"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mercredi, juillet 30, 2008

ISRAËL
PAYSARABES
Source : israelvalleys.com en ligne le 30 juillet


MER :
Les routes commerciales du Maroc
avec Israël existent.
Le dialogue méditerranéen
permettra de les officialiser.




REVUE DE PRESSE.


Lefigaro.fr : “Le nouveau port de Tanger est un maillon de la chaîne économico- commerciale qui relie le Maroc à l’Europe. Initialement prévu sur la côte atlantique, le projet s’appelait Tanger Atlantique, ce port, baptisé Tanger Med, a été implanté, en 2003, sur le cap marocain le plus proche de l’Espagne (14 km).
«Sur l’Atlantique, on faisait perdre 4 heures à tout navire venant charger ou décharger en Europe», explique Anouar Alasri, le directeur marketing et commercial de Tanger Med.
Ce port sert de plate-forme logistique : les conteneurs arrivant de Chine par le canal de Suez sont reroutés sur d’autres navires vers les différents ports européens, Gènes ou Rotterdam, sans entrer sur le marché marocain.

Sur cet énorme couloir maritime entre les détroits de Suez et Gibraltar, l’idée est de brancher des «autoroutes de la mer» pour relier en continu les différents ports de la Méditerranée.
Le port de Tanger, qui est idéalement positionné pour redistribuer les conteneurs de marchandises sur de plus petits navires, a déjà signé en juin dernier un accord avec Barcelone. Mais pour que d’autres autoroutes soient ouvertes, «il faut une volonté politique, explique Anouar Alasri, car il faut libérer de la place sur les ports et subventionner des bateaux qui, au début, ne seront pas pleins».

«On est pour le maximum d’échanges.» Voilà la réponse d’Anouar Alasri à la question du commerce avec Israël. Le processus de Barcelone, ce qui a d’ailleurs contribué à son essoufflement, comme demain l’UPM demeurent les seules enceintes où Arabes et Israéliens se retrouvent. Mais, plus que la question du commerce avec l’Algérie, c’est celui avec Israël qui demeure un tabou pour l’opinion arabe.
Les diplomates et les chefs d’entreprises marocains conviennent, en privé, qu’on frise le ridicule, d’autant que les routes commerciales avec Israël existent. Le dialogue méditerranéen permettra peut-être un jour de les officialiser”.


Première diffusion le 18 Juillet 2008.

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