"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mardi, décembre 14, 2010

FRANCE
AUPARTISOCIALISTE
LESCOÛTEAUX
CONTINUENTAÊTRETIRE
Source : liberation.fr en ligne
le 13 décembre


Rocard n'aime (toujours) pas
la candidature de Royal


L'ancien Premier ministre socialiste ne la croit pas «capable de faire ce métier, mais c’est son droit de citoyenne de vouloir se présenter», admet-il dans un entretien à Nice-Matin.


Définitivement contre. Michel Rocard, a confié, dans un entretien à Nice-Matin publié ce lundi, qu’il «n’aime pas» la candidature aux primaires du PS de Ségolène Royal.

«Je ne crois pas qu’elle soit capable de faire ce métier, mais c’est son droit de citoyenne de vouloir se présenter», tempère l’ancien Premier ministre socialiste, qui vante, en revanche, la «sérénité de Martine Aubry» à la tête du parti. «Le PS va mieux qu’il y a deux ans, et beaucoup mieux qu’il y a dix ans. Martine Aubry y a mis de la tranquillité et du temps de penser», insiste Rocard.

Son inimitié pour Royal n’a rien de nouveau. En juillet 2007, trois mois après la défaite du PS à la présidentielle, Rocard confirmait avoir demandé, en mars, à Ségolène Royal de retirer sa candidature... pour prendre sa place. «Il n’y avait plus rien à faire, elle était fichue, c’était visible. Je savais que je restais toujours parmi les cinq ou six socialistes en tête des sondages... C’était une possibilité d’éviter la défaite. Mais il était peu probable qu’elle dise oui», confiait-il alors à Paris-Match.

Puis, dans une tribune intitulée «Halte au meurtre» et publiée par Libération le 15 janvier 2008, quelques mois avant le congrès du parti à Reims, il la décrivait comme une «candidate avenante et charismatique» mais qui «n’a à l’évidence pas les capacités nécessaires aux responsabilités qu’elle postule».

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