"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

lundi, août 13, 2012

ISRAËL
ECONOMIEETSOCIAL
DANSLATOURMENTE
Source : israelvalley.com en ligne le 13 août 2012




TROP DE CONCENTRATIONS
ET SPECULATIONS ?
COUP DE BLUES
DES BANQUES ISRAELIENNES :
un rendement inférieur à celui
des banques européennes l'an dernier.


Pour la Deutsche Bank, bien que les bases des banques israéliennes soient plus proches de celles des banques américaines et asiatiques, leur évaluation s’apparente aujourd’hui plus à celle des banques européennes. Selon l’analyste David Harverd, les actions des banques israéliennes ont été parmi les plus faibles du monde ces 12 derniers mois. La crise aurait rattrapé Israël, dont les banques auraient obtenu de moins bons résultats que leurs homologues européens, en particulier pendant ces 3 derniers mois.

Etonnement, les banques israéliennes ont eu un rendement inférieur à celui des banques européennes l’année dernière, alors que celles-ci sont aux prises avec une restructuration structurelle importante due à la crise de l’euro, qui induit la recherche de nouvelles sources de financement, une recapitalisation, ou encore une exposition des dettes souveraines.

David Harverd explique que les mauvaises performances des banques israéliennes auraient pu être justifiées si ces dernières avaient été brillantes pendant les deux dernières années, et seraient par la suite tombées depuis un niveau plus haut. Mais ce n’est pas le cas. “La faible valorisation des banques israéliennes est injustifiée au vu de leur importance relative.”

L’explication de ces mauvaises performances est différente. Ce serait, toujours selon M. Harverd, la qualité douteuse des crédits en Israël (à cause du risque de concentration des grandes entreprises), la spéculation des banques ainsi que les prix élevés de l’immobilier qui seraient à l’origine de cette crise. Le Premier ministre Binyamin Netanyahou et le gouvernement israélien ont approuvé le 29 juillet dernier un plan d’austérité important, annonçant des mesures essentielles pour “réduire le déficit budgétaire et se protéger de la crise internationale.”

Une telle contre-performance des banques israéliennes a été observée seulement deux fois par le passé : pendant le pic de la crise financière de 2008, et pendant la récession de 2002 durant laquelle le taux d’endettement du PIB du gouvernement dépassait les 100%".


Source:
Damien CORNELOUP (lepetitjournal.com/telaviv)

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