"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

vendredi, novembre 10, 2006

PASSERELLE
Source : lenouvelobs.com
via l'Associated Press
en ligne le 10 novembre


Incident au Liban :
Paris a "mal interprété"

Les Casques bleus français ont failli riposter contre des avions israéliens qui avaient piqué sur leur position. L'Etat hébreu parle de "mauvaise interprétation".

L'ambassadeur de l'Etat hébreu à Paris a expliqué jeudi 9 novembre que le survol d'une position de Casques bleus français au Liban par l'aviation israélienne, qui a failli provoquer une riposte selon les autorités françaises, n'était "pas agressif" et a été "mal interprété par la force française"."Tous les vols de l'aviation israélienne au Liban n'ont qu'un seul objectif, ce sont des vols de reconnaissance (...) Il n'y a aucune exception à cette règle", a déclaré Daniel Shek, convoqué dans la matinée au ministère français des Affaires étrangères sur cette affaire."Il semble que l'un de ses survols ait été mal interprété par la force française", a-t-il poursuivi.Daniel Shek a affirmé que, contrairement à ce que réclame la France, "il n'est pas possible d'arrêter les survols pour le moment". Mais il a assuré que ces survols n'ont "aucun caractère agressif ou offensif par rapport à la force de la Finul, et particulièrement les forces françaises" qui en font partie.


"A deux secondes" d'ouvrir le feu

La ministre de la Défense, Michèle Alliot-Marie, a affirmé mercredi soir que des casques bleus français postés au sud Liban avaient été "à deux secondes" d'ouvrir le feu sur des chasseurs israéliens qui simulaient des attaques en piqué au-dessus de leur position.Le ministère a précisé par la suite que l'incident s'était produit le 31 octobre à Deir Kifa, base française de la Force de réaction rapide, une composante de la Finul. Le porte-parole du ministère de la Défense Jean-François Bureau a expliqué jeudi, au cours de son point de presse hebdomadaire, que l'ambassadeur d'Israël en France a été convoqué au Quai d'Orsay. Au ministère des Affaires étrangères, on précisait que Philippe Douste-Blazy a convoqué l'ambassadeur d'Israël "pour lui faire part de notre grave préoccupation face à la poursuite des survols israéliens du territoire libanais". Philippe Douste-Blazy a souligné qu'il est "essentiel que les autorités israéliennes fassent cesser de tels actes".Possibilité de se défendreLa Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) est chargée d'assister l'armée libanaise dans la zone démilitarisée d'une trentaine de kilomètres de large située entre la frontière israélienne et le fleuve Litani, or le Hezbollah a affirmé se trouver encore dans ce secteur et Israël ne compte pas accepter cette menace. Selon les nouvelles conditions d'engagement obtenues par la France, la force de 5.200 militaires peut se défendre mais aussi "faire en sorte que (sa) zone d'opération ne soit pas utilisée pour des activités hostiles", et protéger travailleurs humanitaires ou civils d'une menace imminente.

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