"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

vendredi, mars 25, 2011

ISRAËL
TENSION
DANSLESSOCIETES
RELIGIEUSES
Source : la newsletter d'israel-infos.net
diffusée le 25 mars


Le ministre des Affaires religieuses
contre les courants
du judaisme non-orthodoxes



par
David Koskas


Le ministre des Affaires religieuses, Yaakov Margi, a contesté la légitimité des mouvements religieux non-orthodoxes en Israël, et demandé la promulgation d'une loi à leur encontre....

Margi s'exprimait mardi à la Knesset à l'occasion des 90 ans de la création du Rabbinat

Il a mis en garde contre l'affaiblissement de l'autorité du Rabbinat en Israël, en accusant des "organismes extra-parlementaires" d'y participer, comme des "mouvements de femmes", les mouvements réformés et massoratim, et même des organisations rabbiniques tel le mouvement orthodoxe moderne Tzohar, qui propose de célébrer des mariages.

D'après Margi, certains remettent également en cause l'autorité du Rabbinat en prônant une pratique encore plus orthodoxe, comme quelques rabbins qui n'ont pas reconnu des conversions validées par le Rabbinat au moment d'enregistrer des mariages.

Margi a demandé une loi pour établir "qu'il n'y a pas plusieurs courants dans le Judaïsme, mais un seul qui nous a été transmis de génération en génération".

Le Rabbinat a également perdu de son pouvoir de façon institutionnelle, lorsqu'en 2003 le ministère des Affaires religieuses fut supprimé et les organes administratifs qui en dépendaient dispersés sous d'autres autorités au sein du gouvernement.

Le Rabbinat est alors passé sous l'autorité du bureau du Premier ministre, et les cours rabbiniques sous celle du ministère de la Justice.

Ce modèle a été conservé, même après le rétablissement du ministère des Affaires religieuses en 2008.

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