"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

lundi, mars 05, 2012

POLEMIQUE
SURLAVIANDEHALLAL
REACTION
DUGRANDRABBINDEFRANCE

Source : rmc.fr en ligne le 5 mars 2012


Faut-il un étiquetage de la viande ?


Après la polémique déclenchée il y a peu par Marine Le Pen, Nicolas Sarkozy s'est déclaré favorable à «l'étiquetage de la viande en fonction de la méthode d'abattage». Les responsables religieux et ceux de l'opposition accusent le président de stigmatiser les communautés.



Nicolas Sarkozy a plaidé samedi à Bordeaux en faveur de « l'étiquetage de la viande en fonction de la méthode d'abattage ». « Reconnaissons à chacun le droit de savoir ce qu'il mange, halal ou non » a déclaré le président-candidat.

Aujourd’hui, rien n’indique au consommateur si la bête a été tuée après avoir été étourdie (abattage classique) ou sans étourdissement (abattage rituel). Il peut donc manger de la viande halal ou casher sans le savoir.


Faut-il étiqueter la viande en fonction de l’abattage ?

Entrez dans le débat !



Le Grand rabbin de France «gêné et ému» de cette proposition

Pour les responsables religieux, ce débat sur l’étiquetage est une façon de stigmatiser les communautés. Le Grand rabbin de France, Gilles Bernheim, s’est dit ce lundi sur RMC « ému » par ce type de proposition et « gêné par certains raccourcis ». Il en a profité pour rappeler « qu’aucune méthode d’abattage ne garantit l’absence de douleurs chez l’animal. Il n’y a pas d’un côté des abattoirs casher ou halal rouges de sang, et de l’autre côté des abattoirs blancs et aseptisés parce que pratiquant l’étourdissement ».

Le Conseil français du culte musulman s’est lui aussi dit inquiet de cette polémique qui crée des tensions dans la société selon lui.

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