"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mercredi, mars 23, 2011

LISLAM
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DÊTRESTIGMATISE
AUXPORTESDESECOLES
Source : le site du Télégramme en ligne
le 23 mars



Après le voile, la robe longue ?



Quatre lycéennes musulmanes auraient été menacées d'exclusion à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis. La direction de l'établissement dans lequel elles sont scolarisées leur aurait reproché de porter une robe longue, qualifiant cette tenue de signe ostentatoire religieux. Une histoire que le rectorat de Créteil n'a pas souhaité commenter indiquant que les jeunes filles "sont actuellement en cours".

La robe longue pourrait-elle connaître le même sort que le voile islamique et se voir également interdire l'accès aux établissements scolaires ? Quatre lycéennes musulmanes lancent le débat. Les jeunes filles sont actuellement inscrites dans un établissement de Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis. "J'ai été convoquée vendredi il y a deux semaines (le 11 mars) par l'adjoint du proviseur et le CPE (conseiller principal d'éducation) qui m'ont dit que ma robe était un signe religieux ostentatoire", a raconté l'une d'elle à un journaliste de l'AFP. On lui aurait alors indiqué : "Si tu reviens avec, tu vas devoir quitter l'établissement".


"Un costume traditionnel, pas religieux"
Ne comprenant pas cette menace, la jeune fille aurait répondu que "c'était une robe normale" et que de toute manière elle pouvait s'habiller comme elle le souhaitait. L'une de ses amies interrogée par Le Parisien précise que la robe longue "est un costume traditionnel". "S’il était religieux, nous le porterions tous les jours, alors que certains jours, nous sommes en pantalon. Le voile, oui, c’est religieux, et nous l’enlevons à l’entrée du lycée", explique la jeune fille.


Le rectorat ne commente pas
Contacté par l'AFP, le rectorat de Créteil n'a pas souhaité s'exprimer sur des menaces d'exclusion, déclarant : "Les élèves sont scolarisées" et "sont actuellement en cours". Cette affaire survient sept ans après la promulgation de la loi sur le port de signes religieux ostensibles à l’école et suscite une vive émotion sur les forums de sites communautaires.

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