"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

lundi, juin 14, 2010

DELADIFFICULTE
ADEFENDREISRAËL
Source : le site de Guysen International
News en ligne le 14 juin


Ces Français qui défendent Israël…


Par
Sarah Drai



Défendre Israël n’est pas une mince affaire face au flot de critiques visant l’Etat hébreu.


Pourtant, nombre d’intellectuels, d’élus politiques ou de simples citoyens français ont choisi de s’élever contre ce qu’ils jugent être une injustice : accuser systématiquement Israël. Regard.


« On ne peut pas accepter (…) le flot d’hypocrisie, de mauvaise foi (…) et de désinformation » écrivait le philosophe français Bernard Henri Levy dans Libération le 7 juin dernier.

Paul-Loup Sulitzer, lors d’une soirée débat organisée par l’organisation 'Jaffa Institute' jeudi 10 mai, évoquait également cette « mauvaise foi’ ».

La désinformation dans les médias ou le manque d’impartialité sont des débats familiers pour ceux qui se font les ambassadeurs de l’Etat hébreu.

Pour ces derniers, lire la presse c’est trop souvent adhérer à un parti pris, à une opinion déjà toute faite, telle que celle de Libération qui titrait le 2 Juin dernier : « Israël, Etat pirate »...

Alain Finkelkraut, sur la chaîne Public Sénat, déclarait ainsi : « Lorsque j’ai appris comme lundi matin l’assaut des forces spéciales israéliennes (…) j’étais comme tout le monde horrifié, consterné ». « Et puis j’ai vu les images de soldats accueillis avec une extrême violence à coup de couteaux et de barres de fer, j’ai entendu le témoignage de ces humanitaires (..) qui voulaient mourir en chahid (martyrs) »

« Les Israéliens n’ont pas voulu ce bain de sang, ils sont tombés dans un piège » ajoutait-il.

Pour P-L Sulitzer, il s’agissait aussi d’un piège, d’une « opération médiatique montée ».
Pour s’informer, se forger son propre avis sur la situation, il faut donc connaître plusieurs sons de cloche.

« Ce tollé international je ne me l’explique pas. Je vois la haine se donner soudain libre cours» déclarait Finkelkraut en évoquant les réactions qui ont suivi l’opération israélienne contre la flottille pro-palestinienne.»

L’intellectuel français révulsé par les accusations portées contre l’Etat hébreu, n’est pas le seul à s’être fait l’avocat d’Israël.
Elisabeth Levy, journaliste, invitée dans l’émission de F.Taddei du 1er Juin s’est évertuée à rappeler l’état de conflit armé dans lequel se trouve Israël avec le Hamas, à expliquer la raison d’être du blocus imposé par Israël et aussi par l’Egypte contre Gaza et ses implications.

BHL, dans l’émission le Grand Journal du 8 juin, a dû aussi faire face à des chroniqueurs déterminés à dénoncer le blocus contre Gaza.

Face à un Ali Baddou et à un Jean-Michel Aphatie pointant du doigt l’injustice du blocus, il a alors rappelé que le blocus ne s’appliquait qu’aux armes et à ce qui permettait d’en fabriquer, que la population gazaouie était loin de mourir de faim.
Il a aussi répété à maintes reprises : « Le mot d’ordre est : arrêt des roquettes, arrêt du blocus ».

Certains élus politiques français ont aussi choisi de s’opposer à la critique systématique d’Israël.

Thierry Coulom, adjoint au maire de Nancy a ainsi écrit : « Bravo au Hamas qui a réussi à faire en sorte que toutes les Démocraties du Monde
condamnent la seule démocratie du Proche Orient : Israël. »

« Je pense que nous sommes de grands hypocrites et que nous ferions exactement la
même chose que les Israéliens si demain à Monaco des terroristes prenaient le
pouvoir, nous envoyaient des roquettes et que des bateaux approchaient du port
pour les réapprovisionner sans montrer qu'il ne s'agit que de marchandises de
type humanitaire. ».

Si la compétence et la pertinence de ces intellectuels et politiques sont incontestables, leur action s’avère souvent vaine tandis que la politique de communication de l’Etat hébreu a peu d’impact.
La raison est simple : avant de communiquer au sujet de l’action de son armée, le gouvernement israélien, comme dans toute démocratie, doit d’abord s’assurer de la véracité des faits qu’il s’apprête à commenter. Cela prend donc un certain temps.

Un temps que le Hamas et les organisations « humanitaires » exploitent en faisant passer plus d’informations sur leur version des faits et plus vite, même si celles-ci sont parfois erronées.

Jeudi 10 mai, à Paris, dans un restaurant du 8e arrondissement, se réunissaient intellectuels, politiques, hommes d’affaires, représentants des organisations juives françaises pour débattre à ce sujet. Tous préoccupés par l’actuelle situation se sont interrogés : comment s’ériger contre la désinformation ?

Un représentant de l’ambassade d’Israël a alors déclaré « Nous voyons en chacun de vous (partisans de l’Etat hébreu) un ambassadeur d’Israël », précisant au passage, qu’Israël comptait sur tous ceux qui appuyaient l’action de son gouvernement, pour effectuer un véritable travail de terrain.

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