"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

jeudi, novembre 06, 2008

DERNIERETOURNEE
AUPROCHEORIENT
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Source : dépêche de 'AFP en ligne le 6 novembre



Rice de nouveau au Proche-Orient
avant de léguer le dossier à Obama



TEL-AVIV (AFP) — La secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice a admis implicitement jeudi l'impossibilité d'un accord de paix entre Israël et les Palestiniens en 2008, appelant à consigner les progrès accomplis avant de léguer le dossier à l'administration de Barack Obama.
"Nous espérons que le processus d'Annapolis (ndlr: la conférence sur le Proche-Orient organisée fin 2007 aux Etats-Unis) a jeté les bases qui devraient rendre possible la création d'un Etat palestinien, lorsque les circonstances politiques le permettront", a déclaré Mme Rice aux journalistes l'accompagnant à bord de son avion qui a atterri à Tel-Aviv, première étape d'une tournée régionale.

"A un moment donné, il sera important de consigner d'une manière ou d'une autre tout ce qui aura été accompli" depuis le lancement de ce processus sous l'impulsion du président américain sortant George W. Bush, a ajouté Mme Rice.

A Washington, la Maison-Blanche a reconnu ouvertement jeudi qu'un accord de paix israélo-palestinien était improbable avant fin 2008, objectif fixé sous la présidence de M. Bush. "Non, nous ne croyons pas qu'il soit probable", a dit la porte-parole, Dana Perino.

Selon les médias israéliens, Mme Rice pourrait laisser à la prochaine administration américaine un document définissant les paramètres pour un règlement.

Le quotidien Jerusalem Post a affirmé, citant des sources diplomatiques, que ce document "résumera l'évolution des négociations et définira ce qu'il reste à faire en vue d'arriver à un accord".

Les négociations, censées aboutir à la fin de l'année, n'ont enregistré aucune percée notamment en raison de la poursuite de la colonisation juive en Cisjordanie, les divisions palestiniennes et l'incertitude politique en Israël.

Mme Rice a assuré qu'elle continuerait à travailler sur le dossier jusqu'à son "dernier jour" au poste de secrétaire d'Etat.
"Israël se trouve en pleine période électorale et cela limite les capacités d'un gouvernement à conclure sur ce qui constitue le noeud du conflit entre Israël et les Palestiniens. Mais je pense que nous pouvons continuer sur notre lancée", a-t-elle souligné.

Le Premier ministre israélien Ehud Olmert, qui dirige un gouvernement de transition après avoir démissionné en septembre pour son implication dans des affaires de corruption, doit rencontrer M. Bush à la Maison-Blanche dans les prochaines semaines.

Mme Rice doit s'entretenir à Tel-Aviv avec M. Olmert et son homologue israélienne Tzipi Livni avant de se rendre vendredi à Ramallah (Cisjordanie) pour rencontrer le président palestinien, Mahmoud Abbas.

Lors de sa visite, la 19e dans la région en deux ans, Mme Rice se rendra également en Jordanie et en Egypte, où elle participera dimanche à une réunion du Quartette sur le Proche-Orient qui comprend les Etats-Unis, l'Union européenne, la Russie et l'ONU.

Peu avant l'arrivée de Mme Rice, Israël s'est dit favorable à la prolongation de la trêve avec les Palestiniens dans la bande de Gaza malgré une reprise des violences qui a provoqué la mort de sept Palestiniens et des tirs de roquettes sur le territoire israélien mardi soir et mercredi.

La trêve, entrée en vigueur le 19 juin pour une durée initiale de six mois, avait fait l'objet d'un accord entre le mouvement islamiste Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, et Israël, négocié par l'entremise de l'Egypte.

A Gaza, le porte-parole du Hamas Fawzi Barhoum a affirmé dans un communiqué qu'une reconduction de la trêve "n'empêchera pas la résistance de riposter aux violations de l'occupation".

Le Hamas, considéré comme une organisation terroriste par Washington, s'est par ailleurs dit prêt à dialoguer avec M. Obama.
"Nous sommes prêts à engager un dialogue sérieux avec le nouveau président américain, dans le respect des droits de notre peuple", a déclaré à la presse le chef du gouvernement Hamas à Gaza, Ismaïl Haniyeh.

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