"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

vendredi, février 12, 2010

ISRAËL
DANSLAPOLEMIQUE
FRECHE/FABIUS

Source : lemidilibre.com en ligne
le 10 février



Georges Frêche
dans Le Grand Journal



« C’est abject » : ce furent les premiers mots de Georges Frêche après qu’il eut visionné le documentaire violemment critique de Canal + le concernant, chaîne sur laquelle il était invité hier soir après avoir parlé sur LCI, enchaînant à l’adresse de Michel Denisot : « Pendant 30 ans j’ai défendu Israël à l’Assemblée nationale, J’ai défendu les harkis. J’ai eu sept procès, M. Denisot, et je les ai tous gagnés. » « C’est un document à charge », a-t-il répété, « Martine Aubry utilise tout ça. »

« Je ne prends aucun plaisir à provoquer », ajoute Georges Frêche, poussé dans ses retranchements sur ses « dérapages verbaux » par la très parisienne équipe de Canal +. « Croyez-vous qu’on est réélu cinq fois maire de Montpellier si l’on fait des provocations ? », leur lance-t-il. « Fabius, c’est un homme que j’ai rencontré pendant 25 ans. Chaque fois que j’ai défendu Israël je ne l’ai jamais entendu prendre la parole. J’aurais pu dire pas très orthodoxe », ajoute-t-il.

Hésitant entre le ton bonhomme et l’indignation, M. Frêche répète qu’il « parle français populaire » en lançant aux journalistes de Canal + que s’ils
« continuaient (ils) allaient encore (lui) faire gagner des points ». « Il y a un étonnement à voir que vous n’acceptez pas l’image que vous vous êtes construite », lui lance le journaliste Jean-Michel Apathie, ajoutant que son « programme pour le Languedoc-Roussillon » lui était « complètement égal ».

« Vous pensez que les Français sont des imbéciles. Vous vous posez en procureur », lui répond Georges Frêche, lançant à son intention : « Vous venez du Midi et vous en avez gardé l’accent. Moi j’en ai aussi gardé le cœur. » Et de répéter : « Les gens en Languedoc-Roussillon se sentent insultés par toutes ces polémiques. Les gens me connaissent, pas comme le font les donneurs de leçons parisiens dont vous faites un peu partie. »

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