"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

jeudi, décembre 09, 2010

UNEFOISDEPLUS
LADIFFUSION
DUNFILMISRAELIEN
ENSALLES
ESTSUSPENDUE
Source : toutlecinema.com en ligne
le 9 décembre



Roses à crédit d'Amos Gitaï
privé de sortie



Le nouveau film d' Amos Gitaï recèle de nombreuses promesses: un casting français de choix, voyant défiler Grégoire Leprince-Ringuet, Arielle Dombasle ou encore Valeria Bruni Tedeschi aux côtés de Léa Seydoux, qui tient le rôle de Marjoline, jeune femme des années 50 éprise de consommation... jusqu'à l'obsession. Mais aussi l'adaptation du roman éponyme d' Elsa Triolet, et l'incursion du réalisateur dans un nouveau registre, Amos Gitaï nous ayant habitué, avec Kippour (2000), ou Free Zone (2005), à un cinéma très centré sur l'histoire et l'actualité de sa terre d'origine, Israël.



Pourtant, pour le voir au cinéma, il faudra prendre son mal en patience. La sortie prévue le 15 décembre est annulée, sur décision de la Commission d'agrément du CNC, qui a pour but de vérifier le financement des films en conformité avec la loi. Et c'est là que la bât blesse. Car, comme pour Carlos d' Olivier Assayas qui fut financé par Canal+, Roses à crédit est un projet porté par France 2, et dont la diffusion sur la chaîne est prévue en février ou mars 2011.



Pour permettre une projection préalable en salles, il faudrait que Roses à crédit puisse être disponible pour les deux médias, sous deux versions différentes. Or, Frédéric Brillion, président de cette commission d'agrément, juge qu'« il n'y a qu'une seule œuvre », nécessitant une première diffusion télévisuelle, sous peine de signer « la mort de l'économie du cinéma. »



Une décision qui en agace plus d'un : pour Amos Gitaï, dont le film a déjà été projeté dans les festivals de Toronto ou de São Paulo, Roses à crédit se trouve confronté à un « monstre administratif ». Il faudra donc attendre la diffusion du film sur le petit écran, avant de le voir exploité sur un plus grand. Un épisode qui inspirera peut-être le réalisateur pour une prochaine adaptation : on lui suggère du Kafka...



Par Anne Charlotte Waryn
(09/12/2010 à 13h57)

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