LECINEMAISRAELIEN
AUSOMMET
DESAGLOIRE
Source : leparisien.fr en ligne le 12 septembre
Mostra: Lion d'or à "Lebanon",
intense film israélien
sur les horreurs de la guerre
L'Israélien Samuel Maoz a triomphé à la 66e Mostra de Venise avec "Lebanon", un premier film autobiographique "écrit avec ses tripes", qui montre les horreurs de la guerre à travers le viseur d'un tank, lors de la cérémonie de clôture du festival samedi soir.
"Merci pour ce bonheur", s'est exclamé le cinéaste en recevant son prix des mains du président du jury, l'Américano-taïwanais Ang Lee.
"Je dédie ce prix aux milliers de personnes à travers le monde qui comme moi sont retournées de la guerre saines et sauves. Apparemment, elles vont bien, elles sont mariées, elles ont des enfants, mais à l'intérieur elles ont dû apprendre à vivre avec leur douleur", a-t-il déclaré.
Nourri des douloureux souvenirs de son réalisateur, Samuel Maoz, 47 ans, "Lebanon" fait vivre intensément le début de la première guerre du Liban en 1982, à travers la meurtrière avancée d'un tank israélien.
Traumatisé par des combats où, jeune soldat de vingt ans, ce natif de Tel Aviv fut tireur dans un blindé, Maoz a mis 25 ans à en tirer ce film puissant, à rebours de tout héroïsme, qui montre la guerre avec une radicale nouveauté.
AUSOMMET
DESAGLOIRE
Source : leparisien.fr en ligne le 12 septembre
Mostra: Lion d'or à "Lebanon",
intense film israélien
sur les horreurs de la guerre
L'Israélien Samuel Maoz a triomphé à la 66e Mostra de Venise avec "Lebanon", un premier film autobiographique "écrit avec ses tripes", qui montre les horreurs de la guerre à travers le viseur d'un tank, lors de la cérémonie de clôture du festival samedi soir.
"Merci pour ce bonheur", s'est exclamé le cinéaste en recevant son prix des mains du président du jury, l'Américano-taïwanais Ang Lee.
"Je dédie ce prix aux milliers de personnes à travers le monde qui comme moi sont retournées de la guerre saines et sauves. Apparemment, elles vont bien, elles sont mariées, elles ont des enfants, mais à l'intérieur elles ont dû apprendre à vivre avec leur douleur", a-t-il déclaré.
Nourri des douloureux souvenirs de son réalisateur, Samuel Maoz, 47 ans, "Lebanon" fait vivre intensément le début de la première guerre du Liban en 1982, à travers la meurtrière avancée d'un tank israélien.
Traumatisé par des combats où, jeune soldat de vingt ans, ce natif de Tel Aviv fut tireur dans un blindé, Maoz a mis 25 ans à en tirer ce film puissant, à rebours de tout héroïsme, qui montre la guerre avec une radicale nouveauté.
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