"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma  Ed Universlam


CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mardi, mars 08, 2011

PASDE
PROPAGANDE
ANTI-ISRAELIENNE
SURLESBANCS
DELECOLE
NORMALESUPERIEURE
DELARUED'ULMAPARIS
Source : lenouvelobs.com en ligne
le 7 mars


Normale Sup:

les réunions anti-israéliennes
n’auront pas lieu



Le Conseil d’Etat a donné gain de cause à la direction de l’école, qui refuse de mettre une salle à la disposition du collectif « Palestine ENS »


Après l’annulation, en janvier, du fameux colloque organisé autour de Stéphane Hessel, un collectif d’étudiants intitulé « Palestine ENS » avait prévu d’organiser trois journées de réunion, du 8 au 10 mars, à l’occasion de l’« Israël Apartheid Week ». L’« Israël Apartheid Week » se présente comme une semaine d’action internationale en faveur de la Palestine : les élèves souhaitaient, selon le Conseil d’Etat, promouvoir au cours de ces manifestations le « boycott des échanges scientifiques et économiques avec Israël ». La direction de l’ENS avait refusé de mettre une salle à leur disposition.

Le 26 février dernier, le juge des référés du tribunal administratif de Paris avait considéré qu’elle avait, ce faisant, « porté une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de réunion ». Le Conseil d’Etat, saisi en appel, est donc revenu sur cette ordonnance. Il fait valoir, dans un communiqué, que « le service public de l’enseignement supérieur est [au terme de la loi] indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique » et que la liberté d’expression doit s’y exercer « dans des conditions […] qui ne troublent pas l’ordre public ». Il relève aussi que « les réunions projetées pouvaient se tenir dans tout autre lieu que l’ENS » et que « l’école avait proposé une journée d’études avec débat public et contradictoire sur le Proche-Orient ».

L’effort d’argumentation, de la part des juges, est louable. Mais l’opinion des villageois belliqueux du Quartier latin ne changera certainement pas d’un iota, suivant qu’ils perçoivent l’ENS comme un refuge de sionistes farouches ou comme un foyer d’antisionistes primaires.

Aucun commentaire: