"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mardi, février 08, 2011

UNMINISTRE
DESAFFAIRESETRANGERES
SERENDDANS
LESTERRITOIRESOCCUPES
Source : romandie.com avec l'AFP
en ligne le 8 janvier


La chef de la diplomatie espagnole

dialogue avec des colons de Hébron



HEBRON
(Territoires palestiniens)


La ministre espagnole des Affaires étrangères Trinidad Jimenez, en visite mardi dans la ville palestinienne de Hébron en Cisjordanie, a ouvert un dialogue avec des colons juifs après un accueil d'abord hostile, a constaté un journaliste de l'AFP.

Venue pour visiter le quartier palestinien de la ville, Mme Jimenez a été accueillie par des banderoles et des slogans hostiles, en espagnol, hébreu et anglais, à l'entrée de la zone de la ville contrôlée par Israël.

"Nous sommes venus lui dire que la communauté juive de Hébron est la plus vieille du monde et que les projets de construction de quartiers financés par l'Espagne ne font qu'accentuer la haine contre notre présence", a déclaré à l'AFP le responsable local des colons, Noam Arnon.

Selon les colons, l'Espagne a l'intention de financer la construction dans la zone de Hébron sous contrôle israélien d'un quartier destiné aux familles des prisonniers palestiniens détenus en Israël, situé à proximité du Caveau des Patriarches, un lieu saint pour l'islam et le judaïsme.

"Nous voulons vous donner notre point de vue sur la situation ici", a expliqué Noam Arnon à la diplomate espagnole qui lui a répondu qu'elle "ne prenait pas partie et voulait que les deux peuples puissent vivre en paix l'un à côté de l'autre".

Mme Jimenez a dialogué pendant quelques minutes avec le chef des colons.

Interrogé par l'AFP, le porte-parole du Consulat espagnol à Jérusalem, Pablo Platas, a démenti que le projet financé par le gouvernement espagnol est destiné à accueillir les familles de prisonniers palestiniens.

"C'est faux. Nous sommes impliqués dans le projet de restauration du quartier de Rajabi depuis 1999, et n'avons jamais eu le moindre problème avec les communautés locales palestinienne ou juive", a-t-il déclaré.

"Ce projet a pour ambition de réhabiliter un quartier de la vieille ville de Hébron -- il concerne l'héritage culturel, et n'a rien à voir avec le logement de prisonniers ou d'autres Palestiniens", a encore dit le porte-parole.

Plus de 160.000 Palestiniens habitent dans Hébron, une ville presque exclusivement sous le contrôle de l'Autorité palestinienne, mais quelque 600 Israéliens vivent dans le secteur occupé par Israël, qui couvre 3% de la ville.

Hébron, dont l'armée israélienne s'est en partie retirée en 1998, est le théâtre de frictions et de heurts fréquents entre Palestiniens, colons juifs et forces de sécurité israéliennes.

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