"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

jeudi, avril 30, 2009

PERFORMANCES
DELARECHERCHE
MEDICALEENISRAËL
Source : israelvalley.com via le Jpost via ligne le 39 avril


UN BILAN DE LA RECHERCHE MEDICALE
ISRAELIENNE.


Les médecins israéliens sont à l'origine
d'un grand nombre de premières médicales.



JPost: “1964 : une équipe de l’UNIVERSITE HEBRAIQUE DE JERUSALEM réalise pour la première fois l’opération chirurgicale délicate du double pontage sur un cœur humain. A peine trois ans plus tard, ils enchaînent avec la première greffe de rein réussie, suivie en 1977 de la première greffe de moelle osseuse. Il faudra encore six années de plus avant qu’ils n’arrivent à effectuer la première greffe de cœur, puis de poumons.

Les médecins israéliens sont égalementdes pionniers en matière de fécondation in vitro : il y a vingt-sept ans naissait en Israël le premier bébé éprouvette.
Plus récemment, en 2003, une personne atteinte de la leucémie en Italie a pu être guérie grâce à l’application d’une méthode de greffe de moelle osseuse particulière, développée par le prof Yaïr Reisner de l’Institut Weizmann.


Dépistage précoce

En 1956, le biologiste israélien Leo Sachs et ses collègues publiaient un article d’une importance cruciale : leurs recherches ont conduit au développement de l’amniosynthèse – procédé par lequel le liquide amniotique est extrait de l’utérus d’une femme enceinte afin de détecter d’éventuels problèmes génétiques chez l’embryon.Il y a six ans, le professeur Hadassa Degani de l’Institut Weizmann marchait dans les pas de son prédécesseur et mettait au point une méthode de diagnostic non-invasive basée sur l’imagerie à résonance magnétique (IRM) pour dépister les cancers du sein et de la prostate. Basée sur l’imagerie par résonance magnétique qui offre une vue en deux ou trois dimensions d’une partie du corps, la méthode a été approuvée par l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments (la FDA, qui autorise ou non la commercialisation d’un médicament sur le sol américain).

Au 21e siècle, le rythme des avancées médicales d’Hadassah a connu une accélération impressionnante : identification du gène responsable de la dystrophie musculaire; insertion d’un stent (tube métallique maillé) – plus connu sous le nom de “ressort” – dans une artère coronaire bouchée, prévenant ainsi les attaques cardiaques ; et enfin la preuve qu’un simple vaccin peut réduire les risques du développement du diabète juvénile chez les enfants.

Les médecins du centre médical de l’Université d’Hadassah ont aussi été les premiers au monde à identifier le gène lié aux troubles du stress post-traumatiques et à découvrir, en 2005, qu’un test sanguin pouvait suffir à dépister ces pathologies.


Médicaments

L’Université hébraïque de Jérusalem – classée aujourd’hui parmi les plus grandes universités du monde d’après des sondages réalisés aux Etats-Unis, au Royaume-Uni ou même en Chine – a reçu un tiers des récompenses de concours de recherche en Israël. Son budget de recherche annuel – 100 millions de dollars – est l’un des plus élevés du pays. L’une de ses découvertes scientifiques les plus remarquables est probablement celle qui concerne l’élaboration de médicaments et de traitements capables de combattre la maladie d’Alzheimer, de Parkinson, certains cancers et la sclérose en plaques.

On peut citer le Copaxone, premier médicament mis au point en Israël, fruit de 25 ans de recherches menées par une équipe de scientifiques de l’Institut Weizmann. Depuis qu’il a été approuvé par la FDA (Food & Drug Administration)en 1993, il minimise la fréquence et la sévérité de la sclérose en plaques chez des patients du monde entier. Autre remède : la rasagiline (nom commercial : Azilect), élaboré par le professeur Moussa Youdim du Technion de Haïfa. Ce médicament atténue les symptômes de la maladie de Parkinson en augmentant le niveau de dopamine dans le cerveau des malades”.—

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