"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

jeudi, avril 23, 2009

UNPRESIDENT
QUIPLANE
Source : lefigaro.fr en ligne le 23 avril



Obama survole les sondages


De notre envoyé spécial à New York,
Florentin Collomp



63 % des Américains approuvent l'action de leur président, selon un sondage Pew Research paru jeudi.
Le président bénéficie toujours d'une cote de popularité élevée et 48 % des Américains pensent que l'économie du pays est sur la bonne voie.


Quelques jours avant son centième jour à la Maison-Blanche, palier symbolique qui sera franchi le 30 avril, Barack Obama savoure toujours un état de grâce auprès de l'opinion publique américaine.
Malgré une crise économique sans précédent pour les générations actuelles, la confiance reste forte et une forme d'optimisme nourrit l'approbation du président. 63 % des Américains approuvent son action, selon un sondage Pew Research paru jeudi, contre seulement 26 % qui la jugent négativement. Selon deux autres études, AP/GFK et Gallup, la confiance atteint 64 %, en recul de trois points par rapport à février. Les Américains saluent aux deux tiers la «nouvelle approche» apportée par Obama. Près de huit citoyens sur dix lui accordent leur crédit pour sa capacité à lutter pour l'environnement.
Sujet le plus dangereux de sa présidence, l'économie ne s'est pas retournée contre le chef de l'exécutif. Si seulement 26 % des personnes interrogées estiment que les mesures prises par son Administration ont permis d'améliorer leur situation, six sur dix soutiennent sa politique en la matière.


«Yes we can» est devenu un instrument politique

Ils commencent même à voir l'avenir de façon plus positive : selon AP, 48 % de la population pense que le pays est sur la bonne voie, contre 40 % en février. C'est la première fois depuis janvier 2004 que les opinions positives en la matière dépassent les opinions négatives (44 % pensent que le pays va dans la mauvaise direction). Le slogan de la campagne, «Yes we can», a été transformé avec succès en instrument politique. Seules un tiers des personnes interrogées considèrent que le président en fait trop à la fois.
Alors que ses opposants accusent Obama de consacrer trop de temps à la diplomatie et aux voyages hors des États-Unis, deux tiers de la population soutiennent sa politique étrangère. C'était censé représenter l'un de ses principaux points faibles lors de l'élection face à son rival, John McCain. Les arguments des républicains cherchant à faire apparaître la démarche d'ouverture d'Obama à l'égard de l'Iran ou de Cuba comme des signes de faiblesse semblent avoir peu de retentissement. Une majorité d'Américains salue la fermeture du camp de Guantanamo.


Apprécié par 46 % des républicains

L'homme Barack Obama est apprécié par près de trois quarts des Américains et par 46 % des républicains. Il reste donc une figure populaire. Mais l'écart de popularité se creuse entre ses partisans démocrates et une opposition républicaine qui se réveille. 93 % des sympathisants démocrates approuvent l'action du président mais seulement 30 % des républicains. La bipolarisation de la politique semble donc en train de se reconstituer, après une lune de miel générale avec le pays.

La First Lady, Michelle Obama, elle, gagne les cœurs de la population, avec 76 % d'opinions favorables, contre 62 % lors de son arrivée à la Maison-Blanche, en janvier. En revanche, grand absent de ces trois premiers mois, le vice-président, Joe Biden, n'est apprécié que par 51 % des Américains, en baisse de douze point par rapport à janvier. C'est moins que ses prédécesseurs.

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