"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

lundi, février 16, 2009

LESANTILLES
ENEBULITION
Source : lenouvelobs.com avec l'Agence Reuters
en ligne le 16 février à 12h 29
sur Diasporablog à 13h


Guadeloupe :
neuf barrages érigés sur les routes


41 réactions


Selon la préfecture "les sommations (par haut-parleur) suffisent à faire partir les manifestants".


Le collectif LKP a appelé à durcir le mouvement.

Des Guadeloupéens manifestent à l'appel du LKP (Sipa) Neuf barrages ont été érigés par des grévistes, tôt dans la matinée du lundi 16 février, sur plusieurs axes routiers stratégiques de la Guadeloupe, a indiqué la préfecture.Le directeur de cabinet du préfet, Pascal Gauci, a indiqué à l'AFP que "tous ces barrages sont en voie de traitement". "Les sommations (par haut-parleur) suffisent à faire partir les manifestants", a-t-il ajouté.


Points stratégiques

Deux barrages ont été érigés à Sainte-Rose (nord), dont l'un sur le pont de La Boucan. Ce pont constitue l'unique point de passage routier de l'axe Sainte-Rose/Deshaies (nord) Pointe-à-Pitre. Une centaine de manifestants étaient situés à proximité, selon la préfecture.A Capesterre Belle-Eau (sud), deux barrages dont l'un sur un pont, interdisaient la circulation vers Pointe-à-Pitre en provenance de cette commune et de celles situées plus au sud. Une vingtaine de manifestants a été signalée à proximité de l'un des barrages de Capesterre Belle-Eau, selon la préfecture.Trois barrages ont été érigés à des points stratégiques, à Morne-à-l'eau (centre) et deux au Gosier (est), indique-t-on de même source.


"Durcissement"

Des barrages avaient été établis sur les principaux axes routiers de l'île dans les jours qui avaient suivi le début de la grève générale, le 20 janvier.Plus aucun barrage n'avait été érigé durant la période suivante de pénurie de carburant, qui semble s'être atténuée depuis vendredi avec la réouverture d'une quarantaine de stations-services réquisitionnées par la préfecture.Le LKP avait annoncé un "durcissement" cette semaine de la grève générale qui paralyse toute activité dans l'île.
Jégo : "On risque l'affrontement"De son côté Yves Jégo, le secrétaire d'Etat a l'Outre-mer, Yves Jégo, exhorte le patronat à faire rapidement des propositions. Il a toutefois promis de faire "respecter l'Etat de droit" en Guadeloupe."Ça suffit, la Guadeloupe ne peut plus attendre", déclare-t-il dans un entretien publié par Le Parisien."Soit on risque l'affrontement, ce que ne souhaite pas le gouvernement. Soit les douze personnes sur lesquelles repose l'avenir de la Guadeloupe, les six présidents des organisations patronales et les six secrétaires généraux des syndicats, se parlent et se mettent d'accord", poursuit-il.


Rencontre avec des socialistes

Après un nouveau coup de force dans la ville du Moule, qui a rassemblé 9.000 sympathisants selon la police et 50.000 selon les organisateurs samedi, le LKP avait atténué la mobilisation dimanche.La journée a été marquée par la rencontre avec une délégation du Parti socialiste qui, emmenée par l'ancien ministre à l'Outre-mer Christian Paul, s'est engagée à interpeller l'Etat sur sa responsabilité dans le dossier.Après un mois de grève générale, la cote de popularité du LKP ne semble guère avoir baissé auprès de la population, même si certains espéraient une pause dans le mouvement.Le Medef-Guadeloupe a mis en garde contre les conséquences économiques du blocage, et estimé qu'entre 8.000 et 12.000 emplois, sur 79.000, pourraient être détruits dans le secteur privé.


Catastrophique pour le tourisme

Sur le front touristique, la situation est "catastrophique" selon le président de la fédération des hôteliers Nicolas Vion, alors que les vacances de février des Parisiens viennent de commencer. "Le taux d'occupation est de 20 à 30% au lieu de 90 à 100%", a-t-il expliqué.Des salariés ont du être mis en congés forcés ou au chômage technique.Trois hôtels de Sainte-Anne, dont le Club Med, ont cessé d'accueillir des clients, faute d'un "service acceptable", selon Nicolas Vion qui constate amèrement que la plage est déserte. "Je n'ai jamais vu ça".


Même situation à la Martinique

Le blocage est identique à la Martinique, où le "collectif du 5 février", qui mène depuis 10 jours la grève, a claqué samedi la porte de négociations avec la grande distribution sur des baisses de prix et attend d'elle un accord écrit pour reprendre les discussions.D'ici là, le collectif a appelé à une "grande mobilisation" lundi matin. Yves Jégo se dit dans le Parisien de lundi "confiant" pour l'issue de la crise en Martinique. A Fort-de-France, il était encore très difficile de faire le plein, la plupart des stations service étant fermées par manque de carburant.Beaucoup d'observateurs ne voient pas d'issue rapide, en tous les cas pas avant mercredi, date du sommet social à l'Elysée.






LeDiable
GuronsanLa soufrière, la Montagne Pelée, le Piton de la Fournaise......et le Vésuve aussi? En tout cas, ca risque d'être plutot le désert de Gobi d'ici quelque mois, et ca,...16.02 à 12h24 - Alerter
citronelle

coco des ilesMerci de faire de la bonne information et de la vulgarisation auprès des métropolitains trop souvent manipulés très adroitement par une certaine presse. Si la France ...16.02 à 12h21 - Alerter
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