INFO
DERNIERE
LES OTAGES DE KHADAFI
FORCES DE NE PAS ENGAGER
DE PROCÉDURE JUDICIAIRE
CONTRE LEUR DÉTENTION AVANT
D'AVOIR ETE DEFENITIVEMENT LIBERES
Les informations sur les conditions qui ont permis la libération des infirmmières bulgares et du médecin palestien de leur geôle lybienne commencent à circuler.
Le quotidien Le Monde a publié hier une interview du fils du dictateur lybien, Mohamar Khadafi, lequel affirme qu'en échange de cette libération, la France s'est engagé à augmenter la capacité militaire de son pays en l'aidant à moderniser son matériel de combats.
Dans son numéro daté de demain, en kiosque en début d'après-midi, Le Monde poursuit ses investigations sur ce sujet qui suscite de nombreuses interrogations de la part de l'opinion publique et des responsables politiques français.
Cette fois, l'enquète de notre consoeur Nathalie Nougayrède, se penche sur les conditions de détention de ces otages jusqu'à la fin de leur captivité. Selon la journaliste du quotidien du soir, les cinq otages ont été forcé, avant de regagner leur pays d'origine, de signer un document les engageant à ne pas intenter de procédure judiciaire sur la nature même de leur détention. Point final et condition sine qua non de leur retour à la liberté.
B. K.
Pour information :
De nombreux médias étrangers, dont les médias israéliens -le site francophone Guysen compris-, ont publié une information selon laquelle plusieurs services de renseignements étrangers auraient participé à l'élaboration de la libérations des otages bulgares et palestiniens. Le Mossad est le plus souvent cité.
Pas de démenti du gouvernement israélien sur cette affaire.
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