"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mardi, décembre 16, 2008

DECISION
DELACOURS
SUPRÊMEDISRAËL
source : lexpress.fr via l'Agence Reuters en ligne

le 15 décembre



La Cour suprême d'Israël ordonne
de déplacer une partie du mur


JERUSALEM - La Cour suprême israélienne s'est opposée lundi à la construction d'une partie de la barrière de sécurité en Cisjordanie, estimant que le projet gouvernemental empiétait trop sur le territoire palestinien.

La Cour suprême israélienne a ordonné aux autorités israéliennes de redéfinir "sans délai" le tracé de la section de la barrière de sécurité proche du village cisjordanien de Biline, estimant que le projet gouvernemental empiétait trop sur le territoire palestinien. (Reuters/Baz Ratner)
La Cour suprême a ordonné aux autorités de redéfinir "sans délai" le tracé de la section proche du village cisjordanien de Biline, afin que celle-ci soit en majeure partie ou totalement construite sur le sol israélien.
Israël considère cette barrière de sécurité, faite de barbelés et de murs de béton, comme un moyen d'empêcher l'entrée de kamikazes sur son territoire.
Les Palestiniens dénoncent de leur côté une punition collective et l'empiètement sur une partie du sol qu'il revendique dans la perspective d'un futur Etat.
La barrière pénètre d'environ trois kilomètres sur la commune de Biline, coupant certains agriculteurs de tout accès à leurs champs. Le maire du village avait saisi la justice en 2005 pour tenter d'empêcher la confiscation des terres.
Les dirigeants israéliens n'ont pas pu être joints dans l'immédiat.
Saëb Erekat, conseiller du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas et chef des négociateurs dans les pourparlers de paix, a pour sa part salué la décision, ajoutant qu'il y avait encore beaucoup à faire.
"Cela résout juste un problème. Combien de centaines d'autres problèmes avons nous en Cisjordanie?", a-t-il dit.



Adam Entous
et Joseph Nasr,


version française
Grégory Blachier

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