LEROIABDALLAH
DEJORDANIEDEMANDE
AUXETATSUNISPLUS
DIMPLICATIONSURLEDOSSIER
DUPROCHEORIENT
Source : la revue de presse de l'Ambassade de France
d'Israël diffusée le 28 avril
Abdallah de Jordanie appelle les Etats-Unis
à intervenir
Le roi Abdallah de Jordanie a appelé hier le Président américain, Barack Obama, à jouer un rôle plus central dans le processus de paix israélo-palestinien ; il a ajouté que si aucune avancée significative n’a lieu au cours des dix-huit prochains mois, une nouvelle guerre risque de se déclencher au Proche-Orient.
Le Haaretz rapporte que lors de son apparition sur la chaîne américaine NBC, le souverain hachémite a affirmé que le conflit israélo-palestinien était le problème fondamental de la région et que sa résolution aidera les Etats-Unis à traiter le problème iranien et à combattre l’attrait exercé par des organisations radicales telles qu’al-Qaïda. « Si on laisse cela entre les mains des Israéliens et des Palestiniens, on n’arrivera à rien. Une avancée ne sera possible que sous le parapluie américain et avec un Président américain déterminé », a-t-il déclaré.
Hier, ajoute le Maariv, le ministre de la Défense, Ehud Barak, a réagi aux propos du ministre des Affaires étrangères, Avigdor Liberman, qui, dans une interview accordée à un journal autrichien, a déclaré ne pas considérer la Syrie comme un véritable partenaire pour la paix. Lors du conseil des ministres d’hier, M. Barak a déclaré : « Il est dans l’intérêt d’Israël de parvenir à un accord concernant ses relations avec la Syrie tout en protégeant ses intérêts vitaux, militaires et autres. Pour cela, des pourparlers seront nécessaires et la possibilité que de tels pourparlers aient lieu doit être prise en compte par Israël ».
Le ministre de la Défense a également évoqué la politique américaine face à l’Iran : « Israël n’est pas en position de pouvoir décider pour les Etats-Unis s’ils doivent ou non dialoguer avec l’Iran, mais Israël estime qu’il faut limiter ce dialogue dans le temps, l’accompagner de sanctions et être prêt à durcir ces sanctions de manière draconienne afin de mettre un terme au programme. Néanmoins, nous disons et répétons : Nous n’excluons aucun option et conseillons aux autres de faire de même ».
Le Yediot Aharonot rapporte par ailleurs que la Turquie et la Syrie doivent entamer aujourd’hui, pour la première fois, un exercice militaire commun de trois jours auquel participeront les forces terrestres des deux pays. Le ministre de la Défense, Ehud Barak, a déclaré hier que le déroulement de cet exercice préoccupe beaucoup Israël tout en soulignant que la Turquie est une alliée militaire d’Israël.
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