"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma  Ed Universlam


CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mercredi, février 11, 2009

LESELECTIONS
LEGISLATIVES
ENISRAËL,
ETAPRES?...
Source : lefigaro.fr en ligne le 11 février



Appels à une réforme électorale en Israël

A. J.


La question d'un changement du mode de scrutin se pose de nouveau dans l'Etat hébreu après les législatives de mardi, qui laissent le pays écartelé entre deux partis.

La multiplication des partis politiques a conduit, depuis une vingtaine d'années, à une instabilité chronique en Israël, largement due au système de proportionnelle intégrale. Ce régime, qui rappelle par moments la IVe République, suscite régulièrement des demandes de réforme en Israël, pour que les élections permettent de dégager une majorité claire, et sortir de la succession presque ininterrompue de scrutins anticipés. Ehoud Barak, le chef du Parti travailliste, s'est prononcé mardi soir pour un changement du système électoral. «Nous ne pouvons pas continuer ainsi», a-t-il déclaré. «Il est inconcevable qu'un parti de gouvernement obtienne moins du quart des sièges à la Knesset… Nous allons travailler à changer le système de gouvernement et le système électoral.»

Avigdor Lieberman, le chef d'Israël Beitenou, s'est aussi prononcé en faveur d'une réforme, ironisant cependant sur les déclarations du chef travailliste. «Les dernières élections prouvent qu'il n'y a pas d'autre alternative : nous devons changer le système de gouvernement. Le problème est que tous ceux qui en parlent pendant la campagne, Ehoud Barak inclus, ont tous voté contre dans la précédente Knesset…»

Un projet de réforme visant à introduire une dose de scrutin majoritaire avait en effet été rejeté en 2008. En 1992, un système d'élection directe du premier ministre, parallèlement à celle de la Knesset, avait été instauré. Cette élection directe a finalement été abandonnée, n'ayant strictement rien changé à l'instabilité gouvernementale.

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