"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mercredi, janvier 04, 2012

ALYAH
LAGENCEJUIVE
"DEMISSIONNE"

Source : la newsletter d' israel-infos.net
diffusée
le 4 janvier 2011



Alyah :
l'Agence juive ne veut plus prendre
en charge l'intégration
des nouveaux immigrants



par
David Koskas


Le président de l'Agence juive, Nathan Sharansky, considère que c'est désormais à l'Etat d'Israël de prendre en charge les nouveaux immigrants durant leur intégration.

"Nous négocions à tous les niveaux pour que le gouvernement prenne en charge les projets d'intégration sur le long-terme", a ainsi dit Sharansky.

L'Agence juive a récemment décidé de modifier sa mission.
Historiquement, elle aide depuis les années 1930 les Juifs du monde entier à faire leur alyah, c'est-à-dire à s'installer en Israël.

Aujourd'hui, le monde et les Juifs ont changé, selon elle, et le besoin n'est plus le même.
Elle se consacrera désormais à lutter contre l'assimilation en renforçant l'identité juive et les liens avec Israël des membres de la diaspora, se détournant ainsi des projets d'intégration dans l'Etat hébreu.

"Nous discutons très sérieusement avec le gouvernement et nous n'allons pas abandonner ces programmes avant qu'il soit prêt à les prendre en charge, mais nous espérons que ce sera le cas au cours des deux ou trois prochaines années", a-t-il continué.

L'Agence juive, qui est quasiment entièrement financée par les dons des Juifs de diaspora, a quelques soucis de budget. Les grands donateurs semblent ne pas comprendre pourquoi l'Etat d'Israël ne prend pas lui-même en charge ses nouveaux citoyens.
"En 1948, le budget du gouvernement était de peu d'importance et celui de l'Agence juive était plus important. Aujourd'hui, Israël est un pays prospère et la Diaspora est proportionnellement moins riche", a expliqué Sharansky.

La ministre de l'Intégration, Sofa Landver, est d'ailleurs d'accord sur le principe.
Mais comme souvent, la question du financement reste fondamentale.
"Nous avons la capacité de prendre en charge ces programmes, et c'est normal et naturel que le ministère de l'Intégration les dirige, mais nous ne pouvons pas le faire de façon automatique: nous avons besoin de l'approbation du gouvernement et de son soutien financier", a-t-elle expliqué au Jerusalem Post.

Landver évalue que le gouvernement devra attribuer 100 millions de shekels supplémentaires par an à son ministère pour qu'il soit en mesure de prendre la suite de l'Agence juive sur les programmes longs.

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