GRAVECONFLIT
DEVOISINAGE
DANSUNIMMEUBLE
DEPARIS-HABITAT19è
PARIS-HABITATCOMPLICE?



Je ne vous ai plus fait de compte-rendu des nuisances de ce couple et de cet enfant insensé depuis 48h pensant qu’un début d’apaisement était en cours. Il s’agissait simplement d’une absence courte de l’appartement.


A cette heure-ci, 1h 14, nuit de samedi l’enfant poursuit sa ronde infernale de l’appartement en jetant de gros objets ( ?????????????), avec le soutient de ses parents. Cela vient de me réveiller brutalement..

Le 22 mai à cette réunion au Conseil de sûreté de votre organisme à laquelle vous me convoquez, je me vois dans l’obligation de demander publiquement le renvoi des occupants de l’appartement que vous leur avez confié à la demande de l’association Estrélia qui ne s’en émeut guère et leur fait une confiance aveugle.

L’enfant, par l’attitude de ses parents est en danger. Il est à l’abandon où alors agit sous leurs impulsions.

Ce témoignage sera rendu publique à des associations africaines qui travaillent dans le rétablissement de la parentalité dans les familles issues de l’immigration.

Et des médias seront dès cet instant informés de ce grave conflit de voisinage. Unique en son genre. Ainsi que des réseaux sociaux.

Paris-Habitat depuis le début de cette affaire –début octobre 2013- ayant préféré la pourriture de cette situation pourrait en être co-responsable.

Je rappelle qu’un rappel à l’ordre par écrit ne leur a pas été adressé. En tous cas, l’association Estrélia n’a pas voulu prendre en compte les « dégâts » causés par leur présence dans cet immeuble.

Personne n’a voulu entendre le plaignant. Ou tardivement.

Monsieur Peter O’hara et son épouse SEME MANGA sont un jeune couple, je le répète, complètement IRRESPONSABLE et ASSOCIABLE. Madame Manga une femme agressive dont on ne sait pas peut aller cette agressivité.

Mieux vaut vous prévenir.



Meilleures salutations



Bernard Koch



P. S. Faut-il aussi vous rappeler que SEME MANGA m’a insulté dans la rue et traiter de « fils de pute ».
Mr Vandebrogt, de l’association Estrélia m’a diffamé dans un courrier postal qu’il vous a adressé dans lequel il me qualifie de personne demeurée (ou l’équivalent)
Ils sont méconnus de l’ensemble du voisinage. Ils longent les murs de l’immeuble quand ils croisent l’un d’entre eux. Ils sortent rarement leur enfant. On ne les voit nulle part.