"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

dimanche, avril 19, 2009

DURBANII
Source : le nouvelobs.com en ligne le 19 avril



Ahmadinejad :
Israël est le "porte-drapeau du racisme"



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Les sionistes "pillent les richesses des nations en contrôlant les centres de pouvoir du monde", déclare le président iranien, attendu lundi à la conférence de l'ONU sur le racisme. Plusieurs pays refusent d'y participer.


La présence du président iranien Mahmoud Ahmadinejad a jeté une ombre sur la conférence

L'idéologie et le régime sioniste sont les porte-drapeaux du racisme", a estimé dimanche 19 avril, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, à la veille de l'ouverture de la conférence l'ONU sur le racisme Durban II à Genève, selon la télévision iranienne.La venue à Genève de Mahmoud Ahmadinejad, qui avait déjà qualifié à plusieurs reprises l'Holocauste de "mythe" et multiplié les déclarations hostiles à Israël, a jeté un froid sur la conférence.Israël a d'ailleurs décidé de ne pas participer à la Conférence, tout comme les Etats-Unis, le Canada, les Pays-Bas, l'Australie et l'Italie.


"Sionnisme global"

Selon le président iranien, les sionistes "pillent les richesses des nations en contrôlant les centres de pouvoir du monde et ont créé les conditions pour que rien ne puisse être dit au sujet de ce phénomène diabolique dont les effets pèsent sur les habitants des nations".Il a expliqué, toujours selon la télévision, que la Conférence de l'ONU aurait lieu alors que "le sionisme global allait avoir recours à tous les moyens possibles pour étouffer les voix innocentes contre la tyrannie".Les Etats-Unis et Israël avaient claqué la porte de la précédente Conférence de l'ONU contre le racisme, qui s'était déroulée en 2001 à Durban en Afrique du Sud, après des débats houleux avec des Etats musulmans sur le traitement des Palestiniens par Israël et sur l'antisémitisme.


La France indécise

La France discute toujours avec ses partenaires européens sur une participation ou non à la Conférence de l'ONU a indiqué dimanche le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner."Nous sommes encore en train de travailler", a-t-il déclaré à la chaîne de télévision Canal+ qui l'interrogeait sur la position de la France après les décisions de boycott des Pays-Bas et de participation de la Grande-Bretagne.


"Présenter un front commun"

"La première Conférence Durban a été une catastrophe, donc c'est très important d'avoir une unité européenne, de présenter un front commun de l'Europe. Ce n'est pas encore fait, nous continuons (à discuter) et ce soir le président (Nicolas Sarkozy) décidera", a précisé le ministre. Au sein de l'Union européenne, "certains y vont, d'autres n'y vont pas", mais "il faut absolument essayer" de parvenir à "un front commun et uni des 27 ensemble", a-t-il insisté.En milieu de journée, l'Allemagne a indiqué qu'elle n'avait pas encore pris de décision tandis que la Grande-Bretagne faisait savoir qu'elle continuait de vouloir être représentée à Genève. Outre la chaise vide, les options peuvent être une représentation non politique, par des diplomates, ou un recours au statut d'observateur


"Initiative importante"

Le pape Benoît XVI a formulé dimanche "ses voeux sincères pour que les délégués présents à la Conférence de Genève (contre le racisme) travaillent ensemble, dans un esprit de dialogue et d'écoute réciproque, à la fin de toute forme de racisme et de discrimination". Benoît XVI a qualifié la conférence "d'initiative importante" contre un "déplorable phénomène"."Il faut une action ferme et concrète, au niveau national et international pour parvenir à éliminer toutes les formes de discriminations et d'intolérance", a affirmé Benoît XVI lors de la célébration de l'Angélus dans sa résidence d'été de Castel Gandolfo, près de Rome.La déclaration de Durban reconnaît que "tous les peuples et les personnes forment une seule famille humaine riche en diversité" ce qui constitue "un progrès de la civilisation et de la culture, patrimoine commun de l'humanité", a souligné le pape.


Fiasco de Durban I

Ce projet aplani les questions les plus controversées relatives aux discriminations religieuses, à Israël et au Proche-Orient. La précédente et historique Conférence de l'ONU contre le racisme s'était déroulée en 2001. Les Etats-Unis et Israël avaient claqué la porte après des débats houleux avec des Etats musulmans sur le traitement des Palestiniens par Israël et sur l'antisémitisme.Les réticences américaines se sont poursuivies durant la préparation ces derniers mois de la Conférence dite de "Durban II", qui doit assurer le suivi de celle de Durban. Les Etats-Unis reprochent notamment les passages singularisant le conflit du Proche-Orient ou ceux allant à l'encontre des engagements américains en faveur d'une totale liberté d'expression.

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