UNEIMPORTANTE
ENTREPRISE
ISRAELIENNE
BOYCOTTEEPAR...
DESGROUPESDEJUIFS
ULTRA-ORTHODOXES
Source : israelvalley.com en ligne
le 20 août 2011



MALADROIT ? DAN PROPPER,
PRESIDENT DE NESTLE-OSEM,
EST ACCUSE D'ÊTRE "ANTISEMITE"
PAR DES ORTHODOXES.
DES SERIEUSES MENACES
DE BOYCOTT.


Par
Dan Assayah


Dan Propper, le souriant et très aimable Président de Osem a fait une déclaration qui risque de coûter beaucoup d’argent à sa société. En déclarant avec emphase que les juifs orthodoxes d’Israël ne contribuent pas suffisement à l’économie et à la société israélienne, il a réussi à critiquer ses propres meilleurs clients ! Un boycott est dans l’air.

Osem est l’une des plus grandes sociétés d’agroalimentaire d’Israël. Fondée en 1942, la compagnie de vente construit quatre ans plus tard sa première usine à Bnei Brak où elle produit des pâtes alimentaires, ainsi que des flocons cuits au four selon une recette originale, afin de satisfaire les besoins des juifs Mizrahis, qui suivent un régime en grande partie composé de riz et de couscous.

En 1964, une succursale de restauration rapide est fondée à Holon. La même année, le produit phare de la compagnie est lancé – le Bamba. En 1970, la compagnie démarre la production d’aliments cuits au four. Elle produit également des potages et des sauces lyophilisés. L’usine principale de la compagnie est construite en 1976 à Petah Tikva où se trouvent actuellement les bureaux de l’administration de la compagnie, le centre serveur de distribution et l’usine de sauces.

Osem acquiert plusieurs petites compagnies de nourriture, accroissant et diversifiant ainsi ses produits, tels que Promin, usine de magasins de boulangerie, d’Argal et de Magdanot HaBait (où se trouve la chaîne de production de gâteaux). En 1995, Osem commercialise des produits Nestlé, dont le café, des céréales au chocolat et pour le petit déjeuner. Aujourd’hui Nestlé est présent à hauteur de 50% dans le capital d’Osem.

ISRAELVALLEY PLUS
Ynet : A recent interview given by Nestle-Osem Chairman Dan Propper has sparked a row in the haredi street due to the food company director’s implied criticism against the ultra-Orthodox society. In the interview, Propper told Forbes Israel magazine that “those young people (the social protest activists) are also protesting the fact that, as opposed to other sectors, they must carry the burden of work, reserve service and taxes.”

He added that “they don’t belong to the sector in which some people don’t work, most don’t serve in the army and some are entitled to subsidized housing from the government. This polarization is intolerable and may lead to a social outbreak.” The uproar was quick to follow. “A deterrence system must be created against anti-Semitic slurs, not just among people making a living off the haredi public,” said Knesset Member Rabbi Israel Eichler (United Torah Judaism). “In the United States, a person selling goods to black people or Jews wouldn’t dare say a word against the sectors supporting him.”