DANS
LALUCARNE
PASSERELLE
Source : telerama.fr
A VOIR, A REVOIR,
A NE PAS MANQUER
CE SOIR à 20h 50
SUR TF1
LE CHEF-D'OEUVRE
DE LA COMEDIE FRANCAISE
La grande vadrouille
Comédie
Réalisateur : Gérard Oury
Acteur : Bourvil (Augustin Bouvet), Louis de Funès (Stanislas Lefort), Terry-Thomas (sir Reginald), Claudio Brook (Peter Cunningham), Mike Marshall (Alan MacIntosh), Benno Sterzenbach (Achbach), Marie Dubois (Ginette), Andréa Parisy (soeur Marie-Odile), Marie Dubois (Juliette), Jacques Bodoin (Méphisto), Hans Meyer (l'officier SS Otto Weber), Sieghardt Rupp (le lieutenant Stuermer)
Scénario : Gérard Oury, Marcel Jullian, Danièle Thompson
Dialogue : André Tabet, Georges Tabet
Musique : Georges Auric
Image : Claude Renoir
Plus de détails : -->Année : 19661er primetime : OUIPays : FranceDurée : 2h12mnCensure csa : Tous publicsCouleur
Nationalité : Français
A Paris, en 1942. Trois aviateurs anglais, abattus par la DCA, sont contraints de sauter en parachute. Le premier se pose parmi les phoques du zoo de Vincennes, le second perturbe les coups de rouleaux d'un peintre en bâtiment, Augustin Bouvet, occupé à ravaler la façade de la Kommandantur, et le troisième atterrit sur le toit de l'opéra, alors que le chef d'orchestre Stanislas Lefort y dirige une répétition. Bien obligés de s'occuper de leurs inopportuns visiteurs, Bouvet et Lefort, que tout oppose par ailleurs, font cause commune et décident de faire passer les aviateurs en zone libre. La chose, on s'en doute, est plus facile à dire qu'à faire...
L’Avis de Télérama
Un bain turc, en 1942. Deux têtes émergent d’un nuage de vapeur. De drôles de périscopes, qui naviguent en marmottant Tea for two, un code censé attirer un aviateur anglais à big moustache. Bref dialogue in ze langue of Shakespeare entre Stanislas, chef d’orchestre, et Augustin, peintre en bâtiment, qui découvrent vite le quiproquo : « But alors, you are French ! »…But alors, l’ennemi teuton n’a qu’à bien se tenir : cette paire d’aventuriers improvisés résiste encore et toujours à l’envahisseur. Ils n’ont pas de potion magique, mais ils sont malins, coléreux, bref, gaulois. A leurs trousses, les écrasants vainqueurs se muent en tas de guignols poussifs. Record d’entrées en salles à sa sortie (17 millions de spectateurs), cette célébrissime comédie s’arrange avec l’Histoire, cueille la revanche du rire. Un an après Le Corniaud, de Funès, plus teigneux et réjouissant que jamais, recommence à tyranniser gaillardement Bourvil le tendre. L’une des meilleures comédies de Gérard Oury, disparu l’été dernier. On ne se lasse pas de revoir ce roadmovie de l’Occupation mené tambour battant, un gag hilarant après l’autre, avec, ici et là, une goutte d’humour poétique : « Il n’y a pas d’hélice, hélas !
– C’est là qu’est l’os ! »
C.Mu.
LALUCARNE
PASSERELLE
Source : telerama.fr
A VOIR, A REVOIR,
A NE PAS MANQUER
CE SOIR à 20h 50
SUR TF1
LE CHEF-D'OEUVRE
DE LA COMEDIE FRANCAISE
La grande vadrouille
Comédie
Réalisateur : Gérard Oury
Acteur : Bourvil (Augustin Bouvet), Louis de Funès (Stanislas Lefort), Terry-Thomas (sir Reginald), Claudio Brook (Peter Cunningham), Mike Marshall (Alan MacIntosh), Benno Sterzenbach (Achbach), Marie Dubois (Ginette), Andréa Parisy (soeur Marie-Odile), Marie Dubois (Juliette), Jacques Bodoin (Méphisto), Hans Meyer (l'officier SS Otto Weber), Sieghardt Rupp (le lieutenant Stuermer)
Scénario : Gérard Oury, Marcel Jullian, Danièle Thompson
Dialogue : André Tabet, Georges Tabet
Musique : Georges Auric
Image : Claude Renoir
Plus de détails : -->Année : 19661er primetime : OUIPays : FranceDurée : 2h12mnCensure csa : Tous publicsCouleur
Nationalité : Français
A Paris, en 1942. Trois aviateurs anglais, abattus par la DCA, sont contraints de sauter en parachute. Le premier se pose parmi les phoques du zoo de Vincennes, le second perturbe les coups de rouleaux d'un peintre en bâtiment, Augustin Bouvet, occupé à ravaler la façade de la Kommandantur, et le troisième atterrit sur le toit de l'opéra, alors que le chef d'orchestre Stanislas Lefort y dirige une répétition. Bien obligés de s'occuper de leurs inopportuns visiteurs, Bouvet et Lefort, que tout oppose par ailleurs, font cause commune et décident de faire passer les aviateurs en zone libre. La chose, on s'en doute, est plus facile à dire qu'à faire...
L’Avis de Télérama
Un bain turc, en 1942. Deux têtes émergent d’un nuage de vapeur. De drôles de périscopes, qui naviguent en marmottant Tea for two, un code censé attirer un aviateur anglais à big moustache. Bref dialogue in ze langue of Shakespeare entre Stanislas, chef d’orchestre, et Augustin, peintre en bâtiment, qui découvrent vite le quiproquo : « But alors, you are French ! »…But alors, l’ennemi teuton n’a qu’à bien se tenir : cette paire d’aventuriers improvisés résiste encore et toujours à l’envahisseur. Ils n’ont pas de potion magique, mais ils sont malins, coléreux, bref, gaulois. A leurs trousses, les écrasants vainqueurs se muent en tas de guignols poussifs. Record d’entrées en salles à sa sortie (17 millions de spectateurs), cette célébrissime comédie s’arrange avec l’Histoire, cueille la revanche du rire. Un an après Le Corniaud, de Funès, plus teigneux et réjouissant que jamais, recommence à tyranniser gaillardement Bourvil le tendre. L’une des meilleures comédies de Gérard Oury, disparu l’été dernier. On ne se lasse pas de revoir ce roadmovie de l’Occupation mené tambour battant, un gag hilarant après l’autre, avec, ici et là, une goutte d’humour poétique : « Il n’y a pas d’hélice, hélas !
– C’est là qu’est l’os ! »
C.Mu.
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