"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

lundi, janvier 02, 2012

ISRAËL
FACEAUDEFI
DEL'EXTRÊMISMEDES
JUIFSULTRA-ORTHODOXE
CRAINTEDELAMAJORITE
DESISRAELIENS

Source : israel-infos.net en ligne
le 2 janvier 2012


Société :
les israéliens craignent la contagion
des incidents liés à la séparation
des sexes



par
Gerard Fredj



Selon une étude conduite la semaine dernière, la moitié des israéliens craint que les incidents du type de ceux survenus à Beit Shemesh ne fasse tache d'huile dans l'ensemble des villes d'Israël.


La réponse est cependant nuancée puisque la majorité des répondants -70%- pensent que ces incidents extrêmes ne sont le fait que d'une minorité, et ne représentent pas le sentiment du public orthodoxe au regard de la ségrégation des sexes dans l'espace public.

Les israéliens restent majoritairement attachés à la liberté dans cette sphère publique : interrogés sur une "séparation volontaire ou consentie" par le public orthodoxe, ils y sont opposés à 60% dès lors qu'elle interviendrait dans l'espace public, même si il s'agit par exemple d'un quartier orthodoxe.

Les sondés sont plus divisés sur une concentration des publics ; la proposition de séparer Beit Shemesh en quartiers laic et haredim rencontre l'opposition de 50% du public, contre 40% qui la soutient.

Commentant les résultats de l'enquête, Aliza Gershon, la directrice générale de Tzav Piyus (une association qui tente de rapprocher les publics laics et orthodoxes) estime que les israéliens "sentent que ces attitudes extrêmes ne correspondent qu'aux pratiques de groupes extrêmes et pas aux modalités de vie et d'actions de la grande majorité du public haredi" ajoutant "qu'il ne faut pas laisser les groupes extrémistes conduire les israéliens à se haïr".

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