"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

dimanche, septembre 16, 2007

VERSION
DOUBLE

Imaginez ma surprise de découvrir que nos alliés dans le Royaume de l'apartheid religieux continuent encore à jouer un double jeu, nous souriant et prenant notre argent, puis se retournant et donnant cet argent à nos ennemis pour qu'ils mènent le jihad contre nous…!
Bryan Ross

LES SAOUDIENS CONTINUENT A REMPLIR
LES COFFRES D'AL QAEDA

Par Bryan Ross,
avec l'aide de Rhonda Schwartz et Maddy Sauer
ABC News- 11 Septembre 2007

Traduit par Albert Soued,
dernier livre paru
Quand le Moyen-Orient verra-t-il la lumière ?*
Editions Publibook

D'après des sources officielles, en dépit de 6 ans de promesses, l'Arabie Saoudite détourne son regard des riches citoyens Saoudiens qui continuent à envoyer des millions $ à Al Qaeda.
"Si je pouvais d'une baguette magique couper les vivres à un pays, je le ferais à l'Arabie" dit Stuart Levey, le Sous Secrétaire d'état au Trésor, chargé de repérer le financement du terrorisme, à ABC News.
Comme allié des Etats-Unis, en dépit de quelques efforts dans la guerre contre la terreur, Levey dit que l'Arabie saoudite a laissé tomber. Aucun des Saoudiens identifiés comme financiers de la terreur n'a été poursuivi. "Alors que la preuve est évidente, ces gens qui financent des organisations terroristes devraient être arrêtés et poursuivis comme terroristes" poursuit-il. D'après des sources officielles, aussi bien la liste des Etats-Unis que celle de l'Onu comprend Yasin al Qadi, un riche homme d'affaires, qui nie les faits et reste libre comme personnalité en vue dans son pays. Son avocat de Londres Guy Martin du cabinet Carter-Ruck dit que les Etats-Unis n'ont jamais produit de preuves à leurs allégations. Martin dit "Il n'a jamais été jugé, ni même inculpé dans aucune juridiction dans le monde. Malgré les allégations, il n'y a jamais eu de poursuite criminelle. C'est un Guantanamo financier pour mon client qui est victime d'une grosse manipulation juridique qui se poursuit, situation à la Kafka, où des gens sont mis sur une liste sans raison"
L'Ambassade Saoudienne ne commente pas les allégations particulières de Levey, alors qu'après les attaques du 11/9, un porte-parole a annoncé que son pays avait pris des mesures immédiates pour "que les banques identifient et gèlent les avoirs liés aux terroristes et aux personnes identifiées dans une liste par le gouvernement américain". Il disait que les banques Saoudiennes s'étaient pliées à l'exigence de gel et avaient commencé des recherches sur les transactions passées des suspects liés à al Qaeda.

Ces mêmes officiels américains se disent également frustrés par les promesses vides du Pakistan en relation avec la poursuite des sanctuaires d'al Qaeda dans ce pays, disant qu'il leur fallait des détails. L'ambassadeur pakistanais à l'Onu, Mounir Akram dit à ABC News "S'ils ont des infos, ils devraient les partager avec nous et nous les attaquerons". Interrogé sur la confiance qu'on pouvait avoir dans son pays, l'ambassadeur poursuit "Bien, si les Etats-Unis n'ont pas confiance dans le Pakistan, comment le Pakistan peut-il être un allié des Etats-Unis?"
Question qui a eu des échos aux Etats-Unis.

Ainsi avec de l'argent frais et des sanctuaires, Al Qaeda a été capable de recruter et d'entraîner une nouvelle génération de terroristes, et de diffuser un torrent de vidéos d'une propagande nouvelle.
Osama ben Laden vient justement d'apparaître sur 2 vidéos, avec le testament d'un des terroristes du 11/9. Et ben Laden dit "et il nous appartient à chacun de nous de faire notre part", comme conclusion de la présentation exemplaire de ce Walid al Shehri. "Et je le dis devant chaque jeune Musulman, c'est ton devoir de rejoindre la caravane jusqu'à son terme, la marche pour aider le Très Haut et l'Omnipotent continue!"
Suite à cet appel, on s'attend maintenant à la venue de terroristes du Pakistan.
"Il y a un sanctuaire dans le Nord-Ouest du Pakistan, qui a remplacé l'Afghanistan" dit Richard Clarke, l'ex-responsable du contre-terrorisme à la Maison Blanche et aujourd'hui consultant chez ABC News.



Note de la traduction
Il faut savoir ici que nombre de citoyens américains dans les affaires et dans l'administration, notamment la défense, sont liés financièrement à l'Arabie qui distribue largement ses prébendes depuis maintenant plus de 70 ans. Et ceci expliquerait cela.
Quant au Pakistan, il s'agit d'une poudrière que les Etats-Unis sont obligés de manier avec précaution. Le pays n'est pas à l'abri de graves attentats et l'arsenal nucléaire n'est protégé que grâce à la fidélité actuelle de l'armée pakistanaise, qui semble s'islamiser de plus en plus.



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Imagine my surprise to discover that our allies in the religious apartheid kingdom of Saudi Arabia are still playing a double game, smiling in our faces and taking our money, then turning around and giving that money to our enemies to wage jihad:

U.S.: Saudis Still Filling Al Qaeda's Coffers

By Brian Ross
Rhonda Schwartz and Maddy Sauer contributed to this report.
ABC News - September 11, 2007

Despite six years of promises, U.S. officials say Saudi Arabia continues to look the other way at wealthy individuals identified as sending millions of dollars to al Qaeda.
"If I could somehow snap my fingers and cut off the funding from one country, it would be Saudi Arabia," Stuart Levey, the under secretary of the Treasury in charge of tracking terror financing, told ABC News.
Despite some efforts as a U.S. ally in the war on terror, Levey says Saudi Arabia has dropped the ball. Not one person identified by the United States and the United Nations as a terror financier has been prosecuted by the Saudis, Levey says.
"When the evidence is clear that these individuals have funded terrorist organizations, and knowingly done so, then that should be prosecuted and treated as real terrorism because it is," Levey says.
Among those on the donor list, according to U.S. officials, is Yasin al Qadi, a wealthy businessman named on both the U.S. and U.N. lists of al Qaeda financiers one month after the 9/11 attacks.
Al Qadi, who has repeatedly denied the allegations, remains free, still a prominent figure in Saudi Arabia.
Al Qadi's London-based attorney, Guy Martin of Carter-Ruck law firm, said the United States has never produced any evidence in support of the allegations against his client.
"He hasn't been tried, let alone convicted, anywhere in any jurisdiction in the world," said Martin. "While allegations have been made, there have been no formal criminal proceedings."
"This is a financial Guantanamo to my client who is the victim of a gross and on-going miscarriage of justice," said Martin. "This is a Kafka situation where people are put on this list with no due process."
While the Saudi embassy had no comment regarding Levey's specific allegations, a spokesman did note that after the Sept. 11 attacks, the country took prompt action and "required Saudi banks to identify and freeze all assets relating to terrorist suspects and entities per the list issued by the United States government." The statement went on to say that "Saudi banks have complied with the freeze requirements and have initiated investigations of transactions that suspects linked to Al Qaeda may have undertaken in the past."
U.S. officials say they are equally frustrated with what they call the empty promises of Pakistan to go after al Qaeda's sanctuaries in their country.
Pakistan says it is willing to take action if the U.S. provides details.
"If they had specific information, they should share it with us, and we would go after them," Pakistani Ambassador to the U.N. Munir Akram told ABC News.
When asked whether the U.S. can trust his country, Ambassador Akram said, "Well, if the U.S. doesn’t trust Pakistan, how can Pakistan be an ally of the U.S.?"
A question echoed by many in the U.S.
With fresh funds and a safe haven, al Qaeda has been able to recruit and train a new class of terrorists as well as send out a stream of new propaganda tapes.
Just today, al Qaeda's leader Osama bin Laden was seen on a second video this week, introducing the video will of one of the 9/11 hijackers.
"And it remains for us to do our part," bin Laden said as he held up 9/11 hijacker Waleed al Shehri's life as an example. "So I tell every young man among the youth of Islam: it is your duty to join the caravan until the sufficiency is complete and the march to aid the High and Omnipotent continues."
U.S. officials fear there are more like al Shehri heeding bin Laden's call and coming now from Pakistan.
"The consequence is that there is in effect a sanctuary in the northwest part of Pakistan, just like the sanctuary that used to exist before we invaded Afghanistan," Richard Clarke, the former White House counterterrorism official and now ABC News consultant, said.


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