"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma  Ed Universlam


CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

dimanche, mai 08, 2011

LAFRANCE
DIT"NONAUBOYCOTT
ECONOMIQUEDISRAËL"
Source : israelvalley.com en ligne
le 7 mai



ALAIN JUPPE :
"NON AU BOYCOTT".


"La France rappelle son opposition au boycott des produits israéliens". Le 31 mai : Forum "L’innovation, une chance pour le Proche-Orient".


Le Ministre d’Etat Alain Juppé à la CCFI le 4 Mai 2011 (PARTIE 2) :


"Permettez-moi de souligner un point essentiel à mes yeux : nos relations économiques avec Israël ne doivent pas souffrir d’interférences politiques. La France rappelle régulièrement son opposition à toutes les formes de boycott des produits israéliens, quelle que soit leur justification ou la cause qu’elles entendent servir. Non seulement le boycott est contraire au droit français, mais il suscite la défiance entre les peuples et ne contribue pas à créer le climat de confiance nécessaire à la paix.

Pour autant, les produits fabriqués dans les colonies israéliennes ne sauraient bénéficier des préférences douanières qui sont réservées aux produits originaires du territoire d’Israël en vertu de l’accord commercial qui lie Israël à l’Union Européenne. En la matière aussi, le droit doit s’appliquer.

Au-delà de l’approfondissement de notre relation bilatérale, nous sommes déterminés à tout mettre en œuvre pour contribuer à l’établissement d’une paix juste et durable au Proche-Orient.

La paix ne saurait se concevoir sans la pleine et entière garantie de la sécurité d’Israël. Je voudrais profiter de notre rencontre pour adresser une nouvelle fois un message de sympathie aux proches des victimes des tirs de roquettes dans le sud d’Israël et des récents attentats d’Ittamar et de Jérusalem. Rien ne saurait justifier des attaques contre la population israélienne. Je tiens également à rappeler notre engagement en faveur de la libération de Gilad SHALIT, retenu otage depuis plus de quatre ans au mépris des règles les plus fondamentales du droit international humanitaire. Cette situation est inacceptable. Au moment où je vous parle, j’ai une pensée pour sa famille, et notamment pour ses parents, dont la dignité dans cette épreuve force l’admiration.

Garantir la sécurité d’Israël, c’est d’abord être intraitable avec ceux qui remettent en cause son existence. Il s’agit là d’une position constante du Président de la République. A cet égard, notre détermination à empêcher l’Iran d’acquérir l’arme nucléaire est totale. Notre politique de fermeté vis-à-vis de ce pays a produit ses premiers résultats et les sanctions votées par le Conseil de Sécurité ont un impact tangible et croissant en Iran. Nous n’hésiterons pas à les durcir encore si le pays ne répond pas, concrètement, aux préoccupations de la communauté internationale.

Aujourd’hui, les dirigeants iraniens sont donc face à une situation très simple : ils savent ce qu’ils doivent faire pour entamer une négociation sérieuse ; ils savent que la pression internationale ne se relâchera pas aussi longtemps qu’ils ne prendront pas des mesures concrètes et irréversibles.

Garantir la sécurité d’Israël, c’est aussi assurer la mise en œuvre effective de toutes les composantes d’un accord de paix entre Israéliens et Palestiniens. En lien avec ses partenaires européens, notre pays a déjà annoncé à plusieurs reprises sa disponibilité à contribuer à des arrangements de sécurité sur le terrain en ce sens.contribue en effet concrètement à jeter les bases d’une croissance durable pour l’économie palestinienne. Elle démontre qu’une coopération économique israélo-palestinienne est possible et dans l’intérêt de tous.

Je salue les initiatives de Valérie HOFFENBERG en ce sens, comme l’organisation en décembre dernier d’une rencontre à Paris entre représentants du patronat israélien et palestinien, ou comme l’organisation le 31 mai prochain à Paris du Forum « L’innovation, une chance pour le Proche-Orient », en présence de représentants ministériels de plusieurs pays de la région.

Nous devons aller plus loin en continuant à soutenir l’Autorité palestinienne pour consolider les résultats déjà obtenus. Naturellement, ce soutien ne saurait constituer un simple substitut économique au processus de paix, sous peine de décrédibiliser aux yeux de l’opinion palestinienne le travail considérable réalisé par le Premier ministre Salam FAYYAD.

Aucun commentaire: