"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

lundi, février 15, 2010

DERAPAGESDES
HOMMESPOLITIQUES
TOUTESTPERMIS
Source : nouvelobs.com en ligne
le 15 février


Un élu UMP compare
la gestion de Royal
à une dictature nazie


La présidente de Poitou-Charentes est accusée de gérer sa région de "façon dictatoriale". Le PS réclame des excuses au gouvernement.


Le député-maire PS de La Rochelle, Maxime Bono, a demandé dimanche des "excuses" au secrétaire d'Etat Dominique Bussereau après les propos d'un élu UMP de Poitou-Charentes qui avait comparé la gestion de la région dirigée par Ségolène Royal à une dictature nazie. "Déjà forcé de s'excuser après ses propos sur les harkis, M. Bussereau serait bien avisé de renouveler ses excuses", affirme Maxime Bono dans un communiqué, évoquant des images diffusées dimanche dans l'émission "Dimanche+".
Le 4 février, lors d'un meeting de soutien au secrétaire d'Etat aux Transports, tête de liste de la majorité aux régionales en Poitou-Charentes, Jean-François Douard, maire UMP de Lagord (Charente-Maritime), affirme que Ségolène Royal dirige la région "de façon dictatoriale". "C'est une dictature du prolétariat certes, mais c'est quand même une dictature. Je vous rappelle que le nazisme était aussi une dictature du prolétariat", déclare-t-il.


"C'est une autre génération, un autre langage"

Interrogé par Canal+ immédiatement après le discours, Dominique Bussereau s'est démarqué de ces propos en affirmant : "C'est un excellent maire, sur le plan politique, c'est une autre génération, un autre langage. Ce n'est pas le mien et ce n'est pas ma manière de faire de la politique", affirmait-il.
Dominique Bussereau avait fait l'objet en début de mois d'une polémique sur des propos qu'il avait lui-même tenus. Interrogé le 4 février sur la présence de centristes sur la liste de Ségolène Royal, il avait estimé qu'elle rassemblait "des harkis (...) des gens qui vont un peu dans cette affaire parce qu'ils n'ont pas d'autres moyens d'être élus". Le secrétaire d'Etat s'était ensuite excusé dans un communiqué, soulignant avoir commis une "erreur" en utilisant "à tort le mot 'harkis'".

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