"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

vendredi, mai 16, 2008

PRIMAIRES
AUXUSA
Source : tf1.fr en ligne le 15 mai



Bush-Obama, la polémique venue d'Israël


Devant le Parlement israélien, le président américain a critiqué ceux qui "semblent croire que nous devrions négocier avec les terroristes et les extrémistes".

Une référence implicite au prétendant à l'investiture démocrate qui a affirmé qu'il était prêt à discuter sans conditions préalables avec le président iranien.

Aux Etats-Unis, le vote juif est un élément important de l'élection présidentielle. En règle générale, même s'il est fluctuant, il se porte généralement sur le parti démocrate.
Mais Barack Obama, qui apparaît désormais comme le candidat virtuel du parti de l'âne, connaît un déficit de popularité dans la communauté juive. Dernièrement, elle lui a reproché par exemple sa proximité avec Jeremiah Wright, son ancien pasteur, favorable à la cause palestinienne. Il y a quelques jours, John McCain a de son côté tenté de discréditer son probable adversaire en affirmant qu'il était le "candidat du Hamas" après qu'un responsable du mouvement islamiste a souligné qu'il espérait voir gagne le sénateur de l'Illinois en novembre. Autre sujet de crainte de la communauté juive : le fait que Barack Obama se dise prêt, s'il est élu, à des discussions directes et sans conditions avec les dirigeants des pays hostiles aux Etats-Unis. Parmi eux : l'Iran et Mahmoud Adhmadinejad. Etant donné la proximité entre Israël et les Etats-Unis, cette position a été fermement critiquée par Hillary Clinton et John McCain. Mais la polémique n'avait jamais dépassé les frontières. "Confort de l'apaisement" George W. Bush l'a donc relancée jeudi devant le Parlement israélien, où il a prononcé un discours au deuxième jour de sa visite dans le pays. "Certains semblent croire que nous devrions négocier avec les terroristes et les extrémistes, comme si des arguments ingénieux pouvaient les persuader qu'ils ont tort", a expliqué le locataire de la Maison-Blanche. "Nous sommes dans l'obligation d'appeler cela par son nom : le confort et la trompeur de l'apaisement, que l'Histoire a discrédité à plusieurs reprises. Nous avons déjà entendu ce genre de folles illusions avant", a-t-il ajouté, comparant le dialogue avec les terroristes avec des éventuelles négociations avec Hitler avant la Seconde guerre mondiale (
cliquez ici pour voir l'extrait).

Evidemment, il n'a pas cité nommément Barack Obama dans son intervention. Néanmoins, même si l'allusion n'est qu'implicite, elle est assez claire, surtout à quelques mois de la présidentielle. Le sénateur de l'Illinois a d'ailleurs vivement réagi. "Il est navrant de constater que le président Bush utilise un discours devant la Knesset à l'occasion du 60e anniversaire d'Israël pour lancer une attaque politicienne infondée", a-t-il lancé. "George W. Bush sait que je n'ai jamais soutenu le dialogue avec les terroristes", a-t-il précisé -Barack Obama a en effet indiqué qu'il refuserait de négocier avec des responsables d'organisations terroristes comme le Hamas. "Aucune personne en particulier" De son côté, après la réaction de Barack Obama, la Maison-Blanche a tenté de désamorcer la situation, en expliquant que George W. Bush ne visait pas spécifiquement le candidat démocrate, mais qu'il ne l'excluait pas non plus. "Le président faisait référence à toute une série de personnes qui ont suggéré que parler avec les terroristes et ceux qui les soutiennent était la bonne chose à faire. Cela ne fait référence à aucune personne en particulier, et cela n'exclut personne", explique le le porte-parole de la Maison-Blanche. Néanmoins, selon CNN.com, des conseillers de George W. Bush ont admis, sous couvert d'anonymat, que leur patron visait bien Barack Obama et d'autres "colombes" du parti démocrate.

Fabrice Aubert



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