"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

lundi, avril 05, 2010

DELINEFFICACITE
DESSANCTIONS
CONTRELIRAN
Source : lenouvelobs.com via l'Associated Press
en ligne le 5 avril


Les sanctions envisagées contre l'Iran
risquent d'être inefficaces,
selon le Premier ministre turc



PARIS


Les sanctions actuellement envisagées contre l'Iran risquent de ne produire aucun effet, estime le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, en assurant qu'Ankara tente toujours de persuader Téhéran de ne pas se doter de l'arme nucléaire.

Dans un entretien publié dans "Le Figaro" mardi, jour où débute sa visite officielle de deux jours en France, il considère que "cette affaire doit être résolue par la voie diplomatique".

"Bien sûr, des sanctions sont d'actualité, mais je ne pense pas que celles évoquées puissent aboutir à des résultats", déclare M. Erdogan. "Des sanctions ont déjà été décidées à deux reprises. Ceux qui ont pris la décision de les appliquer ont été les premiers à les violer", accuse-t-il, en pointant du doigt "les Français, les Allemands, les Anglais, les Américains et les Chinois": "Ils sont tous impliqués et parviennent encore, par des voies indirectes, à introduire leurs produits en Iran".

La Turquie est toujours prête à jouer un rôle de médiateur. "Bien entendu, nous essayons de convaincre l'Iran", assure M. Erdogan. "Lors des dernières discussions, l'Iran avait accepté de donner aux Etats-Unis de l'uranium enrichi. Avant qu'il ne quitte ses fonctions à l'AIEA (Agence internationale de l'énergie atomique), Mohammed ElBaradei avait indiqué qu'Istanbul pouvait servir de lieu d'échange".

"A chaque entretien avec mon cher ami (le président iranien Mahmoud) Ahmadinejad, nous avons insisté et répété que nous ne voulons pas d'arme nucléaire dans la région", rappelle le Premier ministre turc. "Ils répondent qu'ils ne conçoivent pas d'arme nucléaire mais qu'ils produisent de l'énergie nucléaire. Et l'Agence internationale de l'énergie atomique n'est pas parvenue à prouver qu'il existe bel et bien une arme nucléaire".

"Par ailleurs, il y a un pays dans la région qui dispose de l'arme nucléaire", note-t-il, en référence à Israël. "Je ne vois pas pourquoi personne ne s'attarde sur ce cas. Cette approche n'est pas équitable".

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