"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

lundi, juillet 16, 2012

QUANDDESGAZAOUIS
SONTINVITES
ASERENDREENISRAËL
Source : tempsreel.nouvelobs.com via l'Agence Reuters

en ligne le 16 juillet 2012



Des Gazaouis visitent
des proches emprisonnés en Israël



Des familles de la bande de Gaza sont arrivées lundi en Israël pour rendre visite à des proches emprisonnés, pour la première fois en cinq ans, ont annoncé lundi des responsables israéliens et des familles de détenus.

Le feu vert survient après qu'un accord a été trouvé, mettant fin à une grève de la faim d'un millier de prisonniers, menée d'avril à mai pour demander la reprise des visites et protester contre l'emprisonnement sans procès de militants soupçonnés par Israël de terrorisme, qui concerne 320 des 4.800 Palestiniens détenus par l'Etat hébreu.

"Quarante membres de la famille de 24 prisonniers sont arrivés il y a peu de temps à la prison de Ramon", a annoncé une porte-parole du Service des Prisons, ajoutant que les visites de proches originaires de Gaza seraient désormais organisées sur une base hebdomadaire.

D'après le Comité international de la Croix-Rouge, qui a aidé a aidé l'organisation des visites, 554 personnes emprisonnées en Israël viennent de Gaza.

Israël avait interdit en 2007 les visites de familles originaires de la bande de Gaza à la suite de l'enlèvement par des activistes palestiniens du soldat franco-israélien Gilad Shalit. Celui-ci a été libéré en octobre dernier en échange de la libération de 1.000 prisonniers palestiniens.

Selon Abdallah Qandil, porte-parole à Gaza d'une association de prisonniers, l'accord n'est pas suffisant, car il ne permet pas d'apporter de cadeaux, interdit la présence d'enfants et limite à 60 minutes les visites des familles, qui ont souvent dû faire 14 heures de route.

Sabah al Jerjaoui, une Gazaouie venue avec son mari à bord d'un bus du CICR pour visiter un parent proche détenu en Israël, a confirmé leur frustration devant les conditions imposées par les autorités de l'Etat hébreu.

"Il a demandé des survêtements et des draps", a-t-elle raconté. "Beaucoup de gens ont préparé de nombreuses choses quand ils ont entendu parler de la visite, mais les Israéliens ont gâché leur joie en disant qu'une bouteille d'eau et un sandwich seraient tout ce que nous pourrions apporter."



Jeffrey Heller et Nidal al-Mughrabi;
Hélène Duvigneau et Julien Dury
pour le service français

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