
DANS
LALUCARNE
JEUDI 13 DECEMBRE
sur FRANCE 2
23h05
Nous étions l'Exodus
Réalisé en 2007
Durée : 1h20
Réalisé en 2007
Durée : 1h20
Jean-Michel Vecchiet

"Nous étions l'Exodus"
“Nous étions l’Exodus”, film de Jean-Michel Vecchiet, produit par Mat Films avec la participation de France 2, revient sur l’épopée la plus spectaculaire de l’immigration clandestine d’après-guerre.
Eté 1947. 4.500 passagers survivants de la Shoah ont été parqués pendant plus de trois semaines à bord de trois “bateaux-cages” de la marine britannique dans la rade de Port-de-Bouc, au sud de la France. Jean-Michel Vecchiet a recueilli des témoignages, retrouvé des photos jusqu’alors inédites, s’est plongé dans les archives françaises et israélienne pour faire ce documentaire qu’il voit “comme une sorte de chaînon manquant entre la libération des camps de la mort et la création d’un Etat juif”.
Jean-Michel Vecchiet a dédié son film aux clandestins, et à ses grands-parents, qui sont arrivés en France d’une manière totalement clandestine. “Avec la politique actuelle, chaque fois que j’entends parler de clandestin refoulé aux frontières, je pense à mon grand père, comme si c’était à nouveau lui qu’on ramenait à la frontière. Et moi avec…”, dit-il.

"Nous étions l'Exodus"
“Nous étions l’Exodus”, film de Jean-Michel Vecchiet, produit par Mat Films avec la participation de France 2, revient sur l’épopée la plus spectaculaire de l’immigration clandestine d’après-guerre.
Eté 1947. 4.500 passagers survivants de la Shoah ont été parqués pendant plus de trois semaines à bord de trois “bateaux-cages” de la marine britannique dans la rade de Port-de-Bouc, au sud de la France. Jean-Michel Vecchiet a recueilli des témoignages, retrouvé des photos jusqu’alors inédites, s’est plongé dans les archives françaises et israélienne pour faire ce documentaire qu’il voit “comme une sorte de chaînon manquant entre la libération des camps de la mort et la création d’un Etat juif”.
Jean-Michel Vecchiet a dédié son film aux clandestins, et à ses grands-parents, qui sont arrivés en France d’une manière totalement clandestine. “Avec la politique actuelle, chaque fois que j’entends parler de clandestin refoulé aux frontières, je pense à mon grand père, comme si c’était à nouveau lui qu’on ramenait à la frontière. Et moi avec…”, dit-il.
Source : lenouvelobs.com en ligne le 12 décembre
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