SANCTIONS
CONTRELIRAN
DIASPORABLOG
accueille...
LE CONSEIL NATIONAL
DE LA RESISTANCE
IRANIENNE
En se félicitant de la décision
du conseil des ministres de l'UE
Mme Maryam Radjavi a demandé
une action urgente par l'Europe
afin d'adopter des sanctions globales
contre le régime iranien
Les sanctions sont nécessaires mais la réponse finale pour le projet de l'arme nucléaire du régime des mollahs est le soutien au combat du peuple iranien pour un changement du régime
Après l'adoption par le Conseil des ministres de l'UE du boycott pétrolier du régime des mollahs, Mme Maryam Radjavi, la Présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), a affirmé: "La Résistance iranienne se félicite de la décision prise aujourd'hui par le Conseil des ministres et réclame la mise à exécution immédiate de ces sanctions. Au cours des deux dernières décennies, la Résistance iranienne n'a pas cessé d'appeler à un embargo pétrolier et financier complet de la dictature religieuse et terroriste au pouvoir en Iran".
"Alors que le régime des mollahs s'est lancé dans une course effrénée à l’arme nucléaire, lui accorder encore cinq mois avant de mettre à exécution ces sanctions ne signifierait qu'à lui offrir une très grande opportunité pour mener à bien ses sinistres objectifs", a cependant regretté la Présidente élue du CNRI.
Elle a ajouté : "Les sanctions globales avec une application urgente sont des mesures nécessaires et inévitables pour stopper le projet atomique du régime des mollahs et doit se compléter aussitôt que possible. Cependant, dans des circonstances où la souplesse de la communauté internationale au cours de ces dernières années, n'ont que trop rapproché le régime des mollahs de la bombe, ces sanctions ne constitue pas une issue définitive contre ces visées atomiques"
Mme Radjavi a préconisé: "L'issue définitif n'est qu'un changement du pouvoir en place. L'acquisition de l'arme atomique s'inscrit dans une stratégie de survie à laquelle les mollahs ne renonceront jamais". "C'est pourquoi, a-t-elle conclu, les sanctions ne pourront être effectives, qu'accompagnées d'un soutien à la lutte du peuple iranien pour changer le pouvoir en place".
"La politique d'apaisement tente de ramollir les sanctions et de les retarder, ou d'y introduire des exceptions répondant aux intérêts politiques et économiques, ce qui déjouera leur effet", a averti Mme Radjavi.
La Présidente élue par le CNRI a ensuite lié cette politique d'apaisement à la crise d'Achraf : "L'autre face de cette politique est le non-respect des États-Unis et de la communauté internationale vis-à-vis de leurs engagements pour la sécurité des habitants d'Achraf, ainsi que l'obstination de l'administration américaine à persister sur l'inscription de l'OMPI dans la liste de terrorisme des Etats-Unis".
"Cette inscription a affaibli la volonté de la communauté internationale afin d'adopter une politique ferme contre le principal parrain du terrorisme", a déploré Mme Maryam Radjavi.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI)
Le 23 janvier 2012
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