèmes cardiaques, à un tel point qu’il fut obligé de rester couché au lit.
Il meurt le 13 mai à 7 heures 29 entouré de sa femme, ses filles, son fils Numa, son gendre Berkovich, sa petite-fille Tamara, des amis et des docteurs. La veillée funèbre s'est prolongée durant deux jours dans la ville de New York. Le 15 mai, le 12 du mois de Yar, l'enterrement a eu lieu, auquel se sont présentés des personnes de tous les lieux. Il a été enterré provisoirement dans le cimetière de Brooklyn “Har Nebo”, avec l'espérance de le rapatrier à Kiev et de l'enterrer près de son père, après la guerre. Mais au bout de cinq ans, on l’a définitivement enterré dans le cimetière "Har Hakarmel" à Brooklyn, dans le secteur ouvrier, entre "Proste idn arbeter, mitn emesn folk." (Les Juifs travailleurs et simples, avec le vrai peuple), comme fut son dernier désir.
Ses dernières créations, la troisième partie de "Funem yarid" (Depuis la foire) et "Motl Peisi dem Jazn in Amerike", sont restées inachevées, mais elles ont quand même été publiées dans le journal "Var-Hait". On a aussi publié dans ce même journal le dernier conte de “Tevie del Milkhiker ”et " Haman et de Mordehaï ". Le journal "Tzukunfd", publie l’œuvre "Dos groise guevins" et dans le journal "Hatoran" apparaît "main bakanshaft mit Jaim N. Bialyk" (ma rencontre avec Jaim N. Bialyk), traduit par Berkovich en hébreu.
Explication :
De la production très riche de Sholem Aleichem, citée dans cette bibliographie, nous citons seulement quelques oeuvres. Les plus répandues sont : La série Tevié le laitier, les lettres de Menachem Mendl, de Stempeniou, Retour de la foire, Gens de Kasrilevké et Motel Peysi, le fils du chantre.
Bibliographie :
Berkowitz, Ernestine “Dos Sholem Aleichem buj” (Compilation lors du dixième anniversaire de sa mort), New York, 1926.
Rollansky, Samuel, “Sholem Aleichem”, Bibliothèque populaire juive du Congrès juif mondial, Editorial Candelabro, Buenos Aires, 1966.
“Musterverk”, Athénée littéraire à l’Institut Scientifique juif, IWO.
“Oeuvres complètes de Sholem Aleichem”, Editorial “Icuf”, Buenos aires, 1955.
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