"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma  Ed Universlam


CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mardi, avril 01, 2008

ISRAEL
AUSALON
DULIVREDEPARIS



LA PRESSE FRANCAISE REND UN HOMMAGE
UNANIME A LA LITTERATURE ISRAELIENNE


Il y avait bien longtemps que les médias français ne nous avaient pas habituer à un tel assaut d'amabilité et de d'affection à l'égard d'Israël qui confère au respect. Il est vrai que le terrain choisi est celui de sa culture, et plus particulièrement, celui de sa brillante littérature, reconnue partout dans le monde. Un terrain où les risques de polémiquer sont minimes tant cette culture, et cette littérature ont tout lieu de plaire, par leur diversité grandissnte et leur vigorante vitalité .
Ses auteurs ont tous une notoriété qui dépassent largement leur territoire national. Amos Oz frôle chaque année de peu le Prix Nobel de Litterrature et la plupart de ses maîtres de l'art d'écrire bénéficie d'un grand nombre de traductions.

Après LE MONDE, c'est le dossier que l'hebdomadaire le NOUVEL OBSERVATEUR consacre , cette semaine, à la grande famille de la littérature d'Israél qui attire le plus d'attention. Ce dossier est signé par l'une des pointures du journal, passionné de culture juive et sentimentalement attaché à Israël, il en connait jusquu'aux moindres de ses méandres, Bernard Loupias, qui est aussi un observateur averti, écouté et apprécié du monde du jazz.

Bernard Loupias est allé sur place, rencontrer les quarante auteurs sélectionnés pour l'évènement et brosser un portrait aussi clair et aussi large que possible de cette littérature dense, mosaïque, rythmée par les secousses des conflits auquels leur pays est confronté depuis son existance. C'est une littérature tournée ostensiblement, vers le future. Un future qui tendrait la main aux ennemis d'hier, qui mettrait deux peuples côte à côte et marginaliserait les jusqu'aux-boutistes du désastre qui sévissent dans les deux camps. Un ciel uni apaisé. Pour tous.
Même si les jeunes pouces de la littérature israélienne se démarquent politiquement, un peu, de leurs ainés, c'est Ron Barkaï, écrivain et historien qui résume le mieux, de façon brutale, certes, mais avec, toutefois, un brun de réalisme, l'état d'âme de la majorité de ses confrères : "je me bats ici pour qu'on parle avec le Hamas, et je n'irais pas parler avec les Français? Avec les Juifs notamment, à qui j'ai envie de dire deux ou trois choses sur Israël, de ne pas idéaliser ce pays qui commet des injustices graves à l'égard des Palestiniens....J'espère aussi avec les Arabes de France, échanger des opinions".
Une étude passionnante, sobre, approfondie et très détaillée de ce vaste espace littéraire appartenant à un Etat où le livre est la chose la mieux consommée et la plus protégée au monde. L'Etat du peuple du livre.

Bernard Koch

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