"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma  Ed Universlam


CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

jeudi, février 10, 2011

REVOLTES
DESPEUPLESARABES
LEPEUPLEPOURSUIT
SAREVOLTE
Source : dépêche AFP diffusée

le 10 janvier à 10h
Sur Diasporablog à 11h


Les manifestants toujours fortement
mobilisés place Tahrir, en Egypte


LE CAIRE



Les manifestants exigeant le départ du président égyptien Hosni Moubarak restaient fortement mobilisés jeudi place Tahrir au Caire, malgré la menace du pouvoir de faire intervenir l'armée en cas de "chaos".

Dès le petit matin, les protestataires scandaient "Le peuple veut faire tomber le régime", leitmotiv de la contestation sans précédent contre M. Moubarak, au pouvoir depuis près de 30 ans.

"Alaa (fils aîné du président), dis à papa qu'un quart de siècle, ça suffit!", criaient-ils aussi. Beaucoup portaient des photos de "martyrs" tombés lors des violences qui ont fait environ 300 morts selon l'ONU et Human Rights Watch depuis le début du mouvement.

De nouvelles tentes ont été installées sur cette place située au centre du Caire, devenue le symbole du soulèvement déclenché le 25 janvier et occupée jour et nuit depuis le 28 janvier par les manifestants, a constaté un photographe de l'AFP.

Des tanks de l'armée étaient toujours en position près du Musée égyptien, qui jouxte la place.

Des centaines de manifestants avaient encerclé mercredi le Parlement et le siège du gouvernement au Caire, situés face à face. Des protestataires ont passé la nuit sur les deux bords de la chaussée menant au Parlement, sous des tentes en plastique.

Jeudi, les deux entrées de la route menant au Parlement étaient bloquées.

"Non à (Omar) Souleimane (le vice-président)!, "Non aux agents américains", "Non aux espions israéliens", "A bas Moubarak", scandaient-ils.

"Si nous ne mourons pas ici, nous mourrons en prison. Je préfère mourir ici", affirme à l'AFP Attiya Abou El-Ela, un diplômé de 24 ans au chômage.

Mardi, durcissant le ton à l'égard des manifestants, le ministre des Affaires étrangères Ahmed Aboul Gheit a prévenu que l'armée interviendrait "en cas de chaos pour reprendre les choses en main".

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